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Lucie, mon premier Gangbang

Chapitre 3

le club

Lesbienne
Le samedi matin, je me réveillai pas longtemps avant Monsieur M et j’en profitai pour aller me doucher et prendre un peu soin de moi. J’avais faim et soif, je me rêvais un bon petit-déjeuner avec du bon thé, du pain grillé du beurre et du miel, mais j’étais au défi de jeûner ce week-end, je n’avais le droit qu’à du liquide. La salle de bain donnait directement sur la chambre et je décidai de laisser la porte ouverte pour voir si mon amant allait me rejoindre, mais non, il resta couché. Une fois ma toilette finie, je pris juste une serviette et la noua autour de ma taille pour rejoindre Monsieur M qui restait au lit.
Avec un sourire, il ressortit le gode que j’avais porté la veille en anal quasiment toute la journée.
— Tu sais que j’aime te sentir pleine ma chérie...
Il m’enfonça le sex-toy jusqu’aux fonds alors que je me mordais la lèvre.
— Tu vas passer les trois quarts de ton temps avec quelque chose dans les fesses, maintenant, il va falloir t’y habituer.
Je ne me doutai absolument pas à ce moment-là que j’allais devenir sa « chose » et que cette soumission allait me plaire au point de changer totalement ma vie.

Je me blottis contre lui et il m’embrassa passionnément, je le trouvai encore plus beau et charismatique ce matin, je me demandai si je n’étais pas en train de tomber amoureuse, et ça me fit un peu peur. J’avais terriblement envie qu’il me prenne, mais son téléphone portable sonna et il se leva pour répondre, me laissant frustrée. Je me demandai s’il existait d’autres filles comme moi ou si j’étais particulièrement obsédée.
Quand Monsieur M fut de retour dans la chambre, j’en profitai pour lui demander ce qu’il avait prévu pour moi aujourd’hui.
« Ça tombe bien, tu étais le sujet de discussion de mon appel téléphonique...Figure-toi que ce qui s’est passé hier, c’était un test en quelque sorte et tu t’es révélée plus qu’à la hauteur. Je vais t’expliquer maintenant de quel club je fais partie et tu pourras le rejoindre dorénavant si tu le désires. Attention cependant, il faut que tu prennes bien conscience que tu devras sûrement encore passer des tests et que tu débuteras comme tous les nouveaux adhérents, en bas de l’échelle. »Je ne comprenais rien et il m’expliqua :
— Si tu veux entrer dans la guilde, il faudra que tu signes un contrat avec la matriarche, je deviendrais ton parrain, tu commenceras au stade 1 de soumise, il y a trois stades différents, tu verras...
Je ne savais pas trop quoi dire, je lui demandai qui était la « matriarche » et je lui fis remarquer que ça avait l’air d’être une secte son truc.
— Tu vas bientôt la voir si tu me donnes ton aval et non, ne t’inquiète pas, ce n’est pas une secte, personne ne va te demander de payer quoi que ce soit. C’est plutôt une association d’adultes consentants, un club privé autour du sexe avec des règles et une certaine hiérarchie.
Il m’expliqua que ça faisait plusieurs semaines qu’il préparait le terrain pour me faire entrer et que maintenant il attendait une réponse.
Prise un peu au dépourvu et ne sachant pas encore vraiment à quoi m’attendre, je lui proposai un timide « d’accord allons y, ça m’intrigue ton truc, je te fais confiance». Monsieur M sauta sur son téléphone et envoya un texto
— Pas besoin d’aller où que ce soit, elle va venir ici. Elle arrive vers 11h.
Monsieur M passa le reste de la mâtinée à me rassurer, à me dire que j’allais aimer et que de toute façon, il contrôlerait toujours la situation.
Vers 11h, j’étais un peu stressée, mais excitée. J’avais rangé mes affaires dans la chambre, remis mon minishort et mon T-shirt de la veille et quand la porte sonna, Monsieur M me fit un clin d’œil et alla ouvrir.
