Dans la chambre, on continue nos dialogues, et le sommeil nous emporte, je suis réveillé par la lueur de la lune qui brille, Pascaline dort paisiblement, allongée sur le dos, cuisses écartées. Je lui caresse légèrement la vulve, instinctivement, elle ouvre encore plus l’écartement de ses jambes, ma langue remplace ma main pour lui lécher le clito, de petits gémissements se font entendre et sa main se pose sur ma tête. — Continue mon chéri, j’adore ce genre de réveil. Je continue de lécher et aspirer son clito tout en introduisant deux doigts dans sa chatte bientôt rejoints par un troisième puis un quatrième, sa chatte s’ouvre très facilement. Pascaline commence à jouir, mon pouce replié rejoint mes autres doigts et ma main entière entre dans sa chatte lubrifiée par une mouille abondante, je pousse ma main plus loin et s’enfonce sans rencontrer trop de résistance. — Ouiiii encore, on ne m’a jamais fait cela, c’est trop bon, enfonce encore plus. Je pousse plus fort, me retire, je m’enfonce à nouveau, ma main franchit le col et entre totalement dans son vagin, Pascaline hurle de plaisir, et plus je continue et plus elle crie jusqu’au moment où, submergée par le plaisir, elle s’évanouit et reste tel un pantin désarticulé. Un bon moment plus tard, elle reprend ses esprits et me regarde. — J’ai rêvé de trouver un bon amant, mais tu dépasses toutes mes espérances. Nous sommes nus dans la cuisine pendant que le café coule, Pascaline me caresse la queue qui devient bien raide. — Sodomise-moi, j’ai un peu les lèvres intimes un peu douloureuses après cette nuit.— Tu n’as pas aimé cette nuit ? — J’ai adoré, je n’ai jamais connu une jouissance aussi forte, on recommencera ? Je m’enfonce avec plaisir dans son cul si accueillant, et je le prends en douceur, savourant ce moment. — Plus fort, défonce le cul de ta salope.— Déguste ce moment salope, plus c’est long, c’est bon, un peu de douceur de temps en temps. Pascaline pousse son dos en arrière pour s’empaler plus vite et commence à gémir lorsque le téléphone sonne.
— Continue si c’est important, il y a un répondeur. La sonnerie cesse et une voix se fait entendre à l’entrée de la cuisine. — Maman, papa au téléphone. Oh excusez-moi je dérange ? Pascaline prend le combiné et part vers le salon. — Bonjour, moi c’est Caroline, la fille de Pascaline ! Vous lui avez fait quoi cette nuit, je ne l’ai jamais entendue jouir aussi fort ?— Une chose que les jeunes femmes ne connaissent pas.— Vous me prenez pour une oie blanche, je ne suis pas une débutante, je vais vous le prouver. Caroline saisit ma queue d’une main, s’accroupit et commence à me lécher, effectivement ce n’est pas sa première pipe, elle est douée, lorsque ma queue est bien raide, elle se relève et pose ses coudes sur la table de cuisine. — Viens la mettre au chaud dans ma chatte, maman ne dira rien, ce n’est pas la première queue qu’on partage. Bon samaritain, j’investis son vagin avec ma queue raide. — Quel calibre, on la sent bien !— C’est peut-être un peu gros pour toi ? — Non, je suis comme maman, j’aime les gros calibres. — Ton père arrive la semaine prochaine. Petite salope, j’ai à peine le dos tourné que tu me piques mon étalon. J’ai une hésitation et me retire de la chatte de Caroline. — Continue, bourre-lui bien la chatte à cette petite salope. Pascaline s’approche de sa fille et l’embrasse sur la bouche en lui caressant un sein, son autre main descend pour me presser les couilles, Caroline commence à jouir sous mes coups de boutoir jusqu’au moment où ma queue crache mon foutre qui lui remplit la chatte. — Je te présente Michel, mon nouvel amant.— Tu vas le garder deux jours comme les autres ? — Je ne pense pas, c’est un amant extraordinaire et bien monté, si tu savais comme il m’a fait jouir cette nuit, je veux le garder.— Je m’en suis rendue compte, tu m’as réveillé avec tes hurlements de chienne en chaleur, il t’a fait quoi pour te donner autant de plaisir ?— Il m’a fait un fist de la chatte, c’est la première fois pour moi, mais je recommencerai dès que je le pourrai. Il faut que j’aille faire des courses.