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Madame Robinson

Chapitre 1

Fascination.

Hétéro
Je me présente je m’appelle Hugo Plat, j’ai 20 ans et je mesure 1 mètre 84 pour 78 kilos. Je ne suis pas un athlète mais disons que je m’entretiens, en pratiquant plusieurs sports passant de l’un à l’autre, et je suis brun aux yeux noisette. N’ayant pas poursuivi d’études je travaille depuis deux ans au sein d’une entreprise florissante, dans une petite ville située au bord de la mer. Ce qui n’a d’importance dans mon récit que par rapport à un de mes collègues, qui a le même âge que moi et avec qui je suis devenu pote, autour d’un tonneau de bière. Ce qui nous allait très bien étant tous les deux célibataires.    Nous étions le Samedi 02 Juillet de cette année et Alexis puisque c’est son prénom, après une soirée bien arrosée avait dormi chez moi, sur mon canapé-lit. Car vivant toujours dans la maison de sa maman qui est divorcée, il n’était pas en état de rentrer bien que nous habitions dans la même commune, a à peine une dizaine de minutes l’un de l’autre. Un des hasards qui nous avait également rapprochés, puisqu’il nous arrivait assez souvent de covoiturer quand nous allions bosser. Vu son état avancé la veille je lui avais subtilisé ses clefs, lui faisant croire qu’il les avait perdues afin de l’empêcher de prendre le volant. 
 Quand il a émergé vers dix heures du matin il était encore dans les vapes, c’est la raison pour laquelle il m’a demandé de le reconduire dans son foyer, m’expliquant qu’il viendrait récupérer sa voiture plus tard. Ce que j’ai accepté, car contrairement à lui j’avais récupéré pratiquement toutes mes capacités. C’est ainsi que je l’ai ramené chez sa mère, et en chemin il m’a expliqué d’une voix pâteuse :  ― Tu vas voir, ma daronne est super cool pour une vieille.  Pas vraiment convaincu que c’était la bonne occasion pour faire la connaissance de cette dame, vu que son fils se trouvait dans un état comateux et que j’en étais en partie responsable, j’ai objecté :
 ― Je n’en doute pas un seul instant, mais il vaudrait peut-être mieux remettre les présentations à plus tard. Tu ne crois pas ? ― Ah bon, pourquoi ? ― Tout simplement, parce que toi et moi, on n’est frais ni l’un ni l’autre.  ― Mais elle s’en fout, je te dis. Elle est super cool, et il lui arrive même de fumer un pétard à l’occasion. 
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 Je me suis alors demandé vers quoi Alexis était en train de m’emmener, car je me suis imaginé sa mère déjà en train de picoler alors que nous étions en milieu de matinée, dans un peignoir froissé et avec un joint à la main. C’est la raison pour laquelle j’ai été surpris, quand suivant ses indications je me suis engagé dans un quartier assez cossu, dans lequel je n’avais jamais mis les pieds avant, pour la simple raison que je n’avais eu aucune raison pour ça. 
 Les propriétés qui s’y trouvaient étaient bien plus grandes que celle de mes parents, si j’en jugeais par les clôtures qui les entouraient, cependant ces dernières étant dans leur grande majorité hermétiquement closes aux regards, je ne pouvais que supposer que les maisons à l’intérieur l’étaient également. 
 Nous nous sommes finalement retrouvés devant un portail qui s’est ouvert, quand mon ami a appuyé sur un bouton du porte-clefs miraculeusement retrouvé qu’il a sorti de sa poche. Et j’ai pénétré dans l’univers de Madame Robinson tandis que les battants se refermaient derrière moi, comme les portes d’un pénitencier après le passage d’un condamné. 
 J’ai alors découvert une villa bourgeoise, se différenciant principalement de celles de la classe moyenne par sa taille, car les petites gens que nous sommes n’ont pas forcément mauvais goût, et je me suis garé sous un abri composé uniquement d’un toit et de piliers en bois pour le soutenir. Juste à côté d’une voiture de sport cabriolet, de marque allemande. Après que nous soyons descendus de la mienne, je me suis renseigné :
 ― Sympa la caisse. C’est celle de ta maman ? ― Oui. Elle a aussi une berline, mais elle est dans le garage. Ma daronne ne bosse pas, et si son mariage n’a pas été très heureux, son divorce par contre lui a rendu le sourire. Car le daron a pris tous les torts pour lui. 
