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Madame divorce

Chapitre 1

Trash
La lumière vive du soleil levant inonde le long couloir dont les fenêtres donnent sur la cour du Palais de Justice, encore noyée dans l’ombre. Eric, assis sur une chaise en bois, baisse les yeux pour échapper aux rayons qui l’éblouissent. Il se demande s’il aime encore Stéphanie. Elle est toujours aussi séduisante, elle est toujours une maîtresse de maison parfaite, et elle lui a donné deux charmants enfants. Un garçon, Jean-Baptiste, qui vient d’intégrer avec succès une grande école, et Elisabeth, fraîche et brillante bachelière. Il égraine les souvenirs. Leur mariage, leur première maison, le jour où il a créé sa société, ses succès et sa réussite, l’achat de leur villa sur la Côte d’Azur, les voyages... Et puis les reproches incessants, réclamant plus d’attention, plus de disponibilité. Comme si l’entreprise pouvait tourner seule. Comme si elle voulait quelque chose de plus, l’engluer dans sa routine domestique, l’étouffer. Eric ne se résout pas à admettre qu’elle ait pu devenir pour lui une sorte de potiche. Une épouse modèle qu’il aime présenter à ses relations, souriante et si élégante à ses côtés. Une mère de famille dynamique et exemplaire. Une superbe potiche. Eric secoue la tête en soupirant. Oui, il l’aime encore dans le fond, mais il y a l’usure... A ses côtés, son avocat a revêtu sa robe noire et son col blanc. Il reste immobile et silencieux, laissant son client à ses pensées troublées. Cette audience devrait être la dernière, après une année de tergiversations insensées qu’Eric aimerait enfin voir se conclure. Qu’on valide enfin le montant de la pension, la garde partagée, et qu’on en finisse avec ce divorce. Qu’on tourne enfin la page pour passer à autre chose.
Assise un peu plus loin, de l’autre côté de la porte du cabinet du juge, Stéphanie se tient droite sur sa chaise. Murée dans sa dignité, elle semble sereine, contrairement à son époux qui, malgré l’assurance arrogante dont il a fait preuve ces derniers mois, ne peut cacher une certaine nervosité, un certain agacement. Elle porte un tailleur jupe gris clair. Ses cheveux bruns mi-longs caressent le col de sa veste sur lequel s’ouvre un chemisier de soie rouge, seule note de couleur dans ce couloir terne et solennel. A côté d’elle, son avocate compulse fébrilement son dossier, telle une étudiante révisant une dernière fois ses notes avant l’examen de sa vie. La jeune femme rousse, au chignon sévère et aux lunettes de première de la classe, n’a pas encore la carrière et l’expérience du ténor du barreau qui représente le mari, mais on la dit brillante et promise à un bel avenir. Elle a surtout été d’un grand soutien moral pour Stéphanie, à en croire les on-dit rapportés à Eric.
***
La porte du cabinet s’ouvre sur un homme âgé, aux cheveux blancs et au visage ridé, vêtu d’un impeccable complet anthracite. Il invite d’un geste le couple et ses conseils à entrer. Le petit groupe traverse l’antichambre en passant devant l’assistante qui, levant brièvement les yeux de son ordinateur, les salue d’un charmant sourire, puis passe dans l’antre du juge. Ce dernier ferme la porte et s’installe derrière son imposant bureau empire.
— Asseyez-vous, je vous en prie.
Stéphanie, Eric et leurs avocats prennent place sur les chaises qui lui font face. Madame et son conseil sur sa gauche, monsieur et le sien sur sa droite, attendant dans un silence pesant que l’audience débute. Le juge chausse ses lunettes aux verres épais, ouvre la chemise en carton posée sur son sous-main, et commence à lire le document final dont cette douloureuse procédure a accouché.
