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Madame Jade et aline, soumise mâle laineuse.

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Aujourd’hui, Madame m’a demandé d’être à 10h précises, dans la ville où Elle réside, devant son bar de prédilection. Je suis arrivée un peu en avance et je n’ai pas eu à L’attendre puisqu’Elle est arrivée à l’heure. Elle m’a demandé de La suivre dans un parc voisin et nous nous sommes assises sur un banc pour discuter tandis que, à la moindre averse, j’ouvrais mon parapluie pour la protéger de la pluie. Nous avions quelques mises au point à faire sur notre relation et nous avons su nous entendre, ce qui m’a ravie et rassurée autant qu’Elle. Mais, pour avoir déçu Ma Maîtresse suite à un message que je lui avais écrit la veille et qu’Elle n’a pas apprécié, Elle m’a interdit de boire mon verre de vin habituel, chaque fois que je mangerais seule chez moi comme en dehors des repas, et ce jusqu’à la fin du mois, ce qui correspondait à vingt-sept jours.
Madame m’avait donné comme consigne d’apporter un pull et un pantalon en laine que j’avais mis dans mon sac et j’ai cru un moment qu’Elle me demanderait de me changer dans un coin discret du parc puisque nous avons tourné quelques minutes dans cet espace. Ce ne fut pas le cas, mais je L’imagine capable d’une telle demande et je ne saurais faire autrement que La satisfaire, car Elle est Celle en qui je crois. Sa bienveillance me surprend depuis notre première rencontre. Toujours est-il que nous avons pris mon véhicule et qu’Elle m’a guidée jusqu’au milieu de vignes où, de toute évidence, nous serions tranquilles.
Madame m’a demandé de me changer et donc d’enfiler mes effets laineux. Une fois vêtue comme elle l’entendait et après avoir paré mon cou d’un collier de cuir noir, Elle a posé les pinces japonaises, celles qu’Elle semble préférer, et reliées par une chaînette, sur mes tétons. J’apprécie toujours cet instant, surtout la morsure qui se diffuse dans ma poitrine suivie du pull rabattu sur ces accessoires métalliques venant se prendre dans les mailles. Une fois sorties de mon camping-car, Madame a fixé une laisse à mon collier puis m’a conduite sur un chemin pénétrant dans les vignes. Après une trentaine de mètres à marcher à Ses côtés, l’ordre de poursuivre la promenade à quatre pattes est tombé. Je me suis aussitôt exécutée pour continuer cette promenade dans l’herbe humide, en chienne docile, obéissante et comblée.
Après nous être suffisamment enfoncées dans les vignes et après avoir joué avec la chaînette des pinces sur laquelle Elle s’est amusée à tirer à plusieurs reprises, posant parfois fermement Ses mains sur ma poitrine endolorie, Madame a exigé que je m’allonge de tout mon long à même le sol et que je colle mon visage par terre. Elle s’est assise sur moi, a relevé ma tête pour que je puisse prendre en bouche les brins d’herbe qu’Elle coupait afin que je les mâchouille. J’ai exécuté cette consigne sans rechigner tant elle était originale, bienvenue dans le contexte. Elle m’a alors demandé de cracher cette herbe que j’avais mastiquée pour plaquer ensuite mon visage dans ce que je venais d’expulser de ma bouche. C’était certes humiliant, mais à la fois divin. Madame a alors baissé mon pantalon pour m’administrer une fessée que j’avais méritée pour avoir fumé, quelques jours plus tôt, sans Sa permission.
Ayant reçu l’ordre, après cette punition, de me remettre à quatre pattes, Elle m’a fait marcher à nouveau dans l’herbe puis nous nous sommes arrêtées au bout d’une trentaine de mètres. Elle a joué à nouveau avec les pinces avant de se saisir d’un sarment oublié près des vignes. Elle a commencé par taper sur mes épaules, mes hanches, mes fesses et mes cuisses encore couvertes de laine, mais je sentais pourtant l’impact des coups sur ma peau protégée. Elle a également usé de cette badine improvisée en la posant sur la chaînette des pinces pour ensuite forcer sur les maillons de manière à ce que mes tétons soient sollicités. Puis Elle a remonté mon pull sur les épaules, tandis que la pluie s’invitait à la fête, baissé mon pantalon pour continuer à marquer mon corps avec ce tourment qui, comme il n’avait rien de punitif, fut apprécié par nous deux. Madame m’a ensuite demandé de m’allonger sur le dos pour tapoter mon pénis du bout du sarment de vigne.
J’ai adoré cet instant, regrettant presque des coups un peu plus appuyés, mais sans aller non plus jusqu’à le martyriser.Madame a alors abandonné sa badine de substitution et m’a ordonné de reprendre ma position à quatre pattes. Après avoir fait une pose cigarette assise sur mon dos, Elle a repositionné mon pull sur les épaules pour se placer au-dessus de moi afin de vider sa vessie. L’urine coulait sur mon dos, allant même jusqu’à ruisseler sur une de mes joues et l’une de mes mains. Je n’ai pas su le Lui dire et, plus que tout, je n’avais pas à le Lui dire, mais j’aurais aimé qu’Elle se soulage sur ma tête, sur mon visage et même dans ma bouche. Je saurais le subir parce que c’est Elle et, des quelques Maîtresses que j’ai servies, une seule a su m’amener à boire son urine. Avec Elle, ce serait juste une évidence, même si cela sera toujours aussi difficile. Après m’avoir honorée de la sorte, Madame m’a permis de me relever et nous sommes retournées à mon véhicule où je me suis changée pour enfiler ma tenue ’’civile’’, sans pour autant m’être lavée.
Sur le chemin du retour, Elle a voulu me ’’piéger’’ en me disant qu’il me tardait sûrement de rentrer chez moi pour prendre une douche. Elle sait cependant que Sa soumise mâle est attentive et très désireuse de La satisfaire. J’ai donc répondu que je ne saurais me doucher sans Sa permission, ce qui m’a permis d’éviter une punition qui aurait été justifiée. Je m’attendais donc à passer le reste de la journée avec Son odeur sur moi et j’ai presque regretté l’envoi de Son message, une demi-heure plus tard, me demandant de me laver. J’aurais pu jouer sur les mots, sur Ses mots puisque son texto disait ’’tu peux te doucher’’ et non ’’douche-toi’’ ou ’’va te doucher’’ et répondre alors ’’si je peux, Madame, c’est que je n’y suis pas obligée’’. Mais je me suis abstenue et je Lui ai obéi de suite.
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