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Ludivine I : le temps du parking

Chapitre 1

Hétéro
J’avais craqué sur Ludivine au milieu de l’été 1995. Je venais d’avoir 20 ans et j’étais tombé sur cette jeune et jolie blonde au tennis-club du village voisin. Excellente joueuse, elle s’entrainait là plusieurs fois par semaine. Grande, fine, des jambes interminables, des yeux de biche, Ludivine me plaisait beaucoup. J’avais guetté une ouverture qui ne s’était jamais présentée. J’avais ainsi dû patienter jusqu’à la soirée de Nouvel An de ce même village pour faire sa connaissance.
Je lui dis que je joue parfois au tennis, mais Ludivine dit ne m’avoir jamais vu et je n’ose lui avouer que je vais la voir s’entrainer toutes les semaines depuis près de 6 mois ! Cependant, l’attirance que j’ai pour elle est sans conteste réciproque. Nous nous embrassons pour la première fois une semaine plus tard, mais rapidement, je constate que Ludivine n’a pas connu de mecs avant moi. Elle est vierge et totalement inexpérimentée. Et moi, je manque de patience à ce moment-là de ma vie.
Le samedi 21 janvier 1996, Ludivine et moi allons boire un verre en ville avec des amis et vers 2h du matin, je la ramène chez elle. Dans la voiture, nous commençons à nous caresser, nous embrasser. Mes mains sont très baladeuses, bien plus que les siennes. Je vois discrètement ses seins pour la première fois ce soir-là.
Ludivine m’indique un coin plus tranquille. Je déplace la voiture au bout du parking, derrière trois thuyas. Sommaire, mais effectivement plus discret. Je me garerais ensuite systématiquement à cet endroit.
Là, je retire son pantalon, sa culotte et lui fait son première cunnilingus. Elle gémit, suffoque et jouit finalement. Elle ne dit rien, se rhabille.
Je guide ensuite sa main vers mon entrejambe. Elle hésite, rougit, sourit, la laisse posée finalement. J’ouvre mon jeans et glisse sa main dans mon caleçon. Elle prend ma bite. Est-ce la première fois ? Elle la sort, me masturbe doucement puis me suce. Maladroitement. Quelques secondes. Elle se redresse, mais ne dit toujours rien. A-t-elle peur d’avouer son inexpérience ? Je ne sais pas. Nous nous embrassons encore quelques minutes puis elle s’en va. Nos retours se dérouleront très souvent de cette manière.
Quelques jours plus tard, Ludivine m’avoue qu’elle touchait et suçait un sexe masculin pour la première fois. Elle dit être ravie que cela ai été avec moi.
Dimanche 28 janvier, le temps est frisquet mais ensoleillé. Nous nous baladons à la campagne non loin de chez elle avant d’y aller, profitant de l’absence de ses parents. Thé, biscuits et baisers sur le canapé. Je lui offre son premier string qu’elle passe immédiatement. Magnifique. Sur mon insistance, nous passons dans sa chambre, dans son lit et nous nous déshabillons. Ludivine est très attirante, son corps est magnifique. Je me dis que c’est bon, c’est le jour J. Nous n’irons pourtant pas plus loin que des caresses buccales. Nous sommes dans son lit, seuls, nus, détendus. Mais non. Elle me taille plusieurs pipes et me masturbe jusqu’à l’orgasme.
Le jour de la Saint-Valentin, je l’invite au restaurant et Ludivine a revêtu une jupe droite noire et des bottes. Je suis agréablement surpris. En rentrant, je lui dis que j’ai envie d’elle, mais elle refuse et se "contente" de son habituelle fellation dans la voiture devant chez elle. Je lui avoue ma frustration, elle dit ne pas être prête. Néanmoins, elle commence à tailler de sacrées pipes, sans pour autant aller au bout.
Ma patience a cependant des limites et je sais que ce vendredi 23 février pourrait le dernier. Nous allons manger un morceau au restaurant puis nous rejoignons des amis à elle dans un bar. Dans ma tête, je suis déjà ailleurs si bien que je me fais chier à mourir durant cette soirée. Sur le chemin du retour, vers 2h du matin, je lui demande une dernière fois si elle veut passer la nuit avec moi. Elle refuse.
En arrivant vers chez elle, notre emplacement tranquille et habituel est occupé. Aussi, je me gare le long du chemin dans un coin à l’écart d’un éventuel passage sur le trottoir. Nous échangeons de profonds baisers. Je caresse ses seins à travers son chemisier, puis j’y glisse la main. J’ouvre son jeans, glisse la main dans son string et la doigte doucement ce qui l’excite beaucoup. Ludivine caresse ma bite à travers mon jeans puis l’ouvre, prend ma queue, se penche et commence à me sucer. Elle sait y faire désormais. Je désire encore la doigter et comme je n’arrive pas dans cette position, je lui demande de se mettre à quatre pattes sur siège passager. Je glisse alors ma main sous son ventre et caresse son sexe humide.
C’est alors qu’un mec passe à côté de sa fenêtre, le long du champ. Je remarque qu’il jette un coup d’œil dans la voiture. Il fait encore quelques pas et s’immobilise d’un coup. A ma grande surprise, il revient en arrière et regarde à travers le pare-brise avant de venir à la fenêtre de la porte-passager. Avec le cul de Ludivine au premier plan. Il rit et reste à regarder. Ludivine n’a rien remarqué. Je caresse sa cuisse puis son cul. Le mec se penche et sourit d’un air béat. Il est aux anges. Doucement, je remets la main dans le string de Ludivine puis je recommence à la doigter. Le voyeur n’en rate pas une miette. J’écarte alors largement le string de Ludivine, lui offrant la vue sur son sexe détrempé et son anus ! Presque collé à la fenêtre, le gars n’en peut plus, d’autant plus que les fesses de Ludivine heurte parfois cette même fenêtre. La jolie blonde me suce toujours tranquillement, gémissant doucement, sans se douter de rien.
Le doigt bien humide, je remonte à l’anus de Ludivine que je commence à caresser. Elle écarte légèrement les jambes. Doucement, j’y enfonce une phalange. Surprise, elle cesse de sucer une seconde et je me demande alors si elle ne va pas se relever. Mais non, elle reprend sa tâche avec application. Je vais et viens lentement dans son fion pénétrant presque deux phalanges. Je le retire ensuite en maintenant l’anus légèrement ouvert, dégageant ainsi la vue au voyeur qui semble se masturber. Je caresse ensuite encore durant quelques secondes le cul de la belle puis remets le string en place. Le mec me fait un petit signe de la main, un clin d’oeil et s’éloigne. Ludivine interrompt sa fellation et m’embrasse. Je lui dis une ultime fois que j’ai envie d’elle plus que tout. Sans succès. Elle se rassied, rajuste son string, m’embrasse et rentre chez elle.
Le lendemain, durant l’après-midi, je la quitte.
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