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Madame la directrice RH

Chapitre 2

Hétéro
Je ne peux pas faire ça. Je ne dois pas faire ça. Je ne veux pas faire ça. Et pourtant à peine sa phrase achevée, je tends ma main en direction de son sexe et le prends entre mes doigts. Il est effectivement chaud au toucher, et je commence un mouvement de friction de bas en haut. Rapidement, il prend de la vigueur et se met à grossir dans le creux de ma paume. Effectivement, il est bien plus massif que celui de mon ex, il doit environ avoir la circonférence d’un poignet, et bien qu’il ne soit pas plus long, je suis fascinée par son diamètre, il est tellement gros. Je continue mon mouvement sans bien me rendre compte de ce que je fais, quand soudain, Serge m’interrompt en attrapant ma main. Il se penche vers moi et laisse glisser un filet de bave dans ma paume avant de la reposer sur sa queue en poussant un soupir de satisfaction.
— Voilàààà, c’est bien mieux comme ça. Allez, continue à me branler petite chienne.
Je m’arrête aussitôt, comment ose-t-il m’insulter ce bâtard ?
— Ça va pas non ? Qu’est-ce qui vous prend ?
Il attrape alors mes joues entre ses gros doigts et rapproche son visage mal rasé du mien en me regardant au plus profond des yeux.
— Quand je me fais branler par une chienne, je ne m’attends pas à ce qu’elle réponde. Contente-toi de continuer à faire ce que tu fais de mieux, t’occuper de la bite d’un homme, et fais ça bien compris.
Sa voix grave et son ton impérieux me mettent mal à l’aise, d’un côté, je sens monter ma peur. Physiquement, il est bien plus fort que moi, et s’il ne s’est pas vraiment montré menaçant physiquement, bien que je sois clairement contrainte de lui obéir, je ne peux m’empêcher de trouver son comportement inquiétant. Mais d’un autre côté, je sens une chaleur monter en moi quand il me parle ainsi, quand il m’insulte et me rabaisse plus bas que terre. Je ne suis pas une chienne, je ne suis pas une salope, je fais clairement tout ça contre ma volonté, mais la situation, la contrainte, ses mots, son attitude, ses ordres, tout ça ne me laisse pas qu’énervée et dégoûtée, je ressens aussi de plus en plus une sorte d’excitation se faire jour et prendre possession de moi.
— Ou... oui c’est compris... Monsieur Delmare, réponds-je en baissant la tête.— C’est bien ce à quoi je m’attendais Safya.
Il me relâche le visage et rebascule son corps vers l’arrière tandis que ma main reprend son va-et-vient, désormais humide, sur sa queue si gonflée. Elle commence à se nervurer de grosses veines qui remontent sinueusement de la base au sommet et à chacun de mes mouvements pour redescendre la tige se décalotte pour révéler un gros gland violacé avant de le recouvrir quand je refais monter mes doigts. Et ce spectacle me fascine, je suis comme hypnotisée par l’image de ma main soigneusement manucurée qui découvre et recouvre par intermittence ce gland. Un liquide transparent et visqueux commence rapidement à perler de son urètre et rapidement se mélange à sa salive pour créer une mixture gluante qui facilite mes mouvements de poignet sur son vit.
Sans m’en rendre compte, j’accélère graduellement le rythme de ma masturbation, peut-être pour en finir au plus vite, mais aussi peut-être parce que j’aime imprimer mon mouvement sur cette bite épaisse. Plus je le branle et plus je sens mon entrejambe devenir chaud. Comment est-ce que je peux ressentir de l’excitation dans une telle situation ? Ce connard est en train de me forcer à lui branler la queue, je ne peux pas aimer ça non ? Je suis dans une situation de contrainte, ce n’est pas moi qui le fais, je n’ai que mépris pour lui. Comme en réponse à l’accélération de ma main, je l’entends commencer à pousser des soupirs de plus en plus profonds.
— Hmmmmmm, oui c’est bon, tu fais ça bien, salope.— ...— J’ai toujours su que tu cachais une vraie crasseuse sous tes dehors bon chic bon genre, aaah oui continue.
Et je continue. Bon, quitte à le faire, autant en finir vite. Je vais le faire cracher rapidement et on n’en parlera plus, je m’arrangerai pour régler les problèmes et pour oublier cette histoire. En attendant, je redouble d’application sur ce que je suis en train de faire. Ah tu trouves que je branle bien sale porc, tu n’as encore rien vu et je vais te faire gicler en vitesse pour me débarrasser de toi et de ta grosse queue. Ta grosse queue dont j’ai du mal à faire le tour avec mes doigts. A chaque fois que j’arrive à son gland, j’imprime un mouvement circulaire à mon poignet pour bien l’englober et le frotter, je sais que cette technique fait son effet et qu’elle risque de le faire venir plus vite. D’ailleurs, j’en perçois immédiatement l’efficacité dans son attitude. Il se tend un peu plus sur la chaise et sa respiration se fait plus soutenue. Alors monsieur Delmare, on ne supporte pas quand le rythme s’accélère. Tu vas voir ce que c’est de se faire branler.
Mine de rien, je me prends au jeu, la chaleur de sa queue, le bruit spongieux de la salive entre mes doigts, les tressautements de sa verge aux moments où je lui écrase le gland, tout cela m’obnubile totalement, je suis focalisée sur mon objectif qui est de le faire venir le plus rapidement possible. Ce sale porc. Alors je m’applique, je crois que je n’ai jamais aussi bien branlé mon ex, c’est la meilleure masturbation que j’ai jamais faite et je me plais à observer les effets qu’elle a sur lui. Quant aux effets qu’elle a sur moi je... je commence à vraiment me sentir excitée par ce que je fais, et puis une bite aussi grosse, je me demande ce que ça fait de se la prendre bien profondément. Le seul qui m’a déjà pénétrée, c’est mon ex, mais là, on est sur un calibre totalement différent. Je ne veux pas me l’avouer, mais je sens ma chatte qui se liquéfie petit à petit. Il est temps que j’en finisse et que je vire ce rustre.
— Avale-la maintenant Safya !
Putain, il ne peut pas me demander ça. Non, j’allais le faire cracher là. J’allais me débarrasser de lui.
— Il y a des limites, réponds-je avec un nouvel aplomb, je n’irai pas plus loin que ça.— Tu iras aussi loin que je te le dirai, madame la directrice ! Quand je te dis de me sucer la queue, je ne te demande pas ton avis. Maintenant, tu fermes ta gueule et tu ne la rouvres que pour faire entrer ma bite tout au fond !
