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Madame la D.R.H.

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Voilà. Ca y est. Je suis devant elle. Je suis assis, dans son bureau, face à elle. Elle est confortablement assise dans son fauteuil noir derrière son bureau de verre qui la révèle complètement. Elle me fixe. Je n’ose pas regarder, mais je sais qu’elle porte une jupe noire semi-brillante saillante, des bottes hautes en cuir noires et à talons aiguille, et des collants noirs ; je le sais, car je l’ai croisée dans la journée. Elle croise, décroise, et recroise patiemment ses longues jambes, j’entends crisser ses collants. Sur le côté de son bureau de verre est posée sa paire de gants de cuir noir.
Elle c’est la D. R. H., la Directrice des Ressources Humaines. Je suis une ressource humaine. Je suis salarié dans la même entreprise qui l’emploie. J’y suis ingénieur technico-commercial depuis 11 ans. Elle est arrivée il y a 1 an. J’ai 40 ans. Elle a une dizaine d’années de moins que moi.
Elle m’a convoqué dans son bureau ce vendredi 17h00. J’ai reçu la convocation mardi. Depuis mardi, je suis stressé évidemment. Elle le sait. Ses deux secrétaires sont venues me remettre ma convocation en mains propres. Tout est orchestré pour que je sois vulnérable. Moi, ingénieur, convoqué par deux secrétaires, deux belles jeunes femmes qui portent soit des escarpins à talons aiguille soit des bottes à talons hauts. J’ai l’impression que c’est uniquement quand la D. R. H. porte des cuissardes que les secrétaires portent des bottes, comme si leurs jambes devaient toujours être moins couvertes que celles de la D. R. H. ...
Le motif de ma convocation est harcèlement. Incroyable. Accusation infamante. Bien sûr, c’est faux. Et les intentions de la D. R. H. se dessinent depuis quelques mois, elle a réussi à faire partir trois cadres qui étaient présents depuis plus de 10 ans, elle les a remplacés par trois femmes de son âge, recrutées par elle-même et qui lui paraissent dévouées. Je peux dire qu’aujourd’hui, c’est mon tour d’être remplacé, peut-être a-t-elle déjà trouvé ma remplaçante ...
— Renaud, savez-vous pourquoi je vous ai convoqué ? — Oui Eva. — Pourquoi Renaud ? — Parce que je suis accusé de harcèlement. Mais je ne sais pas sur qui. Et c’est faux. Eva. — Le harcèlement est une faute grave Renaud. Personnellement, je déteste ça, j’ai déjà eu à traiter trois cas de harcèlement d’hommes sur des femmes, et ça m’est très difficile de contenir ma colère à chaque fois. Mais restons sur votre cas Renaud. En fait, mes secrétaires m’ont confié vous avoir surpris plusieurs fois en train de forcer l’une de nos salariées à accepter vos avances ...
Les secrétaires ! Les garces ! Les menteuses !
— C’est absolument faux Eva ! — Vu les circonstances, vous allez m’appeler Madame la Directrice, Renaud. — Je n’ai harcelé personne ! — Confirmez-moi que vous avez bien compris ce que je vous ai demandé Renaud. — C’est faux ! Vos secrétaires mentent ! C’est impossible ! Qui est cette salariée soi-disant harcelée ? — Confirmez-moi que vous avez bien compris ce que je vous ai demandé Renaud. — C’est faux ! Vos secrétaires mentent !
Elle ne répond pas. Elle enfile lentement ses gants en cuir noir, tend ses doigts, puis ferme le poing, puis tend encore ses doigts. Elle se lève, descend la marche de l’estrade sur laquelle pose son bureau de verre, se dirige vers moi lentement, mais décidée, j’entends claquer les talons hauts de ses bottes noires sur le parquet, elle s’arrête tout près de moi, droite. Elle me regarde fixement et silencieusement. Soudain, elle me gifle violemment, de la main droite, de sa main gantée de cuir ! Ma tête pivote violemment sur la droite puis je la fixe, hébété. Elle me gifle une seconde fois ! Je porte ma main gauche sur ma joue gauche pour apaiser la douleur tout en la regardant, hébété. Elle me regarde de haut, et de près, tout en réajustant son gant droit. Elle lève sa main droite, je me protège le visage, rien ne se passe, je baisse mes mains, et soudain sa main gantée du cuir s’abat une troisième fois sur moi !

