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Lucile amoureuse salope

Chapitre 11

Travesti / Trans
11 – Une famille compréhensive
Marc étreignit son père quand ils le retrouvèrent et, comme à son habitude, René savoura les doux baisers de sa belle-fille et trouva quelques compliments à lui faire. Il était très heureux de les retrouver et qu’ils aient décidés de passer le mois complet avec lui. Ils les trouva fatigués aussi ils expliquèrent qu’ils n’avaient pas réussi à dormir dans le train à cause de quelques militaires trop chahuteurs. Cela ne l’étonna pas et il ne put retenir une réflexion à l’égard de la mauvaise conduite des bidasses.
La villa de René à Menton était située sur les hauteurs de la ville, elle n’avait aucun vis-à-vis et un magnifique jardin en terrasses agrémenté d’une piscine magnifique. René les aida à monter leurs affaires dans leur chambre puis il les convia à un petit déjeuner en terrasse dès qu’ils seraient prêts. Lucile passa par la douche puis elle mit une tenue très légère composée de son maillot de bain deux pièce blanc qui devient transparent une fois mouillé et d’une jupette blanche également. Marc, quand à lui, enfila un maillot « moule bite », un short et un t-shirt, soucieux de paraître le plus masculin possible.
— Tu vas faire bander mon père dans cette tenue ; il va adorer.— J’espère bien, je ne suis pas venue ici pour me gouiner avec toi. En plus, j’ai décidé d’arrêter la pilule à la fin de ma plaquette.— C’est à dire ?— Dans deux jours.— Ça va être ragnagnas, alors ?— T’aimes pas ça, hein ? Moi ça ne m’empêche pas de baiser en tous cas ; mais vous les hommes vous êtes trop sensibles. Vous préférez tirer d’un trou plein de merde que d’un trou plein de sang. C’est bizarre, non ?— C’est surtout de lécher après qui me dégoute…— Pourtant tu le fais très bien. Allez ! Allons rejoindre ton père ; tel que je le connais il nous a sorti le grand jeu avec croissants et tartines grillées.— Sans parler de ses confitures…— Et bien quoi ? Elles sont très bonnes ses confitures tu as quoi à leur reprocher ?— Rien ! Elles sont excellentes seulement il en fait de telles quantités…— Il en donne à tout le monde, c’est son plaisir.
Durant le petit déjeuner ils parlèrent de tout et de rien, Marc ne sachant trop comment expliquer à son père qu’il était à la fois cocu, travesti et transsexuel en devenir, soumis à sa femme et à toute personne à qui elle donnait autorité sur lui. De son côté, Lucile estimait que ce n’était pas de son devoir de le faire mais elle avait aussi décidé que si Marc ne le faisait pas, elle le ferait pour lui sur un coin d’oreiller. Elle lui avait donné une demie journée pour s’humilier lui-même avant de s’en charger elle. Mais elle faisait confiance à son mari et comme ils étaient partis dans leurs longs bavardages, elle les abandonna pour une chaise longue sur laquelle elle s’endormit.
— Tiens, pendant qu’elle dort, faut que je te montre un truc. Ça se passe dans mon atelier, tu vas voir.— C’est quoi ? demanda Marc intrigué.— Surprise ! Tout ce que je peux te dire c’est que je me suis enfin remis à la menuiserie. J’espère que ça vous plaira…
Marc suivit son père jusqu’au cabanon qui lui servait d’atelier et quand il entra il eut un choc. Son père avait complètement réaménagé l’espace et réinvesti dans tout ce qui lui était nécessaire pour sa passion d’ébénisterie. Mais ce qu’il remarqua avant tout, c’était un magnifique lit de bébé qui trônait au milieu de la pièce. Il était dans un bois clair, sans doute du cerisier et ornés de lignes et motifs géométriques en marqueterie mélangeant des bois plus sombres et pratiquement blancs. Il était splendide mais sa forme était étrange ; il était très large et carré.
