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Lycée Bernanos : Le purgatoire sur terre

Chapitre 3

La fois où je suis dépucelée.

Hétéro
Le lendemain, je croise Jean, il m’accoste et commence à dire :
— Agnès, pour hier, tu sais heu...— Toi, tu ne me reparles plus jamais.— Non, mais je suis désolé, je sais que j’ai merdé, mais je voulais pas risquer qu’on puisse me reconnaître.— T’as pas merdé : T’es une merde, un tas de crotte. La meilleure excuse que tu puisses avoir, ce serait d’allumer un pétard et de te l’enfoncer dans le cul. Va te faire foutre !
Je continue ma route sans l’écouter plus longtemps. Lui et ses pathétiques excuses, comme si c’était suffisant pour justifier sa lâcheté, j’aimerais le voir réduit en poussière, le crâne dégommé à coup de masse. Ou mieux encore, baisé par un clodo et qu’il me demande de l’aide. C’est vrai quoi, il m’a laissé aux mains d’un vieillard qui aurait pu me violer. J’avais presque eu de la « chance » de m’en tirer avec une branlette pendant qu’il me tripotait. En tout cas Jean pouvait oublier que je lui accorde la moindre faveur, s’il s’attendait que je touche à nouveau à ses couilles, ce serait par un puissant coup de pied à le rendre castrat.
Je pensais que cette affaire n’aurait pas de conséquence plus grave, mais le surlendemain, une mauvaise surprise m’attend. Je vais à la rencontre de mes copines habituelles, elles sont assez excitées, car Émilie vient de passer son permis, et je me joins à elles pour la féliciter :
— Bravo ! Tes parents vont t’acheter une voiture alors ?— Agnès ? Qu’est-ce que tu crois faire ?— Comment ça ?— Pourquoi tu m’adresses la parole ?— Je... Hein ?— Tu comprends pas ? C’est pourtant simple. J’aimerais savoir pourquoi tu penses qu’une salope comme toi peut s’incruster parmi nous ?— Quoi ? Moi ? Mais...— Allons, tout le monde sait que t’as sucé Jean au cinéma.— Hein, mais...— Agnès la pompeuse... oui j’aime bien ça. Alors "Pompeuse", tu as quelque chose à dire ?— C’est pas ce que vous croyez ! J’ai pas voulu ça...— J’imagine, t’aimes tellement les bites que t’en avales par erreur. De toute façon, c’est pas le plus grave.— Comment ça ?
Qu’est-ce qui peut être plus grave ! Ma réputation se fait détruire !
— Non seulement t’es une putain de suceuse. Mais en plus tu te tapes des vieux. — Quoi ?! C’est faux !— Pfff... on sait toute la vérité. Tu t’es fait aborder au cinéma par un vieux, et en échange de cinquante billets tu l’as sucé.— C’est faux !— C’est faux, c’est faux... comme si on allait te croire. Quand il a vu ça, Jean t’a laissé tomber.— Il ment !— Ah oui ? Alors regarde ça...
Sur son téléphone, il y a une vidéo de la première séance de cinéma. On ne peut pas voir ma tête, mais le manteau de Jean monte et descend, ne laissant aucun doute sur ce qu’une personne fait à sa queue.
— C’est pas moi ! dis-je en mentant.— Alors c’est qui ? Qu’est-ce que tu faisais à cette heure ?— Je sais pas ! Je pensais pas avoir besoin d’un alibi !— Bien sûr que non, parce que la seule chose à laquelle tu penses c’est à te goinfrer de sperme.— T’as pas le droit de...— T’as pas compris ? intervint Émilie, on veut plus de toi parmi nous. Rien qu’avoir été amie avec une salope comme toi, ça nous fout la honte !
Toutes mes amies me regardent avec mépris. Je m’en vais en essayant de retenir mes larmes, mais dès que je suis hors de vue je cours aux toilettes pleurer toutes les larmes de mon corps. Quel salaud ! Quel enfoiré ! Il avait tout raconté, même des mensonges pour m’humilier davantage. Les mecs sont dégueulasses. Il ne fallut que deux jours pour que tout le lycée soit au courant que je l’avais sucé, et qu’il m’avait laissé tomber parce que j’étais une salope qui couchait avec des vieux.