Je regarde sa grosse queue avec un certain dégoût mêlé d’excitation. Je ne peux pas tomber si bas. En plus, elle est dégueulasse sa bite de vieux, avec son gland violacé, ses poils pas rasés et son aspect disgracieux. Elle est dégueulasse cette grosse queue gonflée. En plus, je suis sûre que je ne pourrais pas la faire entrer dans ma petite bouche. Je m’attends à ce qu’il pose sa main sur mon crâne pour me pousser vers son entrejambe, mais non, il se contente de regarder. On dirait qu’il attend que je m’humilie, que je fasse moi-même la démarche de l’engloutir. C’est vrai que depuis tout à l’heure, alors que je le branle et que mon visage est si près d’elle, je me suis imaginé la sucer, mais c’était plus par appréhension qu’autre chose. Sans m’en rendre compte, je continue à le branler au ralenti, à caresser de mes mains ce membre viril si massif.
Et puis j’approche ma tête de son entrejambe, il est assis avec le sexe érigé vers le haut. En m’en approchant, je peux sentir l’odeur forte qui s’en exhale, un mélange de transpiration et ... non pas ça..., et de quelques relents d’urine. Putain, ce connard sent la pisse. On t’a jamais appris à te laver la queue après avoir pissé espèce de dégueulasse ? Cette odeur forte et entêtante me monte au crâne, j’en ai presque des haut-le-cœur. Pourtant ça ne m’empêche pas de poser mes lèvres sur son gland et de vite l’engloutir au fond de mon palais. Putain, mais je suis en train de sucer ce porc, je ne me reconnais plus. Je sens que ma culotte est trempée de mouille pendant que je m’applique à faire des va-et-vient sur sa queue.
A peine l’ai-je engloutie qu’il pose ses deux mains sur mes cheveux pour m’imprimer un mouvement vigoureux. Ma bouche est distendue par son membre, ça me fait presque mal aux lèvres de les ouvrir autant, et pourtant il s’enfonce en moi sans ménagement. Je sens son gland buter au fond de ma bouche avec force à chaque fois qu’il appuie. J’ai du mal à trouver mon souffle, il ne retire pas sa queue pour me permettre de respirer, bien au contraire, il se plaît à rester enfoncé bien profondément avant de retirer mes cheveux vers l’arrière. C’est que ça fait mal en plus de se faire tirer les cheveux comme ça. Ce salopard a l’air de kiffer la domination. Ah ouais, tu enfonces ta grosse bite dans ma bouche, tu me tires les cheveux et ça te fait bander connard. Tu prends ma bouche pour un trou pour déverser ton sperme dégoûtant. Tu me dégoûtes.
Il me dégoûte, mais je ne peux nier que je commence à y mettre du mien aussi, j’accompagne assez volontairement ses mouvements de bras et rien ni personne ne me force à émettre les bruits de déglutition et les gémissements que j’émets. C’est comme si j’étais séparée en deux, la femme droite qui déteste la situation et une autre, plus insidieuse, qui prend plaisir à se voir dominer pour pouvoir peut-être se lâcher comme rarement. Je prends tellement sur moi au quotidien que cette petite dose de sauvagerie semble révéler quelque chose d’autre en moi.
— Mmmmggnn... glurrp... slrp...— Ah oui suce-moi bien grosse pute, enfonce bien ma queue tout au fond, mmmmm ça se voit que tu as l’habitude...
J’ai l’habitude moi ? Si tu savais. Il y a des années que je n’ai pas laissé un homme me toucher. Alors oui je l’ai déjà fait, mais je pense qu’il dit ça plus sous le coup de l’excitation qu’autre chose, je ne suis pas une si bonne suceuse que ça. Mais je me sens comme motivée par les saloperies qu’il se permet de me dire, je redouble donc d’ardeur à lui pomper le dard. J’aspire autant que je le peux tout en le laissant enfoncer son chibre dans ma bouche de plus en plus rageusement. Je commence d’ailleurs à suffoquer, je n’arrive pas à reprendre de l’air, des larmes commencent à s’échapper de mes yeux tandis que ma bave coule en abondance sur mon menton et vient se mêler à sa touffe de poils pubiens pour les coller. Je m’applique à avaler sa bite comme la chienne qu’il m’accuse d’être, mais je sens que je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.
J’ai de plus en plus de mal à ne pas défaillir sous le manque d’air, je pense qu’il s’en rend compte et après deux ou trois aller-retours supplémentaires, il ôte sa bite de ma bouche pour me laisser respirer. Tout en reprenant avidement de l’oxygène à grande goulée, je le regarde d’un air de défi et je lui lance :
— Alors c’est ça que tu voulais salaud. Que ta directrice te suce la bite comme une pute du trottoir. Tu es content maintenant ?
Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça, j’avais besoin de m’exprimer, de m’extérioriser, d’être vulgaire moi aussi, et quelque part de le mettre au défi. Certes, je te laisse me remplir la bouche, mais tu n’es qu’une merde à mes yeux et ce n’est pas mon humiliation qui changera ça. Ca a l’air de lui plaire et il me répond d’un air goguenard tout en me renfonçant son membre entre les mâchoires.
— Oui, de toute façon, tu es meilleure à ça que sur ton poste, alors suce-moi bien, tu vas sentir mon sperme bien chaud se répandre dans ta gorge. Aaaaahhh...
Mais cette fois, il ne m’appuie plus sur la tête et me laisse m’occuper de sa queue à mon propre rythme. Je me mets donc à l’engloutir puis à la ressortir de ma bouche tout en branlant la base de son sexe d’un mouvement vigoureux de la main. A chaque fois qu’il ressort de ma bouche, je m’amuse à l’agacer du bout de la langue, le laper, le lécher sur sa longueur. Je me sens vraiment transformée en furie, toute la rage à son égard se matérialise dans ma propension à m’acharner sur sa queue. Alors oui, je pense qu’un psy aurait bien des choses à dire sur cette manière de faire, cette façon de transformer l’humiliation en excitation, moi-même je ne comprends pas bien pourquoi j’agis ainsi, mais je ne peux pas nier que je suis excitée comme jamais auparavant et que cette queue qui me fait face, je veux la vider avec rage. D’ailleurs, je sens que de ma main qui le masturbe, j’écrase fortement sa bite, mais cela n’a pas l’air de le déranger, bien au contraire.