 En entrant dans la maison j’ai tout de suite été séduit, car si l’endroit était meublé avec une feinte simplicité j’ai compris qu’il l’avait été avec goût, ce que confirmaient les tableaux accrochés aux murs représentant des paysages provençaux. Une belle jeune femme brune aux yeux marrons, ses cheveux longs coiffés en queue de cheval haute et le sourire aux lèvres, n’a pas tardé à venir dans notre direction. Ayant dans les 25 ans elle devait mesurer un peu plus d’1 mètre 70, car avec ses sandales à talons aiguille d’un dizaine de centimètres de haut, elle était plus petite que moi mais plus grande qu’Alexis, ce dernier faisant je le savais 1 mètre 75. 
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 Cette charmante personne était vêtue d’une jupe plissée bleu-marine assez légère lui arrivant à mi-cuisses, ainsi que d’un chemisier bleu-pastel déboutonné en haut, qui avait du mal à contenir sa grosse poitrine, cette dernière semblant vouloir s’échapper de son décolleté attirant le regard. D’autant plus qu’à la manière dont ces seins bougeaient au rythme de ses pas, j’ai immédiatement compris qu’ils n’étaient pas maintenus par un soutien-gorge. Ce que ne démentaient pas ses tétons agacés par le frottement du fin tissus, faisant deux petites bosses qui pointaient fièrement vers l’avant. 
 Alexis l’a laissée s’approcher ses chaussures émettant des clic-clac joyeux, une fois arrivée à deux mètres de nous elle s’est arrêtée collant le dos de ses mains contre ses reins, ce qui lui a fait bomber encore plus son torse, au point que je n’aurais pas été étonné d’entendre les boutons de son corsage gémir de protestation.Un fois qu’elle a été immobile, il lui a demandé :
 ― Bonjour Stela. Où est ma mère ? ― Bonjour Monsieur, Madame est au bord de la piscine.
 J’ai alors compris que je venais d’entrer dans un autre monde, puisque cette superbe apparition à l’accent slave était une employée de maison, devant veiller au confort de ceux qui l’avaient embauchée, ce qui impliquait une aisance financière de la part de ces derniers. Cependant même si je n’avais pas été habitué à ça je ne m’en suis pas formalisé, j’ai fait un sourire à cette jeune femme dont les yeux se sont mis à pétiller, ce qui indiquait clairement qu’elle n’était pas malheureuse du sort qui était le sien. Ce qui de toute manière, ne me regardait pas. 
 J’ai suivi mon ami, nous sommes ressortis de la maison par l’arrière empruntant une porte-fenêtre au milieu d’une baie vitrée, après avoir traversé un salon qui ne déméritait pas de ce que j’avais déjà vu. Nous nous trouvions à présent sur une terrasse de belles proportions, comprenant la piscine dont il avait été question plus grande que celle de notre petite commune. Sous une pergola couverte de lierre se trouvait un salon en rotin, et il y avait également un lit d’extérieur avec un toit de toile.
 J’étais déjà impressionné par le niveau de vie de mon collègue de travail, qui ne m’avait jamais paru prétentieux mais plutôt simple dans ses goûts, même si tout comme sa mère il roulait dans une voiture allemande. La sienne je dois le préciser, devant valoir le quart du prix de celle de la femme qui l’avait mis au monde. Pourtant je n’étais pas au bout de mes surprises, et alors que d’habitude j’arrive à maîtriser mes émotions, je n’ai pas pu m’empêcher d’écarquiller les yeux en découvrant Madame Robinson. 
 Car elle était paresseusement allongée sur la couche, en train de lire tranquillement et sans aucun vêtement pour la couvrir !  
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 Je n’étais pas particulièrement impressionné par sa nudité, car dans ma propre famille elle n’a jamais été un tabou, et j’ai grandi en côtoyant celles de ma maman et de mes deux sœurs aînées, principalement autour de la piscine familiale. Ce que je considérais comme étant parfaitement normal, surtout quand on habite dans une région où il peut faire très chaud en été. Sauf que dans ma naïveté, j’étais convaincu que seuls les gens de la classe moyenne se comportaient de cette manière, et que parmi la bourgeoisie ça se passait différemment. Surtout quand on était susceptible de recevoir un étranger chez soi, comme c’était le cas dans la situation actuelle.