— C’est un lit de bébé ? Demanda Marc qui connaissait déjà la réponse. Il est splendide quand as-tu fait ça ?— Oh, j’ai eu tout l’hiver pour ça. Je suis content qu’il te plaise. Je ne sais pas si Lucile et toi aurez un jour un bébé mais vous êtes ma seule chance de devenir un jour grand-père, alors je l’ai fait en pensant à vous et comme Lucile aime beaucoup Kandinsky, je me suis inspiré d’un de ses tableaux pour la décoration. Oh, il ne faut pas y regarder de trop près, ce n’est pas parfait et la comparaison avec le tableau original serait toute à mon déshonneur mais bon, j’aime assez le résultat.— Et ses dimensions ? Pourquoi as-tu fait un lit carré ?— Parce qu’un lit de bébé, c’est réducteur alors j’ai cherché à faire quelque chose d’évolutif. Si on remplace les montants à barreaux par ceux-ci, on obtient une structure pour accueillir un sommier et un matelas de 90, ce qui en fait un lit tout a fait respectable pour un enfant. Tu ne trouves pas ?— C’est génial, Papa ! Et ça ? Ce sont des plans pour d’autres choses ?— Oui, ce son les plans d’une petite commode qui servirait également de table à langer…— Tu vois fiston, j’ai fait ma part du travail et maintenant c’est à vous de bosser.— Tu sais, Papa, c’n’est pas si simple… Je ne sais pas comment te le dire mais…— C’est quoi ? Y a un problème ? Vous ne pouvez pas avoir d’enfant ? C’est ça ?— Non, c’n’est pas ça… Tu… tu es prêt à tout entendre de moi ?— Je vous dois ma santé mentale, à Lucile et à toi ! De tous les membres de notre famille vous êtes les seuls à m’avoir vraiment aidé quand j’étais au plus mal alors pourquoi te poser cette question ? Je tiens à toi, fiston. Tu es mon seul enfant, tu as toujours été très proche de moi, plus proche que mon frère, même. Tu ne t’en rends pas compte ? On ne s’est jamais rien caché, alors tu peux tout me dire et je suis sûr que je comprendrai.— Ben c’est là où ça coince… Ce que j’ai à te dire risque de ne pas te plaire ou de te choquer.
Marc commença l’histoire à rebrousse poils en expliquant d’abord qu’il voulait devenir transsexuel, suivre un traitement hormonal et se faire éventuellement retirer les testicules. René encaissa le coup et lui demanda depuis quand ça le travaillait au point de vouloir franchir le cap.
— Tu te rappelles de ta dernière raclée ? C’est ta mère qui te la filée.— Oui, je m’en souviens ; j’avais mis une de ses culotes, enfilé une de ses paires de collants et j’avais utilisé son maquillage. Mais j’avais 10 ans, ça ne signifiait rien pour moi.— Bien sûr que si, ça signifiait beaucoup. Je ne te dis pas que ce que tu m’as raconté m’enchante mais ça ne me surprend pas. J’ai toujours cru que tu était plus fille que garçon mais quand tu es sorti finalement avec Lucile, j’ai pensé que je m’étais trompé. T’es juste en train de me dire que j’avais raison. Et Lucile ? Elle le prend comment ?— Bien, même très bien. Elle m’encourage et me conseille. C’est grâce à elle si j’en suis là en fait.
Marc expliqua alors son cocuage et les débuts de sa féminisation et cette partie de son histoire sembla intéresser d’avantage René. Ce dernier lui posa beaucoup de question, voulut tout savoir dans les moindres détails, tant et si bien que Marc finit par lui avouer que Lucile s’était masturbée en pensant à lui, qu’elle avait décidé d’arrêter la pilule et que lui même n’éjaculait plus en elle depuis qu’il était cocu.
— Bon, qu’est-ce que tu veux que je te dise, Marc ? Rien de ce que tu me racontes ne m’étonne. Je n’ai jamais pensé que tu étais vraiment un homme même si ta mère ne voulait pas l’admettre. Elle ne voulait pas de pédé dans la famille, alors un travelo… mais plus que ça, quand vous vous êtes mariés, je lui ai dit que tu serais cocu rapidement et sur ce point, elle fut d’accord avec moi.— Par contre ça n’a pas été si rapide ; au début Lucile ne voulait pas en entendre parler mais bon, depuis quelques mois elle s’est rattrapée. J’ai des cornes à rayer les plafonds…— Et l’avenir ? Vous le voyez comment ? Vous envisagez un divorce, sans doute.— Absolument pas ! On tient beaucoup l’une à l’autre, s’offusqua Marc. Et quelque soit ma nature et quelque soit le géniteur des enfants de Lucile, nous en serons les parents.— Mmm, je ne sais pas si c’est vraiment bien mais il ne m’appartient pas de juger. Et ton prénom féminin c’est quoi ? Marcelle, Marcela ou un truc dans le genre, j’imagine— Non, c’est Jeanne. Je m’appelle Jeanne maintenant.— Jeanne ?! Tiens donc. C’n’est pas un peu vieillot ? En tout cas, c’est amusant ; si t’avais été une fille c’est comme ça que ta mère voulait t’appeler. J’aurai bien aimé avoir une fille tu sais et ta mère aussi, je crois. Avec Lucile, vous êtes heureux ?— Très ! On est vraiment très heureuses.— Et tu fais quoi, ma fille, déguisée en garçon ? Parce que j’imagine que tu as d’autres choses plus sexy à te mettre, non ?— Je peux ?— Non seulement tu peux mais je l’exige. Tu prétends être une femme alors vas-y, montre moi. Fais toi belle que je vois à quoi peu ressembler ma fille.
Marc s’éclipsa en quatrième vitesse et René quitta son atelier pour aller, une fois n’est pas coutume, se servir un remontant. Il se servit un premier verre de cognac qu’il but cul-sec puis un second qu’il emporta avec lui. Il se dirigea tout droit vers la piscine et surtout vers Lucile toujours assoupie dans sa chaise longue. Il posa son verre sur un guéridon après en avoir soutiré une belle gorgée puis il retira chemisette et short pour plonger en slip dans l’eau. Le cognac le détendit un peu et le bain lui rafraichit les idées car, même s’il ne voulait pas le montrer, il restait encore choqué par les révélations de Marc. Il ressortit de l’eau, s’installa dans une autre chaise longue à côté de sa belle-fille et reprit son cognac.