— Aaaah ouiiii Safya, mmmm... on dirait que tu te prends au jeu et que tu aimes me sucer la queue finalement.— Slurp... mmmgg... pas du tout, je veux juste te faire cracher le plus vite possible et en finir Serge, je...— C’est monsieur Delmare, je t’ai déjà dit, et une chienne n’a pas à tutoyer son maître.— Glurp... Slurp... tu vas trop loin... je ne suis pas...— Ferme ta gueule Safya, et fais ce que tu sais faire, c’est compris...
En me disant cela, sa voix a pris une ampleur profonde et vibrante, j’ai envie de lui répondre, de l’envoyer chier, mais quelque chose m’en empêche. Plus il me parle mal et plus je sens que ma mouille se répand entre mes jambes, et plus j’ai envie d’avaler profondément cette queue pour en extraire son jus, plus mes mains se font fébriles sur son méat. Pourtant je ne me connais pas de tendances à la soumission, d’ailleurs ce genre de pratiques ne m’a jamais attirée. Mais là il ne s’agit pas d’un jeu sexuel théorique bien au chaud dans mon lit avec mon ex-copain, mais bien d’une situation réelle dans laquelle cet homme me rabaisse continuellement. Et plus il insiste, plus j’y trouve mon compte. Je peux continuer à prétendre que je veux que ça s’arrête, mais je sais au fond de moi que j’en veux encore et que cette expérience est la plus excitante de ma vie.
— Très bien monsieur Delmare, lui réponds-je avant de reprendre ma fellation.
Et j’enfonce derechef sa bite gonflée dans ma bouche, je le sens rapidement commencer à tressaillir et son gland commence à pulser sous ma langue tandis que sa tige se contracte et se rétracte de plus en plus rapidement.
— Mmmmmh je vais te cracher dessus saloooope, me dit-il en se retirant et en commençant à se masturber devant mon visage (les ravages des pornos font que tout le monde ne jure que par l’éjaculation faciale on dirait).
Je le regarde sans répondre quand un jet de sperme laiteux vient s’écraser sur ma joue et commencer à couler en direction de ma lèvre, suivi d’un autre qui macule le verre de mes lunettes et de quelques autres moins intenses qui vont se perdre sur le devant de mon chemisier.
— AAAAAAAAARRRRRGGGG... Hmmm c’est bon de te repeindre le portrait Safya, putain quand je pense que tu prends tes grands airs pendant les réunions, quel plaisir de te voir recouverte de sperme, c’est tout ce que tu mérites !
Les coulées de sperme chaud glissent petit à petit vers le bas tandis que je sors de la sorte de torpeur érotique dans laquelle je m’étais enfermée et reprends du poil de la bête. Je me relève et sans vraiment me rendre compte de la tête que je dois avoir recouverte de sa semence comme je le suis, je siffle avec vivacité entre mes dents.
— C’est bon tu as fini ? Maintenant, sors de mon bureau et laisse-moi tranquille ! J’ai fait ce que tu voulais.
Le colosse qui me fait face, toujours assis, le pantalon sur les chevilles et le sexe ramolli, tenu entre les doigts, sourit puis se lève et me toise de toute sa hauteur.
— Tu persistes à me tutoyer petite chienne, je n’aime pas ce ton-là. On en aura fini quand je l’aurais décidé. Pour l’instant, je compte encore profiter du corps de ma pute de directrice.
Puis il avance son doigt vers mon visage, recueille en son bout un peu de sperme et me l’approche de la bouche.
— Nettoie-moi ça, m’indique-t-il, et n’essaie plus de vouloir te rebeller.
Je reste coite, à nouveau désarçonnée par son ton impérieux et sa présence imposante, puis comme guidée par ses mots, j’ouvre la bouche et il y fourre sans ménagement le doigt recouvert de son jus. Je le lèche et l’aspire, chose que je n’avais jamais faite avant, me contentant habituellement d’aller recracher aux toilettes ou dans un mouchoir. Le goût est écœurant, fade, âcre et salé, bizarrement, je me rappelle que le foutre de mon ex avait meilleur goût que celui-ci, cependant je m’emploie à faire ressortir son doigt entièrement nettoyer. Il recommence alors son nettoyage de mon visage jusqu’à ce que j’aie ingurgité toutes les traînées qui me couvraient le visage. Pendant l’opération, quand je suis occupée à sucer et lécher son doigt, il me demande :
— Alors tu aimes le goût de mon sperme Safya ?
Je déteste ce goût, j’en ai des nausées de devoir l’avaler encore et encore en suçant tes doigts qui ont traîné je ne sais où. Mais je me complais dans cette obéissance passive et forcée qui me procure de plus en plus de sensations nouvelles.
— Oui monsieur Delmare, merci monsieur Delmare.
Je ne sais pas bien pourquoi j’ai ajouté le remerciement, peut-être pour entrer plus avant dans la position que Serge m’a octroyée, mais en tout cas, ces quelques mots font leur effet. Il me sourit de manière naturelle et me lance :
— Eh ben y a du progrès dans ton comportement, c’est bien, tu es sur la bonne voie. Maintenant que tu es toute propre, enlève tes vêtements.
Je me recule de quelques pas et sans opposer de refus, je déboutonne lentement les boutons de mon chemisier avant de le laisser à terre. J’ai clairement arrêté de m’opposer à sa volonté, je ne pense plus à rien d’ailleurs, plus à mon comportement honteux, plus à ce dossier qui risque de me faire couler, plus aux valeurs que j’ai toujours cru fermes en moi, je me contente d’obéir à ses ordres, tel un automate. Et j’y trouve bizarrement une réelle satisfaction, voir son regard vicieux de vieux pervers s’attacher à mes doigts qui ouvrent lentement mon haut me donne des frissons. Il est captivé par le spectacle que je lui offre et j’aime ça. Je fais glisser lentement mon chemisier vers le bas et il vient s’écraser sur le sol, tel un chiffon, tandis que Serge, monsieur Delmare, regarde mon corps se dénuder en s’astiquant le manche comme le pervers dégoutant qu’il est.
— Alors ça ne vous a pas suffi de me cracher tout votre sperme au visage monsieur, vous voulez encore exiger quoi de moi ?
