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Lucile amoureuse salope

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Lucile amoureuse salope.
2 – Lucile contrainte par son patron.
Lucile souriait encore de leur décision de la veille. Marc avait quand même des idées bizarres parfois... Vouloir être appelé cocu plutôt que chéri, vraiment, elle se demandait la tête qu’allaient faire ses copines de bureau quand elle leurs raconteraient. Elle gara sa voiture sur le parking de l’entreprise et se dirigea vers l’entrée quand elle fut rattrapée par Agnès.
— Lucile ! Attends-moi, ma belle. Comment vas-tu ce matin ?— Comme tu vois. Je me sens en pleine forme !— Je vois ça ; t’es radieuse. C’est le petit Julien qui ta mise dans cet état de plénitude ? Raconte ! C’était comment hier ?— Avec Julien ? C’était divin. Ce garçon a vraiment du tonus, et puis il est beau comme un dieu grec. Ce qui ne gâche rien...— Hoho, tu vas pas tomber amoureuse d’un gamin quand même ?— Hihi ! Il n’y a pas de souci là-dessus. D’ailleurs, ce n’est pas à Julien que je dois de me sentir si bien ce matin.— Ah bon ? C’est quoi alors ?— Mais qui veux-tu que ce soit ? Il n’y a que mon petit cocu adoré pour me rendre si joyeuse.— Comment tu l’as appelé ? « Mon petit cocu adoré » ? Il y a franchement un truc que je ne comprends pas. Tu trompes ton mec tous les jours ; depuis deux mois tu as gagné une réputation de salope telle qu’aucune de nos collègues n’oserait te présenter son mari et toi tu parles toujours du tien comme si c’était le meilleur. Mais si c’est le meilleur, pourquoi tu le trompes ? Généralement, quand une femme trompe son mari, c’est qu’elle n’en peut plus et qu’elle en a marre de sa médiocrité ou de ne pas être comblée... Mais toi, on dirait presque que c’est l’inverse.— Parce que c’est exactement l’inverse. J’aime Marc plus que tout, nous sommes parfaitement bien ensemble. Marc est le plus gentil et le plus attentif des hommes. Il s’intéresse à ce que je fais et à ce que je suis. Il sait parfaitement quand je ne suis pas bien ; il le voit tout de suite et m’aide toujours à surmonter mes coups de moins. Il me soutient et me protège. C’est vraiment mon homme idéal. Il m’aime et m’en offre la preuve tous les jours et à tous les instants de notre vie.— Et toi, tu trompes un homme comme ça ? Tu m’excuseras mais là, je n’comprends vraiment pas.— Écoute, Agnès, c’est peu long comme histoire et il faut qu’on aille bosser, mais, si tu veux, on mange ensemble à midi et je t’expliquerai.— Ça roule pour midi. Je t’avoue que je suis vraiment curieuse de comprendre ce mystère.
Lucile qui est responsable de la communication avait pas mal de boulot ce matin-là. Elle devait remettre un projet à Robert avant 11 heures et elle savait que ça risquait d’être juste. Mais finalement, avec l’aide de Julien et en ne prenant pas la pause de 10 heures, elle réussit à se présenter à peu près dans les temps à son bureau. Quand elle arriva à la direction, Agnès la prévint de ce qui l’attendait.
— Je te préviens tout de suite, « Bobby » est furax ; tu as plus de 5 minutes de retard.— Je sais, mais il y avait un ou deux détails à corriger. Je ne voulais pas lui remettre un boulot que j’aurais estimé imparfait.— Oui et bien là, tu risques d’en prendre pour ton grade… avant d’en prendre plein le cul.
— Et bien, merci du tuyau. Tu m’attends pour aller manger.— T’en fais pas ma chérie, j’aime trop t’entendre crier pour partir avant la fin et puis il m’a demandé de veiller sur tes habits. Il veut que tu rentres uniquement vêtue de tes dessous et de tes chaussures alors dépêche-toi d’enlever cette jupe et ce chemisier car il s’impatiente sérieusement. Je le préviens que tu es là.— Allô, Monsieur, Lucile est arrivée.— …— Oui Monsieur, elle est en tenue. Lucile, tu peux rentrer.
Lucile pénétra, son porte-documents sous le bras, dans le bureau de son patron. Elle portait un ensemble soutien-gorge et string en dentelle rouge, un porte-jarretelles assorti, des bas noirs et des chaussures à talon, noires également.
