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Lundi noir

Chapitre 1

Divers
Depuis juillet dernier, je suis en relation par e-mail avec… Appelons-le Pierre … J’attends avec impatience l’arrivée du lundi après-midi.En effet, pour ce jour-là, il m’a donné rendez-vous dans un petit patelin situé à une dizaine de kilomètres au nord de chez moi. Où il m’attendra avec un ami fou de lope en dessous féminins.Il est vrai, que je lui avais confessé mon plaisir de me vêtir de bas, porte-jarretières, string et escarpins. Je lui avais même précisé que, si son ami le voulait, je pouvais arriver chez lui avec une micro robe et hyper maquillé. Étant, je suppose, hors du patelin son ami avait très vite donné son accord.Le samedi arrive, et toujours pas de réponse concernant le lieu exacte du point de rencontre. Le dimanche, pas d’e-mail. Le lundi en début d’après-midi j’étais fin prêt… C’est-à-dire qu’après un lavement soigné, une bonne douche avec un gel savon qui m’avait rendu la peau toute douce, rasée de très près, j’avais enfilé une paire de bas noir avec un lacet rouge derrière en haut et maintenue par un porte-jarretière en belle dentelle couleur rouge . Avant de prendre un joli string ficelle rouge, j’avais doigté mon anus en me le garnissant de gelQuand un e-mail m’arrive : « Désolé je dois emmener mon épouse à B… Je ne peux pas venir et j’apprends que mon amis vient de recevoir sa fille pour passer quelques jours chez lui sans l’avoir prévenue »— Et MERDE ! Tout ça pour rien ! C’est vrai, quoi ! Je me suis bichonné. J’ai choisi mes sous-vêtements les plus sexy. Je me suis même graissé et parfumé l’anus, ce qui m’a mis en chaleur. Et il m’annonce au dernier moment que notre plan cul tombe à l’eau. Vous parlez d’une déception !Alors je lui réponds que je suis dans un état de manque incroyable et que s’il ne venait pas j’allais devoir me calmer avec un gode de type XL.…………………Espérant une réponse favorable j’attends un peu. Après un bon quart d’heure, sans réponse et toujours en chaleur. Je vais dans mon placard où sont planqués mes jouets de plaisir. En les voyants je me dis qu’après tout étant habillé comme une pute pourquoi ne pas me faire un cinéma ?Pour ce faire : Je mets en place un caméscope que je peux faire fonctionner grâce à sa télécommande et je la raccorde à la télé.En face de l’objectif, avec la lumière du jour sur le côté, je place mon tabouret et le gode au milieu. J’allume le caméscope et fais un zoom avant pour centrer la vue sur le haut du gode.Je télécommande un zoom arrière et me voici en entier, à genou devant le tabouret. Je regarde la grosse pine avec beaucoup d’envie. J’approche ma bouche. Ma langue se tend vers le gland et le touche à son extrémité. Je titille ce gland censé représenter un vrai sexe, puis je descends ma langue le long de la tige pour la remonter au gland. Enfin j’ouvre un peu la bouche. Le gros gland prend appui sur mes lèvres puis pousse l’entrée. Ma bouche s’agrandie pour laisser passer cette tête énorme qui m’écarte la mâchoire au maximum. A la visu le manche devient, à mes yeux, un vrai zob… Oui, un vrai, en chaire bien gonflé d’envie. J’ai mon cul qui ne cesse de me le réclamer et d’hurler « Je le veux… Met le moi dans mon tréfonds ! » Alors pour m’exciter encore un peu plus je modifie mon zoom permettant de ne voir que mes mains et le gode. Mes mains prennent le gros morceau de plastique, le tube de gel et je commence à en l’enduire. Si ma main gauche tient bien le gode, la droite ne cesse de le caresser de la base jusqu’au gland, et de repartir à sa base. J’ai l’impression d’y voir une vraie pine qui se fait enduire et masturber.Toute la hampe est parfaitement graissée aussi je zoom arrière pour me revoir en entier. Je me lève, tourne le dos au caméscope, j’écarte la ficelle du string, et me pénètre un doigt, puis deux et même un troisième. Maintenant je suis dilaté, aussi je présente le gland sur ma rondelle. Tout doucement je descends… Descends… Descends. La rondelle s’ouvre… S’ouvre encore et la hampe s’enfonce. Je me redresse, la bête sort. Puis je replonge, la bête disparait. Le cul remonte encore le long de cette pine qui finit par sortir entièrement pour me poignarder jusqu’à la garde. Je vois tout ça à la visu et je sens mon cul se dilaté par le gourdin qui n’arrête pas d’entrer puis de ressortir pour entrer de nouveau. J’ai la respiration courte et bruyante. J’attrape ma queue et la secoue. Le plaisir m’a pris par le cul et par la queue que je secoue de plus en plus violement. A la visu je me fais défoncer de plus en plus vite.Brusquement je m’entends geindre. Ma respiration est courte mais bruyante. Je couine comme une salope. Que dis-je ! J’hurle tout mon plaisir.— HHAAAA… O ouuiiiii… Encuuull moaaaa. Je jouuiiii… O mon dieu que c’est booonnn.Et je me masturbe comme un dingue. J’ai les jambes qui se mettent à trembler ils ne me soutiennent plus Aaaaaaaah ! Ouuuiiiii, je lâche tout mon jus par terre et sur le tabouret.A la visu, je vois mon cul qui se relève péniblement et la pine sort. Le trou est bien ouvert, je vois deux petites giclées de gel qui tombent. On jurerait un surplus de sperme qui s’écoule. Je fais un zoom rapproché juste sur le trou du cul du baisé. « Quel beau cul ! Dire que Pierre vient de rater ça ! »Puis je reprends une douche et me renippe de mes vêtements de salope, sauf le string qui n’est plus tout à fait net. Une heure après j’ai toujours envie de me faire niquer. Le gode ne m’a pas entièrement calmé.Alors j’envoie un second message à Pierre : « J’ai trop envie d’être baisé. Si tu veux, tu me rejoins au sexe shop ». L’a-t’ il reçut ?
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