— Mm, Beau-papa, c’est vous ? Dit Lucile en sortant de sa torpeur.— Je t’ai réveillé, ma belle, excuse-moi. Mais tu sais tu devrais faire attention, c’est très mauvais de s’endormir au soleil.— Oui, vous avez raison… Et le cognac ? C’est bon, dès le matin ?— Non, c’est très mauvais aussi mais j’ai eu une conversation avec Marc qui m’a donné le besoin d’avaler quelque chose de costaud…— Ah… et où est il, maintenant ?— Je l’ai envoyé se faire belle. Il m’a tout raconté, je crois, depuis son désir d’être cocu à sa féminisation et à son envie de changer d’apparence…— Et ça va ?... Vous avez l’air de le prendre plutôt bien, enfin, le cognac mis à part, bien sûr.— Je ne sais pas, Lucile, je n’ai que vous, tu comprends, alors si c’est un vrai choix de votre part, si vous êtes heureux, si vous avez des enfants un jour, alors je n’aurais finalement pas d’autre choix que d’accepter. Que ça me plaise ou non…— Oh, René, je vous assure que tout ce que nous faisons c’est réellement par choix et par plaisir et que mon vœu le plus cher c’est que l’on reste ensemble et que l’on ait des enfants. Je ne sais pas trop ce qu’il vous a raconté et s’il vous a vraiment tout dit mais je vous promets de vous donner ma version si vous voulez. Ça vous aidera peut-être à l’accepter plus facilement.— Voilà Papa, j’espère que je ne t’ai pas trop fait attendre.
Jeanne apparut simplement vêtue d’un paréo noué sur la taille et d’un petit débardeur très court qui cachaient un maillot de bain string identique à celui de Lucile. Elle était chaussée de sandales compensées, son visage était joliment maquillé et sa perruque bien recoiffée. Elle portait quelques bijoux fantaisie : boucles d’oreilles clip, bracelet et collier assorti. Elle avait fait des efforts pour être la plus belle possible mais elle tremblait de tout son corps de la crainte de la réaction de son père.
René resta silencieux pendant un temps qui sembla infiniment long à Lucile et Jeanne qui partageaient la même inquiétude. Lucile était tétanisée sur sa chaise longue, très fière du courage de son mari et terrorisée par la réaction possible de son beau-père. Jeanne restait plantée debout, les bras balants, elle avait l’impression d’être de nouveau ce petit garçon qui avait fait la grosse bêtise de mettre les habits de sa mère. Sa tension était si forte qu’une larme se forma, puis une deuxième et ce fut bientôt un torrent qui s’écoula sur ses joues, entrainant avec lui une partie de son mascara. René se leva, lui aussi pleurait, il la regarda encore une fois en lui attrapant les épaules puis il la serra fort contre lui en lui caressant les cheveux.
— Ne pleure pas, lui dit-il entre deux sanglots. Tu… tu es très belle. Ne pleure pas, je ne t’en veux pas.— Oh, Papa, si tu savais comme je t’aime… Je n’voulais pas te faire de mal… Répondit Jeanne tremblante.— Calme toi, Marc, tout va bien… Je… je devrais t’appeler Jeanne, je crois mais ça va peut-être demander un peu de temps… Faut que je m’habitue. Tu… tu ressembles tellement à ta grand-mère. Moi aussi, je t’aime… Jeanne.
Lucile se leva, elle aussi avait pleuré en les regardant et les écoutants. Les derniers mots de René avaient définitivement balayés ses craintes et c’était un arc-en-ciel qui inondait son cœur. Elle se leva et se joignit à leur embrassade, déposa un baiser plein de tendresse sur la joue de René et un autre plein de passion et d’amour sur les lèvres de Jeanne. René comprit aussitôt qu’« elles » étaient sincères et que le cocuage de Marc et sa transformation n’altérait en rien leur amour. Il en eut le souffle coupé et se sentit submergé par une vague de sentiments heureux où se mélangeaient amour, tendresse et bonheur.
— Je crois que j’ai besoin d’un autre cognac, finit-il par dire en souriant. Et toi, ma Chérie, tu devrais aller te débarbouiller un peu. Ton maquillage à coulé, ce n’est pas très beau.— Moi aussi, Papa, je crois que j’aurai besoin d’un cognac, une fois débarbouillée.— Alors ce sera trois, fit Lucile et je t’accompagne car ça ne doit pas être beaucoup mieux.— Je confirme, dit René. Allez-y, je nous sers trois verres pendant ce temps.