 Pourtant la maîtresse des lieux n’a pas paru décontenancée en nous voyant arriver, et tandis qu’Alexis et moi nous parcourions la quinzaine de mètres qui nous séparaient, elle a sans se presser posé son bouquin sur une table basse, s’est assise pour enfiler une paire de mules dont les talons aiguille devaient être aussi hauts que ceux de son employée, puis elle s’est levée avec une souplesse gracieuse étonnante pour sa quarantaine. Car à présent que nous étions assez près et qu’elle se tenait debout le constat était évident, j’avais en face de moi une MILF acronyme deMother I’d Like to Fuck,ce qui se traduit littéralement en français par Mère Que j’Aimerais Baiser.
 Madame Robinson devait mesurer dans les 1 mètre 65, puisque perchée sur ses échasses elle était aussi grande que son fils, et elle était une très belle femme à la longue chevelure blond-clair, retenue en arrière par deux tresses partant de ses tempes et nouées sur sa nuque, ce qui dégageait avantageusement son minois.Ce dernier avait des airs aristocratiques sans paraître pour autant hautain, avec de beaux yeux bleu-turquoise dont les coins extérieurs étaient ornés de ridules, tout comme ses lèvres ourlées et gourmandes mais pas vulgaire. Un nez droit aux ailes saillantes mais pas trop ainsi qu’un menton volontaire, ce qui était adouci par des joues rondes respirant la santé. 
 Je me suis d’ailleurs appliqué à fixer le visage de Madame Robinson, même si je n’ai pas pu m’empêcher de mater sans avoir l’air d’y toucher, le reste de son corps. Car ses gros seins pendants mais bien pleins, avec des petits tétons ne faisant qu’un cinquième du diamètre de ses larges aréoles bien dessinées, du même rose-pâle étaient très attirants. Chose étonnante pour une femme de sa classe, ses bourgeons de chair étaient ornés de piercings comme transpercés par de petites clefs, avec sur l’extérieur des anneaux en forme de cœur, et à l’intérieur des pannetons représentant des tridents, les pointes dirigées vers le bas.
 Son ventre était légèrement bombé, un signe évident de sa maturité qu’elle ne cherchait pas à cacher, quand à son sexe entièrement lisse y compris au niveau de son pubis bombé, ses petites lèvres plus longues que leurs grandes sœurs qui les enserraient, débordaient et semblaient chiffonnées. Le tout de la même teinte que l’extrémité de ses seins. L’ensemble du reste de sa peau étant intégralement dorée par des expositions au soleil qui ne devaient pas être excessives, ce qui la rendait encore plus appétissante.
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 Un léger sourire s’était dessiné sur le visage de cette superbe femme, qui consciente de ses charmes n’était pas dupe par rapport au fait que je l’avais observée discrètement, et si j’ai rougi sous son regard amusé, j’ai tout de même été content que mon sexe dans mon caleçon qui avait légèrement augmenté de volume, reste sagement au repos. Cette maîtresse de maison à la classe incontestable, se comportant comme si elle avait été habillée, a attendu patiemment que son fils entame les civilités d’usage :
 ― Maman je te présente Hugo, mon collègue de travail. Hugo je te présente ma maman.
 Et quand j’ai déclaré tandis qu’elle et moi nous nous sérions la main, la sienne étant caressante avec une pointe de fermeté :
 ― Je suis enchanté de faire votre connaissance, Madame Robinson.
 Elle m’a répondu :
 ― Mais moi aussi jeune homme, d’autant plus, que j’ai entendu dire beaucoup de bien de vous. Mais je vous en prie, appelez-moi Mélanie.
 Puis tandis que je lançais un regard interrogateur à son fils qui affichait un air innocent, étonné qu’il lui ait parlé de moi, elle a ajouté :
 ― J’espère que vous êtes libre à midi pour partager notre repas, car mon employée Liliana est une fine cuisinière. 
 N’ayant rien de prévu j’étais prêt à accepter, quand Alexis a annoncé :
 ― Ça sera sans moi, car je retourne me coucher. De toute façon, j’ai abusé hier soir et je ne pourrais rien avaler.