Quelle raclure de bidet ! Tout d’un coup, je me retrouve sans aucune amie, toutes me tournent le dos comme si j’étais une pestiférée. Je deviens la risée du lycée, je reçois des appels téléphoniques immondes. Certains se sont amusés à écrire sur les murs des toilettes que je suçais pour cinquante balles avec mon numéro de téléphone. Tout le monde pense que je suis une pute, on me surnomme de petits noms comme : "suceuse", "pompeuse" ou "salope". Même les autres filles qui n’étaient pas dans mon groupe d’amies se moquent de moi. Me voir tomber de mon piédestal et être humiliée par mes copines "cool" les amusent terriblement. Maintenant, elles aussi peuvent se sentir supérieures à moi et se moquer :
— Hey, Agnès, si regarder Hunger Games ça te donne faim de bite, à chaque fois que tu regardes Harry Potter, c’est la partouze de baguettes ?
En classe, à chaque fois que je prends la parole, il y a toujours une ou deux filles pour faire des bruits de succion. Un jour, je suis dans la cour, quand Émilie et deux autres filles arrivent et me tiennent par les bras, elles me disent :
— Suce cette sucette !
Je suis en panique, je ne sais pas comment réagir, alors j’obéis. Si elles veulent se moquer de moi avec ça, elles ont déjà fait bien pire. Sur mon compte twitter, elles n’hésitent pas à répondre à chacun de mes tweets en me traitant de pute.
Je suce la sucette. Et je les vois se marrer. Elles m’agacent terriblement avec leur gaminerie, quand j’ai fini, elles me demandent :
— Alors t’as aimé le goût ? C’est meilleur qu’une queue ? demande Émilie.— Va te faire foutre.— À propos de foutre, tu sais que j’ai demandé aux garçons de se branler dessus ? Et t’as même pas remarqué la différence tellement t’es habitué à bouffer du sperme ! Hihiiii !
Je crache par terre, espérant qu’elle ait menti, mais c’est vrai qu’il y avait un truc visqueux dessus. Et la connaissant, ça n’avait rien d’impossible, Émilie est une vraie salope, capable de tout.
Je suis vraiment à bout, et quand le lendemain, un des petits caïds de ma classe m’aborde, je lui dis d’entrée de jeu :
— Non, je vais pas te sucer !
C’est la question que me posent presque tous les garçons, du genre :
— Agnès, si tu me suis aux W.C, je te laisse me sucer et je te donne cinquante balles.— Non !— J’suis pas assez vieux pour toi, c’est ça ? Je suis sûr que t’as baisé la moitié des profs du lycée, c’est pour ça que t’as des bonnes notes, hein.
J’en ai vraiment marre de leurs conneries. Mais à la place le type me dit :
— C’est pas ce que je voulais te demander.
Je le regarde plus attentivement, c’est Geoffrey, quand je dis que c’est une racaille, il faut se rappeler que je suis dans un lycée privé et que l’inscription coûte un bras, donc c’est relatif, ce n’est pas un dégénéré qui va foutre le feu au lycée, mais il est du genre à répondre au prof et à provoquer les autres élèves. Il cherche la merde et aime bien se la jouer.
— C’est vrai ce qu’on raconte sur toi ?— Bien sûr que non !— J’étais sûr que tu ne sortais pas avec des vieux, mais Jean, tu l’as vraiment sucé ?
Je réponds en colère :
— Cet enculé, je suis sûr c’est un PD ! ça devait être un mec qui le suçait sous le manteau, mais c’était pas moi en tout cas.— Ouais, ptêt, en tout cas je trouve que c’est un connard pour te traiter de pute comme il a fait.— C’est clair.— Ça te dirait que je lui donne une bonne leçon ?— C’est-à-dire ? Que tu lui casses la gueule ?— Ouais.— Un peu que ça me dirait !
Je ne suis pas violente, c’est même contraire à mes principes. Mais ça sort du cœur, tout ce qui m’arrive depuis deux semaines est de sa faute, parce qu’il a raconté à tout le monde ce qui était arrivé au cinéma sans se préoccuper des conséquences pour moi : je me retrouve seule, méprisée, harcelée par des messages humiliants sur les réseaux sociaux. Tout cela à cause de lui. Il a détruit mon image, ma réputation. Et pour cela, je lui voue une colère profonde et intense, une colère qui me ronge de l’intérieur.
L’après-midi même, Geoffrey me dit de venir dans la cour. Là, il alpague Jean et commence à dire des trucs du genre :
— Hey, Jean, c’est normal que t’aies une sale gueule ?
