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La Lune et Vénus brillaient dans le ciel

Chapitre 2

Hétéro
Arrivé à destination, je payai le taxi qui repartit rapidement pour sa course suivante. C’était une petite gare de province comme il y en a tant, construite en structure métallique sur laquelle tenait une grande verrière et sa grosse horloge SNCF. Une placette sur le devant parsemée de quelques carrés de verdure, son parking en retrait et lui faisant face de l’autre côté de la rue, son hôtel de la gare.Devant l’hôtel était garée une petite citadine de couleur foncée. Je m’approchai du côté conducteur et vis Isabelle en sortir.

— Bonjour ! Tu as fait bon voyage ? Ce n’était pas trop long ?

Nous échangeâmes de rapides baisers sur les joues et un agréable parfum de floral vint flatter mon odorat. J’étais bien incapable de reconnaître une quelconque marque, de toute façon je n’y connaissais rien, mais j’aimais beaucoup : suave, délicat et donc pas trop prenant, ce qui n’était pas toujours le cas dans le monde des parfums féminins. Il évoquait un jardin d’été, un jardin fleuri.

— Ah, excuse moi, c’est quatre ? j’avoue que je ne sais jamais. Chez moi c’est trois.
-Oui, ici c’est quatre. On y va ? Pose tes affaires à l’arrière de la voiture si tu veux.
-Merci. Alors, où nous emmènes-tu ?
-En général, je vais au Buffalo quand on se fait un restaurant avec les enfants. Ca te va ? Il est juste à coté d’ici.
-Oui, aucun problème, je suis un carnivore.

Situé dans une zone commerciale, l’établissement était effectivement qu’à quelques kilomètres de la gare. Après nous être fait placer par la serveuse, nous avions rapidement commandé des menus de viande classiques de l’enseigne et pris de l’eau pour toute boisson. Isabelle étant anti alcool, je l’avais bien évidemment suivie sur ce terrain. Il n’y a rien de plus désagréable que l’haleine d’une personne qui a bu, ne serait-ce qu’une bière, lorsque l’autre n’a pris que de l’eau. Juste, n’étant pas eau plate, j’avais pris une San Pellegrino.

Le repas se déroulait de façon totalement neutre, en discutant de la pluie et du beau temps. Isabelle était très détendue alors que moi, j’étais réservé comme à mon habitude, ne sachant quelle attitude adopter face à elle. Elle dirigeait les conversations et je me contentais de suivre. Une fois de plus, je me trouvais minable, un véritable zéro. Mais estimant la drague un jeu tellement ridicule, je n’arrivais pas à réagir autrement. Et puis de toute façon je ne savais pas faire ça. Bien sûr, j’aurais pu la flatter, lui faire quelques compliments sur sa beauté. Mais trop paniqué à l’idée de me prendre un vent, je gardais une attitude on ne peut plus distante pour surtout ne RIEN laisser transparaître de mon désir pour elle. Car bien entendu, je la désirais comme un fou. Et donc, pétrifié à l’idée que la soirée ne se termine pas comme j’en rêvais, j’étais tout simplement en train de me gâcher un excellent moment de convivialité.


Le repas achevé, je l’avais bien évidemment invitée. Puis nous étions partis pour le domicile d’Isabelle. Un rond point, une route qui longeait les premières habitations sur la gauche, nous pénétrâmes dans une résidence par une épingle à cheveux et après une centaine de mètres, Isabelle se gara sur le parking d’un petit lotissement. C’était de petits appartements à double étage. Elle louait le rez de chaussée de l’un d’eux, situé en fond d’une allée sur la gauche.

-Voilà, c’est chez moi. Je te préviens, ce n’est pas bien grand. Je te fais visiter ?
-Volontiers !
-Donc voilà, ici c’est l’entrée. Par le couloir de droite, au fond, il y a les chambres des enfants. Cette semaine ils sont chez leur père. Un peu avant, tu as la salle de bain. Dans le prolongement de l’entrée, la salle à manger qui se poursuit sur la droite, par la cuisine. Et je termine par la plus belle pièce de la maison : ma chambre.

Elle avait dit cela sur un ton assez ironique. La pièce qui lui servait de chambre était en réalité un réduit sans fenêtres. Elle avait fait le choix de laisser les vraies chambres à ses enfants.Un matelas était à même le sol mais cela ne me choquait pas le moins du monde puisque j’avais moi même, à une époque, également dormi ainsi, sans sommier. Elle avait néanmoins, arrangé sa chambre de façon cosy avec des tissus de couleurs chaudes aux murs, éclairés par de multiples guirlandes, donnant à l’ensemble une ambiance intime et feutrée.

