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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Lydie

Chapitre 1

Divers
Nous avons tous eu des fantasmes de jeunesse, des femmes plus âgées que nous qui hantaient nos fantasmes, des femmes proches de nous, au centre de nos émois de jeunesse. Pour ma part j’étais fou de Lydie, une amie de ma mère (plus jeune qu’elle de 10 ans environ). Non qu’elle fut particulièrement belle, mais elle agitait farouchement mes nuits... C’est une femme militaire (et oui... on peut désirer une femme militaire...), noire d’origine béninoise. Surtout, elle était dotée d’une paire de seins énormes, de gros seins larges, débordants ’d’enthousiasme’. Que n’ai-je pas tenté avec cette poitrine... en rêve!
Aujourd’hui j’ai 29 ans, 12 ans ont passé... je suis marié, père de famille et j’habite loin de chez ma maman, mutations obligent. Très heureux en amour, j’avais oublié Lydie et ses attraits (mais je me la gardais tout de même dans un coin libidineux de ma mémoire..). A la Toussaint l’an dernier je suis rentré, seul, chez ma mère pour les vacances avec ma fille (ma femme elle a moins de vacances que moi, je suis prof). Quelle ne fut pas ma surprise un soir de voir rentrer Lydie dans la maison... C’est tout con mais j’en ai été gêné 10 minutes, bredouillant comme un idiot... Elle venait demander à ma mère des outils pour poncer son parquet, pour sa nouvelle maison. Divorcée depuis peu (d’avec un militaire évidemment) elle se réinstallait en ville dans une petite maison, avec ses deux filles. Après un quart d’heure de discussion ma mère a proposé mon aide pour ses travaux (... sympa maman...) me mettant devant le fait accompli ! Le lendemain je me retrouvais donc chez elle, en habits de travail pour une journée de labeur. Franchement je ne fantasmais pas trop... on avait près de 20 ans d’écart, et avouons-le elle avait pas mal vieilli.. elle s’était ’élargie’ sérieusement, devenant très ronde... Pendant la journée nous avons bossé ensemble (seuls, ses enfants étant chez leur père), avec un grand sérieux.. Nous parlions de tout, et l’ambiance se détendait. J’en profitais évidemment pour reluquer de près ce corps qui m’avait tant attiré auparavant : ses hanches étaient très larges, et je devinais sous son t-shirt son soutien-gorge lourdement rempli... A un moment elle m’a surpris, alors que je matais ses seins par l’entrebaîllement de son t-shirt. Gêné j’ai tourné la tête l’air de rien, mais j’ai entraperçu un sourire plutôt sympa... Le soir je la laissais, fortement ému car mon fantasme m’était revenu à la tête de façon extraordinaire. Le soir je me suis masturbé comme un morveux, hallucinant à mort sur ce que j’aurais pu lui faire... Le lendemain je retournais chez elle, pour les finissions (on avait pas fait du beau boulot). Je faillis défaillir quand je vis qu’elle avait mis un t-shirt très ample, col en V, terriblement échancré (...). Evidemment dès qu’elle se penchait elle me montrait ses loches, ce qui me rendait très mal à l’aise, tout en m’excitant furieusement. Nous avons commencé à parler de nos vies, de plus en plus intimement, sa séparation, son manque de tendresse... et moi j’en rajoutais sur ma vie de couple avec une femme peu portée sur les plaisirs de la vie. Bref c’était un appel. Serrés tous les deux contre la plainte que l’on recollait, on s’est évidemment touché... et j’ai craqué : je lui ai pris la hanche, faisant semblant de me retenir de tomber... On a roulé tous les deux en arrière en rigolant... mais elle a atterri sur mon torse, me regardant droit dans les yeux. En un quart de seconde je bandais comme un âne, ce qu’elle sentit immédiatement (elle avait ses seins contre mon ventre...).