Putain, je suis vraiment entrée dans mon rôle de salope allumeuse là, je ne réfléchis plus à ce que je fais, à qui je suis ni à qui il est, je me nourris juste de son regard concupiscent sur son corps, je suis fascinée par le mouvement de sa main en cadence sur sa grosse bite molle d’avoir lâché son jus. J’attends avec impatience et appréhension son prochain ordre, son prochain coup de fouet qui me révoltera, mais également me poussera dans mes retranchements. Qu’est-ce qu’il va encore me forcer à faire ce porc ? Me faire lui tailler une pipe dans son bureau n’était donc pas suffisant pour sa vieille queue. Pourtant il me semblait qu’à cet âge-là, rebander après avoir craché la purée n’était pas facile.
— Continue à te déshabiller pendant que je me branle grosse putain, tu es encore trop couverte à mon goût.
Alors je glisse les mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge qui rejoint le chemisier sur le sol, aux pieds de mon bureau. Je suis maintenant à demi nue face à lui, la poitrine à l’air, mes petits seins, dont l’état des tétons ne peut dissimuler mon excitation, fièrement dressés devant lui.
— Mmmmm salope... continue...
Tout en parlant, il se branle encore le regard fixé sur ma poitrine, la bave et l’insulte au coin des lèvres. Son sexe, qui reprend peu à peu de la vigueur, se gonfle tandis qu’il le triture comme un obsédé. Il n’est que partiellement gonflé et chaque passage de sa poigne le tort et le plie, le fait bouger comme s’il était habité d’une vie propre et que c’était mon corps qui le faisait mouvoir. Je fais tout aussi rapidement tomber la jupe que je porte et je me retrouve uniquement vêtue de ma culotte, mes collants et mes chaussures à talon devant monsieur Delmare. Il n’y a pas quinze minutes, j’étais encore la digne DRH de ma société, et voilà que si peu de temps après, je me retrouve à me comporter comme la dernière des traînées et à obéir aux ordres libidineux d’un homme que je méprise, la vie est pleine de surprises. Je m’abaisse pour enlever mes escarpins afin d’ensuite finir de me mettre à nue comme c’est, je le suppose, son désir, lorsqu’il m’interrompt d’une voix ferme et gutturale.
— Ne fais pas d’excès de zèle chienne. Garde tes chaussures et tes collants, je te trouve beaucoup plus bandante comme ça.
Il sort un paquet de cigarettes de sa poche, en tire une et se la met en bouche, puis me tend son briquet.
— Approche-toi et viens me l’allumer Safya !
Alors j’obtempère, j’attrape le briquet, allume la flamme et me penche vers lui pour atteindre la cigarette qu’il tient entre ses lèvres. Il profite de mon mouvement pour poser une main sur l’un de mes seins, il le soupèse, le palpe, avant de s’emparer du téton et de le tordre dans un mouvement vif. Je ne peux refréner ni la douleur ni la surprise et je pousse un léger cri tout en reculant soudainement. Je masse ma poitrine endolorie et adresse un regard de reproche à monsieur Delmare.
— Mais ça va pas non ? Vous m’avez fait mal !— Je te fais ce que je veux, on dirait que tu ne l’as pas encore très bien compris.
Tout en parlant, il tapote de sa main qui tient la cigarette le dossier pouvant m’envoyer dans les oubliettes de la profession, et de l’autre, il continue de se branler. Le message est clairement passé, il peut faire pression sur moi et il ne s’en prive pas. Il prend une taffe de sa cigarette.
— Tourne-toi maintenant que je vois ton gros cul de BCBG.
Je fais comme il dit, de toute façon, je n’ai pas vraiment le choix. Il siffle d’un air admiratif et beauf lorsque je lui présente mon côté pile.
— T’as un sacré cul, madame la directrice, je sens que je vais bien m’amuser, dit-il avec une admiration non feinte.
A peine ces paroles prononcées, je sens sa main claquer lourdement contre mes fesses.
— Ahh... aïe...
Cette fois-ci, je réprime ma douleur, mais je ne me fais aucune illusion, il a tapé pour faire mal et il a obtenu le résultat escompté. La fessée est suivie d’une autre et d’une troisième, toutes deux assénées avec autant de brutalité à l’exact même endroit. Ma peau me cuit là où il l’a frappée, malgré le rempart du collant et de la culotte, je l’ai sentie passer et je suis convaincue que ma fesse est marquée d’écarlate à l’endroit de l’impact. Jamais quelqu’un n’a levé la main sur moi comme ça, jamais je n’ai désiré ni apprécié ce genre de traitement. Et pourtant...
Et pourtant, je ne peux m’empêcher d’attendre avec un certain délice la quatrième claque qui tarde à venir. Je m’imagine sa grosse main calleuse s’abattre sur mon derrière une fois de plus, j’anticipe avec plaisir la montée de la douleur au moment où le claquement sec et violent se fera entendre. Une douleur intense, cuisante, mais également tellement euphorisante qu’elle se mêle dans ma tête au plaisir que je ressens de plus en plus.
Et après tout, j’ai accepté de m’avilir pour des raisons bassement matérielles, pour épargner ma carrière tout en sachant pertinemment que ce n’est pas une justification suffisante, alors quelque part, est-ce que ce n’est pas ma juste rétribution de me faire traiter comme la mauvaise fille que je me suis révélée être ? Je n’en sais rien. A l’heure qu’il est, je ne fais pas de la psychologie de comptoir, mais je tends mes fesses en arrière pour les faire fouetter par un pervers manipulateur, et j’accentue mes gémissements à chaque nouvelle claque, comme je l’ai entendu faire aux filles dans les films X. Mais cette quatrième fessée ne vient pas, pour ma plus grande déception et ma plus grande honte d’être déçue.
— Ca c’est pour que tu saches ce qu’il en coûte de vouloir désobéir comme tu l’as fait à plusieurs reprises. J’espère que tu as compris la leçon.— Oui monsieur Delmare, susurré-je avec la voix la plus faussement candide que je peux trouver, pardon monsieur Delmare.— Je préfère ça. Maintenant, retourne-toi vers moi, assieds-toi sur le bureau et écarte les jambes.
Une fois encore, je me conforme à ses directives et écrase mon postérieur sur mon bureau, j’écarte les cuisses face à lui, à ce moment, il se penche vivement vers moi et déchire d’un coup mon collant au niveau de l’entrejambe avant de se renfoncer dans le siège et de ramener la cigarette à sa bouche.
— Branle-toi pour moi, le temps que je finisse de fumer !
Après une brève hésitation, je fais glisser ma main sur ma culotte et commence à frotter ma vulve à travers le tissu. Comme je m’y attendais, mon sous-vêtement est trempé par l’excitation, je ne peux plus feindre d’être uniquement contrainte, je me masturbe devant mon collègue et j’y prends un plaisir pervers, vicieux, mais tellement fort.
