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Maeva, de l’ombre à la lumière

Chapitre 17

Débauche totale !

Orgie / Partouze
Cette séance particulière avec Romane, que je viens de me remémorer, me hante. L’invitation pour ce weekend prolongé est assurément sous-tendue par un plan coquin, connaissant ses appétences et celles de Fabrice. Et comme je l’ai dit à Romane, je lui suis redevable. Considérant aussi qu’elle et Maeva ont eu un moment d’intimité, il ne me parait pas inconcevable d’aller au-delà.
Maeva sort de sa torpeur et je caresse tendrement sa joue.
— Bonjour ma chérie.— Bonjour mon amour. Comme je dors bien à tes côtés. Et cette merveilleuse soirée, cette bague...— Oui et ce soir, on file à l’aéroport.— Et je vais devoir jouer un rôle qui ne me plait pas. Redevenir ce que je ne suis pas... un homme.— Chérie, c’est juste pour un temps très court. Et quand ton changement d’état-civil sera finalisé, ça n’arrivera plus.
Les cours de Maeva se terminant tôt en cette veille de grand pont, elle a le loisir de préparer sa valise. Elle passe un jean et un ample sweat, se démaquille et plaque ses cheveux, se séparant de tous ses bijoux, sauf la bague offerte hier. Mais même ainsi, sa féminité n’est que partiellement estompée. Tout se déroule bien lors des formalités, car ce que je redoute est de voir Maeva soumise à une fouille corporelle lors des contrôles avant embarquement, avec juste une crispation de sa part lorsqu’un agent de sécurité la gratifie d’un «monsieur».
Malgré la promiscuité avec les autres passagers, je narre en chuchotant à son oreille la visite de Romane destinée à me préparer à ma première pénétration anale, sans rien occulter. Maeva serre très fort ma main, parlant dans un souffle.
— Chéri, ce que tu m’as offert est une incroyable preuve d’amour, j’imagine que ça a été pour toi un véritable dilemme. Et Romane est si désirable que je comprends ton émoi, et c’était certainement la mieux placée pour te... Mettre en condition, on va dire. Même moi, qui suis pourtant uniquement attirée par les hommes hétéros, elle me trouble carrément. Tu sais bien qu’au sauna, je me suis laissée aller...
Dès notre atterrissage à Hyères et la récupération de nos bagages, elle se précipite dans les toilettes, dont elle ressort complètement transfigurée.Juchée sur des sandales à talons qui galbent ses jambes, elle est  accoutrée d’un minishort qui moule délicieusement son fessier et d’un débardeur très ajusté sous lequel pointent indécemment ses seins et dévoile son nombril. Elle a aussi redonné du volume à sa courte chevelure, ses lèvres sont soulignées de rouge vif et ses cils par un mascara.
— Je me sens redevenue moi-même.— Tu es superbe. Fabrice est garé juste devant.
Mon vieux camarade nous accueille avec une joie démonstrative, embrassant chaleureusement Maeva et n’oubliant pas de lui souhaiter son anniversaire.
— Bon sang, quel canon tu es ! Yann, tu ne la mérites pas !

Maeva rougit et balbutie un remerciement. Le trajet de moins de dix kilomètres dure une bonne heure, tant la circulation est dense. La luxueuse villa est juste devant une petite crique bordée de sable blanc.
Fabrice nous emmène directement au patio près de la piscine où nous attend Romane, qui a déjà manifestement bu quelques verres. La blonde incendiaire porte une courte robe qui semble prête à craquer sous les pressions conjointes de sa poitrine plantureuse et de sa croupe rebondie. Elle se précipite sur Maeva et l’emballe sans complexe.
— Bon anniversaire, ma belle. J’espère que Yann a été à la hauteur, minaude-t-elle avec un clin d’œil appuyé.— Oh, oui, et même au-delà. Et je connais ta contribution.
Puis sa bouche se scelle sur la mienne, et elle me galoche également, ce qui me confirme son absorption d’alcool.