 Et alors que je m’apprêtais finalement à décliner l’offre, mon ventre s’est traîtreusement mis à gargouiller, ce qui a amené un magnifique sourire sur le beau visage de mon hôtesse, des fossettes se créant et rendant ses joues encore plus ronde, pour lui donner un air juvénile. Ce charmant spectacle m’ayant coupé la chique, je l’ai entendue me dire :
 ― L’affaire est donc entendue, car il est hors de question que je vous laisse repartir de chez moi affamé. Ce qui serait une entorse, aux règles sacrées de l’hospitalité.
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 Une fois qu’Alexis a eu disparu, Madame Robinson qui n’a pas éprouvé le besoin de se couvrir, m’a proposé :
 ― Désirez-vous prendre un rafraîchissement, Hugo ? 
 J’avais effectivement la bouche sèche, non seulement parce que j’avais bu presque autant que son fils la veille, mais également à cause de la nudité intimidante de cette milf, alors que j’étais en général assez à l’aise avec les autres personnes de son sexe, même quand elles étaient dans le plus simple appareil. C’est pourquoi j’ai répondu :
 ― Avec plaisir Mélanie, mais quelque chose sans alcool.
 En écartant les jambes et en se penchant en avant, elle a attrapé un bipeur se trouvant sur la table basse à côté du lit d’extérieur, ses gros seins se mettant à pendre sous son buste ce qui était un tableau plus que charmant. Puis elle s’est redressée avec un équilibre parfait malgré le poids de sa poitrine, et elle a pressé sur un bouton du petit boîtier. La jeune femme rencontrée un peu plus tôt n’a pas tardé à apparaître, venant vers nous d’une démarche plus que gracieuse rythmée par les clic-clac de ses talons aiguille, elle s’est arrêtée à deux mètres plaçant le dos de ses mains sur ses reins pour bomber le torse, et sa patronne lui a dit sans faire preuve d’autorité mais au contraire d’une voix aimable :
 ― Stelinka, notre invité aimerait boire quelque chose. 
 L’employée s’est aussitôt tournée vers moi, et elle m’a demandé avec son accent charmant :
 ― Que désirez-vous, Monsieur ? ― Un jus de fruit, si vous avez.  ― Orange, pamplemousse, pomme, ananas, poire ? ― Pomme, ce sera parfait. ― Avec des glaçons ? ― S’il vous plaît, oui. 
 Puis la maîtresse de maison a ajouté :
 ― Pour moi ce sera un jus d’ananas, également avec des glaçons.  ― Bien Madame. 
 La soubrette est repartie toujours accompagnée de ses clic-clac, puis la mère d’Alexis est allée jusque sous la pergola, elle a posé son bipeur sur la table avant de s’asseoir dans un des fauteuils en rotin, et une fois installée elle ne s’est pas privée d’écarter les cuisses afin d’être plus à son aise. Bien entendu je l’ai suivie pour prendre place sur un siège identique, et sans paraître se rendre compte de l’étrangeté de la situation puisque j’étais toujours habillé et elle nue, elle m’a questionné :
 ― Ça se passe comment avec mon fils, sur votre lieu de travail ? ― Eh bien, vous savez déjà que lui et moi nous sommes amis...  ― Bien entendu que je le sais, car des Hugo a fait ceci ou des Hugo a dit cela, je pourrais vous en resservir à la pelle. Mais ce que j’aimerais savoir, c’est comment ça se passe pour lui sur le plan professionnel, car ça par contre il n’en parle jamais.  ― Je dirais qu’au niveau performance, il est dans la moyenne. Ni bon ni mauvais.  ― Je vous remercie pour votre franchise. Car votre réponse en même temps me rassure, et ne m’étonne pas vraiment. Puisque j’ai conscience qu’il ne sera jamais un foudre de guerre, contrairement à vous d’après ce que j’ai cru comprendre.  ― Il a peut-être exagéré en vous disant cela, mais disons que je me défends.  ― Et plutôt bien, pour avoir eu deux promotions en deux ans. 
 J’ai rougi légèrement étonné qu’elle en sache autant à mon sujet, et Stelinka dont si j’avais bien compris Stela était le diminutif, a créé une diversion pour moi la bienvenue en revenant, portant avec agilité un plateau d’une seule main, et sur lequel était posés deux grands verres contenant des jus de fruits. 
