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Mado et Babette

Chapitre 1

Orgie / Partouze
En vacances, nos amis passe par chez nous. Les environs sont splendides : des panoramas comment en n’en voit que dans les causses. Je voudrais emmener Marc et Mado au point sublime pour admirer les gorges du Tarn avec ses vautours. Fatigué par le voyage, Marc préfère rester à la maison. Je suis prêt à ne pas partir quand Mado insiste pour la visite. Ma femme me force presque à aller avec Mado pendant que Marc se reposera dans la chambre d’amis.Nous voilà partis pour notre visite. En cours de route je remarque que la jupe courte de Mado est relevée, presque trop, je vois ses jambes à mi cuisses. Belles pièces. Si je m’écoutais, je poserais ma main sur elles. Le soleil tape sur Mado qui du coup écarte un peu ses jambes : la jupe remontre encore. Je ne savais pas que Mado était si exhibitionniste. L’après midi est assez avancée quand nous arrivons : les derniers touristes partent nous laissant toute le place. En sortant de la voiture, Mado laisse monter sa jupe encore plus haut : je vois son petit string. Je fais l’ignorant, je ne tiens pas à provoquer un incident et dans son ménage et dans le mien. Elle est près de moi : je lui indique les endroits les plus admirables. Comme elle n’arrive pas à voir un nid de vautour, elle s’approche de moi pour suivre la direction que j’indique. Sans intentions particulières elle me donne son sein à sentir contre mon bras. Je me dégage un peu en lui passant un bras autour de ses épaules. Mon geste amical est mal perçu : elle doit le prendre pour une incitation. Mon instinct d’homme se réveille surtout quand je sens sa tête bouger vers moi. Le paysage nous échappe totalement. Nous sommes trop près. Je regarde sa bouche qui attire mes lèvres. Elle ne se dérobe pas. J’en profite pour entrée ma langue à la recherche rapide de la sienne. La suite est trop rapide. Nous montons dans la voiture, je vais entre les buissons pour être à l’abri des regards indiscrets. Avant de sortir je l’embrase encore. Je profite de l’arrêt pour poser ma main sur son genou. Je joue à la bébête qui monte. Elle se laisse faire : sa langue est plus active dans ma bouche. Je suis sur son string déjà bien mouillé. Nous ne nous posons pas de question, sans un mot, je la déshabille totalement : c’est vite fait mis à part un léger tee shirt, sa jupe et le string, elle est vite nue. Pour moi c’est elle qui s’en occupe : elle commence par la légère chemise, défait mon pantalon, le laisse tomber et enlève mon slip. La garce ne tient pas compte des coutumes habituelles quand un homme et une femme sont sur le point de faire une bêtise : elle prend de suite ma bite dans la main. Je ne pensais pas qu’elle sache masturber aussi bien. Elle a pris ma bite dans une main ouverte, descend rapidement le prépuce pour le remonter aussi vite. Je suis tendu vers la prochaine jouissance. Elle est assez grande pour savoir que si elle me fait cracher le venin ma bite prendra un certain temps à s’en remettre.Elle le sait, maintenant qu’elle a oublié mon sexe, pour se serrer contre moi, ma bite entre nous deux. Je préfère ainsi. Sa bouche revient contre la mienne. Je la fait mettre ses fesses contre le capot. Sans que je ne demande quoi que ce soit, elle ouvre ses jambes attirant mon regard sur sa chatte. Ce doit être une erreur de la nature : son sexe est des plus beau que j’ai vu (et Dieu sait que j’en ai vu). Je m’accroupis devant elle : ma bouche entre dans ses lèvres pour y découvrir la source de sa cyprine. Je ne sais si c’est la chaleur, elle a un goût prononcé, pas désagréable du tout, au contraire. Je trouve très vite son petit bouton, petit au sens réel. Je me demande même si elle peut jouir avec un petit morceau de chair si petit. Dès que ma langue le touche, elle sursaute. Je continue pendant qu’elle écarte encore plus ses cuisses. Une main sur ma tête, elle me dirige en appuyant pour que je ne cesse pas de la lécher. Elle se baisse encore un peu pour être plus à l’aise. Je peux mettre