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Lucille et Chahinez

Chapitre 2

Lesbienne
Nous étions le dernier jour avant les vacances de la Toussaint. Chahinez et moi sortions d’une interminable et horrible journée de cours qui nous avait exténuées. Mortes de fatigue, nous quittions la salle de cours, enfin libres de rentrer chez nous et d’y rester pendant deux semaines, quand Chahinez m’agrippa la main dans le couloir de l’université.
— Hé, Lucille, attends deux secondes, me chuchota-t-elle alors à l’oreille.— Qu’est-ce qu’il y a ? lui demandai-je, curieuse.— Viens, il faut que je te dise quelque chose.
Chahinez me traîna alors dans le couloir, jusqu’aux toilettes pour dames qui se situaient tout au fond. Nous y entrâmes et, à l’écart des regards indiscrets, nous nous retrouvions juste toutes les deux, en privé. Ce n’était bien évidemment pas la première fois. J’avais déjà arrêté de compter le nombre de fois où on s’était retrouvées toutes les deux en première année de fac. Et bien sûr, j’étais toujours excitée à chaque fois, pensant constamment à elle et à son corps. Mais c’était différent cette fois-ci, elle ne m’avait encore jamais entraînée comme elle venait de le faire. Et nous retrouver toutes les deux, seules, dans les toilettes et après les cours avait quelque chose d’aussi intrigant que passionnant.
— Bien, il faut que je te parle de quelque chose Lucille, me dit-elle alors en me regardant droit dans les yeux.— D’accord, qu’est-ce qu’il y a ? lui répondis-je sans trop savoir quoi dire d’autre.— C’est les vacances maintenant. On est enfin libres pour les deux prochaines semaines.— Tu l’as dit, il était temps sérieux ! Ça va nous faire tellement du bien ce repos.— Justement, j’ai exactement ce qu’il faut pour bien commencer ces vacances.— Et est-ce que je peux savoir ce que c’est exactement Chacha ?
Tout en me jetant un regard malicieux, Chahinez vint chercher quelque chose dans la poche intérieure de son éternelle veste noire. Voir sa main se faufiler dans son décolleté dénué de chemise et de soutien-gorge m’excita terriblement à ce moment-là. Je la vis faire et elle sortit alors une petite clé de sa poche. Je fus tout étonnée et particulièrement curieuse quant à son utilité, et surtout où Chahinez voulait en venir.
— Hum, une simple clé ? demandai-je d’un ton dubitatif. Et elle ouvre quoi ta clé ?— Rien de plus simple, l’accès à la piscine de l’université.
Je fus bouche bée. Mais où avait-elle bien pu trouver cette clé ? Celle qui ouvrait et fermait l’accès à la piscine, l’un des rares endroits dans toute l’université où n’importe quel élève rêvait d’aller pour s’y amuser en dehors des cours.
— Mais bon sang Chahinez, où est-ce que tu as trouvé ça ? lui demandai-je.— Facile, dans les affaires de Madame Marlier, me répondit-elle en toute simplicité.— Jamais elle te l’aurait donnée comme ça, si gentiment.
— Exact. C’est pourquoi je la lui ai volée.
Quoi ? Je fus littéralement choquée, sidérée que Chahinez avait volé une clé appartenant à l’école. Depuis que je la connaissais, elle n’avait jamais, mais alors vraiment jamais violé la moindre petite règle. Elle qui était toujours à cheval sur le règlement et le respect de l’autorité, elle avait bafoué ses principes en volant la putain de clé de la piscine !
— Non, mais t’es devenue dingue ou quoi ?! lui demandai-je, toute paniquée.— Hé, relax Lucille, tout va bien, me répondit-elle dans le plus grand des calmes.— Mais Chahinez, comment et surtout pourquoi tu as volé la clé de la piscine ?— Facile. Je me suis faufilée dans le bureau des profs pendant qu’ils étaient en réunion avec le directeur, j’ai cherché et je l’ai trouvée.— Mais t’es folle, je te reconnais plus ! Et pourquoi ? Je peux savoir pourquoi tu l’as volée ?— Pour qu’on puisse aller nager, rien que toutes les deux ce soir.
Sur le coup, il me fallut un petit moment pour comprendre ce que Chahinez m’avait dit, et surtout pour comprendre qu’elle venait de m’inviter à un rendez-vous privé, rien qu’entre nous deux. Elle me regardait dans les yeux, d’un regard de braise et de défi. Il ne me fallut pas longtemps avant de résister. Des pensées de nous deux en train de coucher ensemble me parvinrent dans ma tête. Mais je repris rapidement mes esprits.
— Chahinez, tu veux qu’on se baigne toutes les deux dans la piscine ce soir, en plein milieu de la nuit ? demandai-je sur un ton un peu hésitant.— Exactement Lucille, c’est exactement ce que je veux faire, me répondit-elle en se rapprochant légèrement de moi.— Mais je ne suis pas sûre qu’on ait le droit et puis-— Chuuuuuut, me chuchota-t-elle en posant son index sur mes lèvres pour me faire taire.
Sans prévenir, Chahinez plongea alors sa main dans ma culotte et la plaqua contre ma chatte qui mouilla presque instantanément. Je gémis d’un intense plaisir à l’instant même où elle commença à caresser et malaxer mon intimité. À sa merci, mon rêve était en train de se réaliser. Ma meilleure amie, mon fantasme, la personne dont j’étais secrètement et passionnément amoureuse était en train de me masturber. Et elle savait y faire ma parole, elle avait un sacré coup de poignet.
Me laissant totalement faire, relâchant tout mon corps sous ses caresses, Chahinez me fit reculer et nous entrâmes toutes les deux dans une cabine privée. Elle verrouilla la porte et me plaqua contre le mur. C’est alors qu’elle descendit le long de mon corps et qu’elle se positionna devant mes cuisses. Là, elle me déboutonna le pantalon et le fit descendre jusqu’à mes pieds, emportant ma culotte avec. Ma chatte complètement imberbe finit à l’air libre, pile en face du magnifique visage de Chahinez. Je pouvais sentir son souffle chaud contre ma vulve.
— Mhm, elle est magnifique ta chatte Lucille, me dit-elle en relevant la tête.
Je ne savais même pas quoi répondre, trop absorbée et perdue par ce qu’il était en train de se passer. Je vivais le moment le plus étonnant, excitant et inattendu de ma vie, c’était inouï.
— Mhm, tu ne sais pas quoi répondre, me dit-elle en se relevant complètement. Ta chatte va attendre quelques heures. Rendez-vous ce soir, à 23h30 devant la grille d’entrée de l’université. Ce sera fermé, mais je connais un moyen de rentrer. Je sais ce que tu veux, et je le veux aussi. Viens avec une serviette, mais sans maillot de bain. Te voilà prévenue.
Chahinez s’éloigna alors lentement de moi, déverrouilla le loquet de la porte et quitta les toilettes, me laissant la chatte à l’air libre et l’esprit embrouillé, rempli de tout un tas de questions, mais surtout de pensées, d’envies et de pulsions pour Chahinez et son corps. Je ne le savais pas encore, mais j’allais passer ce soir-là l’un des moments les plus grandioses de toute ma vie.
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