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 Habilement la jolie soubrette a déposé les boissons sur la petite table qui se trouvait là de manière à ce qu’elles soient à notre portée, en se penchant en avant, si bien que ses gros seins suivant le mouvement on semblé vouloir bondir de son corsage. Au point que j’étais cette fois certain, d’avoir entendu les boutons qui le fermaient protester, puis elle a demandé :
 ― Ça sera tout, Madame ?  ― Oui Merci, Stelinka. Vous pouvez disposer. 
 Stela s’en est allée de sa démarche toujours aussi gracieuse, et c’est à ce moment-là que j’ai constaté qu’elle avait un tatouage au creux des reins. Il représentait une fleur de lotus vert-pâle, semblant avoir du relief grâce à un effet de trompe-l’œil, et mesurant dans les cinq centimètres de haut en bas mais aussi de gauche à droite. Constatant que j’avais suivi son employée du regard Madame Robinson a souri, puis elle a continué de se renseigner, :
 ― Si j’ai bien compris, vous êtes célibataire Hugo. Sinon, vous ne perdriez pas votre temps à passer des soirées de beuverie avec mon fils.
 J’ai à nouveau rougi autant parce qu’elle m’avait surpris en train de mater son employée, que parce qu’elle me trouvait débauché, ce qui ne m’a pas empêché de répondre avec aplomb :
 ― Vous savez, Alexis est quelqu’un de très fréquentable. De plus, il n’est pas rare que le gens de notre âge, rencontrent leur futur conjoint au cours d’une de ces sorties.  ― Je n’en doute pas un seul instant. Mais il paraît que le lendemain-matin, une fois les vapeurs d’alcool évaporées, la vision de la personne qui se trouve dans le même lit que soi, et avec qui on a pourtant passé une nuit passionnée, est souvent décevante. 
 Je comprenais parfaitement ce qu’elle voulait dire, étant donné qu’il m’était arrivé de draguer des filles tout en étant soûl, et au réveil j’avais été assez surpris. Pas parce que j’avais oublié ce qui s’était passé, car ça n’avait jamais été jusqu’à ce point, mais la femme n’était pas toujours aussi jeune et fraîche que dans mes souvenirs embrumés par l’alcool. Car si boire avait la faculté d’enlever les inhibitions c’était un avantage jusqu’à un certain stade, mais une fois que ce dernier était dépassé cela pouvait fausser le jugement. Cette frontière n’étant jamais clairement définie, car elle dépendait de plusieurs facteurs comme par exemple la fatigue. 
 Cependant même si cette femme m’impressionnait toujours autant, et dans le bon sens du terme, je ne me suis pas démonté et j’ai répliqué :
 ― Je suppose que si vous parlez en connaissance de cause, ce n’est pas par rapport à vous mais aux conquêtes de votre fils ?  ― Vous avez une personnalité très intéressante, Hugo. Vous êtes non seulement séduisant mais aussi perspicace, et également franc de nature. Ce qui ne gâche rien, bien au contraire. 
 Tandis que je m’empourprais une fois de plus mais à présent sous ses compliments, elle a poursuivi comme si de rien n’était :
 ― Car effectivement Alexis a ramené ici des créatures de toutes sortes, quand il n’oubliait pas de rentrer comme la nuit dernière. Je dois vous avouer que vous êtes le premier qui ne me déçoit pas, et que même si vous m’annonciez que vous êtes en couple tout les deux, je ne le serais pas non plus.
 Je suis carrément devenu écarlate et même si j’étais convaincu qu’elle plaisantait, cela ne m’a pas empêché de me justifier :
 ― Vous savez, s’il a dormi chez moi, c’est uniquement parce que je n’ai pas voulu qu’il conduise dans son état. Et j’aime beaucoup trop les femmes, pour ne serait-ce qu’envisager de faire l’amour avec un homme. ― Ce qui est tout à votre honneur dans le premier cas, et uniquement une question de goûts dans le second. 
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 Madame Robinson n’a pas insisté, même si elle aurait pu enfoncer le clou en disant qu’elle avait remarqué que j’aime les personnes du beau sexe, étant donné que je n’avais pas pu m’empêcher de reluquer son corps pulpeux à souhaits, à la nudité duquel je m’habituais progressivement. Mais également celui de sa charmante employée qui si elle en montrait beaucoup moins, n’en était pas moins très agréable à regarder. Mais elle n’en a rien fait et nous avons siroté nos boissons, bien que j’avais très envie de vider la mienne cul-sec, car j’avais la bouche toujours aussi sèche. 
