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La Lune et Vénus brillaient dans le ciel

Chapitre 3

Histoire médaillée
Hétéro
Prenant le visage d’Isa entre mes mains, je goûtai à nouveau ses lèvres ainsi qu’à sa langue, au petit goût que ma queue avait généreusement déposé dessus et que je trouvais tout aussi excitant que la cyprine féminine.

Je l’embrassais longuement et tendrement tout en l’allongeant à mon tour entre les cousins moelleux. Mes mains, aux longs doigts fins, descendaient vers les cuisses ouvertes de mon amante. Lorsqu’elles flânèrent à l’intérieur, Isabelle s’ouvrit d’avantage. Le message était cette fois on ne peut plus clair: quelque chose palpitait entre ses cuisses. Quelque chose d’impatient, de tendu, d’insatiable sans doute et il allait falloir lui réserver une attention toute particulière car ce délicat petit personnage, d’apparence si timide sous les tendres replis de sa cachette, attendait quelque chose de fort.

La découverte de l’intimité d’une femme, ce premier contact, premier toucher, première image était toujours un moment d’une intense émotion chez moi. J’étais ému au point d’en avoir de légers tremblements que j’avais peine à maîtriser. J’étais comme en stress, mais un stress positif qui faisait que mes sens étaient en alerte pour cet instant unique afin qu’il reste graver à jamais dans ma mémoire. Car oui, le sexe d’une femme est une explosion de saveur, d’odeurs, de douceur. Un tableau qu’aucun maître ne saurait inventer tant il ébranle l’âme de l’amant ou l’amante qui le découvre pour la première fois.

Mes doigts de pianiste glissaient au creux des cuisses d’Isa dans cette zone proche des grandes lèvres. Puis ils enjambaient les deux renflements dodus, parfaitement lisses entre lesquels trônaient de magnifiques et volumineux replis.

Tel un épicurien de la vulve, je laissais mes doigts s’attarder, espérant un moment que le temps suspende son vol à cette découverte sensuelle. Mais ce sexe gonflé de désir et par trop impatient, intima l’ordre à sa propriétaire de se saisir de la tête du criminel qui le faisait languir. Et décollant ma bouche de ses lèvres du haut, elle les dirigea doucement mais fermement vers ses lèvres du bas, on ne peut plus féminines.

L’instant était indescriptible pour moi. Ce sexe, cette vulve allait s’ouvrir sous les intrusions de ma langue affamée. Arrivant haut dessus, je pris mon temps une fois encore, admirant cet envoûtant coquelicot chiffonné rose pâle qui saillait entre ses deux bourrelets glabres d’une douceur de peau de bébé. Je m’avançai et commençai à les effleurer de la pointe de ma langue. L’un puis l’autre, lentement, prenant tout mon temps. Je considérais avoir carte blanche pour jouer avec cette fleur car Isa avait retiré ses mains de ma tête. Je marquai une pause pour souffler légèrement sur ses grandes lèvres maintenant humides de salive. Puis, ma langue se fit moins timide et sa caresse jusque là latérale, se fit progressivement plus centrale considérant que le temps de l’école buissonnière était terminé et qu’il allait falloir sérieusement rentrer en classe. Mais en élève rebelle que j’étais, je décidai de rentrer par le fond plutôt que directement par l’avant. A peine ma langue eut-elle effleuré le pas de la porte encore fermée, qu’un doux nectar vint à elle l’attirant plus avant vers les profondeurs moites d’un puits qui se sentant trop vide depuis de trop longues minutes, fut enfin soulagé par cette chaude intrusion. Je buvais Isa avec ferveur. Ma langue allait, venait, roulait dans son sexe. Je la buvais comme un homme qui découvre une oasis en plein désert.

Mais ceci n’était pas du goût de tout le monde car le petit personnage évoqué plus haut, restait totalement insatisfait pour ne pas dire frustré. Commandant à son tour les mains d’Isabelle, il les lui fit se diriger vers sa cachette qui n’avait rien secret pour elle. Et comme pour me signaler la présence de cet individu quelque peu oublié, elle tira délicatement avec ses doigts sur l’épais capuchon qui le recouvrait, le dégageant afin qu’il pointe sa petite tête rose à proximité de mes lèvres qui se firent rapidement pardonner pour cette coupable omission.

