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Un macho brisé

Chapitre 1

Travesti / Trans
UN MACHO BRISÉ

Bonjour à vous, mes lecteurs qui me suivent depuis mes débuts sur Xstory. Merci beaucoup pour votre accueil plutôt chaleureux envers mon premier récit érotique “Une Fleur Soumise”. Comme vous le savez déjà, “Une Fleur Soumise” retrace ma vie pendant la période de deux mille vingt à deux mille vingt-deux au travers d’un récit autobiographique, qui raconte uniquement des événements qui se sont produits réellement. Je prends beaucoup de plaisir à raconter mon expérience de vie, afin de vous inspirer à vivre vos rêves. J’ai beaucoup d’inspirations et d’idées qui me parviennent dernièrement et je trouve cela dommage de ne pas vous en faire profiter. Je rencontre plusieurs limites dans la narration de mon premier récit érotique et c’est pourquoi je me lance dans l’écriture d’un nouveau récit érotique “Un Macho Brisé”, qui est un récit fictif dans lequel je narre beaucoup de mes fantasmes et envies.
Ce nouveau récit va me permettre d’être encore plus libre dans l’expression de mes pensées. J’espère que ce nouveau format vous plaira.

Je vous souhaite une bonne lecture et de passer un agréable moment.
Fleur
CHAPITRE 1: UN MENTAL BRISÉ
Nous sommes en deux mille vingt-trois, dans un quartier chic du nord de la France. Une somptueuse maison se dresse dans une grande propriété de plusieurs hectares de superficie. Cet endroit est le reflet de la richesse et de l’opulence de ses occupants. Au pied de cette maison se trouve un garage qui contient diverses voitures de collection. Parmi toutes ces voitures hors de prix, une seule déteint par sa couleur rose bonbon et son modèle plutôt basique. La maison qui abrite ce garage est sur plusieurs étages et contient de nombreuses pièces. Au rez-de-chaussée se trouve un grand salon décoré avec soin et goût.
Actuellement, la nuit tombe et une réception a lieu dans ce salon majestueux. La maîtresse des lieux, Madame Anastasia Ravenkov, reçoit plusieurs femmes. Anastasia est une femme brune de 34 ans avec de beaux cheveux blonds qui lui arrivent en bas du dos ; elle a les yeux de couleur noisette, une taille fine et une belle poitrine naturelle mises en valeur par une superbe robe longue de couleur noire et un maquillage très sophistiqué. Elle porte également de beaux talons hauts qui lui font des jambes interminables. Les autres femmes présentes dans la pièce sont aussi habillées avec soin et délicatesse. Tout le monde a l’air de beaucoup s’amuser en écoutant le récit de Madame Ravenkov. Après un long fou rire général, Anastasia reprend la parole :
— Voilà Mesdames, vous savez tout désormais. Je vous propose de faire venir maintenant cette chère Gwendoline !
La foule acclame cette annonce et Ana saisit une cloche posée sur la table basse devant elle et la fait sonner à plusieurs reprises. Après plusieurs secondes d’attente et s’impatientant devant l’absence de réaction de sa domestique, Anastasia hausse la voix :
— Sissy Gwendoline ! Où es-tu espèce de cruche ? Tu es encore en train de t’admirer ?
Dans la salle de bain du rez-de-chaussée se trouve Gwendoline, une jeune Sissy de 35 ans qui se regarde dans le miroir. Elle a de longs cheveux bruns divisés en deux couettes qui encadrent son beau visage maquillé avec soin. Elle a également des sourcils très fins et taillés avec soin, des yeux de biche de couleur verte et une bouche bien charnue mise en valeur par un gloss rose brillant. Gwen porte un collier en métal sans ouverture avec une médaille en forme de cœur sur laquelle est gravée “Sissy Gwendoline, Propriété de Maîtresse Anastasia”. Sissy Gwendoline est dans une robe courte pleine de froufrous de couleur rose, qui met en valeur sa poitrine naissante et elle porte également un ensemble de bas et porte-jarretelles d’un blanc immaculé. Pour finir, elle porte des chaussures à talons rose bonbon d’environ dix centimètres de hauteur.
