J’étais installée, nue bien sur, devant la machine. J’avais une envie folle de me branler, de me baiser, de m’enculer. Mon mari juste avant de partir travailler passe, me voit. Comme toujours il vient vers moi, m’embrasse profondément. Sa langue et la mienne se connaissent assez. Pourtant chaque fois c’est une découverte quand nos deux appendices se rencontrent pour se caresser.Une main est sur mon ventre pendant que la langue est dans la bouche. Il me fait encore plus mouiller. Il glisse deux doigts dans la fente. Qu’il me branle bien. Je sors sa belle queue. Elle est parfaite pour ma bouche. Je l’avale presque jusqu’a bout. Il a bon gout. Mes lèvres l’étranglent, l’enserre. Ma langue passe sur le bourrelet, là où il aime que je lui donne du plaisir. Ma tête entame un va et vient qui va le conduite à gicler au fond de ma gorge. Aujourd’hui est un jour béni : c’est mon propre mari que je trompe avec ma machine qui la règle pour que le jouisse avec elle, devant lui. Il met le gode juste à l’entrée de mon con. C’est lui qui met en route l’engin. Je sens le gode pénétrer mon intimité. Il fait plus que me regarder jouir, il me branle. J’ai ses doigts dans ma chatte, le gode de la machine dans le vagin, sa queue dans la bouche : le vrai bonheur. Je m’attache à son plaisir avant le mien. Il jouit sur la langue pas très profond. Quand il sort de la bouche il fait comme un fil qui pendouille entre sa bite et ma langue. C’est fini pour lui. En partant, après un rapide baiser, il me laisse seule. Je suis plus tranquille pour me baiser. Quoique j’aie envie que la machine m’encule une fois de plus. J’aime ses mouvements que je commande, j’aime la sentir aller et venir dans mon cul. Je jouis encore une fois, la dernière que je crois….…Que je crois : une copine entre sans frapper, à moins que occupée par ce que je me fais, je ne l’ai pas entendue. La dernière fois qu’elle a vu la machine, elle était excitée au point de se faire mettre sans que je trouve à redire, sans aussi que j’en profite pour avoir une relation entre fille. Mais aujourd’hui est décidément spécial. Aline me regarde me faire mettre. Elle se met toute nue. Sa main s’attarde longuement sur sa chatte. Elle se donne du plaisir sans pudeur. Mais je n’en ai pas plus en continuant à me faire baiser. Elle montre ce qu’elle se fait, j’ai envie d’elle à cet instant là. Quand je lui demande de me donner sa chate sur la bouche, elle m’enjambe. Je vois tout son sexe, toute son entrejambe, jusqu’à son petit trou. Elle se baisse pour être à ma hauteur. Elle pose ses jambes sur le coussin qui me retient. Nous sommes en 69, chose que l’espérais depuis longtemps sans me l’avouer. Son jus dégouline sur ma bouche. C’est agréablement bon. Je peux voir ses plis internes, son petit trou que je voudrais lécher. Ca y est, ma bouche est sous elle, ma langue après avoir été léchée par mon mari sert pour la lécher elle. Je la lape littéralement. Je sens son souffle sur ma chatte : c’est à la fois excitant et reposant. Et pendant ce temps la machine continue à m’enculer. La bouche d’Aline est sur le clitoris. Sa langue est la meilleure du monde quand elle m‘envoie au 7° ciel. C’est décidé je vais céder ma place. Aline m’embrasse en remercîment. Elle se met pile à ma place. C’est moi qui remets la machine enroute. Aline prend le gode dans la main pour le mettre sur sa chatte. Je regarde comment elle se fait mettre. Comme elle prend son plaisir. J’allais l’aider à jouir quand elle me précède, c’est sa main qui la masturbe. Sa bouche me tente. Je me mets pile sur elle. Pas besoin d’expliquer ce que je voudrais. Sa langue commence son petit travail. C’est qu’elle sait bien lécher. Je sens sa bouche sur mon con, sa langue qui lèche le bouton avant d’aller chercher mon anus. Comment Alice a-t-elle su que je désirais sa langue sur mon cul ? Je suis accrouoe sur elle, je peux regarder le gode l’enculer. Il va et vient en elle aussi facilement qu’une bite. Elle gémit de plaisir : je jouis aussi encore une fois. Aline se tortille avec le gode dans l’anus. Je ne pensais jamais qu’elle aime autant la sodomie. Il faudra que j’en parle à mon mari qui aime justement me la mettre derrière. Il voudra certainement se payer le cul d’Aline. J’aimerais bien les voir ensemble pendant que je me masturbe.
