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Madame Richard

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Madame Richard / Chapitre 1

— Si vous voulez ma fille, dit-elle, il faudra faire comme je dirai. C’est ainsi que la mère de Catherine m’a répondu quand je lui ai demandé l’autorisation de sortir avec sa fille. Catherine avait 18 ans, sa mère avait une grande emprise sur elle. C’est Catherine elle même qui m’a supplié de demander cette autorisation à sa mère. Elle n’osait pas le faire elle même. J’étais trop amoureux de Catherine, et depuis trop longtemps pour refuser. Même à 20 ans , je ne me sentais pas la force de dire non. Cette femme m’en imposait par sa tenue et son aspect très bourgeois. Elle devait avoir dans les 55 ans, elle vivait à l’aise apparemment seule, son frère était le seul homme que je voyais de temps en temps passer quand j’attendais Catherine dehors. — C’est bien, répondit-elle, je prends rendez-vous chez mon médecin pour la fin de l’après-midi, vous serez son dernier client, elle prendra tout le temps qu’il faut pour vous examiner. C’est que je veux quelqu’un de sain pour ma fille, vous comprenez ? — Oui, oui, dites moi où c’est j’irai demain. — Pas la peine, vous viendrez d’abord ici, c’est moi qui vous y conduirez, me coupa-t-elle. Je n’avais pas le choix. Je suis parti sans même revoir Catherine pour lui dire au revoir. Le lendemain à 18h, je sonnais à la porte. Elle est sortie tout de suite et on est partis chez le médecin. -C’est madame Richard, dit-elle, à l’interphone, je suis attendue. C’est le médecin elle même qui nous a accueilli. C’était une dame d’environ 60 ans, de petite taille, assez grosse . — Ah. C’est donc ce jeune homme, dit-elle, mon assistante va le préparer pendant que nous prendrons un petit café en attendant hein madame Richard ? — Volontiers dit-elle, allons-y, nous avons tout notre temps. Elle appela son assistante. Une dame grosse également, de 50 ans environ, au visage rouge, bien boudinée dans sa blouse blanche. — Marthe , c’est pour une visite complète, lui dit-elle pour seule consigne. Elles disparurent toutes les deux. L’assistante me demanda de la suivre. Arrivés dans le cabinet du médecin, elle me pria de me déshabiller. Je me suis mis en sous-vêtement pendant que je l’entendais faire couler de l’eau dans le local à coté. — Enlevez tout me dit-elle en revenant, complètement nu, je vais vous laver. Elle se savonnait les mains pendant que je retirais mes derniers vêtements. Comme ça faisait longtemps qu’une femme n’avait pas vu ma queue, ça m’a donné quelques soubresauts en y pensant. C’est donc avec la queue un peu grosse mais encore bien molle que je me dirigeai vers la douche. — Allez au fond de la cabine et écartez bras et jambes, je vais vous arroser. Elle commença par les jambes puis remonta doucement pendant que je tournais sur moi même. Quand je fus bien mouillé elle me savonna. Elle me savonna le haut, puis les jambes les pieds et termina par les zones intimes. Elle décalotta ma queue avec difficulté car je suis assez étroit de ce coté , mais elle fit coulisser plusieurs fois ses 2 mains du bout vers la racine. J’étais tellement intimidé que je ne bandais pas, mais elle a continué en me lavant les couilles et la raie du cul en insistant bien sur le trou. — C’est quoi comme visite lui demandai-je?