ma main entre ses cuisses, pour les passer derrière : je veux savoir si elle aime se faire sodomiser. J’écarte ses deux magnifiques globes pour y passer au moins un doigt. Lentement j’arrive près de son petit trou, j’en fais le tour délicatement. Elle ne manifeste pas son opposition alors je pose la pulpe de mon doigt sur l’anus. Je ne force pas du tout quand j’entre presque la moitié du doigt.Je saurais m’en souvenir. Quand elle jouit plusieurs fois d’affilé, j’en suis satisfait : elle encore plus que moi. Ce qui m’étonne le plus est que quand elle jouit, elle fait le même cri qu’une souris quand un chat l’attrape.Quand je me relève, elle voit ma bite toujours en érection. A son tour, elle se penche. Sa bouche a vite fait de prendre le gland : je m’attendais de sa part à une fellation de femmes marié, sage en un sens. Ses lèvres s’ouvrent juste comme il faut pour que je confonde avec son vagin. Sa tête va et vient sur ma colonne. Je suis tendu vers le visage de Mado. Elle ne me tient pas les fesses sans que jamais une main touche ma queue. Je lui demande de ne pas me faire jouir encore dans sa bouche, je lui promets de jouir là après qu’elle m’ait permis de la baiser.Maintenant elle me mordille doucement. Enfin sa langue entre en action. Je suis tendu à l’extrême, comment elle je pense quand je la léchais et lui faisait coulisser un doigt dans le postérieur. Elle s’arrête pile la seconde avant mon orgasme. D’un coté je me sens privé et de l’autre je préfère jouir dans son ventre.Elle voudra maintenant se coucher par terre. Les cailloux parsèment l’endroit, sauf à un endroit qu’elle trouve en se baladant nue. De la voir se promener ainsi à poils, ses fesses se trémoussant devant moi, je bande encore plus. Elle trouve un endroit moins caillouteux. Elle s’y allonge en me tendant les bras : elle en rit ; c’’est vrai que j’ai la bite qui remue pas mal en marchant. On verra ce qu’elle dira quand elle l’aura là ou je pense. J’ai à peine le temps de me coucher près d’elle que ses jambes sont ouvertes, avec un compas plus que grand ouvert. Je vais la baiser comme jamais. Finalement je pense que c’est elle qui me baise. Je suis sur elle, elle prend ma bite pour se branler avec. Pour moi c’est agréable. Pour elle d’avantage à cause de ses cris de souris. Elle jouit donc facilement. Elle n’a qu’à poser ma queue juste à son entrée secrète. Là elle se fait poignarder : je suis saisi par l’étroitesse et la douceur de son vagin. Je ne vais qu’au fond une seule fois. Pendant tout le reste de notre union, c’est elle qui mène la danse. Je la sens jouir encore deux fois pendant que je suis au fond de son ventre quand elle se retourne. Elle se met en levrette, se mouille bien le rectum avec sa cyprine. Je n’ai qu’un seul devoir maintenant, la sodomiser. Je ne force pratiquement pas quand j’entre dans son cul. Elle accompagne mes va et vient. Elle doit jouir encore deux ou trois fois. Quand je lâche ma dose de sperme il me semble lui avoir donné toutes mes réserves. En sortant de son cul j’entends un ploc. Elle s’assied sur l’herbe pour regarder ma bite qui décroît. — Tu m’as drôlement bien baisée.— Tu baises bien toi aussi.— Si tu veux me faire visiter un autre endroit, demain après midi, n’hésite pas. — Tu tiens à ce que je te baise à nouveau ?— Tu sais mon mari ne me baise presque plus depuis sa maladie, je me contente comme je peux, aujourd’hui j’ai trouvé un bon amant, je ne vais pas le lâcher ainsi.— Il faut que j’en parle à ma femme.— Pourquoi ?— Parce qu’elle aime aussi les filles.— Chic, ce soir je lui propose de baiser en trio.— C’est à toi de voir.En rentrant Marc et Babette, ma femme bavarde. Les nouvelles sont vite passées. Je parle un peu avec Marc quand les deux femmes s’occupent à la cuisine. Ce n’est que maintenant qu’il me parle de son infirmité. Il a eu un accident cérébral qui a complètement laissé la partie animale de baise. Il ne bande plus que par à coup. Il sait que sa femme a des besoins. Il sait qu’elle se masturbe souvent, qu’elle a envie d’une vraie bite. Il sait que quelques fois elle sort avec des copines pour faire l’amour entre filles.