— Lucile, je ne suis pas content ! Vous deviez me montrer ce travail avant 11 heures et il est déjà presque 11 h 15. J’espère pour vous que votre projet me conviendra ! Montrez-le-moi tout de suite, j’attends la visite d’un fournisseur avec lequel je dois déjeuner et nous n’avons donc pas beaucoup de temps.— Voilà monsieur, tout est là. Vous trouverez d’abord une introduction, des précisions sur les spécificités du marché britannique et, pour finir, trois projets complets de campagne publicitaire.— Trois projets ? Pourquoi trois ? Je n’ai besoin que d’un seul !— Je voulais vous donner la possibilité de choisir, Monsieur... Mais si vous voulez mon avis, le meilleur c’est le troisième.— Voyons voir ce que vous avez fait... Mmm, c’est que ça n’a pas l’air si mal tout ça. Je vois que vous maîtrisez parfaitement l’humour anglais, Madame. Passez sous le bureau pendant que j’étudie tout ça. J’imagine qu’en qualité de bonne petite pute, vous savez déjà ce que vous avez à y faire.— Vous savez Monsieur que je vous suis entièrement dévouée et que, dans le cadre du travail, vous pouvez exiger de moi ce que vous désirez.— Alors ne me faites pas attendre plus longtemps mettez vous à l’ouvrage, mais vous avez interdiction de me faire jouir, c’est compris ? Pour faire tout ce que je désir, ça viendra plus tard…— Je vous maintiendrai en forme, Monsieur... Mmmf.— Oh oui ! Oh oui petite pute ! T’as une bouche super, ma cochonne. Oh ouiiii ! C’est bon. Joue bien avec mon gland. Oooh !... Mmm, j’aime bien le deuxième projet également... Aaah ! Doucement... Ooooh ! Tu te rappelles de ce que je t’ai demandé, putain ?!— …Mmm... Oui Monsieur, je ne dois pas vous faire jouir.— Tu n’sais pas, mais j’ai un projet pour toi. Tu étais une salope et une allumeuse et bien dès aujourd’hui tu vas devenir une vraie putain. Tu sais pourquoi ?— Non, Monsieur… Mmmf.— Et bien parce que, grâce à toi, l’entreprise va faire une économie de 150 000 € et que, pour te récompenser, tu recevras une « prime » de 15 000 € versée hors salaire et en liquide. Reprends ma bite pendant que je t’explique comment ça va ce passer.— Mmmf— Ouiih ! Alors ton client... c’est notre sous-traitant et fournisseur en circuits imprimés, Marcel Janvier … Ooooh, putain que c’est bon... La dernière fois qu’il est passé, toi et Agnès,... aaaah... vous lui avez tapé dans l’œil, alors, je lui ai dit que... qu’Agnès est gouine mais que... que toi, en te payant convenablement, il... il pourrait te baiser ici... Aaaah avec moi avant d’aller déjeuner et... et seul chez... chez toi dans l’après-midi. Il... il a un train pour Bordeaux Aaah... à 19 h. il... oooh... il sera parti Aaah... avant que ton mari ne revienne. Att... Attends, Agnès m’appelle. Je pense qu’il est arrivé.— Oui Agnès, Je suppose que Marcel est arrivé.— Faite le patienter quelques instants, j’ai encore la braguette ouverte. Sors de là-dessous, Putain, ce n’est pas une façon d’accueillir un client.— Pourquoi vous avez fait ça ? Pourquoi vouloir me prostituer ? Et si je n’étais pas d’accord ?— D’abord, Lucile, tu m’as dit que je pouvais exiger de toi ce que je voulais dans le cadre du travail et ça m’excite que tu te prostitues pour l’entreprise. C’est un marché énorme et grâce à ton cul, nous allons réaliser une économie de quinze pour cent. Deuxièmement, comme tout travail mérite salaire, il est normal que tu sois payée à hauteur du service rendu. En clair, si, pour le bien de la société, tu dois coucher avec un client ou un fournisseur, il est normal que tu sois payée. Enfin, je suis sûr et certain que tu vas adorer ça et il y a fort à parier, compte tenu de ce que tu m’en as dit, que ton mari y trouve son compte également. Fais l’expérience aujourd’hui et nous en reparlerons d’ici deux ou trois jours. Si, a posteriori, tu es d’accord pour recommencer, nous envisagerons alors pour toi une carrière parallèle de putain d’entreprise et nous clarifierons la manière de calculer la rémunération de tes prestations.— Va pour cette fois, Robert, vous ne me laissez pas le choix. Mais autrement, vous pouvez toujours rêver. OK, je suis une salope, mais je n’envisage pas de devenir une vraie pute.— Écoute Lucile, on en reparle dans trois jours d’accord. Agnès ? Faites entrer Marcel, je vous prie. Vous resterez avec nous pour le service des boissons.