Jeanne et Lucile rejoignirent René à la piscine après s’être lavée le visage. Elles n’avaient pas remis de maquillage, juste un petit coup de mascara résistant à l’eau. René les accueillit avec un visage détendu et souriant en leur tendant un verre à chacune. Il avait gardé son slip kangourou blanc encore légèrement transparent d’humidité. Lucile prit son verre en le remerciant et en lui souriant et Jeanne en lui faisant une bise.
— Merci, Papa… mais si je peux me permettre, nous on fait des effort pour te plaire et toi tu portes un slip très laid et absolument pas adapté au bain.— C’est vrai, je n’y ai pas pensé en me jetant à l’eau tout à l’heure mais de toute façon je n’ai rien d’autre. D’habitude, je me mets tout nu. Je suis tout seul et il n’y a personne pour me voir alors…— Tu serais moins laid à poil, Dit simplement Jeanne.— Tu crois ? Ça ne va pas vous gêner ?— On en a vu d’autres, toutes les deux, fit Lucile en se rapprochant de façon provoquante de son beau-père. Et puis Jeanne à raison ; vous seriez plus sexy.— Euh, je… Fit René embarrassé.— Chut, laissez vous faire, vous en mourrez d’envie. Poursuivit-elle en lui déposant un baiser sur les lèvres. Laissez moi retirer votre slip affreux…
Elle tendit son verre à Jeanne qui le prit et le posa sur le guéridon. Puis, s’agenouillant aux pieds de René incrédule, elle fit descendre la pièce de coton jusqu’au sol avant de regarder en détail le sexe qu’elle convoitait. Il était bien plus imposant qu’elle ne l’aurait cru et se dit que la génétique recelait bien des mystères. René ne bandait pas encore complètement mais son excitation grandissait. Il ne disait rien mais l’observa avec tendresse quand elle prit sa verge en bouche. Pour ne pas l’embarrasser et comme c’était la première fois, Jeanne prit du recul et se fit la plus discrète possible. René se révéla un amant délicieux, tendre et prévenant quand il le sentait nécessaire, et fougueux et très viril pour faire monter le plaisir. Le fait que ce soit son beau-père n’y était sans doute pas étranger et Lucile se sentait transportée. Son corps vibrait sous les assauts du pénis qui lui remplissait la chatte. Les couilles volumineuses claquaient sur son anus, elle gémissait tandis que René la traitait de « belle salope » et déclarait qu’il se chargerait lui même « de la mettre en cloque ». Jeanne s’était presque déshabillée et n’avait conservé que son string et ses sandales et elle se masturbait sa petite quéquette en se pinçant les tétons. René était endurant, Lucile jouissait et, lorsqu’il éjacula dans sa matrice, Jeanne s’était léché les doigts depuis bien longtemps.
— Enlève ton string et ta perruque, demanda René à son fils, mais garde tes bijoux et tes sandales.— Pourquoi tu veux que j’enlève mon string et ma perruque, Papa ?— Pour trois raisons. La première c’est qu’il n’y a pas de raison pour que seuls Lucile et moi soyons à poil, la deuxième parce que si tu vas à l’eau tu risques d’abimer ta perruque et que je préfèrerais te voir avec tes vrais cheveux. Enfin, la troisième c’est que comme ça, quand tu nous regardera faire l’amour, Lucile et moi, je verrai encore Marc et que ça m’excite.
Jeanne s’exécuta, elle retira sa perruque d’abord et essaya de moduler ses cheveux pour ne pas trop faire garçon, puis elle baissa son string en se retournant de manière un peu provoquante pour bien montrer son cul à son père. Quand elle se retourna elle s’aperçut qu’il avait vraiment bloqué sur ses fesses et lorsqu’il réalisa que c’était maintenant sa bite qu’il voyait, il eut une expression de surprise.
— Oui, je sais, elle est très petite, quand je bande, elle tient entière dans la paume de ma main et j’ai même du mal à en faire ressortir le gland.— On dirait une bite de gamin… Dit René qui découvrait pour la première fois depuis très longtemps son fils nu. Approche, fais voir.— Papa, j’ai jamais aimé les concours de taille de bites, j’ai toujours perdu même quand j’étais ado, alors, s’il te plait… C’n’est pas que ça me dérange, il y a longtemps que je me suis fait une raison, mais je n’ai pas besoin que tu m’humilies,… pas toi.— Je ne pensais pas à mal, fiston, c’est juste étonnant et tu te rases ou tu t’épiles ?— Je n’étais pas très poilu, de toute façon et j’ai fais faire ça par une professionnelle.— Tu permets que je touche pour voir, demanda René en approchant sa main sans attendre la réponse.— Papa, tu... non, Papa, s’il te plait…— Laisse toi faire, je veux juste savoir si c’est doux.— Jeanne ! Intervint Lucile qui trouvait cela amusant. Laisse le faire !