 Nous les avons donc tranquillement terminées, et reposant son verre sur la table mon hôtesse m’a suggéré : 
 ― Il est encore tôt Hugo, alors si vous avez envie de profiter de la piscine pour vous délasser, il va de soi qu’elle est toute à vous.
 Bien entendu cela impliquait que je me déshabille complètement, puisque je n’avais pas de maillot sur moi. Ce qui ne me dérangeait absolument pas, étant donné que je trouvais de plus en plus étrange que je porte quelque chose, et pas ma charmante hôtesse. Le fait que j’avais réussi à me maîtriser jusqu’à présent, et que mon sexe soit toujours au repos dans mon caleçon, m’aidant à garder toute ma sérénité. Par politesse, je lui ai demandé :
 ― Vous allez venir vous baigner avec moi, Mélanie ? ― Même si j’en aurais envie, je suis malheureusement allergique aux produits antiseptiques qui se trouvent dans l’eau. J’en ai déjà essayé de plusieurs sortes, mais rien n’y fait. 
 Bien que je n’aie jamais entendu parler de ce genre de désagréments, j’ai fait mine de la croire en prenant un air désolé, puis je me suis levé pour me déshabiller sans me presser, tandis qu’elle me regardait d’un air appréciateur ce qui n’était que justice. Ensuite j’ai fait quelques pas, avant de plonger dans le bassin. 
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 Ce dernier mesurant dans les trente mètres de long je me suis mis à faire des allers et retours en nageant le crawl, à un rythme assez soutenu, puis au bout d’une vingtaine de minutes j’ai posé mes coudes sur le rebord de la piscine, et j’ai dit à mon hôtesse essoufflé par mon effort et les excès de la veille :
 ― C’est vraiment dommage, que vous ne puissiez pas venir me rejoindre. 
 Elle a souri tout en attrapant son bipeur, puis elle m’a répondu :
 ― Stelinka va le faire à ma place, et vous ne perdrez pas au change. 
 Je n’ai émis aucune objection et la jeune femme n’a pas tardé à sortir de la maison, elle s’est dirigée vers sa patronne toujours aussi gracieusement, puis cette dernière lui a annoncé après qu’elle se soit arrêtée à deux mètres d’elle, en collant le dos de ses mains au creux de ses reins pour bomber le torse :
 ― Notre invité, aimerait avoir de la compagnie.  ― Bien Madame. 
 Après m’avoir elle aussi souri ce qui a démontré que non seulement l’idée ne la dérangeait pas, mais qu’en plus ce n’était pas la première fois que sa patronne lui demandait ce genre de services, ce qui par contre était pour moi une source d’étonnement, Stela a lentement déboutonné son chemisier sous lequel comme je l’avais remarqué elle ne portait pas de soutien-gorge, et j’ai découvert ses seins. Il étaient aussi gros que ceux de Mélanie, mais bien plus haut perchés et se tenant toujours fièrement, comme pour défier les lois de l’apesanteur. Quant à ses tétons, ils étaient comme leurs aréoles petits et marron-clair. 
 Après avoir posé son corsage sur le fauteuil que j’avais occupé elle a fait glisser sa jupe vers le bas, et j’ai constaté qu’elle n’avait pas non plus pris la peine d’enfiler une culotte. Sa vulve complètement lisse de la même teinte que le reste de sa peau bronzée était dodue, au point que ses grandes lèvres collées l’une contre l’autre cachaient tout le reste. Une fois passés ses genoux son vêtement est tombé au sol, puis elle l’a enjambé avant de se pencher en avant pour le ramasser, ce qui a fait pendre admirablement sa poitrine sous elle, et le bas est allé rejoindre le haut sur le siège.
 Ensuite, le plus naturellement du monde Stela s’est mise accroupie en écartant les cuisses, et si ses babines joufflues se sont étirées dans le mouvement, je n’en ai pas découvert plus au niveau de son sexe. Le but de la manœuvre étant de détacher ses sandales avant de se relever avec souplesse, puis de se déchausser pour être aussi nue que moi. 
 Contrairement à mon hôtesse son employée n’avait pas de piercing, ou alors peut-être un qui était bien caché, elle m’a fait un nouveau sourire avant de se diriger dans ma direction, autrement dit vers la piscine dans laquelle elle a sauté sans aucune hésitation. 
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