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La Madone des pissotières

Chapitre 2

Lesbienne
Sous les caresses de la jolie rousse, le sexe ruisselant se déploie tels les pétales d’une fleur vénéneuse. À présent, la tête rejetée en arrière et les yeux clos, Brigitte savoure la caresse de ce doigt féminin qui se fait de plus en plus indiscret dont la première phalange s’immisce à l’orée du conduit vaginal, puis retourne fureter entre les petites lèvres de la jeune novice brune pour revenir taquiner l’entrée de son petit fourreau. Progressivement, il s’y enfonce de plus en plus loin, jusqu’à buter contre un obstacle.
— C’est vrai que tu es encore vierge, remarque la rouquine. Alors je vais essayer de te donner du plaisir d’une autre manière.— Comment ?— Comme ça.
Joignant le geste à la parole, Charline déplace son doigt en direction du haut du sillon vulvaire où elle repère une petite bosse dure qu’elle se met à caresser délicatement.  
— Oh, comme c’est bon, là… gémit Brigitte.— Là, comme tu dis, c’est ton clitoris, ma belle. Apprends à le connaître, et il te donnera un plaisir extrême.
Tout en parlant, Charline commence à pincer subtilement le petit organe qui se dresse, puis elle le saisit entre deux doigts pour y imprimer un léger va-et-vient.
— Oooh, que c’est bon…— Tu vois, là, je te branle. Je te branle le clito, Brigitte.
Sous cette caresse inédite pour elle, la jeune religieuse se tend. C’est à ce moment-là que son initiatrice glisse un doigt de son autre main à l’entrée du vagin juvénile, appuie un peu pour le faire pénétrer de quelques centimètres, et l’y fait coulisser d’avant en arrière tout en continuant de branler le clitoris qui a pris du volume. La brune Brigitte est tendue comme un arc ; sentant une boule de feu se développer dans ses entrailles et la gagner tout entière, elle s’arc-boute, son corps ne reposant plus que sur ses épaules et ses talons. Charline s’active encore tandis que sa complice halète de plus en plus rapidement jusqu’à ce qu’un embrasement se répande dans tout son être. Une longue plainte s’échappe de ses lèvres, que la belle rousse bâillonne vivement d’une main.
— Chut, on va nous entendre…
Le corps de Brigitte est agité de convulsions pendant quelques secondes puis s’abat sur la couche comme un pantin désarticulé. Incapable de parler, elle cherche à reprendre son souffle. Lorsqu’elle se calme enfin, Charline, compatissante, éponge son front trempé de sueur avec un coin du drap.
— Tu vois, ma belle, c’est ça, le plaisir. On dit aussi « l’orgasme ».— Oh, c’est tellement fort… j’ai cru m’envoler dans les étoiles ! Dis, on recommencera ?— Si tu veux, mais nous devrons être discrètes. Je viendrai dans ta chambre et je t’apprendrai aussi à me faire jouir.

Elle dépose un chaste baiser sur le front de la jolie brune et s’esquive, légère comme un courant d’air.
Durant des mois, leurs rencontres secrètes et sensuelles se poursuivent à l’insu des pensionnaires de l’abbaye.
* * *

Brigitte a terminé son noviciat ; religieuse à part entière, elle partage, sous le nom de sœur Marie-Bénédicte, son temps entre les études théologiques et les servitudes de la vie communautaire.
Un soir, à l’issue du dîner, l’abbesse (la plus haute autorité de l’abbaye) la prend à part :
— Ma fille, vous viendrez me rejoindre dans mon bureau à 20 heures.— Bien, ma Mère.
Une demi-heure plus tard, c’est une sœur Marie-Bénédicte un peu inquiète qui pénètre dans le bureau de l’abbesse. Celle-ci l’attend, le visage sévère, assise derrière une vaste table encombrée de dossiers.
— Ma fille, qu’avez-vous à dire pour votre défense ?— Mais… quelle défense, ma Mère ? Que me reproche-t-on ?— Vous le savez bien, petite dépravée !— Je vous assure que ce n’est pas le cas, ma Mère…— Des témoignages de votre immoralité sont parvenus jusqu’à mes oreilles.— Mais…— Taisez-vous, vile dévergondée ! J’ai eu vent de vos turpitudes avec l’une de nos sœurs. D’ailleurs, elle ne perd rien pour attendre, celle-là !— Je vous assure, ma Mère, qu’il n’en est rien ; ce ne sont que des racontars.— En plus, vous avez l’aplomb de me mentir… Tout cela mérite une punition exemplaire ! Venez expier vos péchés, Marie-Bénédicte. À genoux devant moi. Immédiatement !
La Mère supérieure fait pivoter son fauteuil et attend la pécheresse dans une posture hiératique. La brunette ne peut que s’exécuter. Mais lorsqu’elle franchit le coin du bureau, elle s’arrête, stupéfiée : l’abbesse est nue des pieds à la taille.
— Eh bien, qu’attends-tu ? À genoux, j’ai dit !
Abasourdie, elle commence à réciter la phrase d’usage :
— Bénissez-moi, ma Mère, parce que j’ai péch…— Pas de bla-bla ! Des actes ; et pas des actes de contrition ! Suce-moi la chatte !
Incrédule, la jeune religieuse fixe les grosses cuisses blanchâtres pleines de cellulite et l’abondante touffe de poils gris qui entourent une vulve béante qui suinte déjà. Elle a un mouvement de recul, mais l’abbesse l’attrape par les cheveux et lui plaque le visage à la jointure de ses cuisses, qu’elle resserre. Prise dans cet étau, la brunette a un spasme de dégoût, tant la puanteur qui s’exhale de cet antre répugnant est immonde. À bout de souffle, elle abdique et donne un timide coup de langue. L’étreinte de la Mère supérieure se desserre.
Dès lors, sœur Marie-Bénédicte fait de son mieux (elle est devenue experte sous les directives de son amante rousse) pour amener le plus rapidement possible sa supérieure à la jouissance. Lorsque celle-ci se contorsionne sous l’effet d’un puissant orgasme, elle laisse échapper un jet d’urine sur le visage de la jeune religieuse, mais elle reprend vite ses esprits et déclare :
— C’est bien, ma fille ; je t’absous de tes péchés, mais tu devras venir me sucer la chatte chaque vendredi après les vêpres.— Mais…
Intransigeante, elle assène le coup de grâce :
— C’est ça ou la porte !

[à suivre]
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