Avec une grande douceur elle me caressa la poitrine, et vint m’embrasser sur la bouche. Très maladroitement je l’ai plaquée sur moi, plaçant mes mains sur ses seins... Enfin je les touchais, c’était presque irréel. En bredouillant je lui dis que j’avais toujours eu envie d’elle... En se redressant elle me répondit avec un calme époustouflant ’je sais bien...’ J’ai eu peur un quart de seconde qu’elle ne s’en aille, me laissant là comme un con, au contraire une fois à genoux elle retira lentement son t-shirt, délivrant en partie sa poitrine... Me redressant à mon tour, je me jetais sur elle... je n’avais qu’une seule envie : la prendre tout de suite, sur le plancher empoussiéré, pour soulager mon désir. Elle me repoussa et me dit de monter avec elle, dans sa chambre. Je ne sais en combien de temps on est monté mais c’est allé vite... En se regardant tous les deux on a enlevé nos fringues : Je découvrais enfin son corps, terriblement attirant. Elle s’est allongée, déjà prête à se faire baiser. J’ai répondu à son appel, me ruant littéralement sur ses cuisses... Sa chatte était toute perlée de mouille, et je n’ai eu aucun mal à m’enfoncer d’un coup en elle. J’étais fou, je l’embrassais, je lui malaxais la poitrine comme un mort de faim, tout en la besognant. Bien évidemment... je n’ai pas tenu longtemps !! En quelques secondes (moins de 2 minutes à mon avis)... je me suis déballonné : j’ai éjaculé en elle en grognant, me cachant le visage dans son cou. Franchement c’était pas glorieux, et en fait j’ai vite pris conscience de ma lourdeur, voire de ma grossièreté. A aucun moment je ne lui avais demandé si ça lui plaisait, ou si elle voulait autre chose... je n’avais pensé qu’à moi. Pire... je n’avais pas pensé une minute à lui proposer une capote... bref : le goujat ! Elle me sourit et me repoussa, pour me mettre sur le dos. En se levant sa chatte dégoulina quelques gouttes de mon sperme, vision furtive qui me ré-excita d’un coup. Sans un mot elle s’assit sur moi, m’enfonçant dans sa chatte comme dans une motte de beurre tiède. Elle commença un va et vient rapide, en gémissant. Elle était superbe, ses charmes débordants ballottaient au rythme de son plaisir, cette fois-ci c’était elle qui prenait son pied. Pour ma part je lui pelotais les seins, tour à tour les caressant doucement, puis les mordillant en me redressant, ce qui arrachait des petits couinements à ma partenaire. Elle aussi prit son plaisir assez vite, jouissant en cambrant les reins, tête en arrière, dans un long murmure... pour ma part c’était encore trop et je suis revenu quelques secondes après elle, alors qu’elle avait arrêté de bouger. Je ne crois pas être éjaculateur précoce, mais là je ne pouvais plus tenir...
Après cette étreinte on est resté sur le lit une bonne demi-heure, nus, à se regarder, à s’enlacer gentiment. On a pas dit un mot. Après ce petit temps de repos les caresses sont redevenues plus coquines, et on a remis ça... directement je lui demandais de se mettre à quatre pattes, pour la prendre en levrette. La vision était grandiose : un cul extrêmement large, rond... et offrant une chatte béante... J’ai plongé dedans et je me suis mis à la limer, en la tenant par les hanches. Grandiose mais avouons le son vagin était une vraie piscine, et avec ma petite (relativement) bistouquette ça faisait drôle de baiser un si gros pétard. Lydie faisait des soubresauts pour que je la prenne plus profond. Une discussion s’est alors entamée, lui disant que je n’avais pas vraiment un ’démonte-pneu’ à lui proposer... Elle me dit en riant que son ex avait lui un outillage plus conséquent.
’Crois-moi, si je te la mets dans le cul elle te paraîtra grosse’ lui ais-je lancé comme un défi. ’vas-y’ me dis Lydie tout simplement, en se blottissant la tête dans le lit... C’est que je n’avais jamais enculé personne moi... ma femme n’a jamais voulu, ni mes conquêtes précédentes. Gardant un sang-froid relatif je suis sorti de sa chatte et j’ai commencé à appuyer ma bite contre sa petite rosace, petit trou noir perdu au milieu de ces larges fesses. Après quelques efforts et pas mal de caresses avec mon gland, l’anus s’est décontracté, me laissant entrer par à-coups. C’était divin : j’enculais la cochonne qui m’avait tant fait bander pendant mon adolescence... Je l’ai limée cinq à six minutes, elle ne décollait pas de son oreiller, couinant à chaque coup de boutoir... Je pense que ça lui faisait mal, mais il faut avouer qu’elle l’avait un peu cherché! J’ai fini par décharger ce qui me restait de sperme dans son trou du cul, un gros orgasme même si je pense que le carburant commençait à manquer. Drôle d’ambiance en ressortant de son accueillant derrière, l’anus dilaté recrachait un liquide blanchâtre et en fait ça sentait pas mal la merde... Dépucelage de sodomie que je ne suis pas près d’oublier... Après de nouvelles embrassades nous nous sommes lavés, en silence. Le soir nous avons dîné ensemble, sans en reparler, comme si rien ne c’était passé. Je crois qu’elle n’avait pas vraiment envie de s’engager dans quelque chose de sérieux, encore moins que moi. Cela n’enlève rien à la réelle tendresse que nous avons éprouvée dans ces moments... Le lendemain je ne suis pas venu, j’avais un repas chez des amis assez loin de là, et je n’ai pas osé aller la voir le soir... Le surlendemain, comme nous l’avions prévu je suis retourné chez elle, pour finir le cirage (du parquet....). Nous avons refait l’amour en milieu d’après midi, sur son lit. Je n’ai pas eu droit à son cul, semble-t-il meurtri par la première séance... Enfin, je suis reparti quelques jours plus tard vers l’est de la France, rejoindre mon épouse. Je n’ai pas revu Lydie depuis, et j’ai appris par ma mère qu’elle avait un nouveau compagnon. Je suis sans doute passé au bon moment pour profiter de ses charmes..
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