L’ordre était clair et Marc redevenu la Jeanne servile se laissa toucher les couilles, la bite et le pubis par son père. René lui demanda de se retourner puis se sont ses fesses qu’il caressa sans gêne. Il fit quelques commentaires sur la douceur de la peau puis il glissa deux doigts dans la raie à la recherche de son anus. Lucile demanda alors à jeanne de se pencher sur une chaise longue et de bien écarter ses jambes puis elle même se chargea de lui écarter les fesses pour bien exposer son petit trou au regard et à la main de René. Jeanne sentit les doigts tourner autour de sa rosette puis appuyer un peu en son centre. Le port quasi quotidien imposé par Lucile du plug énorme, les sodomies en tous genres qu’elle lui faisaient subir depuis plusieurs semaines avec son gode ceinture hors norme et les cinq derniers jours durant lesquels sont cul avait servi à neuf personnes avaient eu définitivement raison de la résistance de son petit trou qui s’ouvrit donc sans peine.
— Putain, je ne pensai pas pouvoir t’enfoncer un doigt si facilement, alors deux !— Je veille à ce que son cul soit bien ouvert, expliqua Lucile. C’est mieux pour un vide couilles. Je lui impose de porter un plug régulièrement bien que depuis deux jours, il y ait un peu de laisser aller.— J’imagine que tu dois te faire enculer aussi, non ?— Oui Papa, répondit Jeanne, Lucile me prend avec un gode ceinture et cette semaine j’ai eu plusieurs partenaires…— Une petite pute, alors… Et toi Lucile ? J’ai pas essayé ; mais ton cul, on peut le prendre aussi ?— Bien sûr, quelle question ! Et dans l’état où vous êtes maintenant, c’est peut-être ce que vous devriez faire. Vous n’allez quand même pas enculer votre fils dès son arrivée, répondit Lucile en souriant.— Tu as raison, ça ferait désordre… mets toi à côté de lui, je vais te la mettre.
Lucile et Marc se mirent côte à côte sur une grande serviette posée au sol et René remit le couvert en prenant le cul de Lucile sans cesser de doigter celui de son fils. Il ne se fit pas aussi tendre que précédemment et pris un plaisir beaucoup plus égoïste mais pas moins agréable pour sa belle-fille. Quand il retira sa bite molle, Marc vint lécher les deux orifices de sa femme et nettoyer de sa langue toute trace des deux coïts qu’elle venait de partager avec son père. Comme à chaque fois, ça le fit bander et il la prit à son tour très rapidement. il se retira comme d’habitude au dernier moment pour éjaculer sur son ventre et son pubis qu’il nettoya aussi de la langue.
— T’es une vraie petite chienne, en fait. Si tu n’étais pas mon fils, je te ferais sucer ma queue, Dit René.— Vous loupez quelque chose, dit Lucile amusée, sa bouche et sa langue font des miracles…— Je devrais plutôt m’occuper du déjeuner, l’heure tourne. Oh, au point ou en est, je suggère qu’on reste à poil si ça ne vous dérange pas.— C’est dommage, j’ai apporté des maillots très sexy, mais j’aurais l’occasion de les mettre sans doute. Ne serait-ce que pour aller à la plage.
Ils se mirent à trois pour préparer le repas et durant tout ce temps, ils parlèrent en détail de leur nouvelle sexualité et René leur expliqua que malgré son âge, depuis qu’il habitait là, il avait retrouvé un tempérament de jeune homme. Il fréquentait régulièrement des clubs libertins mixtes ou homosexuels de Nice et avoua qu’avec la retraite il était devenu un véritable obsédé sexuel. Il avait également ses habitudes dans certains sex-shops et s’était déjà fait un bon réseau d’hommes, de femmes et de couples avec lesquels il s’envoyait en l’air régulièrement. Pour lui faire plaisir, et parce que Lucile le souhaitait également, Marc alla chercher son plug et se l’introduit lui même, sous leurs yeux, dans le fondement. René comprit pourquoi ses doigts étaient rentrés si facilement et se demanda si Marc avait déjà subit une double pénétration ou un fist mais il garda la question pour lui.
Durant le repas ils abordèrent en détail le projet de transformation de Marc et ce dernier expliqua qu’il souhaitait, dès le lendemain se rendre de l’autre côté de la frontière dans une clinique où il pourrait subir l’ablation volontaire des testicules, qui lui serait interdite en France, et se faire prescrire un traitement hormonal adapté. Il avait pris rendez-vous depuis Paris et pensait pouvoir être débarrassé de ses couilles rapidement.
Trois jours plus tard, René et Lucile le déposèrent le matin devant l’entrée de la clinique et quand ils vinrent le chercher le soir même il était définitivement soulagé de ses gonades. Il dut attendre d’être rentré chez son père pour leur faire admirer le travail. Huit jours après c’est tout seul qu’il retraversa la frontière pour se faire enlever ses points et subir les analyses nécessaires pour l’établissement de son premier traitement hormonal. Pour fêter l’enlèvement de ses points, René avait invité trois amis à lui dont l’un était uniquement attiré par les minets. Il s’appelait Olivier, il avait cinquante-cinq ans et était pêcheur de métier. Les deux autres, Tanguy et Gaston venaient plutôt pour se taper Lucile mais ne rechignaient pas, à l’occasion, à se farcir un cul de mec passif ou à se faire sucer par n’importe quelle bouche.