— Si ça ne vous dérange pas, on va juste poser nos affaires, et je me rafraîchirai un peu avant de me changer.— Fab, tu peux le guider, Maeva et moi, on doit discuter entre filles...
Je ne suis pas forcément rassuré par cette perspective, mais accompagne mon hôte qui a pris la valise de ma dulcinée vers une chambre, en fait quasiment une suite, avec un lit gigantesque et une salle d’eau digne d’un palace. Je prends une douche rapide et à l’instar de Fabrice, me contente d’un bermuda et un tee-shirt.
La fiesta a débuté durant ma courte absence, avec une musique entraînante, et les filles se déhanchent autour de Fabrice, qui ne s’en plaint nullement, Maeva allant jusqu’à frotter son adorable popotin sur son bas-ventre. Je ne pensais pas que les choses aillent dégénérer aussi vite. Mais comme la petite a l’air à l’aise, je m’abstiens de toute interférence.
— Champagne ! Et après, on va faire un jeu avant de grignoter !
Et ce sont deux bouteilles de bulles qui défilent, tandis que Maeva et Romane se montrent de plus en tactiles, tant mutuellement qu’avec Fabrice et moi. Elles se roulent une pelle d’anthologie, avant que Romane ne pose quatre cartes sur la table.
— Chacun en tire une. Le perdant a une épreuve.
Le sort n’est pas avec moi, et je récolte un deux de trèfle, synonyme d’un gage que je présume des plus licencieux. Et je ne serai pas étonné que mon absence ait été mise à profit pour préméditer ce résultat.
— Yann, on va te couvrir les yeux. Et tu devras deviner qui te suce, et pour que ce ne soit pas trop facile, usage uniquement de la bouche, sans les mains, et évidemment, tu ne dois pas toucher. Au fait, j’ai retiré mon piercing, sinon, ce serait trop facile. On va te mettre dans l’ambiance...
Et les filles se livrent à un véritable show, m’effleurant sensuellement, et sans m’en rendre compte, je me retrouve délesté de mes quelques vêtements, le sexe à demi bandé, que les nymphes ne manquent pas de frôler à plusieurs reprises.
Romane m’entoure la tête d’une pièce de tissu opaque qui me rend aveugle. Je suis quand même assez tendu, mais m’efforce de n’en rien laisser paraître. Je frissonne au contact d’une langue qui lape ma hampe de chaque côté, la faisant enfler davantage, ce qui décalotte mon gland, qui est lui aussi léché sur le pourtour, puis c’est mon méat et mon frein qui sont l’objet de toutes les attentions. Privé de la vue, les sensations sont radicalement différentes, comme si ma sensibilité s’en trouvait exacerbée.
Des lèvres se posent sur mon extrémité turgescente qui bientôt est enveloppée dans une bouche à la douce chaleur. La langue tournoie, et la succion devient plus appuyée. Je gémis, la fellation est exécutée avec enthousiasme, je dois refréner la tentation de caresser la tête de celle qui me procure ce délicieux traitement. Ma respiration s’accélère, et dans le doute, mon état augurant d’une éjaculation prochaine, je préfère avertir.
— Ahhhhhh, attention, je vais bientôt venir.
Les lèvres relâchent leur étreinte, et je suis presque déçu de ne pas aller au bout, mais la soirée ne fait que commencer. Je reprends mes esprits, quand la voix de Romane me ramène sur terre.
— Mon chou, alors, qui t’a sucé ?— Je pense que c’est toi. Maeva le fait différemment, enfin, ce n’est pas simple d’expliquer ça avec des mots.— Retire ton bandeau.
Je m’exécute, et là, je manque de tomber à la renverse. Les filles sont un peu en retrait, et c’est Fabrice qui est agenouillé devant moi, un sourire en coin.
— Je... C’est une blague...— Non, mon pote. C’est vrai que tu es monté comme un âne ! Bon, ça m’a donné soif !