Gwendoline sursaute et rougit fortement en attendant l’appel de celle qui est maintenant sa maîtresse. Elle n’arrive pas à se décider de sortir de la salle de bain et surtout pas dans cette tenue et devant des inconnues. Soudain elle entend des bruits de talon venir dans sa direction. Anastasia avec un regard féroce surgit dans la salle de bain en tenant une laisse. La sissy tremble devant le regard de sa maîtresse et baisse les yeux comme on lui a appris.

— Qu’est-ce que je disais ! Je vais finir par t’interdire de te regarder dans un miroir, ça t’empêche d’accomplir ton devoir envers moi. D’ailleurs tu viens de gagner une punition, car tu oses me faire déplacer. Quand la cloche sonne, tu dois accourir immédiatement à mes pieds. Même ton cerveau de sissy doit pouvoir être capable de retenir une règle aussi simple !
Anastasia accroche la laisse au collier de Gwen et essaie de la tirer hors de la pièce.
— Dépêche-toi ! Je te conseille fortement de ne pas traîner. Tu es là pour faire le service et nos invités ont soif et surtout elles ont hâte de rencontrer ma sissy, dit-elle avec un petit ricanement.
Les jambes de Gwendoline tremblent et elle n’arrive pas à avancer malgré la traction de sa laisse. Avec des larmes aux yeux et une voix tremblante, Gwen répond à sa maîtresse avec une petite voix :
— Pitié Maîtresse ! Je ferais ce que vous voulez ! Je vous en supplie de ne pas m’exposer devant des inconnues.— Tu fais déjà ce que je veux et ne t’inquiète pas, tu connais très bien nos invités, peut-être même trop bien... lui répondit durement Anastasia.
Gwendoline finit par suivre sa maîtresse à travers le long couloir qui mène au salon. Elle essaye de se concentrer pour ne pas tomber avec ces nouveaux talons, offerts par sa maîtresse le matin même. Des larmes commencent à couler sur les joues roses de la Sissy et la peur lui fait trembler de plus en plus les jambes. Une fois devant la porte du salon, Anastasia éclaircit sa voix et annonce haut et fort :
— Mesdames, je vous présente officiellement celle qui est maintenant mon ex-mari et qui est également ma domestique depuis quelques mois, Sissy Gwendoline ! Excusez-la pour son retard, elle était en train de rafraîchir son maquillage avant d’apparaître devant vous dans sa plus belle tenue. Elle est devenue très coquette dernièrement.
En rentrant dans la pièce, Anastasia tire d’un coup sec sur la laisse qui fait chuter dans le salon la sissy. Elle se rattrape heureusement avec ses mains et elle finit à quatre pattes sur le tapis du salon. Gwen entend autour d’elle des éclats de rire et avec honte, elle lève les yeux pour voir qui sont ces personnes hilares. Plusieurs femmes magnifiquement vêtues sont présentes et leurs visages ne sont pas inconnus pour la sissy. Ce sont des collègues de travail ainsi que ses anciennes conquêtes ! Un coup de laisse et une vive douleur, sur ses fesses découvertes, la ramènent à l’ordre.
— Voyons Sissy, qu’est-ce que tu es maladroite ! Tu ne sais même pas marcher avec des talons. Relève-toi, tu es encore plus pitoyable à quatre pattes, lui-dit maîtresse Ana.
Remplie de honte, Sissy Gwendoline se relève tant bien que mal. Elle décide de regarder le sol afin de ne plus voir ces multiples sourires moqueurs.
— Comme tu as pu le voir Sissy, j’ai réuni des personnes que tu connais très bien, car tu as couché avec toutes ces dames avant de t’en débarrasser sans aucun état d’âme. Lorsqu’elles ont appris que je reprends ton éducation en main, elles ont tenu à te rencontrer, Sissy, afin de participer activement à ton programme de rééducation.
Gwen essaie de rester le plus impassible, mais son corps n’arrête pas de trembler de peur et d’humiliation. Un brouhaha s’élève dans la salle et de multiples questions fusent. Maîtresse Ana fait taire l’assemblée en levant d’un coup sec la robe de sa Sissy. Les invités se captivent pour une sorte de cage rose minuscule qui se situe sur le sexe de Gwendoline. Ana reprit la parole après un long moment de silence, le temps de savourer le regard de ses invitées :
— Ceci est une cage de chasteté, Mesdames, et c’est le secret pour rééduquer les mâles. Sissy Gwendoline, dis-nous pour quelle raison tu portes une cage de chasteté ?