Jeanne et Lucile avaient sorti le grand jeu pour exciter ces quatre messieurs et elles apparurent toutes deux perchées sur des escarpins à talons hauts rouges, les jambes drapées de bas-résilles maintenus par des portes jarretelles rouges. Elles ne portaient ni string ni soutien gorge et semblaient prêtes à subir tous les outrages. Tous voulurent voir et toucher la cicatrice qui reliait maintenant directement le petit pénis de Jeanne à son périnée mais ils laissèrent rapidement le travesti émasculé aux plaisirs d’Olivier. René avait préparé un repas froid placé sur un buffet auquel toutes et tous étaient conviés mais ses trois amis étaient venu pour baiser et ce sont Jeanne et Lucile qui leurs servirent d’apéritif. Olivier fut le seul à enculer Jeanne mais cette dernière eut l’occasion de sucer tous les hommes lors de cette soirée débridée. Olivier était du genre à ressortir sa bite en cours de sodomie pour se faire sucer et tous purent constater que Jeanne n’en était pas dégoûtée, bien au contraire. Lucile expliqua brièvement que Jeanne était une vraie cochonne et proposa que toute bite passant par son cul passe aussi par la bouche de Jeanne. Gaston et Tanguy trouvèrent l’arrangement fort intéressant et Gaston fut le premier à en tester les bienfaits. Avec Tanguy, ils se relayèrent principalement dans le cul de Lucile et la bouche de Jeanne. René, quand à lui, garnissait la chatte de sa belle-fille de sa semence fertile et se disait, à chaque éjaculation qu’il était peut-être en train de donner naissance à un bébé. Néanmoins, en fin de soirée, alors que Lucile chevauchait Tanguy après avoir envelopper sa longue verge d’un préservatif, René ne résista pas à l’envie de lui faire subir une ultime double pénétration et c’est dans son cul qu’il pénétra. Gaston se branlait doucement en attendant son tour, pensant que son ami irait jusqu’au bout. Mais ce ne fut pas le cas, et René lui céda la place et présenta sa bite raide et crasseuse à la bouche de son fils. Jeanne le regarda dans les yeux, ouvrit la bouche en grand et goba la bite de son père. René n’en revint pas du plaisir qu’elle lui procurait et rapidement il ne songea plus à retourner dans le cul de Lucile mais à se vider dans la bouche de Jeanne.
Cette soirée fit monter d’un cran la libido de René qui ne rechigna plus à demander à Jeanne (qu’il continuait à appeler Marc) de le mettre en condition à chaque fois qu’il voulait baiser Lucile. Jeanne avait du mal à bander, conséquence directe de son opération et quand elle se masturbait la bite, ses orgasmes n’étaient accompagné d’aucune libération, tant et si bien que ce fut son cul qui devint l’organe de tous ses plaisirs. Aussi, quand, dans la journée, son père et sa femme faisaient l’amour devant elle, elle utilisait un gode vibrant pour se procurer du plaisir.
Durant toutes les vacances, René prit en main les plaisirs de sa belle-fille. Conscient de ne pouvoir seul suffire à l’appétit sexuel de Lucile, il lui fit découvrir plusieurs clubs et saunas ou elle pouvait prendre, devant lui, autant d’amants qu’elle désirait à condition qu’ils mettent une capote avant de lui baiser la chatte. Ainsi il était le seul à éjaculer dans sa matrice féconde et espérait fortement que ça porte ses fruits. Lorsqu’ils sortaient dans ces endroits, ils laissaient Jeanne à la maison où Olivier venait la rejoindre parfois accompagné d’amis.
Il lui fit découvrir quelques plages italiennes où le naturisme était fréquent et où des hommes et des couples se rendaient dans l’espoir de partager des moment chauds sous le soleil de la méditerranée. Dans ces moments là, Jeanne les accompagnait et trouvait généralement quelques hommes solides pour se vider les couilles dans son cul tandis que Lucile se faisait partouzer sous le regard bien veillant de René.
René ne faisait pas que regarder sa belle-fille se faire prendre par des inconnus, il regardait aussi son fils en faire autant. Il avait beau se forcer, il n’arrivait toujours pas à voir Marc comme une femme. Il refusait inconsciemment l’existence de Jeanne et pourtant, elle était bien là, à quelques mètres de lui à se faire ramoner le cul par un black immense doté d’un pénis énorme. Quelque chose le troublait et des envies inavouables germaient en lui. Ça faisait une semaine que son fils le suçait tous les jours, plusieurs fois par jours, une semaine qu’il se faisait enculer par Olivier tous les jours, une semaine qu’il le voyait jouir du cul. Son fils à lui, son enfant unique, qui s’était fait émasculer volontairement, jouissait du cul et qui montrait le même appétit sexuel que sa femme Lucile qu’il ne féconderait jamais.Lucile s’était rapprochée de lui et blottie contre son épaule après que son dernier amant ait remplit sa capote. Elle lui trouvait un air bizarre et inquiétant.