Une jeune femme svelte, grande et blonde entra, suivie de deux hommes et une fille. Dès le premier instant, j’avais identifié la matriarche. Le regard, la prestance, la tenue chic et autoritaire ne laissaient aucun doute.
J’étais un peu surpris qu’elle soit accompagnée, mais je ne laissai rien transparaître. Monsieur M embrassa la matriarche et fit les présentations
—... je te présente la matriarche, la matriarche, je te présente...
Ici, tous les membres ont un nom qui leur est attribué dans le club, un nom, ou un surnom qui les identifie à un personnage, ce qui permet d’entrer dans un rôle. Tu peux le choisir ou il t’est désigné par la Matriarche.
Monsieur M avait commencé à me parler de tout ça ce matin. La matriarche me sourit et s’approcha de moi. Elle approcha ses lèvres de ma bouche et resta quelques secondes au bord. Je ne savais pas quoi faire et restai sans bouger, la bouche à peine entrouverte. Sa main vint me caresser la joue et nos lèvres s’effleurèrent.
— Enchantée ma belle, je te présente, Chef, Bob et Katalina.
Les deux mecs étaient musclés, mais avaient l’air sympathiques. La fille était elle aussi magnifique, mais d’un style complètement opposé à la matriarche. Plus petite, de type asiatique, plus mat de peau, habillée en fille un peu comme ces écolières japonaises dans les mangas. Alors que la matriarche devait avoir dans les 30-40ans, Katalina devait plutôt être dans les 20-25ans.
Nous nous dirigeâmes dans le petit salon en contrebas.Je m’installai dans le sofa où les ébats avaient commencé la veille alors que la Matriarche s’assit en face de moi et déposa une mallette sur la table basse.
Tout en m’expliquant les bases et les règles du club, elle sortit une feuillée.
— Tout ce que t’as dit est stipulé dans le contrat. Maintenant si tu le signes, tu t’engages et le non-respect des règles sera puni plus ou moins sévèrement suivant les cas. Bien sûr, tu peux rompre le contrat à tout moment, mais ceci entraînera une exclusion définitive du club et de tout contact avec un de ses membres.
Monsieur M tendit mes examens sanguins à la Matriarche. La règle numéro 1 étant de n’avoir de rapports sexuels qu’avec des membres du club durant toute l’adhésion. Je devais être totalement clean, la question sanitaire étant la priorité. Monsieur M se portait garant de moi et serait mon parrain durant toute mon initiation. Je commençais au stade 1 de la soumission et je devais choisir un nom. Je choisis Lucie Dalmo pour des raisons personnelles. Evidemment, ce n’est pas mon vrai nom comme pour l’ensemble des autres membres, mais j’étais invité à choisir ce que je voulais et tout le monde me souhaita la « Bienvenue Lucie » une fois que j’eus signé.
— Bon Lucie, tu n’as plus rien à nous cacher maintenant, déshabille-toi !
J’enlevai mon T-shirt et me retrouvai seins nus. La matriarche s’approcha et m’embrassa, j’avais déjà embrassé des copines à l’adolescence, mais rien de sérieux, j’étais un peu gênée. Je ne sais pas si la matriarche s’en rendit compte, mais quand elle se retira, elle me lança un regard coquin et appela la petite Katalina.
— Vas-y ma belle, à toi de jouer.
Je n’avais jamais eu de rapport lesbien. J’étais excitée, mais totalement bloquée.
Les mecs s’installèrent dans le sofa en face et la petite Katalina n’attendit pas qu’on lui répète une seconde fois pour venir s’occuper de moi.