Eric n’écoute pas vraiment le texte ampoulé que le magistrat débite d’une voie monocorde, dissimulant mal son impatience. Une importante réunion l’attend en fin de matinée, il ne voudrait en aucun cas y arriver en retard. Puis un chiffre le fait sursauter. Le montant de la pension est exorbitant. Il s’agite soudainement, voudrait faire répéter, mais la lecture continue sans que son avocat ne bronche. La Maserati, la villa et sa piscine vont à Stéphanie. Il sursaute à nouveau, se penche pour interpeler du regard sa femme qui ne réagit pas. C’est à elle encore que le juge accorde la garde exclusive des enfants. Le coeur d’Eric bat la chamade. Il transpire à grosses gouttes. Se répète, incrédule, les incroyables paroles qu’il vient d’entendre. Puis, se levant brutalement, explose.
— Mais c’est de la folie ! Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? C’est un canular !
Le magistrat s’interrompt, et sur un ton glacial lui demande fermement de se rassoir et de bien vouloir se taire. Interloqué, l’époux hagard se fige un instant, puis se remet à hurler au scandale et au coup monté. Perdant tout contrôle, il lance en braillant menaces et injures sous le regard de ses voisins imperturbables. Seule Stéphanie esquisse un léger sourire gêné. Faute de pouvoir placer un mot et se refusant à élever la voix, le juge presse un bouton de son téléphone et donne de brèves instructions que le riche industriel bafoué n’est plus en état d’entendre.
Quelques secondes plus tard, deux agents en uniforme font irruption dans la pièce. En un éclair, ils contraignent le forcené à se rassoir, menottent ses poignets dans son dos et le maintiennent fermement par les épaules. Eric se débat en vain mais continue à s’époumoner sous le regard dépité du juge qui attend que cesse ce piètre spectacle.
— Je vous demande de vous calmer immédiatement. Je vous assure que cette attitude ne joue vraiment pas en votre faveur, monsieur !
La petite avocate rouquine se lève alors, et vient se placer devant le mari hors de lui, sa serviette de cuir noir à la main. Elle en extrait un bâillon, une boule de plastique rouge qu’elle pousse dans sa bouche, et dont elle boucle consciencieusement la lanière derrière sa nuque. Elle sort ensuite deux paires de menottes de chevilles avec lesquelles, sollicitant du regard l’aide de l’un des deux agents, elle attache aux pieds de la chaise les jambes révoltées. Deux sangles de cuir viennent enfin figer les cuisses, puis le torse et les épaules. Eric ne peut plus bouger. Le notable brutalement déchu, hébété et hirsute, renonce à résister.
***

Le juge demeure imperturbable. L’avocate s’est placée debout, à côté de lui derrière le bureau, observant la scène avec tout le dédain que lui inspire ce bourgeois suffisant. L’avocat d’Eric se lève à son tour, et cède sa place à la femme de son client qui vient prendre place à côté de son époux ligoté. Elle semble se recueillir un instant, puis brise le silence qui venait de s’installer.
— Tu sais, nous avons vécu de si bons moments...
Lui émet un gémissement rauque d’impuissance et d’incompréhension. Elle tapote du bout des doigts sur l’épais dossier qu’elle a posé sur ses genoux, puis l’ouvre pour en extraire une pochette de photos.
Elle met sous les yeux de son mari un premier cliché, qu’elle commente avec émotion.
— Je trouve cette photo magnifique. C’est ton père qui l’ a prise dans notre chambre, il y a quatre ans, lorsque tes parents sont venus à la maison pour la confirmation d’Elisabeth. Il m’a fait prendre la pose dans ma robe de mariée pendant que tu réglais je ne sais plus quoi pour ton travail... Elle est superbe cette robe bustier blanche, avec son petit boléro... Et je rentre toujours dedans ; j’ai toujours la taille fine, tu ne trouves pas ? J’avais même remis mes gants blancs. Et le bouquet que je porte contre ma poitrine, avec le ruban bleu ciel, c’est celui que portait notre fille à l’église le matin même. C’est émouvant, non ?