— Quelque chose ne va pas, René ? Tu as l’air soucieux…— Je le suis, regarde Marc ! Regarde le, bon sang.— D’abord, ce n’est plus Marc, René. Comprenez le. Il n’est pas un homme.— Ce n’est pas une femme non plus ; il a in zizi. Et même avec toutes les opérations du monde, même si un chirurgien de génie lui fabrique une chatte un jour, ce n’est pas lui qui portera un enfant.— Je ne crois pas que Jeanne ait envie d’une chatte pour l’instant, de toute façon et les enfants que nous aurons, c’est moi qui les porterai.— Tu as vu ça, il jouit du cul, mon fils… Mon fils est un pédé qui jouit du cul !— Non, votre fils est une fille, entrez-vous ça dans la tête car, l’an prochain, elle n’aura sans doute plus la même apparence et comme l’opération n’a pas enlevé sa prostate, alors oui ! Elle jouit du cul sans doute plus que moi.— Tu crois qu’elle n’aura plus la même apparence ?— Bien sûr, elle aura un peu de poitrine, et une silhouette plus féminine, c’est évident, elle est sous traitement hormonal et comme elle n’a plus ses couilles pour en atténuer les effets, elle devrait pouvoir changer un peu plus rapidement. Ça a un peu commencé si vous regardez attentivement ; elle a pris un peu de cul depuis qu’on est là. C’est à peine visible, je vous l’accorde, mais je vous jure que c’est vrai. Vous devriez un peu plus regarder son cul.— Ça ne va pas m’aider… Dit pensivement René.— Pourquoi ? Vous voulez la lui mettre aussi ? Ne vous gênez pas ; je ne serai pas jalouse, vous savez. Allez-y.— C’est mon fils, enfin mon enfant. Répondit-il incapable de dire fille. Et je ne ferai pas ça, ou du moins, pas ici…— Vous le ferez à la maison alors et qu’est-ce que ça change ? Jeanne vous suce cinq fois par jour et vous nettoie la bite et le trou du cul ; alors je ne vois ce qui vous empêche de l’enculer si sa vous tente. Elle dira non, sans doute, mais elle se laissera faire, vous verrez.— Je ne pourrai pas. Ce… c’est impossible.— Vous en rêvez ! Reconnaissez le.— Et vous ne m’aidez pas.— Pourquoi faire ? Vous n’en mourrez pas, ni elle ni vous. Il se peut même que vous en éprouviez du plaisir.— Et de la honte…— On est entre adultes consentants, René, il se passe ce que l’on a envie qu’il se passe et on largement franchit les frontières des tabous. Vous ne serez pas le premier homme à avoir du plaisir avec ses enfants, regardez dans la bible l’histoire de Loth.— C’était des filles… et ce sont elles qui ont abusé de leur père, aidées par l’alcool.— Mais, c’est une fille, comprenez le et buvez un coup avant si vous voulez, je m’en moque. Moi, mon père et mes frères, quand ils nous baisaient, ma mère et moi, ils n’avaient pas besoin de boire et on en a toujours été satisfaites toutes les deux.— Parce que tu… tu baisais en famille ? A… avec ton père ?!— Mon père et mes deux frères, oui. J’ai arrêté quand je suis sortie avec Marc et je ne lui en ai jamais parlé. Mais je ne le cacherai pas à Jeanne et, par contre, je vous demande de ne pas lui dire. Je le ferai bientôt. Il n’est pas encore temps. Vous pouvez garder ça pour vous ?— C’est un peu tard pour poser la question mais oui. Je tiendrai ma langue.— Merci, dit Lucile en se rendant compte qu’elle n’aurait peut-être pas dû dévoiler ce secret. Je vous dirai quand il le saura. Vous bandez dur, vous voulez que je vous soulage ?— Le black est en train de jouir, il est temps qu’on rentre et que je la baise…
Jeanne n’eu pas le temps d’aller se rincer dans l’eau claire de la méditerranée et ils plièrent rapidement leurs affaires. Le soleil était encore haut mais pour René, il se faisait tard. Il avait renfilé son short déformé par son érection et il ne débanda pas de tout le trajet qui les ramena chez lui. Lucile proposa de s’occuper du repas et suggéra à Jeanne d’aller dans la piscine si elle voulait se rincer. René décida de l’accompagner et ils plongèrent nus dans l’eau chlorée. Jeanne fit deux ou trois brasses dans le bassin tandis que René ressortit aussitôt. Il avait compté sur l’eau pour rafraichir sa vigueur, mais il n’en fut rien. Il bandait comme un âne et n’avait qu’une envie : enculer Marc.
Jeanne sortit de l’eau quelques instant après son père, et constatant qu’il n’avait pas débandé, elle se demanda s’il bandait pour elle. Elle lui proposa de le sucer, comme elle en avait pris l’habitude mais elle ne tarda pas à comprendre que René voulait autre chose. Il ne le formula pas vraiment mais il se rapprocha de son fils qu’il embrassa sur la bouche et puis, de force, il lui fit prendre appui contre un arbre.
