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Lune de miel

Chapitre 5

De nuit sur une plage

Orgie / Partouze
Nous recevons nos amis Eléna et Deniz pour dîner, Gregorios, notre "majordome"est sur son ’’31’’, la table est dressée sur la terrasse face à la mer, ma jeune épouse est ravissante dans sa robe longue couleur paille.
Il fait presque nuit quand nos invités arrivent dans une guimbarde décapotable. Eléna court vers nous en jupette raz du cul et blouse nouée à la taille tandis que son mari suit tranquillement en short. Les deux filles se sont quittées il n’y a pas trois jours et elles se sautent au cou comme si elles ne s’étaient vues depuis des semaines. Encore plus à les entendre :

— Oh ma chérie, ça fait si longtemps, s’écrie Eléna.
— Oh oui ! Plus de six ans... Tu te rappelles, là derrière le bosquet ? 
— Je n’aurais jamais imaginé à l’époque que tu te marirais.

J’entraîne nos invités vers la terrasse où Greg nous sert champagne et toasts avant de s’éclipser discrètement :

— Dis-moi ma chérie, tu ne m’avais jamais raconté ça !
— Oui, c’était tout de suite après avoir été dépucelée à la ferme en Normandie, ça tu te rappelles ! qu’elle me répond avec un petit rire narquois. A l’époque j’étais exclusivement féminine et puis je t’ai rencontré... Si mignon, si doux, si ambigu.
— Une femme dans un corps d’homme, ajoute Deniz en éclatant de rire.
— Par contre votre domestique n’a rien de féminin !... chuchote Eléna. Il est beau comme un dieu.

Nos deux amis font l’éloge à voix basse de Greg sans que nous ne dévoilions sa double personnalité. La conversation change dès qu’il revient vers nous pour nous présenter le poisson à la grecque. On parle de la vie insulaire, des étrangers qui envahissent l’île et se cantonnent à Fira connue dans le monde entier pour ses maisons blanches et ses coupoles bleues, tandis que leur village et leur plage restent authentiques :


— Pori est une plage unique, en forme de croissant qui se referme presque sur elle-même en créant un lagon de plus de 500 mètres de diamètre, la plus grande piscine du monde. C’est une plage familiale le jour et un lieu de rendez-vous libertin pour le bain de minuit !
— Ah, oui! s’écrie Mél, si près et je ne connaissais pas. On y va ?
— Ça t’intéresse coquine ? S’écrie Eléna. Mais tu es mariée maintenant !.
— Pas d’importance.

Et avec l’approbation du mari, la décision est prise, on mange le poisson et hop tous les quatre dans la bagnole. On accède à la plage en un quart d’heure avec au final un chemin de terre pour arriver à une place où pas mal de voitures sont stationnées.

C’est soir de nouvelle lune, il fait nuit noire. Eléna nous propose de nous déshabiller à la voiture en ne prenant que des draps de bain. Au milieu des fourrés et des herbes hautes, les deux nous ouvrent le chemin. En arrivant sur un monticule on découvre la plage, un site incroyable, le sable noir embrassent la mer argentée. On ne distingue rien sur la plage obscure, et dans l’eau on voit quelques couples, deux ou trois groupes, le silence n’est troublé que par le ressac des vagues. Le temps d’admirer, Eléna me prend par la main et nous dévalons la pente jusqu’au milieu du sable où elle étale la serviette et s’allonge en me tendant les bras « Viens ! ». Je vois Deniz aller un peu plus loin avec Mélina. Au raz du sol les ombres se dessinent de part et d’autre de nous. Il y a au moins trois couples fort occupés et une dizaine d’observateurs, on voit aussi quelques promeneurs solitaires qui circulent sur l’arrière.

Eléna est contre moi et me susurre à l’oreille,

— Tu vois, on est moins seuls qu’on ne le pense en arrivant, as-tu déjà fait l’amour sur une plage ?

Je ne veux pas parler de mes vacances à Montpellier avec ’’Ma tante, mon oncle et... tous les autres’’ (c’est une histoire ancienne). Face à mon silence elle me pousse sur le dos et dans le mouvement, me chevauche. Sa poitrine opulente s’écrase sur moi, son baiser est fougueux, son corps ondule sur le mien, son bassin bouge tant et si bien que rapidement je bande et déjà à l’aide de sa main elle s’emmanche dans un soupir de plaisir. Après deux, trois mouvements, bien en place, elle se calme, ne bouge plus, seul son ventre s’anime sur ma queue. Nos lèvres ne se quittent plus pour laisser les langues se découvrir, s’amadouer, se câliner. Elle me caresse la poitrine :

— J’aime beaucoup ton côté fillette mélangé à ta virilité... Oh !!! Dit-elle surprise : Nous avons de la visite, ça ne te gêne pas ?