Abandonnant sa caverne d’amour, je vins lisser ce bouton d’amour de la pointe de sa langue.

-Oh oui… Voilà… mmmmhhhh… Continue doucement… J’adore ça…


Sa respiration s’était d’un seul coup fortement accélérée, entrecoupée de gémissements de plaisir.

-J’adore qu’on me lèche la chatte… mmmmmmhhh… Mon clito….. Sentir ta langue glisser dessus… mmmmhhh… Elle est si douce, si lisse…. J’adore… Continue, c’est trop bon….

Je faisais glisser la partie du dessous de ma langue en petits cercles sur le clitoris d’Isa. J’avais depuis longtemps remarqué que cette partie dépourvue de papilles et donc un peu moins rugueuse, était rapidement très appréciée par les petites pointes palpitantes d’envies de caresses aussi douces et humides que possible. Alternant de douces pressions, des frôlements avec de larges lampées plus appuyées sur toute la vulve, je sentais mon amante monter à l’échelle du plaisir…

    Ma langue suffisamment occupée, mes mains furent à nouveau de la partie se mêlant aux doux soins entamés entre les cuisses d’Isa. Elles prirent le relai dans la chaude caverne moite qui réclamait son dû, délaissée au profit du petit jaloux du dessus. Un doigt puis rapidement un deuxième firent leur entrée et furent chaleureusement accueillis par un profond soupir de bienvenue. Comme pour les inciter à plus d’audace, les hanches se projetèrent instinctivement vers l’avant, à moins que cela ne fût pour accentuer l’étreinte qui se jouait à présent entre le petit bonhomme rose et ma langue. En effet, le massage de cette dernière était devenu enveloppement et succion: se changeant en un petit tube moelleux, elle s’était mise à doucement aspirer, en son sein, la petite tête frétillante et l’accueillait tel un vagin accueillant le sexe d’un homme. Pour que l’intensité soit à son paroxysme, je décalotais complètement le petit appendice et combinais la petite succion de ma langue avec celle plus intense de ses lèvres intimes. Tout le gland et la petite tige qui lui faisait suite étaient alternativement aspirés puis relâchés tel un petit pénis un plein coït dans ma bouche.
    -Oh putain… ! Oh excuse-moi…. ! Oh putain ooouuiiiiiiiiiii….!!!!!! Oh excuse-moi mais… Je… AAAhhhhhhh… c’est trop bon…
    La surprise de ce cri du cœur d’Isa passée, je repris l’exploration de l’antre sexuelle de ma délicieuse maîtresse. Mes doigts roulaient et tournaient dans cette chatte totalement trempée de cyprine et de salive mêlée. C’était si chaud, si doux, si sensuel. Nos deux cerveaux étaient en ébullition complète.
    Après plusieurs minutes de cette aimable torture, j’eus besoin de changer de position. Je savais qu’Isa avait beaucoup de peine à venir et apparemment elle ne jouirait pas de cette façon. Je n’abandonnais pas pour autant mais mon cou commençant à s’engourdir un peu, je me positionnais rapidement de côté au-dessus de cette vulve dont les pétales, cette fois largement ouverts me laissèrent contempler l’entière intimité de cette vallée rose vif, se perdant à mesure que l’on s’y noyait vers un puit de mystères indécents.
    Aussitôt, le diable agile ressurgit de plus belle de ma bouche et rendit visite à ce petit ami que j’avais quitté prématurément. Ah, il voulait être d’avantage bousculé, limite violenté pour exploser et par là même faire décoller sa charmante propriétaire. Plus que jamais entièrement nu, le bouton lui aussi devenu rose vif, fût la proie de rapides va et vient le long de sa hampe et de son extrémité, gonflées par le plaisir éprouvé après tant de ces délicieux sévices. Plongeant à nouveau mes longs doigts dans le ventre d’Isa, je m’activai jetant mes dernières forces linguales dans la bataille. La cadence de ma langue était si rapide et si forte que les jambes d’Isa furent prises de tremblements.
    -Aaaahhh…. Putain, tu vas me faire venir… Aaaaahhh mon Dieu… Oh put……… Ooouuuiiiiiiii…….
    De brusques soubresauts parcoururent son corps et ses cuisses se refermèrent sur ma main…. Je ne bougeai plus. Je savais que je ne devais plus bouger sous peine de violentes réactions de rejet. Je la laissai reprendre ses esprits uniquement en déposant de petits bisous sur son ventre encore frémissant de plaisir. Ce ventre de femme, ce ventre un peu rond qui donne la vie, ce ventre qui vit, qui jouit. Ce corps tout entier qui jouit. Ce corps sensuel. Ce corps beau avant, pendant, après l’amour.