Elle se positionna à califourchon sur moi et commença par m’embrasser. Ses seins contre les miens, je sentais la chaleur de ses cuisses en contact avec les miennes sous sa jupe. Je me laissai prendre aux jeux et l’excitation montait à vitesse grand V. Faut dire que la magnifique petite était sacrement bien gaulée. Katalina gémissait en frottant son bassin contre mon short alors que je lui enlevai son chemisier laissant apparaître sa généreuse poitrine. J’étais dans la position du mâle et elle de la femelle, mais quand elle s’appuyait sur moi, je sentais la pression sur mon gode anal qui s’enfonçait dans mon cul. En baladant mes mains sous sa jupe, je parcourus ses fesses et sentis l’humidité de sa culotte ainsi qu’un relief derrière qui signifiait qu’elle portait elle aussi un gode anal.
J’attrapai ses fesses entre mes mains et avec une cuisse, je mettais la pression sur son entrejambe pour qu’elle aussi ressente la tension de son gode lui chatouiller les entrailles. Dans un petit hoquet de plaisir, Katalina se cambra puis passa ses jambes entre les miennes pour glisser un peu plus bas et me dévorer les seins. Après quoi elle descendit encore, jusqu’au nombril et me regarda en se mordant les lèvres tout en me déboutonnant la braguette. On dit que les femmes sont plus douées que les hommes pour les cunnilingus. Je ne sais pas si c’est une vérité générale, mais en tout cas, Katalina était vraiment experte en la matière. Elle me broutait le minou avec passion comme une vraie tigresse et je me cramponnai au sofa, concentré pour ne pas jouir trop vite jusqu’à ce que la matriarche ordonne à la petite de passer à la suite.
Katalina se mit entièrement nue et se plaça à l’envers au-dessus de moi en 69 pour que je goûte à sa chatte à mon tour. C’était pour moi une grande première et je me découvrais une nouvelle passion. Je faisais l’amour à son pussy, embrassant ses lèvres, titillant son clitoris, introduisant ma langue dans son vagin. Je m’enivrai de son sexe et m’amusai à lui faire bouger son plug anal en même temps pour la stimuler davantage. De son côté, Katalina avait repris son activité et me faisait grimper au rideau jusqu’à, qu’une fois encore, la Matriarche nous ordonne de nous arrêter, mais c’était comme essayer de stopper net un train lancé à pleine vitesse. La matriarche réitéra son ordre une seconde fois, mais Katalina était en pleine montée de jouissance et d’un coup, la petite cria de douleur. Ses cuisses et ses fesses se contractèrent violemment, m’écrasant la tête.Katalina se releva aussitôt, pliée en deux, portant les mains à son gode, le visage crispé.
— Pardon, Pardon maîtresse !
La matriarche tenait un petit boitier dans sa main et par simple pression du pouce sur un petit bouton, pouvait envoyer des chocs électriques violents dans le gode anal que portait Katalina.
Alors que Bob et chef s’occupaient de rhabiller Kat. Ils lui enfilèrent une ceinture de chasteté en métal en prenant soin de laisser le plug anal en dessous.La matriarche m’expliqua que Katalina était au stade deux de soumission et que l’orgasme lui était interdit, du moins tant qu’elle ne l’avait pas décidé.
— Voilà ton nouveau gode !
dit-elle en m’enlevant mon jouet anal. Le sex-toy qu’elle me montra avant de l’introduire dans mes fesses était le même modèle que celui de Katalina. A peu près le même calibre que mon ancien, mais en silicone rigide avec deux bandes sur la longueur et un anneau sur la base en métal brillant comme de l’aluminium. Elle m’administra une décharge qui me fit bondir et crier.
— HAAAAA... Non, non, non... Je ne pars pas dans ces jeux-là... — Quoi, on arrête tout ? On plie bagage et tu rentres chez toi ? Même pas une heure après le début de ton initiation ?
Je regardai Monsieur M, ne sachant pas trop quoi dire...
— Ne t’inquiète pas ma chérie, c’était pour te montrer qui commande ici et à quoi t’attendre si tu mérites d’être puni ou rappelé à l’ordre, mais ça ne devrait pas être nécessaire n’est-ce pas ? — Non, non, non, promis.
La matriarche se rapprocha de moi et passa son pouce sur mes lèvres. — Bon, dans ce cas, tu es prête à aller plus loin ?...
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