Stéphanie, attendrie, s’attarde un instant puis passe à la photo suivante. Eric semble s’agiter à la vue de celle-ci.
— C’est un peu la même que la précédente... J’ai juste retroussé les bonnets du bustier. Du coup ma poitrine est bien mise en valeur, avec le boléro qui masque à peine mes seins...
Elle continue sur le ton de la confidence et avec un sourire mutin.
— Et, tu sais, la doublure en soie chatouillait mes tétons. Ils étaient dressés et dur comme du bois !
Eric trépigne, les yeux écarquillés. Stéphanie poursuit son nostalgique monologue.
— Tiens, voici un portrait en pied. J’aime beaucoup cette posture... Je tiens ma robe relevée, les jambes légèrement écartées. Bon, là, je n’ai pas de culotte, mais avoue que nous n’avions aucune photo du mariage sur laquelle on voit mon porte-jarretelle et mes bas blancs. Et puis avec le boléro ouvert, je trouve mes seins superbement exposés. D’ailleurs, il y a bien longtemps que tu n’as pas fait de compliments sur mes seins...
Déposant la pochette sur son dossier pour se libérer les mains, elle déboutonne son chemisier, et dégage ses deux superbes globes de leur soutien-gorge. Admirant la fière poitrine qui se dresse entre les pans de la veste de son tailleur, elle se tourne légèrement vers son mari en bombant le torse.
— Ils sont pourtant beaux, non ? Ils ne te font pas envie ?
Marquant une pause pour laisser Eric émettre une plainte étouffée en guise de réponse, elle reprend la revue de ses photos.
— Ton papa a pris celle-ci en contre-plongée, pendant que je le suce. Il m’a demandé de regarder l’objectif ; c’est vrai que le gros plan fait particulièrement bien ressortir mes yeux... Les suivantes ont été prises par ta mère. Sur celle-ci, il me prend en levrette sur notre lit. Il est vraiment élégant dans ce costume noir, et je trouve cette pose très solennelle. Sur celle-là, il est allongé sur le dos, et je le monte en lui faisant face. Cela lui permet de me pétrir la poitrine et de lécher les pointes... Ce que c’était bon...
La voix de Stéphanie se fait plus douce, plus lascive. Joignant le geste à la parole, elle presse sa main contre son sein droit, comme pour revivre ce moment d’extase surgi du passé. Les scènes pornographiques se succèdent, jusqu’à ce que la première photo revienne sur le haut du paquet. Stéphanie conclue en regardant son époux.
— Il n’y a malheureusement pas d’images de l’apothéose... Ta maman et moi avons sucé ton papa jusqu’à ce qu’il éjacule. Il a tenu à ce que nous nous tenions à genou devant lui pour recevoir sa "bénédiction". Le tailleur bleu marine que portait ta mère pour la célébration de la confirmation était vraiment très chic ; je me demande si elle a pu ravoir toutes les giclées de foutre qu’elle a reçues. Et je ne te parle pas de ma robe ou du bouquet d’Elisabeth...
Eric se débat comme un beau diable, manque de renverser sa chaise, mais est rapidement maîtrisé par les deux robustes policiers. Le souffle court, la bouche endolorie, il laisse échapper entre ses lèvres et la balle un filet de salive qui s’étire jusque sur sa cravate. Il balaye la pièce du regard, incrédule.
***
Derrière le bureau, l’avocate, les jambes bien droites, s’est penchée sur le fauteuil du juge et administre une fellation au pénis qui se dresse au garde à vous hors de la braguette de son pantalon. Le vieil homme a remonté sur sa taille la robe noire de la vicieuse rouquine, dévoilant ses jolies jambes et les bas noirs qui les habillent. Les doigts noueux du magistrat courent sur son fessier, étalant une humidité luisante qui suggère qu’ils ont déjà inspecté l’accueillante intimité de la jeune fille.
— Tu sais que ta secrétaire est une femme charmante ?