Je ne la regarde plus, mes mains sont accrochées à la chaise, ma tête est penchée sur mon épaule droite et je fixe le parquet.
Elle m’assène une quatrième gifle ! Puis une cinquième ! Je ne bouge plus ! Elle me regarde de haut encore quelques instants sans exprimer la moindre émotion. Elle contemple son œuvre. Puis elle se retourne et rejoint son bureau. Le claquement de ses bottes sur le parquet est plus fort que tout à l’heure. Elle retire délicatement ses gants et les repose sur le coin de son bureau tout aussi délicatement.
— Vu les circonstances, vous allez m’appeler Madame la Directrice, Renaud. — ... Oui Madame la Directrice. — J’ai deux témoins qui confirment le harcèlement. Nous allons donc déclencher une enquête menée par moi-même et mes deux secrétaires, et les déléguées du personnel. Vous comprenez Renaud ? — Oui Madame la Directrice.
Ce que Madame la Directrice veut que je comprenne, c’est que cette enquête me mènera à ma perte, bien que l’accusation soit fausse, car si les déléguées du personnel s’en mêlent, tout sera rendu public, et un ingénieur devra se justifier auprès d’ouvrières. Les accusations seront renforcées par les secrétaires et par le féminisme et le populisme des déléguées du personnel.
— S’il vous plaît, non Madame la Directrice, ne faites pas ça, je perdrai mon poste, je serai humilié. — ... — S’il vous plaît Madame la Directrice. — ... — ... Ne faites pas ça. Je ferai ce que vous voudrez Madame la Directrice, tout ce que vous voudrez, Madame la Directrice.
Elle se lève, elle vient vers moi tout en enfilant savoureusement ses gants en cuir noir. Elle est tout près de moi, comme tout à l’heure, sur mon côté gauche, les jambes légèrement écartées, déhanchée, les mains dans le dos.
— Ce que je veux, c’est que tu mettes tes mains dans le dos.
Elle me tutoie désormais ...
— ...
Je m’exécute, sans lever les yeux sur elle.
— Quand j’exige quelque chose de toi, avant de t’exécuter, tu dis oui Madame la Directrice. As-tu compris ? — Oui Madame la Directrice. — Demande-moi pardon pour ne pas avoir dit ui Madame la Directrice, et recommence. — Pardon Madame la Directrice.
Elle me gifle de nouveau !
— Mieux que ça. — Pardon Madame la Directrice.
Elle me gifle encore !
— Mieux que ça !
Elle me frappe d’abord et c’est à moi de comprendre ensuite pourquoi elle me frappe. Je ne suis pas digne qu’elle m’explique. Du coin des yeux, je la vois réajuster son gant de cuir noir, mon excitation augmente chaque fois qu’elle fait ça et chaque fois qu’elle enfile ses gants et même ... chaque fois qu’elle me gifle. Je suis convaincu qu’elle s’en est rendu compte, je ne sais pas comment cacher mon entrejambe, et c’est trop tard ...
— Je vous demande votre pardon, Madame la Directrice.
Elle ne me gifle pas.
— C’est mieux, mais je veux mieux que ça.
Elle pose sa main gantée sur ma gorge puis me saisis à la gorge. Je ne résiste pas, au contraire, je me penche en arrière pour exposer ma gorge, je lui offre ma gorge.
— J’implore votre pardon, Madame la Directrice. — C’est beaucoup mieux, tu es sur la bonne voie, mais c’est insuffisant.
Elle s’éloigne légèrement de moi. Elle se tient debout sur ma gauche, jambes écartées, déhanchée, bras croisés, et elle me fixe. La longueur de ses jambes est incroyable, renforcée par ses bottes, et la fente de sa jupe.Je me lève doucement, je me dirige vers elle tel un automate, sans jamais lever les yeux sur elle, automatiquement comme intuitivement, je me prosterne à ses bottes.
— J’implore votre pardon, Madame la Directrice.
Puis je pose mon visage contre le sol à quelques centimètres de ses bottes. Pendant une quinzaine de secondes qui paraissent des minutes, elle reste sans réaction, elle contemple encore son œuvre ou me laisse prendre conscience de mon état. Puis elle soulève doucement sa botte.
— Glisse ta tête sous ma botte. — Oui Madame la Directrice.
Et elle pose sa botte sur mon crâne. Mon excitation est à son comble ! Elle écrase mon crâne sous sa botte. Je sens la pression de son talon, je sens la pression de sa semelle.