Les cuisses d’Isa se relâchaient et je pus m’extraire de cette charmante prison. Remontant sans me presser vers le visage de ma dame, ma bouche musardait en picorant ça et là, au gré de ses envies, la peau lisse de ce corps qui reprenait vie. Un large sourire qui en disait long m’accueillit.

-Allonge toi ! J’ai faim de ta queue en moi. Tu m’as assez donné. A moi de te baiser. Ma chatte est loin d’être rassasiée si tu savais. Elle est affamée comme tu n’as pas idée….

Je restais silencieux mais buvais les promesses d’avenir à très court terme de ma maîtresse. Je me laissai faire telle une poupée de chiffon quand elle me repoussa sur le matelas dans le travers du lit. Puis s’allongeant de tout son long contre moi, elle commença par m’embrasser intensément. Ses seins frottaient délicieusement contre ma poitrine musclée. Ils étaient beaux, tout blanc avec leur aréole assez large et les tétons qui trônaient au centre pointaient admirablement.

-Ils te plaisent ? Je veux que tu les lèches… Doucement... Attention, ils sont extrêmement sensibles. Sois très doux comme tu as su l’être au début avec mon bouton d’amour.

Je pris les belles pommes d’Isa au creux de mes mains et fis lentement le tour des aréoles de la pointe de ma langue. Je passais de l’une à l’autre sans brusquerie. Juste de fines petites léchouilles. Comme elle fermait ses yeux, je me dis que je devais être dans le juste. Elle commença de faibles va et vient de ses hanches faisant ainsi frotter son bouton réveillé et totalement prêt à reprendre du service, contre ma hampe bien ferme. Chacun de nos sexe était parfaitement lisse, nous ne ressentions aucun désagrément rugueux d’une quelconque toison. Uniquement des sensations du doux glissement des muqueuses détrempées d’Isa contre la fermeté de ma queue . Elle préparait se sexe rendu si dur par le merveilleux cunni qui avait certes fait jouir Isabelle, mais m’avait également excité au-delà de tout. Elle le préparait avec grand soin comme on préparait un guerrier au sacrifice avant qu’il n’entre dignement au Valhalla pour festoyer avec les dieux. Et justement, le Dieu Vagin était prêt à avaler goulûment son offrande. Isa se saisit du vaillant soldat et pointa sa tête offerte contre la bouche rose et déjà entrouverte du Dieu affamé. Mais il n’était pas question pour lui d’engloutir cette offrande sans y goûter préalablement: le Dieu était un épicurien. Épousant les contours de la large tête, sa bouche s’ouvrit sans aucune difficulté pour avaler le fier Sicambre pleinement satisfait de son sort. Mais à peine la tête fut-elle absorbée qu’elle ressortit aussitôt.

Isa jouait ainsi avec la queue de l’homme sous sa domination. Moi, je n’avais qu’à me préoccuper du plaisir des seins de ma partenaire et subir la douce succion qui s’opérait sur mon gland. Sachant contrôler ses muscles intimes, elle ouvrait sa chatte pour m’accueillir puis se serrait pour m’en ressortir. Son ventre ni sa poitrine ne bougeaient. Seules ses hanches se mouvaient de haut en bas en de minuscules balancements.