Marcel était, comme Robert, un homme d’une cinquantaine d’années, grand, avec le crâne entièrement dégarni, des yeux bleus et un sourire affable. Il avait gardé de dix ans de service comme officier dans la légion étrangère une carrure d’athlète qu’il entretenait sans doute. Lucile le trouva finalement élégant et s’en trouva un peu rassurée. Après tout, elle aurait pu coucher avec lui sans qu’il ne soit question d’argent. Robert n’avait probablement pas si mal fait les choses en fin de compte. Le bureau de Robert était très grand et comportait un salon équipé de quatre fauteuils et d’un canapé en cuir entourant une grande table basse en merisier. Il y avait à proximité un meuble bar qui permettait de ranger les boissons et les amuse-gueules et un petit frigo pour les glaçons, le champagne, les jus et tout ce qui nécessitait d’être conservé au frais. Tout de suite, Agnès s’y rendit pour préparer deux ou trois bricoles, mettre des toasts sur des petits plateaux en argent, préparer un bol de glaçons et un seau à champagne. Robert et Marcel se saluèrent chaleureusement. De toute évidence ils se connaissaient très bien. En les regardant, Lucile ne pu s’empêcher de penser à Marc et Philippe. C’était, à n’en pas douter, de très grands amis.
— Marcel, permets-moi de te présenter Lucile notre responsable en communication.— Lucile vous êtes vraiment charmante, Robert a bien de la chance d’avoir une collaboratrice telle que vous. J’imagine que vous êtes une perle rare. Vous permettez que je découvre un peu plus vos attraits ?— Je vous en prie, Monsieur, je suis à votre service. Dit-elle en tournant sur elle-même.
Marcel prit Lucile par la taille et glissa directement une main dans son string, enfonçant un doigt jusqu’à sa chatte.
— Ma parole, mais t’es trempée ! Tiens, suce mon doigt. Mmm, t’es vraiment chaude comme une chienne. Je crois qu’on va bien s’amuser. Retire ta culotte ma jolie, t’en auras pas besoin avec moi et enlève aussi ton soutif que j’admire ta grosse paire de loches.
Lucile s’exécuta sans discuter en regardant son client de la manière la plus coquine qu’elle le pouvait, un petit sourire aux lèvres
— Oh bon dieux quelle beauté !
Il se penche sur ces seins, embrasse doucement les extrémités des deux tétons qui durcissent et pointent sous la caresse de ses lèvres.
— Et réactive en plus de ça, mmm, une vraie merveille. Tu ne m’avais pas menti Robert. T’as vraiment recruté une pute de première catégorie ! J’imagine que ça doit faciliter un certain nombre de contrats... Putain ces seins !
Il pétrissait les mamelons de Lucile à pleines mains, en pinçait les tétons.
— Tu es son premier client Marcel ; le premier à bénéficier des services de cette pute dans le cadre d’un accord commercial.— Voilà une attention qui me touche, camarade. Et elle n’a pas fait d’histoire pour accepter.— Pour être franc avec toi, je ne lui ai pas laissé le choix. Quand t’es arrivé, j’étais justement en train de lui expliquer que ses services étaient inclus au contrat. N’est-ce pas Lucile ?— Si, Monsieur, C’est... mmmh... c’est exact. Mais,... peut-être pourrions-nous passer au salon. Nous serions plus à l’aise pour poursuivre cette conversation. D’autant que notre ami semble avoir besoin de se mettre un peu plus à son aise si j’en juge par cette bosse sous mes doigts. Suivez-moi Marcel que je m’occupe un peu de vous.— Je crois que, à l’instant présent, je vous suivrais en enfer si vous me le demandiez...— Je m’efforcerai simplement de vous conduire au paradis, mon ami.