Nouvelle humiliation pour Gwendoline qui se remémore les circonstances de son encagement. Ses joues deviennent rouges de honte et des larmes recommencent à couler sur son doux visage. Elle n’arrive pas à répondre à la question tant le souvenir est honteux pour elle.
— Oh comme c’est mignon ! Elle pleure de joie en se rappelant ce moment qui a mis fin à sa vie d’homme, s’exclame Anastasia avec un ton sarcastique.— Maîtresse, je vous en supplie..., dit Gwen d’une voix tremblante.
Maîtresse Anastasia coupe la parole de sa Sissy et déclare :
— Comme tu es devenue trop stupide maintenant pour répondre à une question aussi simple, je vais le faire à ta place. Gwendoline, ici présente, a eu l’audace de se prendre pour un homme fort et viril. Elle a abusé de sa position de chef d’entreprise pour manipuler plusieurs d’entre vous pour coucher avec elle. Mais elle a commis une grossière erreur ; celle de sous-estimer la gent féminine. Grâce à la complicité de Fleur, sa secrétaire de direction, Gwen s’est retrouvé avec une cage de chasteté, après un énième écart de conduite envers nous.
Des ondes de colère et vengeance parviennent à Sissy Gwen qui se met à trembler de plus en plus. Elle comprend maintenant pourquoi ses anciennes conquêtes sont réunies aujourd’hui dans cette pièce. Elles sont là pour se venger et l’humilier profondément. Sophie, la comptable de l’entreprise, s’adresse à Anastasia :
— Depuis combien de temps est-elle enfermée dans cette cage ?— Ça fait six mois qu’elle est en cage et son sexe n’a pas eu de sortie depuis. De toute façon, que peut-elle faire avec son micro pénis ? Elle ne bande plus depuis plusieurs mois et elle n’est pas prête d’avoir de nouveau ce privilège, répond Anastasia avec rage.
Gwendoline sent de plus en plus de larmes couler sur son visage. Son sexe lui manque et ses multiples orgasmes quotidiens aussi. Elle est morte de honte devant l’évocation de son pénis. C’est vrai que depuis plusieurs mois, ses érections ont disparu et son pénis rétrécit de plus en plus. De nouvelles questions fusent dans le salon et Anastasia reprend la parole :
— Mesdames, je comprends votre enthousiasme à en apprendre plus et à participer à la rééducation de Gwendoline. Mais je dois vous interrompre, car je dois maintenant m’occuper de cette Sissy désobéissante. Je lui ai promis une punition pour ne pas être venue lorsque j’ai sonné la cloche. Elle va donc recevoir la cravache sous vos yeux. Et comme elle n’a pas expliqué elle-même pourquoi elle porte une cage de chasteté, je vous propose à toutes de participer à sa punition. Chacune de vous va lui donner dix coups de cravache sur les fesses et la première qui réussira à lui soutirer des excuses sincères, sur la façon dont elle vous a traitée, pourra repartir avec les clefs de la cage de chasteté de cette malheureuse Sissy.
Gwendoline affiche désormais un regard de terreur et elle n’arrive pas à reprendre son souffle. Elle finit par comprendre que si elle veut un jour récupérer la clef de sa cage de chasteté, elle doit tenir pendant toute la punition sans s’excuser. Gwen cherche malgré tout le regard de sa maîtresse pour la supplier de renoncer à cette terrible punition. Maîtresse Anastasia la regarde avec une lueur sadique dans les yeux et lui annonce :
— Comme tu ne sais sûrement plus compter, tu vas avoir cinquante coups de cravache de nos invitées ce soir ! Enlève ta robe Sissy et mets-toi à plat ventre sur la table basse.