-Si tu préfères, il y a le clic clac du salon ?
-Absolument pas.
-Donne moi ta veste si tu veux que je te débarrasse. Et pose ton sac, tu ne vas pas rester au milieu comme ça toute la soirée?Mets toi à l’aise.

Après nous être mis un peu plus à notre aise, nous nous assîmes sur les petites chaises disposées autour de la table de cuisine puis discutâmes encore une bonne heure.

-Bon, je commence à être un peu fatiguée moi. Je vais me mettre au lit. Je prends la salle de bain. Je te sors des serviettes si tu souhaites prendre une douche.
-Ok, merci.

J’étais persuadé qu’il ne se passerait rien de plus. De toute façon, j’avais été tellement nul, que pouvait-il se passer d’autre hormis bisou dodo ? Il était déjà 1h00 du matin et Isabelle était fatiguée. J’avais raté ma chance. Zéro… Monsieur gros Zéro. Minable en tout point. Minable avec ma femme, minable avec mes enfants, minable en drague, minable, minable, minable……

-J’ai fini si tu veux y aller ? Je t’ai mis une serviette de douche blanche sur le bord de la baignoire et une brosse à dents neuve sur le lavabo. Tu as des fleurs de bain dans la douche si tu veux ? Laisse tes vêtements sur le canapé et rejoins moi après.

Dépité de moi même, j’entrai dans la petite salle de bain. Enfin quand même, une chose ne collait pas avec mon pessimisme: visiblement, je n’allais pas dormir dans le clic-clac, mais avec elle dans son lit. Je ne comprenais plus rien. La soirée avait été d’une neutralité effarante: aucun signe de drague ni de séduction quelconque, encore moins de baisers sur la bouche. Et malgré cela, nous allions dormir dans le même lit…Je décidai que c’était trop complexe pour moi, qu’il fallait arrêter de réfléchir, de se prendre la tête inutilement et je fis ce pour quoi j’étais entré dans la salle de bain. Puis je ressortis avec la serviette en pagne pour rejoindre Isabelle dans son lit.

Elle était là, allongée sur le côté, sa jolie tête accoudée sur sa main, vraisemblablement nue sous sa couette. Malgré cette couverture de coton, la forme de ses hanches dessinait un arrondi sensuel sous le tissu. Elle me regardait. La chambre était baignée de la faible lumière colorée des quelques guirlandes pendues au mur.Je me glissai rapidement sous la couette tout en gardant ma serviette autour des hanches. Puis m’allongeant sur le ventre, je m’accoudai également en tournant mon visage vers elle…….

-Tu comptes m’embrasser ou pas ?

Je compris enfin que je m’étais trompé sur toute la ligne concernant l’absence d’envie d’Isabelle. Il est probable que la plupart des hommes n’auraient eu aucun doute depuis longtemps quant à l’issue de la soirée, mais pas moi.

M’approchant d’elle, je l’a pris dans mes bras et de ma bouche entrouverte, je goûtai ses lèvres offertes. Celle du bas, celle du haut, retournant alternativement sur les unes et les autres comme je n’arrivais pas à me décider lesquelles étaient les meilleures à goûter.

Répondant à mes baisers, elle glissa la pointe de sa langue contre la mienne. Je soupirais d’aise et de désir. Je sentis cette chaleur affluer lentement depuis la racine de ma queue. C’était comme une chaleur suivie d’une sensation de gonflement voluptueux. Je sentais mon sexe réagir au baiser de mon amante. Il était de plus en plus à l’étroit dans cette serviette restée autour de ma taille. En même temps que je me sentais gonfler de plus en plus, je ne tardai pas à ressentir en moi cette autre impression que je connaissais bien. Là où était apparue la chaleur, je commençais à sentir également un petit écoulement, en mon sexe, qui progressait lentement vers son extrémité.

Excité, je mouille rapidement et en grande quantité alors même que ma queue n’est pas totalement raide.

Isa descendit le long de mon cou, le long de ma poitrine. Sa langue fit une pause gourmande sur mes tétons durcis ce qui boosta complètement la production de mon sexe. J’adore tant me faire lécher les seins qu’il m’est même arrivé d’être au bord de l’orgasme en savourant cette douce caresse. Je n’en n’étais cependant pas là, mais le contact de la langue d’Isa m’avait arraché un long gémissement, suivi d’une flaque de mouille contre ma serviette. Ma queue se trouvait de plus en plus à l’étroit dans sa prison de coton. Cela devenait à la limite du désagréable tant elle était contrariée de ne pouvoir s’étendre et de donner libre cours à son envie grandissante d’enveloppement. Oh oui, elle voulait s’enfoncer dans quelque chose de doux et humide plutôt que d’être entravée si durement.