Lucile conduisit Marcel sur le canapé de cuir et avant de le laisser s’asseoir, lui roula un patin, lui retira sa cravate et son veston et baissa son pantalon pour dégager une bite assez standard mais très dure. Agnès en profita pour demander aux deux hommes ce qu’ils souhaitaient boire et leur servit un single malt hors d’âge à chacun. Puis elle s’enquit de ce qu’elle devait servir à Lucile qui, à quatre pattes sur le canapé, la tête penchée sur l’entre jambe de son client et s’appliquait dans une fellation toute professionnelle. Marcel avait repris un sein dans une main et appuyait sur sa tête de l’autre. Robert était passé derrière Lucile et lui flattait la croupe, branlant sa chatte avec l’index et le majeur de sa main droite, il massait également sa rosette avec son pouce. Il répondit pour Lucile.
— Voyons Agnès, qu’est-ce que ça boit une pute de luxe ? Ne sortez-vous donc jamais ?— Ça boit du champagne Monsieur.— Alors pourquoi posez vous la question ? Servez donc une coupe de champagne à Lucile et servez vous ce que vous voulez. Vous connaissez ce bar mieux que moi. Ensuite vous vous déshabillerez et admirerez le spectacle, nous aurons peut-être encore besoin de vos services.— Comme il vous plaira monsieur.
De son côté, Marcel commençait à sérieusement apprécier la manœuvre de sa partenaire. Il faut dire que Lucile était passée maître dans l’art de la pipe. Elle réussissait à maintenir ses amants dans des états proche de l’explosion. Elle-même était de plus en plus excitée par la situation et les doigts qui la fouillaient n’arrangeaient rien à l’affaire. Son sexe malmené, sa bouche profondément baisée, elle commençait à grimper dans les tours et émettait des « Mmmf » de contentement. Son anus fini par s’ouvrir permettant au pouce de Robert de s’y introduire. Il lui branlait maintenant le cul et la chatte avec sa pince. Marcel commentait son plaisir.
— Aaaah ! Ah putain ! C’est trop bon, Robert ! Elle suce bien la salope... Oooh ! ouiii… elle a des heures de vol celle-là,... Oooh, ooh oui... Oooh baise lui le cul pendant qu’elle me suce et après on alternera... Ooooh ! Ecarte-lui la rondelle, je... ooh ! Je sais que t’en meurs d’envie. Aaaah ! On va faire comme avec Kim, tu te raaaah... rappelles, la petite pute de Saïgon ? Ooooh ! Quelle classe, elle vient juste de ralentir, oooh ! Putain, j’étais à deux doigts de partir. Oui ma belle, c’est... c’est bien comme ça. Allez soldat ! Défonce-lui le fion à cette pute !— À vos ordres Capitaine. On va la faire gueuler cette pouffiasse. Répondit Robert qui s’était mis à poil.— Mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmf...— Ça va ma jolie ?— Mmm... ouih ! Mmmf...— Je ne t’ai pas fait mal ?— ...Hon, hon.
Robert, rassuré par cette réponse, s’activa sans attendre en disant « c’est parti pour deux minutes Capitaine ! ». Il lui pilonnait le cul et en ventait à son ami les qualités. Lucile était à la fête. Intuitivement, elle avait compris ce que l’on attendait d’elle. Les deux hommes allaient se relayer dans son cul par round de 2 minutes et sa bouche servirait juste à les maintenir en forme. Elle ne devait surtout pas en faire trop ni d’un côté ni de l’autre.
— Wow, c’est de la bombe ta pute, elle vient de prendre un super bon rythme. Je suis sûr qu’elle pourrait me sucer comme ça pendant deux heures en me filant du plaisir et sans me faire jouir ! Ouiii, trop bon, mmmmm. Oooooh ! La salope ! Ouiii, t’es une bonne petite pute.— Aaaaah ! Et son cul mon gars, quand tu vas voir son cul ! Oooh, oui ! Pouffiasse ! Han ! Han ! Han ! Putain que c’est bon ! Han !— Oooh ! Une minute avant la relève, soldat ! Et son cul, il est comment dedans ? Il est propre ou c’est une vraie sale petite pute.— Il est comme t’aime,... Han ! Une... Han !... une vraie sale pute ! Le cul plein de merde, c’est un régal.— Deux minutes Robert, on tourne !