Mais les dieux sont connus pour leur caractère impétueux et sans prévenir, le vaillant soldat fut d’un coup sec, intégralement avalé sans sommation. Cette divine décision fut immédiatement suivie d’un gémissement commun des deux amants. Isa se redressa et dandina ses hanches contre les miennes. Elle sentait avec délice la large boule caresser d’avant en arrière le fond de son puits enfin rassasié par ce sexe dur et chaud qui la massait au plus profond de son antre.

-Mmmmhhhh...!!! J’aime faire l’amour avec toi.

Les longs et langoureux glissements alternaient avec les massages profonds et voluptueux. Chaque paroi de la caverne était tour à tour comprimée par ce large appendice qui trouvait là tout l’espace qu’il souhaitait et qui lui était généreusement octroyé par ce ventre toujours aussi affamé.

Je me sentais monter de plus en plus haut. Elle savait me maintenir haut sans toutefois me faire exploser, alternant les mouvements rapides avec de beaucoup plus lents. Elle savait de toute façon qu’elle ne jouirait pas ainsi. Elle aimait la pénétration mais elle n’avait réussit qu’une fois à prendre son pied de cette manière. J’étais parfaitement informé de sa sexualité par nos conversations et ne m’en formalisais pas particulièrement. Surtout qu’à l’évidence, Isa ressentait beaucoup de plaisir malgré tout et comme beaucoup d’hommes, j’avais besoin de sentir ma partenaire en osmose avec moi.

J’avais envie d’être totalement passif. Non par paresse, mais plus par épicurisme. J’adorais me sentir dominé par une femme. Pas une domination sado masochiste, je n’avais. aucune appétence pour la souffrance et au-delà de ça, toute la mise en scène cuir et clous me donnait d’avantage envie de rire que de jouir.Non, il s’agissait d’une douce domination. La domination d’une femme qui connaissant son corps, son plaisir et ses envies charnelles, satisfaisait à ses besoins avec le corps d’un homme réduit à l’état… d’objet.J’aimais me sentir comme une sorte de sextoy humain dont une femme userait et abuserait selon son bon vouloir. Mon fantasme allait même bien au-delà puisqu’il m’arrivait de me fantasmer physiquement réduit à l’état d’un véritable jouet pour dame d’une vingtaine de centimètres de long et d’être plongé intégralement au cœur cette antre de plaisir féminin, afin de ne faire véritablement plus qu’un avec ce corps en fusion et de n’être moi même réduit à l’état d’un objet de luxure intégralement soumis aux envies du puissant désir charnel d’une femme….

Devant ces images qui me venaient, mon excitation grimpa en flèche. Isa qui me sentit au bord et prêt à chavirer dans l’orgasme, vint chuchoter à mon oreille.

-Oui, vas-y… Laisse toi aller… Je veux te sentir… Je veux sentir ta jouissance en moi… Viens !… Viens en moi…..

Ces mots électrisèrent ma queue et la tension qui y régnait atteint son paroxysme. Mon gland durcit au-delà de tout et ses bords s’élargirent encore un peu plus. Puis l’incontrôlable vague de chaleur voluptueuse s’empara de la base de mon sexe et les longues ondes orgasmiques prirent possession de mon membre m’arrachant une intense plainte. Tout mon corps tendu jouissait du délice qu’Isa avait su lentement amener aussi haut. Les spasmes se succédaient le long de ma queue, emplissant ce puissant puits d’amour féminin capable par nature de donner autant de délectation à un sexe d’homme.

Progressivement, mon corps s’apaisa pour entrer dans cette douce torpeur post-orgasmique. Un léger sourire se dessina sur mes lèvres et mon amante en profita pour me le manger de mille baisers tandis que la pointe de ses seins revenait s’attarder sur ma poitrine rendue encore plus sensible par ce récent tremblement de terre qui se mourrait en quelques dernières secousses.
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