— Pas comme ça chienne ! Ecarte ta culotte que je vois tes doigts se glisser dans ta grosse chatte.
D’une main, je tire le tissu de côté tandis que l’autre s’insinue entre mes lèvres et commence à entrer et sortir les premières phalanges de mon index dans mon intimité. Mmmmmh, ça fait tellement de bien, je ne me savais pas exhibitionniste, et je découvre que je le suis à un point qui me laisse sans voix. Ce vieux connard fume lentement latte sur latte en faisant tomber ses cendres chaudes sur mes cuisses, ça ne me brûle pas vraiment, mais je ressens mon collant qui se perce et de petits pics de chaleur qui s’éteignent rapidement à l’endroit où se posent les résidus de cigarette. Parallèlement, il continue à s’astiquer sa grosse queue qui reprend du poil de la bête à vitesse grand V. Je me branle avec entrain en fixant cette verge qui grossit de plus en plus jusqu’à atteindre le diamètre de mon poignet.
Une bonne grosse bite bien juteuse, je ne peux m’empêcher d’y penser, de ressasser son odeur écœurante, son goût fort, sa texture chaude, et sans que je m’en rende vraiment compte, mon majeur vient rejoindre l’index dans ma vulve.
— Tu es trempée, madame la directrice, on dirait bien qu’en fait tu es une vraie salope hein ?— ... anh... mmmh...— Réponds-moi, tu es une salope oui ou non ?— Anh... non... vous me forcez à faire ça... mmmh... monsieur Delmare... je ne suis pas une saloope... Aaaangh...— Salope et menteuse on dirait Safya. Ta chatte coule comme si on avait laissé le robinet ouvert et tu ne lâches pas ma bite des yeux. Je suis sûr que tu imagines déjà comment elle va te défoncer une fois bien enfoncée en toi.— Ammmhh... Nooooon... Pas... pas du tout... mmmmh... je n’ai pas le choix, mais je ne prends aucun plaisiiiiir...— Branle-toi plus fort !— Ahh... A vos ordres monsieur Delmare... Aaannh...
Et j’accélère la cadence de mes doigts dans l’antre de mon vagin, sans même regarder, je sens que je m’humidifie de plus en plus, j’entends le bruit spongieux de ma mouille quand je ressors les doigts, et surtout je ressens ce putain de plaisir qui prend de plus en plus possession de moi. J’ai conscience de me comporter comme une chienne, et putain j’aime cette sensation. A chaque mouvement de doigts, une nouvelle vague de volupté monte en moi, j’ai envie d’enfoncer mes doigts plus profond, j’ai envie de me faire remplir la chatte à ras bord de me faire empaler sur quelque chose de dur pour arriver au paroxysme de cette sensation. Je ne suis plus moi-même, mais en même temps, je suis entièrement focalisée sur mon plaisir, sans m’embarrasser des concepts de dignité ou de retenue.
— Aahmm... mmmmmhhhh...
Je regarde monsieur Delmare en tirant la langue et en prenant l’air le plus provocant que je puisse faire, ce qui n’est pas bien difficile vu le spectacle que j’offre. Il écrase sa cigarette sur le sol de la pièce et se lève, présentant son membre turgescent à hauteur de mon bassin. Il pose ses mains fortes sur mes hanches, me soulève, et sans ménagement, me retourne. J’appuie mes mains sur la tranche de mon bureau et d’instinct, je me cambre. Sans prévenir, je sens son gland gonflé qui force l’entrée de mon vagin, il s’introduit en moi comme un bulldozer en écartelant les parois de ma chatte. Heureusement que je suis bien lubrifiée par toute la mouille que j’ai sécrétée, car sinon ça aurait été encore plus douloureux que ça. Et pourtant même là, je la sens bien passer.
Jamais je ne me suis sentie aussi remplie qu’en ce moment lorsque je couchais avec mon ex, ce qui constitue les seules expériences sexuelles auxquelles je puisse me référer, et pourtant, il ne s’est même pas encore enfoncé totalement en moi.
— Aaaaahhh... aaaahh... oooohhh. Annngh...
Je sens sa queue continuer à s’insinuer en moi progresser le long du col de mon vagin, et plus il s’enfonce, plus je me sens comblée. La progression de sa bite m’électrise et m’envoie des décharges de plaisir de plus en plus intenses. Mon vagin s’écarte à grand-peine pour laisser passer l’engin taille XXL qui s’y introduit. Je ressens le frottement de son membre simultanément sur tout le tour de mes parois internes, et plus il s’enfonce, plus une sensation de plénitude monte en moi. Ma chatte forme pour sa queue un fourreau accueillant, chaud et étroit dans lequel il fait sa place avec force.
— Mmmm ta chatte est tellement serrée petite pute, je vais te la déchirer bien comme il faut.— Aaaaahnn... mmm... nooonn... ça fait maaal...
Et c’est vrai que ça fait mal, je ne suis pas habituée à me prendre un tel organe, je ne suis plus habituée à grand-chose d’ailleurs, donc quand il me pénètre, le plaisir s’accompagne d’une douleur diffuse, mais bien réelle, elle ne prend pas le pas, mais elle ne disparaît pas pour autant. Je sens enfin qu’il a introduit tout son sexe en moi. Il demeure immobile quelques instants comme pour profiter du moment, puis il se met à me pilonner de coups de reins rageurs. Il prend du recul, jusqu’à amener son gland au bord de mes lèvres avant de le renfoncer avec force, m’écartant à chaque fois derechef le vagin. Chacun de ses coups de boutoir s’accompagne d’un mouvement vers l’avant de tout mon corps qui est entraîné dans l’élan. Mes seins, bien que ne pendant pas dû à leur taille et leur fermeté, ne sont pas en reste et suivent le mouvement en légers ballotements.
Je commence à me laisser aller à donner de la voix de plus en plus fort, sans réellement me soucier, ni même me rappeler, du fait que je suis dans mon bureau et que le personnel de ménage pourrait se rendre compte de quelque chose.
— Tiens, encaisse ça madame la directrice, et arrête de gémir comme ça salope, on risque de nous entendre...
Il a raison, mais putain, c’est dur de ne pas gémir vu comme il me pilonne la chatte depuis deux minutes, je prends sur moi et me mords les lèvres tout en sentant sa queue continuer à glisser tout au fond de moi. J’en ai les jambes qui tremblent. Il me pistonne d’un rythme effréné, comme une machine, et dans le même temps, il m’accable d’injures toutes plus vulgaires les unes que les autres.