Heureusement pour elle, Isa avait une furieuse envie de la découvrir enfin. Rejetant totalement la couette à nos pieds, elle vit la serviette, l’horrible carcan d’étoffe qui la séparait encore du bombement que faisait mon sexe. Elle se fit salvatrice. Elle se fit libératrice.Les portes de la prison à peine ouvertes, Isa prit entre ses doigts le sexe soulagé. Et c’est avec surprise qu’elle y reçut la mouille qui en sortait abondamment. Goûtant la paume de sa main, elle gémit de plaisir à la saveur qui se distillait sur ses papilles. Elle s’agenouilla entre mes cuisses et goûta goulûment le capiteux nectar qui s’échappait de ma queue bien dure. Sa langue glissa de bas en haut, récoltant ainsi le trop plein de jus qui s’écoulait de long de ma hampe. Puis n’y tenant plus, elle ouvrit largement la bouche pour y accueillir l’énorme gland luisant de mouille.

Après ce premier contact goulu qui produisit une plainte d’amour dans ma gorge d’amant soumis à appétit d’Isabelle, cette dernière voulut un peu jouer. Mais le sexe et surtout le gland de mon pénis étaient trop larges pour qu’elle puisse y glisser sa langue selon son bon vouloir. Qu’à cela ne tienne, elle eut une autre idée. En me masturbant, elle remarqua que malgré le volume des attributs confiés à ses bons soins, mon prépuce recouvrait intégralement la grosse tête violacée. Elle décida de s’amuser avec, pour voir si cette partie était chez moi aussi sensible que les mamelons.

Doucement, dirigeant ce bel attribut viril de ses mains, elle pointa sa langue et commença à caresser l’extrémité toujours aussi nimbée de ce liquide transparent au goût légèrement salé et délicatement sexuel. La récompense sonore ne se fit pas attendre longtemps. Ma respiration devint plus ample et entrecoupée de mes petites plaintes voluptueuses. Elle venait de découvrir avec grand plaisir une autre zone hypersensible de mon anatomie. La langue se fit progressivement plus hardie et découvrant lentement le gland de ses mains, elle vint goûter la vallée circulaire surplombée de l’épais bourrelet de la tête du sexe. Puis ouvrant à nouveau la bouche, elle fit glisser ses lèvres pulpeuses dans cette même vallée, « torturant » méticuleusement l’homme dont la complainte érotique devenait un délicieux chant d’amour.

Devant tant d’excitation de son amant, Isa qui commençait elle même à avoir quelques envies de langue, sentait contrairement à son habitude, sa vallée rose s’inonder avec délice. En effet, elle m’avait avoué lors de nos échanges épistolaires, qu’habituellement elle mouillait assez peu, comme si elle s’en excusait par avance.

Calmant légèrement sa caresse buccale, Isa, tout en maintenant sa langue sur mon gland, la recouvrit mon prépuce. Elle la fit alors glisser entre mon gland et mon prépuce et je crus à nouveau devenir fou. Mon corps fut parcouru de frissons et de langoureuses plaintes de plaisir les accompagnaient tandis que je sentais cette caresse de satin courir tout autour de cette prison de chair entre mon prépuce et cette boule de plus en plus dure. N’y tenant plus, je me saisis moi même de cette trique et me décalottant entièrement, ma partie la plus sensible vint tout contre la langue d’Isa. Se faisant, mon gland devint encore plus large, remplissant complètement cette bouche qui le faisait décoller. J’aurais sans doute fini par jouir en elle, si Isabelle, surprise par ce volume qui la remplissait encore plus, n’avait stoppé toute caresse.

-Tu es vraiment très gros tu sais, sans doute un peu trop gros pour ma bouche. Mais j’ai adoré. J’aime faire des choses avec ma langue, mais là, j’ai eu trop de mal. Je ne pouvais quasiment plus la bouger. C’est dommage, tu aurais sans doute aimé ce que je te réservais.
-Je ne vois pas comment tu aurais pu me procurer plus de sensations. C’était…. Très fort… Trop fort même. J’ai cru à un moment que je venais.
-Ah non, pas de blagues hein, je ne tiens pas du tout à rester sur le carreau car tu m’as trop excitée, ça ne serait vraiment pas sympa.
-T’inquiète !...
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