— Complète ! comme le médecin a dit. Il faut que vous soyez bien propre. Au rinçage maintenant dit-elle. Je repris le jet sur tout le corps. -Au séchage, dit-elle en m’épongeant avec une grande serviette. Elle m’a enveloppé dans la serviette et elle partit chercher le médecin. Ça faisait 5 minutes que j’attendais assis sur la table d’examen quand j’ai vu arriver le médecin et l’assistante. J’ai été très surpris de voir que la mère de Catherine les accompagnait. — Allez jeune homme : tout nu, me dit-elle. Couche toi sur la table . Il est pas poilu, tant mieux , ça dégage bien la vue. Elle a commencé son examen médical de façon classique, puis elle en est venu à l’examen du sexe. — Alors il parait que tu es émotif m’a dit Marthe et que c’est difficile de décalotter. ..Eh oui en effet pour un garçon de ton âge c’est encore serré malgré qu’elle ne soit pas gonflée. Bon on va regarder ça de près. Mets toi assis au bord de la table. Marthe apportez-moi la loupe éclairante. Marthe a apporta une espèce de table avec une grosse loupe. — Allez mets ton instrument la dessus. Elle regarda longuement mon gland décalotté sur tous les angles au travers de la loupe. Elle invita la mère de Catherine à voir aussi. -Voyez, lui dit-elle, ce garçon passe son temps à se toucher, regardez les traces rouges là. et là. Tu ne nies pas, n’est-ce pas?-C’est depuis que j’ai rencontré Catherine, répondis-je en baissant les yeux, je suis bien obligé de me soulager tout seul, elle ne veut jamais. -C’est normal, dit la mère, je ne lui ai pas donné l’autorisation. Le médecin me manipulait toujours la queue en décalottant et recalottant. Je ne bandais pas pour autant. Elle termina par une traction à fond qui me fit gémir de douleur. Ensuite elle me fit me coucher et me maltraita les couilles à la recherche d’une quelconque varice ou autre mal formation. -Docteur, dit madame Richard, c’est normal qu’elles soient si pendantes, si longues ? -C’est vrai qu’elles sont très détachées , mais ce n’est pas grave du tout. Répondit le médecin. Au contraire, on dit que dans ces cas là, le sperme est plus abondant et fertile. On vérifiera ça plus tard. Tout était normal et elle demanda à Marthe d’apporter les étriers . Elle les installa et le médecin m’a pris les jambes pour les bloquer dedans en me faisant mettre les fesses au bord de la table. -Bon on va examiner ton anus maintenant, détends toi. Marthe, venez lui maintenir les bourses vers le haut, elles pendent tellement qu’elles me gênent. Marthe me tira franchement les couilles vers le ventre. Elle se graissa l’index et le fit entrer tant bien que mal. Malgré moi, j’ai senti à ce moment ma queue durcir dans la main de Marthe. Qu’allaient-ils penser de moi? -Docteur, dit madame Richard, vous croyez que...? -On va bien vérifier l’intérieur..Marthe ! apportez moi le spéculum, il est serré. -Et son sexe ! dit madame Richard, vous avez vu comme il est raide maintenant. Voyez comme son gland est gros et tout rouge, il y a même du liquide qui suinte. -C’est normal, dit le médecin, je lui tâte la prostate. Tout à fait normale d’ailleurs. Marthe est revenue avec un petit spéculum. -Non pas celui là dit le médecin, donnez moi un anal en plastique, il est étroit. Elle m’a introduit l’objet froid, et a commencé à écarter. Je sentais la pression mais sans douleur .-Bon , dit elle, on va pouvoir regarder. Il n’y a pas de trace de frottement à l’intérieur. pas de varice.. rien. C’est sans doute une contre-réaction madame Richard ne vous inquiétez pas. -J’aime mieux ça, mais c’est quand même bizarre. -Bon on va laisser le spéculum où il est. Voyons si il n’a pas de nodules sur le sexe maintenant qu’il est bien dur. Le médecin me palpa longuement la queue sur toutes les coutures. Elle me recalotta et décallota plusieurs fois mais toujours avec difficulté -Tout est normal, dit-elle. On peut même dire qu’il a un sexe au-dessus de la moyenne. Surtout son gland, voyez comme il est développé. On appelle ça "en champignon". Si votre fille a des rapports avec lui, elle sera comblée, surtout qu’elle est étroite. L’inconvénient qu’il peut y avoir c’est éventuellement qu’il soit