— Ah putain Safya, elle est trop bonne ta chatte. Tu cachais bien ton jeu hein grosse pute, tu prends ton pied à te faire fourrer comme une truie.— Annnh... annnh... annnh... Mmmm... non monsieuur Delmaare... mmmmh je n’aime pas çaaaaa... Annnnh...— Arrête de mentir sale catin, je t’entends gémir, tu en veux encore ? Anh...— Annnn... ouiiiii... nooon... Mmmmm... encore... plus fort... dans ma chatte... annh.— Tu veux aaah... que j’y aille plus fort ? Tu veux que je te transperce la chatte Safya ? MMmh...— Annh Ouiii... Baisez-moiii... Baisez-moi comme une pute...
Je me lâche complètement et je suis en pleine montée de plaisir, je n’ai jamais ressenti ça avant, je ne sais plus où je suis, ce que je fais, pourquoi je le fais, la seule chose qui importe vraiment, c’est ce mandrin qui me remplit le ventre, qui me bourre de l’intérieur et me fait ressentir tant de bien-être. Oui, je veux qu’il me baise, qu’il me fourre bien profond, je veux continuer à sentir sa grosse queue coulisser en moi encore et plus. Je veux qu’il y aille plus fort, qu’il me défonce de l’intérieur, la douleur a depuis un moment fait place à une torpeur étrange. Je n’ai pas mal, mais je me doute qu’après notre affaire, je vais morfler pendant un moment. Qu’importe, ça en vaut la peine. Monsieur Delmare tape de plus en plus fort au fond de ma chatte, je sens son gland qui vient cogner tout en haut de mon vagin et chacun de ces chocs me pousse plus loin dans cette sensation de luxure intense.
Dans le même temps, il accable mon cul bien bombé d’une rafale de fessées tout en me traitant de tous les noms, il n’y va pas de main morte et les claquements secs et forts sont une bonne indication de la puissance qu’il met dans ses coups. Mais la brûlure qu’il occasionne ainsi ne fait qu’aiguillonner mon plaisir, je ne savais pas qu’il pouvait être tellement bon de se faire traiter comme une chose, un objet sexuel uniquement là pour encaisser les assauts vigoureux du mâle, et pourtant, c’est ce qui se passe, et je ne voudrais pour rien au monde que ça s’arrête. Et heureusement, ça ne s’arrête pas, on dirait que le fait de s’être vidé sur mon visage juste avant lui a donné une nouvelle endurance, car à ce rythme-là, normalement un homme gicle assez rapidement. Mais pas ce soir avec monsieur Delmare, il semble parti pour ne jamais s’arrêter, et plus il me pénètre fort, plus je me mords les lèvres pour ne pas crier mon plaisir.
Je pensais que de telles extrémités n’étaient que des mises en scène de scénarios de films pornos, une femme qui se fait fourrer à toute allure en hurlant tellement c’est bon. Certes je ne hurle pas, mais c’est vraiment parce qu’il me reste un dernier semblant de crainte de me faire entendre par quelqu’un dans l’immeuble. Mais malgré cela, j’ai envie de crier, de me libérer de ce trop-plein de plaisir en extériorisant par la voix. Mais je me retiens, je me contiens. Quand il ne me fesse pas, je sens les doigts de monsieur Delmare s’agripper à mes fesses, s’y enfoncer et s’en servir comme appui pour plonger son bassin contre le mien encore et encore.
— Aaaaah... Aaaahh... ouiii c’est bon monsieur, monsieur, monsieur aaaaanh... AAAAHHHH, ça vous plaît de me baiser ? De aaaahh... de baiser votre directrice ???— Ooh... oui c’est bon... quand je pense... han... que ton petit cul fait bander tous les gars de l’atelier... hun... quand tu viens faire ta visite et que tu passes avec tes talons... Raah... et que je suis en train d’en profiter à fond... mmmmh...— Ah ouiii... ? Ils veulent tous me baiser aussi... aaah... aaanh... mais je ne suis pas une salope moiiii... je ne me donne pas comme ça... aaaaaanh...
Il m’attrape les fesses de plus en plus fort et les écrase, les écarte, les tire vers l’arrière, s’y accroche comme à une bouée. C’est fou ce que j’aime la façon dont il s’occupe de moi, dont il me fourre sans chichi, sans chercher à me ménager. Il me baise au sens premier du terme, avec toute la bestialité et la sauvagerie contenue dans ce mot, et il a raison, car je me sens moi-même plus proche de la chatte en chaleur que de la femme distinguée en ce moment. Je sens ses gouttes de sueur couler de son visage et s’écraser sur ma peau et se mêler à la mienne. D’une main, il attrape ma chevelure épaisse et tire dessus tout en s’enfonçant un grand coup au fond de mon vagin. Quelle sensation grisante, je suis comme écartelée, poussée en avant par son coup de reins et tirée en arrière, douloureusement, par sa main sur ma chevelure. Je creuse mon dos et lâche un râle profond et guttural.
— Raaaaaaaaaaahhhhhh... Aaaaaah... Encorrreee...— Tu en veux plus grosse pute ?— Aaaah... oui... monsieur Delmare... Fourrez-moi comme une pute... AAAAhhh... c’est booon...— Tiens Safya... Tiens... Tiens... Tiens... et Tiens...
Et à chaque fois qu’il répète le mot « Tiens », il me brutalise la chatte en y imprimant un solide coup de reins tout en continuant à agripper mes cheveux. J’ai l’impression qu’il va me déchirer le vagin, j’ai l’impression qu’il va m’arracher le cuir chevelu, mais je continue à encaisser, à en demander plus, à renvoyer à chaque fois mes hanches en arrière à la rencontre de son membre quand il me pénètre, à pencher ma tête vers l’avant tout en sachant qu’il va la tirer de plus belle vers l’arrière. Est-ce que je suis en train de devenir maso ? Je n’en sais rien, mais j’adore me sentir totalement à la merci de cet homme.
— Mmmmhh... ce cul... Je vais te le remplir bien comme il faut...— Quoi non ne...— Tu as quelque chose à dire chienne ?