Robert sortit du cul de Lucile qui libéra Marcel. Ce dernier se débarrassa de ses derniers vêtements et fit le tour du canapé pour venir lui prendre le cul. Lucile profita de ce court répit pour jeter un coup d’oeil en direction d’Agnès qui se masturbait sans vergogne en regardant la scène. Les deux femmes se sourirent et le jeu reprit. Robert présenta à Lucile sa bite tendue à l’extrême. Elle avait pris une teinte brunâtre uniforme et empestait. Lucile eut un mouvement de recul, mais Robert lui agrippa les cheveux.
— Tatata, ma jolie, t’avais qu’à être propre, tu vas devoir laver tout ça. Désolé.
C’est le moment que choisi Marcel pour s’enfoncer dans son fion, d’un coup et sans crier gare. Heureusement le passage venait d’être ouvert, mais la soudaineté de la pénétration lui arracha quand même un cri de douleur aussitôt étoufé par Robert qui en avait lâchement profité pour lui enfoncer son mandrin dans la bouche.
— C’est bien ma jolie, le plus dur est fait. Avait-il dit alors. Dans deux minutes t’y feras plus attention…
Lucile cru d’abord qu’elle allait vomir, mais Robert avait raison et la situation l’excitait. Ces deux hommes la prenaient comme une chienne, pour leur simple plaisir. La queue de Marcel, légèrement plus petite que celle de Robert, était beaucoup plus dure et lui ramonait le cul avec plus de force. Par moments, il sortait son barreau de chaise entièrement pour le replonger d’un coup au fond de ses entrailles. Lucile sentait poindre l’orgasme. Elle avait du mal à maîtriser ce qu’elle faisait avec sa bouche. Elle s’appliquait du mieux qu’elle pouvait mais chaque poussée de Marcel l’enfonçait plus violemment sur la bite de Robert. L’odeur et le goût ne la gênaient plus, au contraire, ils contribuaient, maintenant, pour partie, à la montée de son plaisir. Finalement, ces deux minutes lui parurent bien courtes. Robert et Marcel échangèrent de place et elle se surprit à ne prêter aucune attention à la saleté de la pinne qu’elle emboucha. Comme Marcel précédemment, Robert la pénétra sans ménagement et lui laboura le fion instantanément. Elle était secouée par une succession d’orgasmes qu’elle étouffait dans sa gorge remplie. Deux minutes encore et les deux hommes échangèrent encore de place. Elle entendait Agnès gémir du plaisir qu’elle prenait à la voir se faire défoncer. Dans son cul Marcel forçait la cadence. Tellement secouée par sa jouissance, elle n’arrivait plus à suivre les changements de tours. Combien de fois étaient-ils déjà passés l’un et l’autre dans son cul ? Quatre, cinq, peut être même six fois. Sa chatte dont personne ne s’était occupée dégoulinait, ruisselait. Elle n’entendait plus Agnès, ses oreilles bourdonnaient, son corps était à bout de force, mais elle sentait que les deux hommes n’allaient pas tarder. Robert l’enculait violemment tandis que Marcel lui baisait la bouche en lui agrippant les cheveux. C’est alors qu’elle sentit une main féminine lui caresser le ventre et s’approcher peu à peu de son bouton. Un doigt agile vint le titiller, elle lâcha prise. Son corps entièrement secoué, ébranlé, elle explosa, éjacula et pissa, inondant le canapé et les cuisses de Robert qui se raidit et lui rempli le cul de son foutre. Marcel venait de jouir en même temps au fond de sa gorge, manquant de l’étouffer au point de la faire vomir.
Lucile était ébranlée, elle tremblait, pleurait et riait tout à la fois, recroquevillée, comme une enfant battue, sur un coin du canapé. Les deux hommes la regardaient, un peu inquiets, se demandant ce qu’elle avait, incapables de déterminer si elle souffrait ou non, si elle était heureuse ou malheureuse. Elle était dans un état lamentable, le cul et le visage couverts de traces de merde. Son maquillage avait coulé, Marcel, dans sa dernière enculade avait gratifié Lucile de quelques bonnes fessées qui avaient laissé de belles marques rouges sur son postérieur. Agnès s’assit à côté d’elle et la prit dans ses bras, la couvrit de tendres bisous sur le front et les joues.