— Tu as trouvé ta place. Désormais, tu m’appelles Maîtresse. Et tu réponds au nom d’esclave. As-tu compris esclave ?! — Oui Maîtresse.
La Maîtresse me libère.
— Mets-toi à quatre pattes, esclave. — Oui Maîtresse. — Tu es à mes bottes. Tu m’appartiens. Tu es ma propriété. Dis-le esclave ! — Je vous appartiens Maîtresse ! Je suis votre propriété Maîtresse ! — Quand tu seras sage, tu auras la permission de lécher mes bottes, et quand tu seras très sage, tu auras la permission de sucer le talon de mes bottes esclave. Compris esclave ?! — Oui Maîtresse.
Elle tourne plusieurs fois lentement et sûre d’elle autour de moi. Ses bottes claquent sur le parquet. Ses bottes se posent très près de mes mains. Puis je sens sa botte se glisser sous ma gorge alors que je suis toujours à quatre pattes à ses bottes.
— Dresse-toi sur tes genoux, esclave !
Ce qu’elle m’ « aide » à faire en levant ma gorge avec sa botte ! Je suis automatiquement le mouvement qu’elle initie.
— Oui Maîtresse.
Je me retrouve à genoux. Elle se plante devant moi, ses longues jambes parfaites légèrement écartées. Je n’ai jamais vu sa jupe fendue et ses collants noirs (à moins que ce ne soit des bas ?) d’aussi prêt. Puis elle m’assène de nombreuses et violentes gifles avec ses gants de cuir noir. J’ai droit à des pauses parce qu’elle réajuste ses gants de cuir. Et parce qu’elle saisit parfois ma gorge ou ma mâchoire dans sa main gantée de cuir,
— Regarde ta Maîtresse esclave !
je n’y arrive pas.
— Regarde ta Maîtresse esclave !
Je lève craintivement les yeux sur ma Maîtresse, elle plonge son regard en moi, elle lit la soumission et l’obéissance en moi, elle prend plaisir à ça, c’est la première fois que je ressens son plaisir. Puis les gifles reprennent. Les gifles sont si violentes qu’il arrive que les bottes de la Maîtresse pivotent ou glissent sur le parquet ! Je peux voir ses superbes jambes travailler, se plier, pivoter, pour garder l’équilibre. Parfois, l’une de ses bottes est légèrement décollée du parquet et tout l’appui de la Maîtresse est exercé sur une seule jambe, jusqu’au parquet en passant par sa botte, et le talon aiguille de sa botte.
Ce ne sont plus des gifles pour me punir comme tout à l’heure. Le moment n’est plus à la punition, mais au dressage ... Tout à l’heure, j’ai accepté, j’ai voulu, j’ai désiré aller lécher ses bottes ... Ce faisant, je lui ai offert ma dignité et mon obéissance, je les ai déposées à ses bottes ... Ma Maîtresse l’a su avant moi ...
Les gifles sont désormais terminées. J’ai fini par gémir puis supplier ... Ce n’est pas pour ça que la Maîtresse a arrêté ...
— Regarde ta Maîtresse esclave !
Je ne peux plus parler. J’obéis. Elle se tient devant moi, jambes encore écartées, les mains à la taille, ses lèvres sont rouges, elle halète, sa poitrine se soulève au rythme de sa respiration. Elle est magnifique. J’ai le privilège de me tenir à genoux aux bottes de cette déesse !
— Prends ma botte dans tes mains. — ... — Lèche esclave. — ...
J’obéis. Mon plaisir est total. Je voudrais que ma bouche, mes lèvres, et ma langue soient plus grandes pour profiter encore plus de ce plaisir !
— Ca suffit esclave ! Tu as eu assez de plaisir ! — ...
Je stoppe immédiatement tout en restant à quatre pattes.
— Dirige-toi à quatre pattes vers la porte. — ... — Lève-toi. — ... — Ouvre la porte. Et sors. Esclave. — ...
J’obéis.
Je referme la porte. Je suis sorti. Je me retrouve dans le hall. Suis-je toujours un esclave ? Je me rends compte que les deux secrétaires de la D. R. H. ... de ma Maîtresse ? ... me regardent malicieusement et en souriant. Leurs bureaux sont à l’entrée du bureau de la D. R. H. ... Elles ont entendu les gifles, elles ont entendu mes implorations ... Je suis devenu et je reste un esclave, je sers ma Maîtresse ......Voilà une semaine que je n’ai pas revu la D. R. H.
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