précoce dans l’éjaculation, vous comprenez,.. les frottements sont si intenses. -Justement, j’aimerais bien savoir comment il se comporterait au coït ? dit madame Richard. Comment pourrait-on essayer? -Rien de plus facile, Répondit le médecin, Marthe !! Venez nous prêter votre vagin.. et toi jeune homme laisse donc ta place. Je descendis avec difficulté de la table, le spéculum toujours planté. J’avais la queue comme un bout de bois qui oscillait toute seule de bas en haut. Madame Richard ne la quittait plus des yeux.. Le médecin m’a demandé de me tourner pendant que Marthe s’installait. Elle a pris ma place sur la table avec les jambes écartées mais les pans de sa blouse cachaient tout. -Installe toi entre ses jambes, je vais t’introduire. Me demanda le médecin. Elle dilata un peu Marthe avec ses doigts, puis lubrifia ma queue qu’elle présenta au trou. -Allez vas-y enfonce toi me dit-elle. Voilà c’est bien , commence tes mouvements maintenant, .doucement, doucement, prends appui avec tes mains sur les étriers. J’étais nerveux et il m’arrivait souvent de ressortir car je me reculais trop loin et trop vite, le médecin me replaçait lui même. Madame Richard m’a trouvé bien maladroit . -Tu es débutant, me demanda le médecin, tu n’as pas l’air d’avoir beaucoup d’expérience. -Je le fais très peu souvent avec une cousine, mais depuis que je connais Catherine je ne le fais plus. -Je serai avec eux pour les 1er rapports, dit-elle , si toutefois je suis d’accord pour continuer avec lui. Il m’a l’air pas très habile et je ne voudrais pas qu’il blesse Catherine. -Je pense que c’est préférable , en effet. dit le médecin. On va surveiller ses bourses, à la moindre remontée on arrête, je ne veux pas qu’il éjacule tout de suite , je veux contrôler son jet et surtout estimer le volume de sperme comme on l’a dit tout à l’heure. Vas-y mon gars tu peux accélérer un peu maintenant. Pendant ce temps Marthe encaissait mes coups de queue sans broncher, mais je la sentais de plus en plus mouillée, au point que ça faisait du bruit. Le médecin me tâtait les couilles de temps en temps en secouant aussi le spéculum qui me tenait grand ouvert le trou du cul. -Ah mais c’est qu’il résiste mieux que prévu , dit le médecin, on va arrêter là. Allez retire toi doucement. Voilà c’est bien . Retourne toi ,..je vais examiner Marthe maintenant. Ah ah .c’est qu’on voit bien qu’il est passé par là : regardez madame Richard comme elle est dilatée. -Oh la la, dit-elle, mais c’est que je crains pour ma petite maintenant, elle est si étroite. -Pour la toute 1er fois avec lui, dit le médecin, venez ici, je contrôlerai tout. Au fait, elle a toujours des rapports réguliers avec votre frère ? -Oui, oui, bien sur, une fois par mois au moment du cycle, là il n’y a aucun risque, répondit madame Richard. Il est très doux et précautionneux . Vous savez depuis qu’il l’a initiée, c’est la meilleure solution et il peut se répandre en elle sans problème. Mais son sexe est beaucoup plus fin que celui là !!! Alors vous comprenez, elle est restée étroite. -C’est vrai, répondit le médecin. Et comme elle ne supporte pas du tout la pilule ni les préservatifs c’est une bonne solution. Mais un jeune comme lui ne peut pas faire ça .il faut qu’il puisse se libérer à n’importe quel moment.. Marthe ! , vous pouvez vous lever maintenant et étaler une grande feuille de plastique sur la table, je vais le faire éjaculer dessus....Voilà c’est bien.. Je vais le manipuler comme ça... vous voyez sans mettre le prépuce , juste en tirant alternativement sur le frein. Marthe ! , pendant que je le masturbe massez lui bien les bourses et faites pression sur le spéculum. Elle m’a branlé ainsi comme je ne l’avais jamais fait moi même. C’était assez bizarre , car il me manquait le serrage du gland. Marthe s’activait plus sur mes couilles que sur le spéculum. A ma contraction, le médecin a senti que j’allais juter. -Allez vas-y libère-toi , me dit-elle . Et vous Marthe secouez bien le spéculum ! Un grand jet de sperme épais a été propulsé sur le plastique , les autres jets étaient moins puissants mais aussi abondants. Le médecin m’a bien malaxé la tige et