— Tu serais chic si tu demandais à ta femme de passer la nuit avec elle.— Et moi, je peux te remplacer ?— Pour la baiser sans toi.— Je préfère ne pas savoir.Pendant le repas, c’est lui qui remet la question sur le tapis. Ma femme lui répond qu’elle est d’accord pour passer la nuit avec Mado. Je suis aussi volontaire, même ma femme est d’accord.Nous sortons tous un bon moment pour regarder les étoiles, puis la fraîcheur arrivant nous entrons tous. C’est Marc que se sauve vers sa chambre le premier : il nous lasse la place. Je suis un peu surpris de voir Babette embrasser Mado sur la bouche avant de venir m’en faire autant. Nous sommes vite nus : je compare les plastiques des filles : de légères différences dans la grosseur des seins. A part ça, elle se ressemble assez, sauf, mais il n’y a que moi pour le moment qui le sache, les fentes ne sont pas les mêmes. Je prends la première initiative en collant les deux fessiers contre la table. Mes mains prennent possessions des chattes déjà bien mouillées. Je ne cherche pas du tout les boutons. Mis à par le petit de Mado qui est le plus difficile à contenter, celui de Babette est toujours gonflé quand elle sait que je vais la branler. C’est Babette la première qui jouit. Elle profite de ce temps de jouissance pour embrasser encore Mado qui du coup jouit vite. Nous sommes vite dans la chambre. C’est Mado qui prend la partie à son compte. Elle sait mieux que ma femme. Elle la caresse comme j’aurais du le faire. Elle la pelote juste comme elle aime. Sa main est vite sur la chatte de ma femme. Elle commence à la masturber comme je le fais. En attendant je bande de la voir faire. Babette a pitié de moi en me branlant comme elle sait si bien le faire. Elle arrête juste comme il faut. Je suis plus libre pour branler Mado. Je commence par le cul : elle ouvre ses cuisses et arrive, je ne sais comment à ouvrir son anus. Mon doigt est vite dans son ventre. J’entends encore son bruit de souris.Babette ne crie pas : elle jouit sans bruit, en le disant simplement. C’est-ce quelle fait maintenant. Il faut croire que c’est insuffisant pour Mado qui se penche pour sucer ma compagne. Là c’est plus rapide : c’est la première fois que Babette se fait lécher par une autre. Je passe derrière Mado, sur les conseils de Babette. Ma queue est vite entre les fesses sans rien faire d’autre que de la faire aller et venir. Lasse de ce semblant de sodomie, Mado me donne son cul. Il faut dire que le spectacle en vaut la peine : ma femme est léchée par celle que j’encule. Quand Mado jouit pour la X° fois, elle demande un repos. Une pose que je mets à profit pour baiser ma femme. Quand elle est en chaleur comme aujourd’hui, c’est le paradis pour ma bite, et sa chatte. Elle se positionne de façon à avoir ma queue dans son cul et sa main sur le bouton. Nous sommes allongés, moi sur le coté elle sur le dos, les jambes ouvertes pour que nous ayons nos deux membres emmêlés pendant qu’elle a la facilité pour se caresser et moi bien accès à son intérieur arrière. Je connais la formule par cœur : j’attends qu’elle commence par se branler : je regarde de près sa main aller et venir : quand elle se doigte, alors c’est à mon tour d’entrer d’abord deux doigts dans le cul que je remplace vite par ma bite tendue. L’orgasme commun est trop vite là.Mado nous regarde envieuse et se masturbe. Puis pour parachever son orgasme prochain elle offre sa vulve à la bouche de Babette qui ne se gêne pas pour l’accepter. Maintenant Mado se penche vers le sexe de celle que j’encule : elle prend le clitoris le lèche près de moi. Que vouliez vous qu’il arrive, nous passons la nuit entière à baiser.Le lendemain après midi, nous partons à trois visiter un autre lieu : une profonde forêt où personne ne va. Je connais une petite clairière isolée. C’est là que nous baisons encore en trio, les filles surtout en profitent : il leur tardait d’arriver. Elles se branlaient déjà.
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