— Tiens ma chérie, bois un coup, ça te fera du bien et après je t’emmène à la douche ce ne sera pas du luxe.— Oh, Agnès, qu’est-ce que tu m’as fait ?— Rien, je ne t’ai rien fait. Viens te doucher. On va s’occuper de toi un peu, entre filles...— Heu, Agnès, vous permettez que l’on vous accompagne ? On ne fera que regarder…— Alors là, Monsieur le Directeur, certainement pas ! Nous ferons vite pour vous laisser la salle d’eau. Vous en aurez besoin avant d’aller déjeuner.
Les deux femmes se retrouvèrent seules maintenant dans la petite salle d’eau attenante au bureau du directeur. Agnès s’occupa de tout pour une Lucile encore hébétée, incapable de comprendre ce qui lui était arrivée. Agnès l’accompagna sous le jet, lui lava les cheveux, le visage et le corps. Ses mains se promenèrent sur Lucile avec beaucoup de douceur. Elle se laissa faire, Agnès en profita. Elle n’eut aucun geste déplacé, seulement elle savoure le plaisir de tenir Lucile dans ses bras, de la toucher et de la caresser. Elle reprit la pomme de douche, rouvrit l’eau et la rinça. Elle prit ensuite deux serviettes ornées du logo de l’entreprise et essuya son amie avant de se sécher elle-même. Enfin, elle attrapa dans l’armoire de toilette un petit flacon d’huile corporelle et massa la nuque, les épaules, les seins, le dos et les fesses de Lucile. L’huile sentait bon, Lucile respira. Elles n’avaient pas échangé un mot. Agnès se plaqua dans le dos de son amie, ses bras croisés sur son ventre et déposa un bisou dans son cou.
— Tu sens bon. Ça va mieux ?— J’ai jamais eu un orgasme aussi violent, qu’est-ce que tu m’as fait ?— Je ne t’ai rien fait, c’est eux qui ont tout fait. Moi j’ai juste appuyé sur l’interrupteur pour dire « stop ». Il le fallait. Mais tu étais déjà en train de jouir depuis belle lurette. Tu n’étais qu’un fétu de paille entre leurs mains et eux ne se maîtrisaient plus. Vous avez joué à un drôle de jeu. C’est comme si vous reteniez tous vos orgasmes. Toi, tu as commencé à jouir dès le troisième tour.— Ils m’ont prise combien de fois chacun ?— Marcel t’a défoncé le cul neuf fois, je dirai, et Robert dix, quelque chose comme ça.— Ils m’ont baisée pendant quarante minutes ?!— Presque cinquante en fait. Il faut dire que, sur la fin, ils ne surveillaient plus la montre et qu’ils étaient en plein délire. Je n’avais jamais vu ça. Ils te fouettaient le cul et le visage avec leurs bites. Robert a joué à s’essuyer sur ta figure alors que toi tu cherchais désespérément à l’avaler et quand Marcel s’est mis à te fesser j’ai vu que tu n’étais plus vraiment consciente. Ils étaient déchaînés, tu n’étais plus qu’un trou à bites et je suis intervenue. Je t’ai caressé les seins, le ventre, et comme ma main te faisait l’effet souhaité, je me suis attaqué à ton clitoris, je l’ai secoué un tout petit peu, tu es partie tout de suite et les deux cochons ont suivi instantanément.— Ça fait peur ce que tu racontes... Pour moi, tout s’enchaînait à une vitesse inouïe. Je me rappelle que je ne pouvais plus rien faire d’autre que de me laisser faire, mais à aucun moment, je n’ai eu l’impression d’être violentée... Mais, en t’écoutant, on dirait un viol.— Ben, oui et non, tu étais consentante et très appliquée au départ. C’est après que ça a dégénéré.— Et bien, c’est passé, j’ai joui en continu pendant un bon moment et, cerise sur le gâteau, tu m’as fait exploser et tu m’as cajolée. J’aurai bien tort de me plaindre, tu n’crois pas ?— Tout à fait, ma belle, on peut voir ça comme ça. Qu’est ce que tu dirais d’aller manger un morceau maintenant. Perso, j’ai franchement la dalle.
Les deux jeunes femmes sortirent de la salle de bain. Robert et Marcel attendaient leur tour. Lucile s’adressa à Marcel avant de prendre congé pour lui dire de se présenter chez elle à partir de 14 h, pas avant, et que, dès lors, elle serait toute à lui pour satisfaire tous ses désirs.
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