Eric, abasourdi, est tiré de sa torpeur par la voix de Stéphanie qui vient de tirer de son dossier une chemise en carton.
— Tu sais, ta secrétaire : la bimbo blonde avec qui tu couches de temps en temps, pendant que je suis supposée te croire en déplacement professionnel... Oui, je suis au courant... Tiens, regarde, voici le rapport du détective que ton avocat et toi avez engagé pour me suivre. Histoire d’essayer de me salir et d’enjoliver ton cas, je suppose.
Elle ouvre la chemise, dans laquelle se trouve un rapport de deux feuillets accompagné de quelques tirages photographiques, et, avant de reprendre, jette un coup d’oeil à l’avocat qui se tient debout à côté d’elle.
— Ces messieurs ont été particulièrement surpris de ma visite à ton bureau un soir où tu étais, pour le coup, vraiment en mission. Et cela n’avait rien d’une première : j’ai voulu parler avec ton assistante, il y a deux ans. De vos aventures. De toi. De notre famille. C’est quelqu’un de bien dans le fond, une femme charmante, comme je le disais à l’instant. Et nous avons pris l’habitude de nous voir.
Stéphanie présente à Eric une première photo. Elle est d’excellente qualité. Du travail de professionnel. Le soleil est déjà couché et la pièce bien éclairée. Le détective s’est apparemment placé sur la passerelle piétonne qui longe le bâtiment, d’où la vue sur les baies vitrées des bureaux de l’assistante et de son patron est parfaite. On y voit Stéphanie habillée d’un pardessus beige, se tenant face à une jeune femme qui tourne le dos au photographe. Les longs cheveux blonds de cette dernière tombent en ondulant sur les épaules de son chemisier de soie bleu roi. Une jupe noire moule sa taille de guêpe et ses longues cuisses. Eric semble ne pas réagir. Sur la seconde photo, la secrétaire occupe toujours la même place. Stéphanie, elle, a retiré son trench coat. Les mains sur les hanches, elle porte une chemise blanche, une cravate mauve et un costume noir dont la braguette ouverte laisse sortir un énorme godemichet couleur chair. La secrétaire tombe à genou sur le troisième cliché, se livrant à une fellation dont le rythme semble donné par la main de Stéphanie pressée sur sa tête. Eric s’agite en gémissant ; les policiers resserrent leur étreinte sur ses bras. Sa chère et tendre épouse reprend la parole.
— Nous aimons jouer au patron et à la secrétaire. Et, sans vouloir te vexer, elle préfère nos petits moments de détente à ceux que tu lui imposes pendant que je m’occupe des enfants à la maison. Je crois qu’elle te trouve un peu... mufle. Ta cravate me va très bien, soit dit en passant.
La vue suivante a été prise au téléobjectif. On y voit la dominatrice en costume laisser la docile secrétaire échevelée reprendre un peu d’air la bouche grande ouverte. Asphyxiée par le sexe de latex pendant de longues secondes, elle laisse échapper un épais filet de bave glaireuse qui coule sur son chemisier détrempé.
— Elle a l’air mal à l’aise. Mais, crois-moi, si tu avais pu voir sa chatte dégouliner de plaisir... Quel instant de jouissance !
Stéphanie a murmuré ces mots dans le souffle de sa respiration qui s’alourdit. Se dandinant sur sa chaise, elle tire sa jupe, la force à remonter en écartant les jambes, faisant apparaître le haut de ses bas, ses jarretelles puis sa fine culotte de dentelle blanche. Elle écarte celle-ci du bout des doigts, et commence à caresser les lèvres de sa vulve déjà bien humide. Elle ferme les yeux et soupire. Le dossier tombe sur le plancher, éparpillant le rapport et les clichés qui relatent la folle soirée des deux lesbiennes lubriques. Elle reprend, sur un ton lascif et haché.