Il cherche la bagarre, mais Jean est trop lâche pour donner le premier coup. C’est Geoffrey qui frappe en premier. Ce con de Jean se roule alors en boule et se met à pleurer comme un enfant. Ça n’empêche pas Geoffrey de lui assener quelques tartes et coups de pied bien sentis. Je suis ravie qu’il reçoive une correction, et en même temps vraiment dépitée d’avoir sucé la queue d’une merde pareille. D’ailleurs quand il est à terre, il cherche à se dédouaner :
— J’ai juste dit à Émilie qu’un vieux nous avait surpris. C’est elle qui a inventé tout le reste, c’est pas ma faute ! AIIIE !
Sa faute ou pas, il reçoit quand même une mandale dans la mâchoire de la part de mon chevalier servant. Puis c’est un attroupement confus, un pion agrippe Geoffrey pour le mener tout droit vers le CPE. Ce n’est qu’en fin de journée que j’apprends la peine dont il a écopée :
— Bordel, j’ai reçu dix heures de colle pour avoir frappé cet enculé.— Il le méritait en tout cas.— Ouais, et comme tu vois, j’ai qu’une parole. Si je dis que je tabasse un mec, j’le tabasse.— Merci.— Ouais. Alors tu sors avec moi ?— Comment ça ?— Ben quoi. J’t’ai défendu et j’ai récolté un paquet d’heures de colle à cause de ça.— Oui, mais... tu sais...— Allez... t’as peur de quoi ? Qu’on dise du mal de toi ?
C’est vrai que ça peut difficilement être pire. Une heure plus tôt, sur ma table de classe, il y avait gravé dessus : « Agnès Dechâtel suce des queues ». Alors je peux bien avoir un rencard avec lui si ça lui fait plaisir, je lui dois bien ça.
— Bon, d’accord. Où t’as envie qu’on se voie ?— Bah, genre, chez moi.
C’est super gênant, c’est vrai que j’ai une dette envers lui. Mais je ne veux pas qu’il pense que je suis sa petite amie rien que pour ça ! Pourtant je n’arrive pas à trouver le courage de refuser :
— Euh, d’accord, quand ça ?— Là, après les cours.— Heu... très bien.
C’est vraiment précipité, mais comme ça il ne pourra pas dire que je suis une garce qui ne lui est pas redevable. À la fin des cours, je le vois m’attendre devant la clôture du lycée. Comme il n’habite pas loin, nous marchons jusqu’à chez lui. C’est une belle maison (mais nettement moins chic que notre pavillon) et sa sœur est présente, ce qui me rassure. Je n’aurais pas aimé être seule avec lui. J’arrive dans sa chambre, c’est un vrai désordre, le lit est défait, il y a des canettes de bière sur le bureau, des affiches de voitures tunées au mur et une odeur mystérieuse : peut-être de la marijuana ? Il me demande :
— Bon, qu’est-ce qu’on fait ?
Je ne sais pas quoi répondre, c’était à lui de prévoir ça. C’est lui qui m’invite.
— Je sais pas...— Écoute, ça te dirait de me sucer ?
Merde, qu’est-ce qu’ils ont tous avec ça ? C’est une obsession des garçons ou quoi ? Mais, je lui suis reconnaissant pour la leçon qu’il a donnée à Jean. Et j’imagine qu’avec lui à mes côtés, je risque moins de me faire importuner par les autres mecs.
— Bon, d’accord.
À peine ai-je donné mon accord qu’il se met à se déshabiller. Je le regarde avec une fascination grandissante tandis qu’il retire sa chemise et révèle son torse musclé et ses beaux abdos dessinés. Il laisse tomber son pantalon et je peux voir le contour de ses fesses fermes et ses longues jambes. Puis, il enlève son boxer et dévoile sa masculinité à mes yeux, il me regarde en même temps avec une assurance sensuelle, et je me sens chavirée par sa puissance virile.
La vision d’un corps aussi beau me fait rougir, mes joues brûlent. Je n’arrive pas à détourner le regard, mes yeux s’attardent sur les courbes de son torse et de son abdomen délicieux. J’ai du mal à respirer, ma poitrine se serre sous son regard provocant. Mon cœur s’emballe tandis que je vois son membre gonfler.
Je m’approche de lui, son corps transpire la virilité, ses muscles sont sculptés de manière si parfaite qu’ils semblent avoir été conçus pour le plaisir. Son visage est dur et masculin. Mais ce qui me fait vraiment mouiller, c’est son regard. Il me déshabille des yeux, me fait frissonner de désir. Et lorsque ses mains se posent sur moi, je suis à ses pieds, prête à satisfaire ses moindres désirs. C’est un mâle alpha, un vrai dominant.