Encore une nouvelle humiliation pour Sissy Gwendoline qui doit retirer sa robe devant tout le monde. Une fois la tâche faite, les dames admirent la belle lingerie de Gwen ainsi que ses seins naissants. De plus en plus gênée par le regard des invités sur son corps, Gwendoline s’empresse de s’allonger sur la table basse froide. Sa maîtresse ne tarde pas à l’attacher aux pieds de la table. Sissy Gwen ne peut plus bouger ses bras et ses jambes et elle se sent complètement vulnérable. Anastasia lui met un coussin sous son bassin pour que ses fesses se redressent et n’échappent pas à la punition.
— Comme la plupart d’entre vous n’ont pas d’expérience en punition corporelle et maniement de la cravache, je me propose d’ouvrir le bal. Observez bien la zone sur laquelle je tape avec mon instrument. Ceci est une punition avant tout et je ne veux pas que ma Sissy soit abîmée. Et bien sûr, Sissy, pas besoin de te confesser auprès de moi dans l’espoir que je garde la clef de ta cage, ça serait trop facile ; dit Maîtresse Anastasia avec un sourire sadique.
Un silence s’abat dans le salon et Sissy Gwendoline attend avec peur le premier impact sur sa chair. Soudainement, Gwen entend un petit sifflement dans l’air et une douleur lancinante s’abat sur sa fesse droite. Elle ne peut pas retenir un petit cri de surprise et de douleur. Rapidement un deuxième coup de cravache aussi fort que le premier, atterrit sur sa fesse gauche. Gwendoline essaye d’échapper aux coups suivants, mais ses entraves sont trop rigides. Pendant tout ce temps-là, Maîtresse Ana en profite pour donner des conseils à ses spectatrices sur le maniement de cet outil cruel. Au bout du dixième coup, Sissy Gwendoline est en larmes et son maquillage commence même à couler sur son visage. Anastasia décide de mettre fin à cette démonstration, car elle sent que son public s’impatiente.
— Parfait, je pense que vous avez saisi le fonctionnement de la cravache. Je vous propose maintenant de commencer notre concours, dit Anastasia avec enthousiasme.
Un trépignement d’impatience parcourt le public et Anastasia finit par lancer le tirage au sort pour désigner l’heureuse première participante. Marlène a ce privilège et elle saisit avec conviction la cravache qu’Ana lui tend. Cette jeune femme blonde aux yeux bleus et à forte poitrine occupe le rôle de commerciale dans l’ex-entreprise de Gwendoline. Elle se positionne devant la sissy entravée pour bien admirer sa déchéance. Il ne reste pas grand-chose du patron charismatique qui l’a séduite à peine quelques semaines après son arrivée dans l’entreprise. Les yeux terrorisés de la sissy croisent ceux de son ex-conquête remplie de fureur. Gwendoline frissonne de peur tandis que Marlène sort de son champ de vision pour se positionner au niveau de ses fesses.
Les deux premiers coups sur ses fesses sont timides et sans trop de force. Sissy Gwendoline n’émet pas de bruit et Marlène décide d’y aller plus fort. Elle repense à la façon dont son ex-patron a mis fin brutalement à leur relation après l’avoir prise brutalement sur son bureau, une fois le personnel parti. La colère monte dans son corps et sept coups forts se succèdent. Cette fois-ci, Sissy Gwendoline crie sa douleur en sentant son fessier devenir de plus en plus chaud.
— Tu n’as pas quelque chose à me dire Sissy ? dit Marlène avec hargne.
Gwendoline ne répond pas à sa question et essaye même de rafraîchir son fessier douloureux en le bougeant de droite à gauche. Malheureusement, pour la sissy, en gesticulant de la sorte, ses testicules se déplacent et se mettent dans la trajectoire du dernier coup de cravache de Marlène. L’impact est horrible et une forte douleur irradie dans le corps de la sissy. Marlène, avec un sourire satisfait, redonne la cravache à Anastasia. Maîtresse Ana vérifie la zone d’impact, ne voit rien d’anormal et déclare :
— Rien de bien méchant, arrête ton cinéma Sissy ! Apprends à rester bien immobile lorsque l’on te punit. Nous allons maintenant passer aux candidates suivantes.