— Et je l’ai baisée... Penchée en avant, sa croupe offerte, ses mains appuyées contre la vitre... Mmmm... Le détective a parfaitement saisi ses énormes nichons qui pendaient hors de son chemisier béant. Qu’est-ce qu’elle a pu gueuler, la salope... Une vraie braillarde... Mais qu’est-ce que ça m’excite ! Pas toi ? C’est vrai que tes grands principes s’accommodent mal de ce genre de rapports... "homosexuels"...
Elle esquisse un petit sourire malin. Le policier qui se tient tout près d’elle la gratifie d’un regard noir en resserrant son étreinte sur Eric.
Tout en martyrisant son clitoris, Stéphanie a empoigné de l’autre main le sexe bien bandé de l’avocat de son mari qui, toujours debout à ses côtés, robe troussée et braguette ouverte, a mis son engin à sa disposition. Elle continue.
— Je lui ai fait sucer le fruit de sa jouissance sur mon gode. elle s’est régalée. Puis ça a été mon tour : elle s’est assise sur ton bureau, les jambes écartées. Je me suis mise à genou, et j’ai léché tout ce jus qui coulait de son intimité que je venais de défoncer... Oh, quelle sensation... Quel délice...
Stéphanie se tait, avalant goulument le braquemart que ses doigts experts ont fait gonfler et raidir en quelques instants.
Les yeux hagards d’Eric détaillent les photos étalées sur le sol. Sa potiche en costume se livrant aux pires bassesses avec sa secrétaire, dans son propre bureau. Quelle horreur... Quelle honte... Cet obscène phallus de plastique pénétrant en gros plan un vagin ruisselant. La chemise blanche tendue sur les deux seins de madame, entre lesquels tombe la cravate mauve. Celle qu’il préfère. Les énormes mamelles de son assistante, qu’il a si souvent souillées de son sperme... A court d’air et fébrile, il se sent durcir, de plus en plus à l’étroit dans son pantalon. Stéphanie interrompt sa fellation, maintenant toutefois une efficace masturbation du sexe de l’avocat. Les doigts de son autre main enfournés dans son vagin, elle surmonte son extase pour reprendre la parole.
— Ton avocat a été particulièrement... mmm... ému par ces images... Il m’a donc convoquée avec... oooh... mon conseil et ton assistante... C’est fou tout ce qu’elle sait sur l’entreprise, et ta comptabilité, et... Et nous avons tellement joui tous les quatre ! Oh ouiii... Je viens ! Aaaah !
Son vagin expulse une longue série de jets saccadés qu’elle accompagne de sonores gémissements. Les clichés et les feuillets du dossier se font copieusement arroser sur le parquet en chevrons de chêne. L’avocat décharge à son tour, maculant de sperme la poitrine de Stéphanie et le revers de son tailleur.
***
De l’autre côté du bureau, l’avocate s’est empalée sur le juge. Appuyée des deux mains sur le rebord de la table, elle le chevauche à un rythme endiablé marqué par ses petits cris de plaisir aigus et les râles graves du magistrat au bord de l’apoplexie.
Retrouvant ses esprits et reprenant son souffle, Stéphanie extrait son smartphone de la poche intérieur de sa veste. Elle parcourt les menus du téléphone, puis se penche vers Eric pour lui présenter une vidéo affichée en plein écran. L’image tremble, devient floue par moments. On distingue la mère de famille nue, à genou au milieu d’un groupe de jeunes gens qui, braguettes ouvertes, lui font déguster leur pénis à tour de rôle. On entend de temps à autre des voix au milieu du brouhaha des rires et des joyeuses exclamations.
— Allez, suce-moi bien salope, je veux gicler sur ta jolie gueule de bourgeoise !— Vas-y, branle bien ! Oui, comme ça, branle-la bien, ma queue !— Quelle gourmande, ta mère ! Une dizaine de bites, ça ne lui fait pas peur !— Vraiment pas ! Les douches de sperme, elle adore ça !