Je suis à genoux devant lui. Je lève les yeux et vois une lueur de plaisir traverser son regard. Je prends son sexe en main et le caresse doucement. Ma respiration s’accélère tandis qu’il durcit encore entre mes doigts. Ses yeux sont en feu. Je prends son membre dans ma bouche et me mets à le caresser avec ma langue. J’entends ses gémissements de plaisir qui s’intensifient à chaque mouvement de sa bouche. Il s’agite, mais me laisse faire. Je me mets à le sucer plus fort, aspirant et léchant la moindre parcelle de sa baguette charnue. Il entre dans un état de plaisir extrême et je le pompe comme s’il était un bonbon au miel, il atteint des sommets de plaisir. Il se raidit sous mes lèvres, son sexe crache sa semence chaude et molle dans ma bouche. Je savoure.
— Woah, c’était fort, finis-je par dire d’une voix fluette.— Mhmm, content que t’aies aimé.— Aimé ? répété-je, un peu perplexe. C’était même... incroyable.— Mhmm, répète Geoffrey. Tu sais, c’est juste une pipe. On voit bien que t’es une pucelle...— Alors pourquoi tu ne me transformerais pas en... salope ?— Ouais, suffit de me le dire une fois.
Ma décision est rapide, mais je suis chaude comme la braise. J’ai tellement envie de lui, de son corps contre le mien... Il s’approche de moi, mais je veux lui en donner pour son argent, qu’il se rende compte que je suis le genre de fille dont il gardera des souvenirs pour toujours.
— Mets de la musique, lui dis-je.
Je lui lance un regard coquin, mon corps brûle d’impatience. Mes mains caressent les vêtements qui m’emprisonnent, mes seins pointent à travers mon haut.
La musique des Daft punk se fait entendre « Lose Yourself to Dance »
Je retire d’abord mon pull, puis je commence à défaire les boutons de mon chemisier lentement, un à un, dévoilant un peu plus ma peau à chaque mouvement. Je l’attise, je fais glisser le chemisier le long de mes épaules et le laisse tomber à mes pieds. Je me tiens devant lui, vêtue d’un soutien-gorge noir et sexy. Mes yeux sont rivés aux siens, je sais que je l’ai captivé. Je commence à danser, mes hanches ondulant au rythme de la musique. Mes mains passent sur mon corps, sans effort, alors que je me dénude pour lui. Je retire mon soutif et dévoile mes seins.
Je sens sa fièvre monter et je prends des poses sexy. Mon corps est à lui et je sais qu’il le désire. Je me rapproche, je me colle contre son buste, je sens son souffle chaud sur ma peau. Je l’entoure de mes bras et fais glisser mon pantalon le long de mes jambes. Je me tiens devant lui presque nue. Son ardeur est de retour, plus puissante que jamais. Je m’éloigne de nouveau, me déhanche avec une sensualité provocante dans une petite culotte noire. Mon corps est un appel à l’amour, une invite à la luxure. Je l’entraîne dans mes bras, je l’embrasse et je sens la chaleur de son corps contre le mien.
Nous tombons sur le lit. Il m’embrasse et je réponds avec toute la passion que j’ai en moi. Il me fait l’amour avec douceur et tendresse, prenant le temps de me caresser et de me guider. Chaque caresse est comme une explosion de plaisir et de liberté. Je le vois enfiler un préservatif avant que sa queue ne pénètre mon antre. Pour la première fois, je deviens la possession d’un autre. Je halète alors qu’il me fait l’amour, qu’il me baise. Chaque fois qu’il s’enfonce en moi, c’est comme si une vague me traverse me laissant sans voix, en apnée. Jamais je n’avais pensé que ce puisse être aussi bon.Quand il arrive à me donner un orgasme, je crie. Tant pis si sa sœur m’entend, c’est trop bon. Je me sens complètement libérée, plus vivante que jamais.
Nous nous reposons l’un contre l’autre sur les draps. J’éprouve un bonheur total. Mais il suffit que je pense aux jours à venir pour que le ciel s’assombrisse. C’est pourquoi je dis :
— Merci d’avoir donné une leçon à Jean.— De rien, j’ai été bien récompensé.— Et tu ne voudrais pas une autre récompense, une encore meilleure ? Émilie mérite une bonne leçon elle aussi...
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