Tu rentres du sport, les muscles fourbus, transpirant encore un peu. Et pourtant, en mettant la clé dans la serrure, tu entends un bruit de chaise, des pas, comme si deux chiens étaient en attente du retour de leur maîtresse. Tu ne peux retenir un sourire narquois. Tu passes le pas de ta porte pour trouver derrière, tes deux chiens, peu poilu, comme tu les aimes, barbus, comme tu les aimes, les yeux te dévorant sans dire un mot, comme tu les as dressés. Torse apparent, collier de cuir avec une laisse pendant jusqu’au nombril, fesses nues sous un petit tablier le permettant de travailler sans trop risquer. La table est mise, le repas prêt. Les odeurs emplissent la pièce, la lumière est tamisée, et elle danse sur les deux corps à demi exposés. Tu commences à savourer ton repas, te délectant de chaque bouchée avec une sadique patience, tu sens déjà les deux bipèdes impatients. Un claquement de doigts, une paire de mains de masse les épaules, laissant écarter les bretelles de ton débardeur et faire apparaître l’entrée de ton décolleté. La truffe se baisse, mais un claquement de doigts lui rappelle qu’il ne peut regarder sans autorisation. L’autre, les yeux bruns comme de l’ambre, et profonds comme l’océan te regardent fixement, et tu te délectes de cette sensation, puis tu l’appelles en le sifflant. Pas besoin de mots, ils sont dressés à tes petits soins. Il s’approche doucement, si le masseur est plus loup, lui a une démarche plus panthère. Et arrive devant toi, enlève tes chaussures et te masse les pieds, puis remonte sur tes mollets, et tu sens ton corps se détendre, tu fermes les yeux et savoures ces deux paires de mains qui caressent ta peau nue, puis une main passe sur ton torse et commence à se glisser vers ton décolleté, l’autre fait remonter ses mains sur ta cuisse... Quel plaisir ! Mais, tu saisis la cravache sur la table... Interdit de toucher Madame sans y avoir été invité, l’un reçoit un coup sur la pâte et le loup sur la cuisse. Un grognement se fait entendre... Et ton sourire s’étire, la partie est commencée. Tu te relèves, fixe tes deux hommes avec autorité, droite, digne, et sûre de toi, ils sont là pour toi ! Le félin accroupi reçoit un autre coup au passage, mais plus léger, et le loup lui, tu le connais, intenable et sans arrêt dans le rapport de force. Alors tu lui attaches les poignets dans le dos. Ainsi entravé, il se retrouve à ta merci. Tu t’approches de lui, le fais assoir et glisses ta main sous son tablier, tu en profites pour écarter le tissu de ton string et inviter l’autre à te lécher tandis qu’il est accroupi par terre. Ta main se ferme sur une verge droite et raide qui te fait sourire encore plus, tu mords la lèvre du loup, tandis que l’autre langue vient caresser ton clitoris. Quelle douceur, quelle chaleur ! Un vrai délice, et tandis que tu branles l’un, l’autre te lèche avec passion. Et puis tu t’écartes, vas t’assoir sur ton canapé, et écartes les cuisses, laissant le félin approcher laissant le loup attaché... Il ne peut que regarder. Et tandis que la langue reprend sa danse de façon plus présente, que tu passes ta main dans ses cheveux, que tu sens ses doigts venir se glisser en toi, d’abord lentement, puis plus intensément, tandis que sa langue danse de plus en plus vite sur ta chatte qui s’inonde de plus en plus, rependant ainsi une douce chaleur à travers ton corps... Ton regard ne quitte pas les yeux du loup. Tu contemples ses yeux dans lesquels brûle un feu ardent. Mais tu attends, ne pas le lâcher tout de suite, continuer à faire monter l’envie... Alors, tu fais dresser le félin, son corps musclé, ses muscles bien dessinés. Tu lèches ses tétons, et fais passer tes mains dans son dos... Le loup ne dit plus rien, et la panthère feule de plus en plus tandis que tes mains glissent dans son dos, viennent tirer sur le fil qui fait tomber son tablier, puis descendent se tenir à ses fesses. Pas besoin de tes doigts, sa verge est tellement raide que tu peux la prendre directement dans ta bouche... Tu jettes un dernier regard