Stéphanie se met en devoir de donner quelques explications.
— C’était le jour où Jean-Baptiste a organisé cette petite soirée à la maison. Pour fêter le résultat de ses concours avec ses amis. Tu étais... Peu importe où tu étais. Ou dans qui, d’ailleurs...
C’est à cet instant qu’elle remarque la bosse qui déforme le pantalon de son mari. Son sourire s’élargit. Faisant glisser la fermeture éclair, elle libère ce pénis qui, malgré sa fière allure, a bien lamentablement rempli son devoir conjugal pendant toutes ces années. Tout en le caressant doucement, elle reprend.
— Tous ces souvenirs t’excitent ? Ca me touche, moi qui n’ai jamais pu poser mes lèvres sur ta trique bien-pensante. Moi qui aime tant sucer...
La voix du policier au regard noir l’interrompt.
— Peut-être que monsieur aimerait faire de nouvelles expériences ? Si cela ne vous choque pas...
Stéphanie tourne la tête et découvre, à quelques centimètres de son visage, le sexe tendu du gardien de la paix. Son sourire s’élargit encore.
— Quelle bonne idée ! Il faut que tu essayes ça...
Donnant un furtif coup de langue au gland qui offre ainsi ses services, elle détache et retire le bâillon d’Eric. Ce dernier expire bruyamment et laisse filer sur son menton toute la salive accumulée pendant les monologues dégoutants de son épouse. Aucun son ne sort toutefois de sa bouche grande ouverte immédiatement investie, et en profondeur, par le membre du policier. Ses yeux exorbités protestent en silence alors que le pieux qui s’enfonce dans sa gorge l’étouffe.
Stéphanie relance sur son téléphone la lecture du film orgiaque, tout en continuant à branler vigoureusement son mari et en lui prodiguant, images à l’appui, les conseils avisés que tout suceur de bite débutant se doit de mettre en pratique.
***
Le juge s’est levé pour honorer de toute sa fougue la jeune avocate allongée sur son bureau. Couchée sur le dos, les jambes à la verticale en appui contre les épaules du magistrat, elle laisse pendre sa tête en arrière pour offrir sa bouche à l’avocat ramollissant à peine remis de son éjaculation sur Stéphanie. Le juge assène ses coups de boutoirs en marmonnant entre ses dents des insultes salaces sensées l’encourager à satisfaire la "petite pute du barreau". La poitrine de l’avocate danse sous sa robe noire. Face au vieil homme, son collègue regagne en raideur en pénétrant entre ses jolies lèvres.
Sur l’écran du smartphone, le dénouement arrive enfin. Les jets de sperme s’abattent sur Stéphanie les uns après les autres au milieu des cris de satisfaction. Elle lève la tête et ferme les yeux. Les traits blancs jaillissent sur son visage et dans ses cheveux. Certains visent sa poitrine, cible de choix dont elle est si fière, d’autres se soulagent dans sa bouche, car tous savent que la maman de leur copain est une grande amatrice de foutre.
— Tu aimes me voir ainsi aspergée, Eric ? Vider dix belles paires de couilles bien pleines, tu sais, c’est un plaisir rare... Et je crois que ce petit cochon de Jean-Baptiste m’a lui aussi juté dessus. C’est bien notre fils : aussi brillant que son père, aussi pervers que sa mère !
Le mari humilié aimerait pouvoir réagir, mais il y a bien longtemps que sa rage l’a abandonné pour faire place à une douloureuse résignation. Un sexe d’homme est en train d’aller et venir dans son orifice buccal alors que celle qui fut le doux et servile amour de sa vie le masturbe en débitant les pires insanités.