— C’est quoi cette tenue ?— Une tenue pour aller faire les courses !— Hors de question, tu es une salope en chaleur et tu t’habilles en salope.— Je ne peux pas, je suis la comtesse de Longeville. Je lui donne deux claques qui résonnent dans la pièce. — Je vais me changer Maître, que voulez-vous que je porte ? — Tes plus hauts talons, ta jupe la plus courte et un chemisier assez transparent et tu ne mets aucun sous-vêtement.— Voilà Maître, votre chienne vous plaît-elle comme cela ?— C’est bien pour un début, mais tu vas trouver des jupes plus courtes et des chemisiers transparents pour exhiber tes seins. Tous les habitants de cette ville verront que la comtesse de Longeville est une salope.— Oui Maître, je suis votre chienne, ma chatte de salope lâche de la mouille qui coule le long de mes cuisses. Je vous remercie de me faire découvrir ma vraie personnalité, je vais vivre des moments de jouissance intense. Je glisse une main entre ses cuisses et il suffit que j’effleure plusieurs fois son clito pour déclencher une jouissance. Alertée par les cris de sa mère, Caroline arrive. — J’ai eu peur quand tu as crié maman, tu vas quelque part habillée comme cela ?— J’ai simplement eu un orgasme ma chérie, mon Maître Michel va me conduire faire les courses dans cette tenue, j’en mouille comme une folle. Pascaline prend du plaisir à parcourir les rayons du supermarché sous le regard des autres clients. — Je mouille de plus en plus, je suis au bord de la jouissance.— Voilà ce que tu vas faire maintenant, tu vas t’accroupir dans les rayons et quand tu verras un homme, tu écarteras les cuisses pour lui exhiber ta chatte. Pascaline est bien obéissante, mais surtout une belle salope qui aime s’exhiber. Les deux dernières fois, elle se cramponne au chariot en serrant les cuisses pour ne pas jouir. — Passe en caisse et rejoins-moi à la voiture pour ranger tes courses. Je regarde Pascaline qui se penche pour ranger les courses dans le coffre, sa jupe remontée sur son dos me permet de voir sa chatte brillante de cyprine. J’arrive discrètement derrière elle et introduis trois doigts dans sa chatte, cette salope ne se retourne pas pour savoir à qui appartient la main et écarte davantage ses cuisses pour jouir immédiatement. Sa cyprine gicle arrosant le pare-chocs de la voiture et ses cuisses. — Ha c’est vous Maître, je ne sais pas comment je n’ai pas joui dans le magasin.— Et si c’est un autre homme que moi qui ai mis sa main, tu te laisses faire ?— Homme, femme peu importe, il me fallait jouir et j’ai encore envie. Avant de sortir du parking, j’ouvre son chemisier et introduis une main dans sa chatte, l’autre les malaxant la poitrine. Tout le long de la route du retour environ quinze minutes, Pascaline jouit sans discontinuer, le siège de la Jaguar est recouvert de cyprine, elle me refait le même rituel que lors de l’arrivée au domaine hier. Elle écarte les cuisses lentement pour sortir de la voiture et reste debout, je saisis ses tétons que j’étire sans ménagement, elle jouit très rapidement et se laisse tomber à genoux en me regardant avec un regard de salope, les yeux pleins de sperme. J’ai baissé mon pantalon et ma queue s’enfonce dans sa chatte, un trou béant et gluant, je commence par la posséder de puissants coups de reins. Sa jouissance recommence et ses cris perçants me percent les oreilles. Attirée par les cris de sa mère, Caroline arrive et regarde le spectacle et réagit très vite, elle se met à genoux, passe une main sous le ventre de sa mère pour lui caresser le clito et de l’autre me presse les couilles. J’ai l’impression que ma queue grossit encore et que je possède Pascaline de plus en plus fort. Arrivant au bord de l’explosion, je retire ma queue de la chatte de Pascaline et la présente à Caroline qui l’avale aussitôt en même temps qu’elle passe entre ses lèvres, elle expulse plusieurs jets de sperme crémeux qu’elle s’empresse d’avaler.
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