Sissy Gwendoline n’arrive pas à se remettre de ce coup dans les testicules et elle pleure encore à chaudes larmes. Ses fesses sont brûlantes et elle essaye de réajuster sa position pour cacher au mieux ses testicules. Gwen voit une autre de ses anciennes conquêtes s’avancer vers elle avec la cravache. Il s’agit de Sophie de la comptabilité, une petite femme brune avec des yeux verts et de petits seins. Gwendoline se rappelle de l’avoir baisée dans les toilettes pour femmes, après plusieurs jours de séduction, et de l’avoir larguée sans aucun mot après l’acte. Sophie a un regard rempli de fureur et elle est là pour se venger. Ses coups violents se succèdent, arrachant des cris à son ex-employeur. Mais là encore, Gwendoline pense à la clef de sa cage de chasteté et ne s’excuse pas.
Pendant plusieurs dizaines de minutes, toutes les femmes présentes se succèdent et punissent la sissy impitoyablement chacune à leurs façons. Gwendoline se rappelle à chaque fois comment elle a séduit son bourreau pour baiser avec elle avant de la larguer sans pitié. Son maquillage a complètement coulé sur son visage et ses fesses sont très douloureuses. Mais malgré la douleur, Sissy Gwendoline est fière d’avoir tenu pendant toute la punition. Elle refuse de donner satisfaction à ces femmes. Maîtresse Anastasia reprend la parole :
— Malgré une cinquantaine de coups de cravache, tu ne t’es pas excusé sissy. Cela montre à quel point tu méprises la gent féminine. Avant que tu ne te fasses des illusions, j’aimerais te présenter une invitée de dernière minute qui nous a rejoints.
Gwendoline entend derrière elle des bruits de talons qui se rapprochent du salon. Une femme avec des cheveux noirs coupés en carré, des yeux noisette, une bouche rouge pulpeuse, rentre dans le salon. Avant même de l’avoir sous les yeux, Sissy Gwendoline reconnaît le parfum cette nouvelle femme. Il s’agit de Fleur, son ex-secrétaire de direction qui pour l’occasion est vêtue d’une magnifique robe rouge qui met en valeur ses formes.
— Ravie de voir que tu as pu te libérer de tes obligations pour nous rejoindre Fleur, dit Anastasia.— Je n’aurai manqué ce moment pour rien au monde, répondit avec joie Fleur.
Après avoir fait la bise à sa nouvelle invitée, Maîtresse Anastasia reprend son discours :
— Comme vous le savez toutes, notamment grâce à la transphobie de Gwendoline, Fleur est une femme transgenre. Depuis qu’elle est arrivée dans l’entreprise, notre chère Gwen a passé son temps à l’humilier publiquement. En plus du harcèlement moral quotidien, Fleur a également subi plusieurs gestes déplacés de la part de notre ex-patron. Au lieu de quitter l’entreprise, Fleur a décidé de rester pour m’aider à remettre dans le droit chemin Gwendoline. Lors d’un déplacement professionnel avec son ex-employeur, elle a réussi à glisser un somnifère dans le champagne de cet être abject. Une fois celui-ci endormi, Fleur lui a enfilé la cage de chasteté que je lui ai fournie au préalable. Depuis ce jour, nous sommes libérées de l’oppression constante et j’ai même gagné une domestique. Pour cela, tu as toute ma gratitude Fleur.
Anastasia se met à l’applaudir et ses invités y participent également. Fleur rougit légèrement devant cette ovation et affiche un sourire de fierté. Ana reprend son discours :
— Un nouveau règlement a été mis en place dans l’entreprise et toutes les formes de discriminations et harcèlements sont sévèrement punies. C’est pourquoi j’ai demandé à Fleur de nous rejoindre aujourd’hui, car il est temps qu’elle règle aussi ses comptes avec celle qui fut son harceleur.
Fleur est en train de jubiler intérieurement quand Anastasia lui tend la cravache :
— Tu as le droit également de lui infliger dix coups de cravache et bien sûr je te propose de faire partie de notre groupe de rééducation.— Merci Ana pour ce privilège, je dois dire que je suis heureuse de participer au formatage de cette sissy. Elle doit montrer l’exemple aux autres mâles de l’entreprise pour éliminer définitivement leurs instincts de sauvages.