Remettant à sa place son téléphone dans la poche de sa veste, Stéphanie se lève pour se placer face à Eric. Jupe troussée et chemisier ouvert, chatte béante et mamelles offertes, elle se dresse devant lui dans toute son indécence. Elle écarte les jambes et vient s’assoir sur son mari, calant dans la raie de ses fesses son pénis bien raide. Elle porte ses mains sur sa poitrine poisseuse, la masse, la pétrit en regardant sucer le sous-homme qu’elle domine. Elle ondule langoureusement, branlant avec son derrière ce membre infidèle qui a si peu profité de ses talents. Stéphanie ricane et fait glisser sa langue gourmande sur ses lèvres lorsque le second policier réclame son dû. Forçant Eric à tourner la tête, il s’enfonce à son tour dans la bouche non-consentante mais soumise. La dominatrice en rut continue sa chevauchée, se délectant du spectacle dégradant qui s’offre à elle.
***
Le juge se fige, le visage cramoisi, grimaçant et luisant de sueur. Puis se libère, explose, peinturlurant d’abondantes tâches blanches la robe de l’avocate. Extirpant à l’ultime seconde son barreau de la gorge de la jeune fille éreintée, l’avocat gicle à son tour sur la tenue noire, parachevant le tableau chargé d’un verdict éjaculatoire sans appel.
Les deux policiers se branlent nerveusement, sur le point de jouir eux aussi. Eric gémit doucement. Le regard dans le vague, il semble ne pas voir Stéphanie qui se dandine toujours devant lui, comme en transe, et maltraite sa pauvre bite avec son postérieur. Les deux représentants de l’ordre se vident l’un après l’autre sur la poitrine de madame. Elle glousse à chaque jet, encourageant les deux hommes à lui livrer la moindre goutte de leur jouissance.
— Oh oui messieurs, donnez-moi tout... Videz vos couilles sur mes nichons... Ils vous plaisent mes nichons ? Oui... Encore... Mmmm...
Puis laissant échapper un petit cri, elle s’adresse à Eric comme on s’adresserait à un enfant qu’on félicite.
— Et qu’est-ce que je viens de sentir sur mes fesses ? Qui est-ce qui vient de m’inonder le bas du dos en jouissant ? Je crois que ma jupe va devoir passer chez le teinturier, petit coquin ! Je suis fière de toi mon biquet, tu as bien sucé la trique de ces messieurs. Et tu as bien apprécié, je le sens ! Et moi aussi... Je mouille...
En guise de pathétique récompense, elle plaque brutalement ses seins gluants sur le visage de son époux, y étalant l’abondante semence qui recouvre ses attributs mammaires. Puis elle se redresse et se lève, restant immobile les jambes écartées au dessus d’Eric pendant de longues secondes. Concentrée, attendant patiemment. Une première goutte tombe alors sur la cravate du pauvre homme. Suivie d’une seconde. Elle-même suivie d’une petite giclée... Et c’est dans un interminable épanchement d’urine que Stéphanie tire un trait définitif sur leur union.
***
Assis à son bureau, le juge conclue l’entrevue. Face à lui, chacun a repris sa place et a impeccablement réajusté sa tenue, même si quelques petites tâches témoignent encore des instants chargés d’émotion qui ont précédé. Seul Eric, toujours menotté et encadré par les deux policiers, semble ne pas s’être remis. Hirsute, débraillé, trempé et malodorant, il paraît absent.
— Vos conseils m’ayant confirmé votre accord à tous deux sur les termes de la séparation, nous pouvons clore cette procédure de divorce. Je vous souhaite, madame, le meilleur dans votre nouvelle vie. Bon courage à vous. Et bonne journée à tous
Il se lève, salue Stéphanie et les deux avocats, leur serre la main et les raccompagne à la porte sans qu’aucun d’eux n’adresse un mot ou un regard à l’ex-mari. C’est toutefois à lui que va son dernier mot.
— Je vous mets aux arrêts, monsieur. Votre comportement et, oserais-je le dire, votre tenue sont inqualifiables. Qui plus est, je pense que le dossier comptable bien fourni qui vient de m’être transmis devrait intéresser certains de mes illustres collègues. Je crois que vos ennuis ne font que commencer...
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