Je sens effectivement une main sur mon mollet, après un instant, elle remonte très vite jusqu’à l’entrejambe et une deuxième me caresse l’autre mollet. Le visiteur a la voix grave et parle grec, Eléna décolle son buste du mien quand je vois un homme s’agenouiller à ma tête tout en se masturbant au dessus de mes yeux, elle le suce un peu avant de me le mettre en bouche pour se tourner de l’autre côté. C’est alors un essaim qui se forme autour de nous. Eléna suce un autre type alors qu’un troisième se place entre mes jambes, je sens sa verge contre ma cuisse, il tente de mieux se positionner mais sous un feulement étouffé « No ! No ! Noooo ! » il se lève en bougonnant « Connasssse » avant de s’en aller. Dans l’obscurité, des mains nous caressent de partout, se glissent entre nous, tentent de nous séparer.

En fin de compte Eléna se désarçonne et vire sur le côté me laissant avec l’inconnu. Lui profite de la situation pour pivoter et me chevaucher en 69, le gourmand m’avale le morceau encore chaud et humide du con qui vient de me lâcher. Tandis qu’il me baise nerveusement la bouche, il relève mes jambes sous ses bras pour me lécher le cul ; je le laisse faire. Il parle tout bas anglais « Do you want ? » et un simple « Okay » suffit pour le faire changer de position. Il me possède tout de suite brutalement laissant mes jambes se balancer au dessus de nous. Je vois enfin le bonhomme, il a le crane presque rasé, une gueule plutôt sympa, le poil clair type scandinave. Il devient plus doux en découvrant ma poitrine, murmure en souriant « You look like a girl » et commence à me baiser, à me téter comme une femme, son coït est plus lent, plus profond, plus intense. Inconsciemment je l’encourage « Oh oui ! C’est mieux comme ça » Couché sur moi, il veut m’embrasser mais je détourne mes lèvres, il tombe au creux de mon épaule. Ballotté, je regarde le firmament étoilé, deux autres types debout à ma tête nous regardent tout en se branlant, s’ils continuent ainsi ils vont me gicler dessus. Juste à côté je vois Eléna me sourire, elle est prise comme moi, sauf que son amant est à genoux et qu’un deuxième gars lui tripote les nichons.

Mon blondinet s’agite dangereusement couché sur moi, il respire fort, gémit et rend les armes tout au fond de mon ventre. Il reprend son souffle, je sens sa chaleur dans mon cou puis il se relève en me disant « Bye» d’un air détaché. Déjà un autre prétendant s’agenouille mais je me lève avant.

A cinq mètres je vois une dizaine de gars debout autour de la serviette de Mélina, elle est à genoux entre eux, à les branler et les sucer, je ne sais combien lui ont juté dessus, je vois entre les jambes des traces blanchâtres sur sa poitrine et Deniz qui observe sans broncher. Le salaud laisse ma femme au milieu de ces porcs, je cours les rejoindre et lui m’arrête en me prenant par l’épaule « T’inquiète ! Tout se passe bien, elle reçoit le baptême de Pori ! ». Elle me voit, me sourit et se lève, le cercle s’ouvre me laisse passer. Je la prends dans mes bras et l’embrasse sur la bouche pleine de foutre, elle murmure "Tout va bien". On rigole et en se tenant par la main on court jusqu’à la mer où sans s’arrêter on avance jusqu’à tomber dans l’eau. Plouff

On se remet debout. Nos rires et le bruit de la mer troublent le silence de la nuit, Mél s’essuie le menton, on s’embrasse à nouveau, le salé à remplacé le goût précédent. Elle m’enlace de ses jambes et de ses bras en me faisant perdre l’équilibre. On chahute dans l’eau comme des gamins.

— Putain que c’était bon ! Crie-t-elle. C’est la plage de la nique. Regarde comme le sable nous encercle, comme une femme enlace son amant.
— Waouh, ma chérie, tu deviens poète !