Quelque chose à dire ? Oui, bien sûr je ne me suis jamais fait sodomiser. Ca ne m’attire pas, c’est sale, c’est dégradant, c’est... et surtout j’appréhende la douleur, d’autant plus vu le calibre qui me pilonne la chatte en ce moment, si cette queue doit me rentrer dans le cul, j’ai bien peur qu’il ne me déchire l’anus, qu’il me l’éclate et me crucifie de douleur. Non, je ne peux décemment pas le laisser faire. Mais en même temps, cette perspective ne me laisse pas de marbre, j’expérimente la douleur depuis quelques instants, et je me complais de plus à plus dedans, je constate que c’est un réel moteur à mon excitation, donc pourquoi pas ? Non, je délire totalement, il est hors de question que je laisse ce porc m’enculer, me dépuceler le cul.
— Je n’ai encore jamais... haaaaan... Jamais fais... haaiiii... Jamais fait çaaaa...
Ce salopard a changé le rythme de ses coups de reins, ils sont devenus saccadés, moins fluides dans le mouvement, mais beaucoup plus puissants. Il a lâché mes cheveux et mon corps s’écrase littéralement sur le bureau à chaque assaut. Putain, si c’est si violent dans ma chatte, je n’imagine même pas ce que je ressentirais s’il faisait subir ce traitement à mon cul.
— Je vais t’enculer comme tu le mérites, han... et tu vas en redemander, tu vas voir hann... tu vas la sentir ma grosse queue qui va t’écarter l’anus han...
Et tout en parlant, je sens qu’il introduit son pouce entre mes fesses et l’appuie contre mon sphincter qui s’écarte petit à petit en le laissant passer.
— Mmmmm... ouiiiiii... Aaaaanhhh... Ca brûûûle...— Tu veux que je l’enlève ou tu veux garder mon doigt au fond de ton cul madame la directrice hhhaaaa...— Non... ah... c’est... c’est booon... mmmh... je vous sens bieeen...
Il commence à faire aller et venir son doigt dans mon fondement. Mon petit anus qui n’a pas l’habitude m’envoie des décharges de douleur accompagnées à parts égales de plaisir. Comment deux sensations si éloignées peuvent-elles cohabiter avec tant de puissance ? Mais une chose est sûre, j’aime ce qu’il me fait, cette sensation est incroyable, c’est comme s’il me pénétrait des deux côtés à la fois. Je me sens pleine, repue de plaisir, la jouissance est en train de monter du creux de mes reins le long de mon ventre, puis de mes membres, je sens que je vais exploser, je sens que je vais finir en apothéose. Mais c’est ce moment qu’il choisit pour ralentir la cadence, peut-être a-t-il senti que mon corps commençait à se tétaniser sous le plaisir, et fait-il ça pour me frustrer, peut-être doit-il ralentir pour ne pas arriver trop tôt à l’éjaculation, je n’en sais rien, mais une chose est sûre, c’est qu’il n’en a pas fini avec moi.
Il continue à me baiser avec des mouvements plus calmes, plus doux, et ce n’est pas si désagréable. Le plaisir ne vient plus par pics, mais se diffuse en continu, bien que moins intense que lorsqu’il me pilonnait, je me laisse aller au rythme souple et décontracté qu’il m’impose. De son côté, il se concentre plus sur son pouce qui me bourre le trou du cul. Il semble avoir pris acte du fait que j’étais inexpérimentée en la matière et s’attarde donc dessus pour le préparer avant de le prendre d’assaut. La sensation de brûlure si présente au début a été remplacée par une langueur très agréable. Je sens son doigt bouger dans mes entrailles, il joue à le faire entrer et sortir de mon anus, à chaque fois plus facilement, et ce serait mentir que de dire que je n’aime pas ça.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens sa queue sortir de ma chatte et son pouce de mon anus, la frustration monte instantanément en moi, il m’a donné beaucoup de plaisir, mais je n’ai pas encore joui, il ne peut pas s’arrêter là, non pas ça, pas aujourd’hui, pas maintenant, pas après tout ce qu’il a fait. J’en veux plus, je veux jouir, je veux qu’il me prenne à nouveau, qu’il me chevauche et me remplisse.
— Noooon encoreee... Monsieur s’il vous plaaîîît...— Tu en veux encore salope ? Tu veux que je t’encule maintenant ?— Tout ce que vous voulez, mais continuez... encore...— C’est vous qui le demandez madame la directrice.
Et joignant le geste à la parole, je sens un filet de bave couler entre mes fesses, puis son gland qui se positionne contre mon anus. Il prend bien le temps d’étaler sa salive du bout du sexe avant de commencer à forcer vers l’avant très doucement. La sensation n’a rien à voir avec son doigt qui s’enfonçait en moi, c’est tellement plus gros, tellement plus énorme, je sens mon sphincter se détendre de plus en plus pour laisser passer le mandrin qui me pénètre. Je me mords littéralement les lèvres pour ne pas crier sous la douleur qui m’assaille, je n’ai jamais ressenti quelque chose de si intense. J’ai l’impression qu’il fait entrer un tison ardent en moi, qu’il lacère mon colon avec des lames de rasoir. Si la douleur est bien réelle, je ne peux nier cependant qu’un peu de plaisir l’accompagne, pas énormément certes, mais suffisamment pour avoir envie qu’il continue, pour avoir envie de savoir ce que ça fera une fois qu’il sera entièrement implanté en moi.
Eh bien devant la douleur et le plaisir, c’est l’excitation qui prend le pas.
Je me sens chienne plus que je ne l’ai jamais été, je ne suis qu’une masse de désir emportée par ses tourbillons inconnus qui me submergent. La peine, la volupté, tout cela n’est que ressenti infime par rapport à mon excitation. Il me baise sur mon bureau, il m’encule sur mon bureau, sans respect, sans discernement, et j’en veux encore, j’en redemande, cette situation me comble d’aise alors que je devrais me sentir avilie et méprisable de me laisser faire ainsi. Comme quoi l’âme humaine est tortueuse et incompréhensible.
— AAAAAAAAHHHHH... MMMMMMGGGGNNNHHHH...— Tu la sens bien ?— OUUUUUIIIIIIiiiiiiiiii...— Je vais te la rentrer au fond Safya.— MMMMmmnnnmmnngggnngggnn...