a tiré fort le prépuce en arrière. -Voilà qui est fait, dit-elle. 10 jets. On va mesurer tout ça. Alors ..pour la distance c’est largement au dessus de la moyenne, voyez madame Richard : 80 cm ! C’est tout à fait remarquable .et pour le volume attendons que Marthe récupère tout dans l’éprouvette. Marthe raclait tout mon sperme avec une spatule et a fait glisser le tout dans le récipient . -Voyons voir,.. eh oui dit-elle , il y a en quand même 2 cl ce qui est exceptionnel. En plus le sperme est bien épais , bien homogène , de bonne odeur également. Dis moi depuis quand tu ne t’étais pas soulagé ? -Depuis hier soir ., dis-je timidement. -Depuis hier soir !!? , reprit madame Richard, alors comment se fait-il qu’il y en ai autant? Je n’ai pas envie qu’il arrose ma petite avec tout ça. Je ne tiens pas à la retrouver enceinte !! -Mais ne vous inquiétez pas, répondit le médecin., je pense déjà à une solution sans aucun risque de ce coté. En attendant, jeune homme, remonte sur la table que je t’enlève le spéculum. Je me réinstallai sur la table avec l’aide de Marthe qui me tira les couilles sur le ventre comme tout à l’heure. -Voyons cela, dit le médecin. Je desserre , voilà. et je retire. -Mais.. il reste ouvert !? , remarqua madame Richard. -Ah là oui. dit le médecin. Au toucher , je ne sens rien de particulier, il est souple mais solide, on va attendre un peu . Serre les fesses de temps en temps. En attendant le médecin laissait un doigt dans le trou et testait régulièrement le resserrement. -Ah voilà qui est mieux, dit-elle. Je vais quand même vous envoyer chez un de mes confrères spécialisé. Bon on va le laisser se rhabiller et nous nous allons téléphoner à mon confrère, allons faire le point et je vous parlerai de mon idée et puisque vous êtes là profitons en pour faire votre auscultation, Marthe faites lui une petite toilette et venez nous rejoindre dans l’autre cabinet. Elles quittèrent la pièce et Marthe m’a passé un gant de toilette sur le sexe et entre les fesses. J’ai attendu une bonne 1/2 heure leur retour. Nous avons quitté le médecin et sans un mot nous sommes remontés dans la voiture. En chemin madame Richard me dit : -Tu t’es bien comporté chez le médecin. Tu es resté soumis comme je le souhaitais. Tu as mon autorisation d’aller plus loin avec ma fille. Mais attention, je veux tout contrôler. Tu es d’accord? -Oui, bien sur. Répondis-je. Cela ne me gêne pas et dans le fond j’aime mieux être assisté car je n’ai pas beaucoup d’expérience. -C’est tant mieux comme ça, dit-elle. Et puis tu me sembles de nature soumise. Le médecin a une méthode pour ne pas avoir de risque de grossesse. Elle propose de pratiquer le coït anal. Tu as déjà fait?? — Non.. jamais, .mais je ne demande qu’à apprendre.. -Pourtant à voir les réactions de ton anus, je suis toujours dans le doute. Dit-elle. D’ailleurs je pense, comme le médecin, que tu dois d’abord te faire dépuceler. Après tout, puisque tu vas prendre ma fille par là, il est normal que tu saches ce que ça fait. -Je ferais comme vous souhaitez. -C’est bien, dit-elle. Le médecin m’a donné l’adresse d’un de ces confrères gynécologue qui te fera ça très bien d’après elle. Il est spécialisé dans l’éducation sexuelle. Et puis je suis sure que tu es prédisposé à ça. J’ai pris rendez-vous pour demain et Catherine nous accompagnera. -C’est obligé qu’elle soit là pour ça ? demandai-je plaintivement. -Oui, oui. Je tiens à ce qu’elle assiste à cet acte. Répondit-elle sèchement. Ça ne lui fera pas de mal de voir un autre sexe que celui de son oncle. D’autant plus que ce médecin en profitera pour me montrer la préparation nécessaire à ce genre d’introduction. Ensuite seulement tu pourras le faire avec Catherine. Tu comprends ? -Bien sur, mais j’ai un peu peur. -Ne t’en fais pas. Tu viendra demain chez moi vers 14h. Le médecin veut une petite préparation et nous devrons passer chez mon esthéticienne. Nous voici arrivés, je ne te laisse pas voir Catherine aujourd’hui. Rentre chez toi, et ne touche pas, à partir de maintenant il faudra m’obéir. Allez à demain. -Au revoir madame, dis-je.
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