Elle revient à mon cou, son ventre collé au mien, ses jambes à ma taille, je bande et elle s’amuse à tortiller du croupion jusqu’à s’enfiler sur ma queue. On commence à faire l’amour quand Eléna suivie de Deniz nous retrouve en courant au milieu des gerbes d’eau. Peu nous importe, bien au contraire, Mélina devient démonstrative, en s’appuyant sur mes épaules, en gémissant plus fort. La copine la prend sous les aisselles et l’accompagne dans sa copulation, elle murmure des insanités « T’aime ça la queue ! C’est mieux que mes doigts ? Hein coquine ?... T’as pas toujours dit ça » Mélina part à la renverse dans les bras de la fille et ne m’encercle que par ses jambes, je la tiens fermement aux hanches et c’est ainsi que nous maintenons notre accouplement sous les yeux des deux autres. La jouissance bouillonne au fond de mon ventre, encore deux coups de reins violents et c’est l’explosion, les soupirs, le plaisir. Eléna ne tarde pas à tirer Mél jusqu’à elle et à partir en nageant.

Deniz me rejoint en blaguant « Toutes les mêmes, fécondées et elles vont voir ailleurs ». On nage un bon moment, on se retrouve tous les quatre lorsque les filles déclarent « On sort ! ». On les suit de loin en traversant la plage, elles regroupent les serviettes et s’allongent au milieu nous laissant une place sur chaque bord. A présent habitué on voit distinctement les gens qui nous entourent, plusieurs couples, des trios... font l’amour sous l’œil attentif de voyeurs il y a aussi des promeneurs en quête de nouveaux spectacles.

Nos deux femmes ne tardent pas à se bécoter, il y a des couinements, des chuchotements « Viens...j’ai trop envie... », ça discute. Couchés à leurs côtés, nous les regardons, les protégeons. Des promeneurs s’arrêtent, s’accroupissent, sont intéressés.

Je sens quelqu’un dans mon dos, on me caresse le cou, l’épaule, il me demande d’une voix grave « Tu aimes ? » faute de réponse la main va sur mon sein, semble surprise de la découverte, palpe en douceur, roule le téton, la voix reprend « Tu sais que t’es mignonne... Laisse-toi faire ! » Je n’ai rien à faire qu’à relever le genou pour ouvrir l’entrejambe et cambrer les reins. L’homme me touche le sexe d’une main et me doigte de l’autre, l’index couvert de salive revient suivi du majeur, les deux me doigtent énergiquement tout en me branlant la prostate.

Au milieu de nous les deux filles se gougnottent tête bêche en laissant libre cours à leur jouissance. Un mur de voyeurs s’est formé autour de nous. Lorsque l’inconnu dans mon dos désire consommer, j’ai d’autres idées envoyant le cul de ma femme se dodeliner. À 25 ans on recharge vite ! Je me lève en remerciant le monsieur dépité. Je viens à genoux derrière Mél, regarde un instant les yeux rieurs de Eléna qui comprend et me cède la place en relevant le bassin de ma femme. Je la prends d’un coup au ventre comme dans l’eau et tandis que la copine rampe en dessous pour se dégager, Mélina plonge sur le ventre de Deniz qui depuis le début s’entretient en douceur.

Notre trio s’organise ainsi avec Mél honorée des deux côtés à la fois quand Eléna à genoux sur le sable commence à téter un jeune homme à la peau sombre, un autre lui donne sa queue d’ébène et je vois ce qui a dû se passer pour Mélina avant la baignade, rapidement cinq, six gars se pressent autour de la jeune femme qui prépare deux types et en suce un troisième.

Ce qui était invisible à notre arrivée et clair comme au crépuscule maintenant. Avec une certaine hargne je baise ma jeune épouse qui suce le copain, alors que la copine est prise au centre d’un gang-bang infernal et le tout dans un relatif silence pour ne pas attirer l’attention des derniers visiteurs venus voir le site incomparable de Pori. Mélina reçoit notre semence alors qu’elle miaule depuis un moment « Oh !Oui, oui c’est bon. ». Elle se lève, bouscule le groupe qui entoure sa copine, l’aide à se relever et les deux courent comme des folles jusqu’à la mer.

On quitte la plage et quand Deniz nous dépose à la maison au milieu de la nuit, tout est calme on entend juste quelques grillons insomniaques.
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