Et c’est ce qu’il fait, ça a pris du temps, mais je sens qu’il s’est finalement enfoncé de toute sa longueur au plus profond de mon anus distendu. C’est une sensation vraiment étrange si on fait abstraction de la douleur. Il me remplit à un endroit qui n’a jamais ressenti ce type de sensation. La brûlure ne s’est pas apaisée bien au contraire, je la ressens toujours avec autant d’intensité, mais je la supporte de mieux en mieux. Peu à peu, il se met à bouger au tréfonds de moi. Sa tige volumineuse me ravage les entrailles à chaque mouvement, je sens le battement du sang dans sa queue qui palpite à l’intérieur de moi. Il commence doucement, par petits mouvements précautionneux, voyant bien que je dois encore me roder à ce type de pratiques, puis au fur et à mesure, ses mouvements deviennent plus amples, plus arrondis.
— Mmmmh tu es tellement serrée sur ma bite Safya.
J’ai l’impression qu’on a introduit en moi une machine qui m’écartèle de l’intérieur, mais plus le frottement dure, plus il se transforme en une onde de plaisir indicible. Je commence doucement à accompagner le rythme de monsieur Delmare, à me joindre à son mouvement de balancier. Je ne crie pas, je ne gémis même plus, je me contente de geindre d’un ton sourd tandis que je me fais perforer par-derrière.
— Mmmmmmmggggnnnn... hhheeeeennnn...
D’un coup, je sens le corps massif de monsieur Delmare se pencher sur moi et une de ses énormes mains s’emparer de mon cou et le serrer tandis qu’il augmente la cadence de ses coups de reins, sans pour autant y aller à toute allure. Sa main m’enserre la gorge et je commence à peiner à trouver ma respiration, je sens qu’il serre de plus en plus fort, mais loin de me faire paniquer, je suis bien consciente que tout cela a un cadre purement sexuel, je ressens de manière exacerbée tout ce qui se passe dans mon corps. Mon cœur qui bat à tout rompre, mon anus qui me lance et me fait monter dans le plaisir en même temps, ma chatte qui palpite encore du traitement qu’elle a reçu et qui continue à perler d’excitation...
J’essaie d’avaler ma salive, mais sans succès, elle ne trouve pas davantage de passage que l’air, je ne peux pas déglutir et ma bave commence à couler à la jointure de mes lèvres. J’ai envie de happer de l’air, de remplir mes poumons, mais la strangulation de monsieur Delmare m’en empêche. Et plus je suffoque, plus il me pistonne le cul, il commence à reprendre un rythme plus soutenu, et je suis totalement perdue entre la sensation d’étouffer et le plaisir qui monte en moi à cause de sa pénétration. Ma bouche s’ouvre sur un cri silencieux, étant bien incapable de faire sortir l’air de ma gorge, et je sens le gland gonflé qui tape et tape et retape encore profondément dans mes entrailles. Il est en train de me détruire, de m’enculer, de me perforer sans plus aucune précaution, et j’aiiiime ça, j’adore ça, ça fait si maaal, ça fait tellement de biiien, je ne sais plus quoi penser, je suis dépassée par la situation je, je...
— AAAAAHHHHH OUIIIIIIIII HHHAANANNAAANHHHH...... MMMMMMMMMMM...
Sous l’intensité de la vague de plaisir qui me submerge, je me suis dégagée de sa main qui obstruait ma respiration, et je peux finalement vocaliser ma jouissance, c’est trop bon, trop intense, tandis que je jouis, que tout mon corps se contracte sous l’effet du plaisir, je le sens qui commence à perdre le contrôle également. Probablement que les spasmes de mon sphincter, qui se contracte puissamment et à répétition autour de sa queue à cause de ma jouissance, a eu raison de lui aussi. Je sens quelque chose de nouveau couler en moi, bien enfoui au fond de mon anus. Ce salopard est en train de vider tout son sperme dans mon cul. Sa bite massive lâche plusieurs jets avant que je le sente s’extraire de mon fondement.
La sensation est étrange, après avoir été tellement remplie, je ressens comme un vide au fond de moi. Et en même temps, la brûlure ne s’apaise pas, elle reprend même de plus belle maintenant que je ne suis plus pleine de son membre viril. J’entends le bruit d’un corps qui s’affaisse sur la chaise derrière moi. Je suppose que Serge s’y est assis le temps de récupérer. Un silence profond règne dans le bureau, à peine brisé par nos respirations ahanantes tandis que nous récupérons peu à peu nos esprits après cette chevauchée intense. Au bout de quelques minutes, j’entends Serge qui commence à bouger, un pantalon qui remonte et qu’on referme. Je ne me retourne pas, je n’ai pas envie de voir ce porc qui m’a procuré tant de plaisir.
— Bien. Je suis content qu’on ait pu traiter ce dossier en commun, madame la directrice, nous avons une belle collaboration qui nous attend. Bonne soirée.
Et ce connard sort de la pièce sans un autre mot ni regard pour moi qui reste avachie, allongée sur le bureau, les fesses encore ouvertes surmontées d’un collant déchiré et d’une culotte sur le côté. Je prends encore quelques instants pour me remettre, une douleur lancinante me tord à la fois le vagin et l’anus. Et pourtant c’était si bon, je n’ai pas de regrets pour ce qui vient de se passer, j’ai pris le plus grand pied de ma vie. Et pourtant c’était avec ce connard haïssable aux méthodes ignobles.
Ce soir-là quand je sors des locaux de l’entreprise pour rentrer chez moi, d’un pas mal assuré, je souhaite une bonne soirée aux agents d’accueil qui bien heureusement semblent n’avoir rien entendu, et je serre contre moi une sacoche dans laquelle se trouvent de dossier. Le premier est celui que m’a remis ce connard, je compte bien régler la situation au plus vite et faire preuve de mes qualités de directrice. L’autre est le dossier du personnel de monsieur Serge Delmare. Je compte le fouiller en détail, surveiller ses faits et gestes au sein de la société, et dès que j’aurai repéré la faille, je lui tomberai dessus. Et il ne s’en sortira pas. Il va finir renvoyé pour faute grave dès que la situation me permettra de prendre ce genre de mesure sans être moi-même attaquée sur mon bilan. Ah tu m’as baisée sale porc, tu m’as baisée et j’ai aimé ça certes, mais maintenant, c’est moi qui vais te baiser, sans pitié, jusqu’à ce que tu te retrouves au chômage, et à ton âge, ça ne pardonne pas.
C’est moi qui vais te baiser bien comme il faut, tu verras.
Et en attendant, qu’est-ce que je vais faire s’il revient me voir ? Ben en attendant, s’il y a une chose que j’ai apprise ce soir, c’est bien que la haine n’empêche pas le plaisir non ? Donc je vais peut-être continuer à me faire plaisir.
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