provocateur à l’entravé avant de fixer tes yeux dans ceux de ton plus proche animal. Ta bouche avale entièrement son membre, le léchant, le suçant avec une brûlante passion. Oh tu sais que tu pourrais le faire venir comme ça. Tes mains caressent ses bourses, il a été un bon serviteur ce soir, il mérite une récompense, alors tu te recules et tu fais gicler son sperme chaud sur tes seins dénudés, savourant cette sensation si particulière... Le loup tire sur ses liens, ça y est, il est à point... Tu te fais essuyer, à demi allongé sur ton canapé, savourant les caresses de ton félin, tu te mets sur le ventre et cambres ton dos pour offrir une vue sans équivalent sur ta croupe. Il vient de jouir mais tu sais comment les faire raidir instantanément. Tu sens ses mains sur tes hanches, et sa verge s’avancer. Ce membre dur et chaud venir frotter contre ta chatte détrempée. Alors seulement, tu autorises le canidé à se lever, le tablier tombe de lui-même et une verge encore plus raide arrive à toi. Ses mains sont toujours liées dans le dos, tu le fais agenouiller devant toi. Et tandis que la panthère te pénètre avec la souplesse qui le caractérise, tu saisis à pleine bouche la bite devant toi. Si l’un est souple, l’autre est plus dans le contact. Tu te mets à le sucer, à le branler, allant jusqu’à jouer avec ses bourses dans ta bouche. Et pendant ce temps, tu sens ta chatte subir les douces caresses d’une verge affamée. Tous tes sens commencent à être envahis de chaleur et de passion. Tu le sens raidir encore plus et tu souris de plus belle. Tu écartes l’autre et viens t’assoir sur ton loup, pas besoin d’y aller doucement, tu es déjà tellement trempée que tu glisses d’un coup tout du long de son membre. Tu repends l’autre en bouche tandis que tu montes et descends sur la verge en toi. Hummmm, délicieux, les caresses des mains du félin, les contacts des corps, les odeurs, les goûts, les sensations... Tout est un délice, tout est au service de ton désir.Alors tu te lèves. Ils ont été très très sages, tu vires toute ta lingerie, libères les entraves et enlèves les laisses. Ils gardent les colliers, c’est normal. Tu leur tournes le dos, ils ne bougent pas, tous les deux à genoux par terre. Tu pars en les narguant de ton fessier et vas sur ton lit, t’allonger de tout ton long, tu commences à te caresser, ils ne bougent pas, tu te touches les seins, ils ne bougent pas, tu te mets à gémir, ils ne bougent pas. Tu jouis seule, sous la caresse de tes mains, ils ne bougent pas, mais n’en perdent pas une miette. Tu sens leur envie, leur désire, leur faim de toi... et alors ... Tu claques des doigts. Tu fermes les yeux, et tu leur offres ton corps, une verge se met dans ta bouche, et tu la suces, une langue vient lécher ton clitoris, tu savoures, des mains te caressent, tu ne sais plus qui est ou, quoi est à qui, tu laisses juste faire, et savoures chaque mouvement, chaque geste. Celui qui te léchait te pénètre, ses coups sont puissants, ses mains se baladent, l’autre de ses doigts caresse ton clitoris, embrasse tes seins, puis ils échangent, te mettant assise sur celui que tu penses être la panthère. Mais tu gardes les yeux clos, les sensations sont plus fortes. Tu sens un doigt venir caresser ton anus, tu souris. Il se glisse en toi, te repousse celui qui te pénètre pour le sucer à quatre pattes sur le lit et offrir au loup le champ pour doigter ton cul. Puis tu avances et chevauches ton félin, tu attrapes le collier du canidé au passage pour le tirer à toi. Et dans une symbiose parfaite, tu sens les deux verges se glisser en toi. C’est brûlant, délicieux, si fort que tous tes sens sont saturés de plaisir, d’envie, de désir. Tu sens ces deux êtres qui sont en toi, qui vont et viennent, tu sens ton corps caresser, frotter, désirer. Tu sens leur sperme éclater ensemble, et ton plaisir t’inonder entièrement... Tu te réveilles plus tard dans la nuit, allongé sur ton lit, tes deux hommes contre toi savourant tes caresses douces et légères après ce pur instant de sauvage folie.