Fleur se positionne derrière les fesses de la sissy et en profite même pour les effleurer avec sa cravache. Gwendoline est de nouveau en train de trembler, car elle sait que Fleur ne va pas l’épargner. Soudain un rapide déplacement d’air se fait entendre et un fort impact a lieu sur la fesse droite de la sissy. Gwen hurle plus fort cette fois-ci et elle se remet immédiatement à pleurer de tout son corps. Un autre coup encore plus fort s’abat de nouveau sur sa fesse droite en arrachant une longue plainte à la sissy. Fleur renouvelle la même technique sur la fesse gauche de la sissy. Les fesses de la sissy sont désormais de couleur violette au niveau des impacts. Gwendoline ne voit pas comment elle va endurer encore plusieurs autres coups à cette intensité et elle laisse échapper d’une voix pitoyable :
— Pardon Fleur, je suis désolée...
Un nouveau coup de cravache l’atteint cette fois-ci au niveau des deux fesses et Gwendoline sanglote plus fort.
— C’est Madame Fleur pour toi Sissy ! Je trouve que tes excuses manquent de conviction, dit Fleur.
Un nouveau coup puissant impacte les fesses de Gwen et celle-ci se confond en excuses devant cette femme pas comme les autres :
— Je vous demande sincèrement pardon pour tout le mal que je vous ai fait, Madame Fleur, hurla Gwendoline entre deux sanglots.
Toutes les filles de la salle applaudissent de nouveau avec joie et Fleur reprend la parole :
— Sissy Gwendoline, tu vas devoir prouver que tes excuses sont sincères en me suçant maintenant, dit Fleur en sortant de sous sa robe un pénis déjà bien raide.
Anastasia apprécie l’initiative de Fleur et annonce :
— C’est une très bonne idée et je veux que tu fasses jouir ce pénis, Sissy, sinon tu auras une nouvelle punition.
Anastasia détache sa soubrette et lui ordonne de se mettre à genoux devant Fleur. Une fois en position, Sissy Gwendoline ferme la bouche avec obstination.
— Tu es sûre de ne pas vouloir y goûter Sissy ? Dois-je conclure que tes excuses sont fausses et que je dois reprendre la cravache pour continuer ta punition ?
Gwendoline frissonne à la pensée de se refaire punir par cette femme. Quelques secondes passent et elle commence à sentir l’odeur caractéristique d’un pénis excité. Elle honore déjà tous les matins l’amant de sa maîtresse et elle trouve de plus en plus cette odeur irrésistible. L’odeur devient plus forte et Gwendoline se surprend en ayant la bouche qui salive. Soudain sans comprendre ce qui se passe, la bouche de la sissy s’ouvre toute seule et Fleur en profite pour y rentrer son pénis. Gwendoline sent le membre chaud et rigide dans sa bouche et elle commence mécaniquement un va-et-vient dessus. Fleur gémit de plaisir et Gwendoline prend de plus en plus plaisir à sucer ce pénis de femme.
Pendant plusieurs minutes, Gwendoline met en application les leçons que l’amant de sa maîtresse lui a apprises. Finalement, le pénis dans la bouche de la sissy se contracte et gicle quelques gouttes de sperme chaud tandis que Fleur hurle sa jouissance. Immédiatement Gwendoline avale le liquide jaunâtre et nettoie le sexe de Fleur qui reprend des dimensions raisonnables.
Fleur remet sa robe en place et saisit un collier avec une clef suspendue que lui tend Anastasia.
— Tu es à présent la propriétaire de la clef de la cage de chasteté de Sissy Gwendoline, fais-en ce que tu en souhaites, dit Anastasia avec jubilation.— J’en ferai bon usage ! répondit Fleur en fixant le collier sur son cou.
Sissy Gwendoline est toujours à genoux dans le salon et elle commence à reprendre ses esprits. Soudainement elle s’affale sur le sol et éclate de nouveau en sanglots, car elle vient de comprendre qu’elle a perdu sa seule chance de liberté. Sa dernière pensée est :
— Mais comment j’en suis arrivée là ?
FIN ?
Merci d’avoir lu mon nouveau récit érotique. N’hésitez pas à donner votre avis sur ce nouveau format d’écriture. Voulez-vous en savoir plus sur les aventures de Sissy Gwendoline, de sa maîtresse Anastasia et de l’impitoyable secrétaire Fleur ?
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