— reste comme ça, Marc, montre moi ton cul.— Non, Papa, s’il te plait, répondit Jeanne en laissant les mains de son père lui pétrir le cul.— Tu dis non, mais tu me tends ton cul, salope ! Laisse toi faire.— Non, Papa, s’il te plait, pas ça…— Tais toi, tu jouis du cul, j’en ai eu une magnifique démonstration cet après-midi, déclara René en approchant sa bite tendue de la rosette convoitée. Laisse moi te baiser le cul.— Papa, s’il te plait… implora Jeanne en sentant le gland appuyer sur son trou, pas ça.
Mais René ne l’écouta pas et sa longue et épaisse verge la pénétra lentement et entièrement dans le rectum de son fils. Il n’en revint pas de la facilité avec laquelle le cul de Marc l’avait accepté et il s’y complaisait en va-et-vient puissants. Son fils, malgré ses quelques objections, l’avait finalement laissé faire et se pâmait de plaisir. La queue de son père lui procurait un plaisir intense et il se mit à l’encourager jusqu’à ce qu’ils jouissent ensemble.
Le retours en train TGV ne fut pas aussi agréable que leur voyage aller mais sans doute moins fatigant. Philippe vint les chercher et passa la nuit avec elles. La semaine suivante Lucile n’eut pas ses règles et les tests qu’elle fit confirmèrent sa grossesse. Au travail, ses fonctions de pute, quoique non officielles, étaient maintenant connue de toute la gent masculine et certains hommes auxquels elle s’était donnée juste une fois sans vraiment y prendre plaisir devinrent des « clients » assidus. Elle fut tellement sollicitée les trois premières semaines qu’elle passa plus de temps les cuisses écartées sur le lit de la salle de repos qu’à son bureau. Pour ne pas gêner le bon fonctionnement de l’entreprise, Roger finit par imposer des horaires de bordel et trouva également deux autres femmes volontaires pour aider, de temps en temps, Lucile dans sa tâche. La pause du déjeuner était le moment le plus chargé et il y avait parfois la queue devant la porte de la pièce où elles se faisaient baiser à la chaine. Il arrivait aussi que Lucile se fasse sauter publiquement, au détour d’un couloir, sur un coin de bureau ou aux milieu des toilettes pour hommes. Les mois passants, son ventre rond généra de nombreux ragots et qu’elles laissa courir. Ça ne l’empêcha pas pour autant de finaliser deux bons contrats à l’export qui firent le bonheur de Roger et lui donnèrent un bel apport pour l’achat d’un nouvel appartement.
Jeanne prit ses nouvelles fonctions de directrice et continua à coucher discrètement avec Jean-Paul et Charles mais elle ne prit pas d’autre amant au sein de son entreprise. Chez elle, Willy venait de plus en plus souvent quand Lucile n’était pas là pour justifier de la baiser.Après quelques mois, ses cheveux ayant bien poussés, Jeanne ne portait plus sa perruque et son anatomie montra enfin des changements perceptibles. Pour adapter au mieux son traitement, elle devait se rendre régulièrement dans la clinique italienne qui la suivait. Elle était donc contrainte à de fréquents aller et retours sur le temps d’une journée ou d’un week-end chez son père à Menton. Lucile ne l’accompagnait généralement pas dans ces séjours éclairs et Jeanne, pour ne pas perdre de temps, faisait ces déplacements en avion. Les formalités de police devinrent un véritable calvaire car son apparence n’était plus en accord avec son identité officielle. Elle réalisa alors que le « fantôme » de Marc la pourchasserait tant qu’elle n’aurait pas obtenu de changement d’état civil. Par contre, ces visitent régulières eurent un effet bénéfique sur son père qui accepta enfin sa transformation et sur leur relation incestueuse qui s’intensifia. René n’était pas pour autant exclusif et il était fréquent qu’il la partage avec ses amis Gaston, Tanguy et Olivier.
Au fur et à mesure que sa grossesse avançait, Lucile se rapprocha de ses parents et de sa mère, en particulier. Ils en furent ravis car cela leur permis de refaire l’amour avec leur fille, chose qu’ils n’avaient plus faite depuis qu’elle était avec Marc. C’est elle qui leur annonça que Marc était cocu, qu’il avait changé de sexe et que depuis peu, il avait découvert les joies de l’inceste avec son père. Ses parent furent surpris de ces changements chez leur gendre et eurent rapidement envie de rencontrer Jeanne. A Noël, ils vinrent avec les deux frères de Lucile pour aider au déménagement. Il y avait aussi René qui avait fait livrer par un transporteur les meubles de la chambre d’enfant qu’il avait fabriqués. Quand le nouveau logement fut rangé et aménagé comme il faut, ils s’y « tassèrent tous les sept et Jeanne, Lucile et sa mère eurent fort à faire pour satisfaire les quatre hommes en rut.Fabian naquit au printemps et fut officiellement reconnu par René.
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