Je me sens un peu penaud, et Maeva vient m’embrasser passionnément.
— Mon amour, je t’avoue qu’on a triché. Et tu pourras me punir.... Ainsi que Romane bien sûr...
Elle est incroyablement décomplexée, et je remonte maladroitement mon bermuda afin de déguster les divers mets, tacos, et autres victuailles disponibles en quantité, et arrosés d’un punch.
— Alors, Yann, mon Fab suce bien, tu as failli décharger dans sa bouche !— Il ne me reste plus qu’à goûter à la tienne...— Ce sera avec joie... Là, je crève de chaud, on va dans la piscine.
En un geste décidé, elle relève sa robe et la jette indolemment, dévoilant ses formes voluptueuses. Fabrice et moi l‘imitons. Quant à Maeva, elle se sépare de son haut et de son short, mais semble hésiter à retirer son string. Romane s’approche d’elle et lui parle avec une voix suave.
— Chérie, Yann et moi t’avons déjà vue nue. Et tu as bien compris que Fab n’allait pas avoir une attaque, il vient de tailler une pipe à ton homme...
Maeva semble rassurée par la bienveillance qui émane du couple libertin, et c’est un geste commun des deux femmes qui fait glisser la pièce de lingerie au sol, révélant sa verge. Nous sautons dans l’eau, chahutant comme des gosses, et Maeva ne parait plus faire de cas de sa nudité. Et peu à peu, nous nous rapprochons, nous livrant à d’agréables attouchements réciproques. La petite est au centre de toutes les attentions et geint sous les caresses qui stimulent ses zones érogènes. Ses tétons durcis sont mâchonnés, sa raie parcourue par des doigts inquisiteurs, et en cajolant son ventre, je constate que son érection est de belle tenue.
Nous sortons de la piscine, Romane s’agenouille devant Fabrice et embouche son dard. Par mimétisme, Maeva en fait de même avec moi. Nous exprimons notre satisfaction devant les prestations de ces deux gourgandines qui flattent aussi nos raies et pétrissent nos bourses. Elles explorent aussi nos petits trous, titillant nos prostates et renforçant notre rut.
— Putain, j’ai envie de me faire sauter comme une chienne, je suis trempée ! Je veux des bites !
C’est presque un cri que pousse Romane, étalant sans complexe sa propension à la débauche.
— Maeva, tu veux bien que Yann...
Ma compagne me regarde, cherchant mon assentiment. Puis elle me prend la main et m’amène auprès de Romane.
— Je veux le meilleur pour mon homme. Donne-lui ce qui fait de toi une femme, je ne peux lui offrir que ma bouche et mon cul.
Les filles échangent un baiser des plus torrides, et Romane me fait m’allonger sur un des matelas disposés dans le patio. Elle m’enjambe, s’empare de mon rondin et s’empale dessus dans un râle. Sa chatte est affectivement moite, et elle enquille sans difficulté l’entièreté de mon membre épais.
— La vache, comme elle est grosse !
Romane commence à me chevaucher, et nos respirations s’accélèrent en même temps que le rythme qu’elle impose. Je pelote avidement ses lourdes mamelles qui tressautent, croisant le regard de Maeva dont l’érection ne décroit pas, hypnotisée par cette scène de copulation.
— J’en veux plus !
Fabrice interprète aisément cette requête et ses doigts lubrifiés s’immiscent dans l’anus de Romane qui émet un mugissement. Bientôt, c’est son pieu qui envahit le fondement de sa compagne, qui est dans un état d’exaltation peu commun. Nous la bourrons virilement, et je sens le chibre de Fabrice, juste séparé du mien par une fine membrane. C’est évidemment une première pour moi, alors que les doubles pénétrations sont vraisemblablement monnaie courante pour cette femme délurée qui hurle sans discontinuer alors que nous la besognons de concert.
— Ma chérie, approche, il me reste de la place, ânonne Romane dans un souffle.
Maeva comprend la sollicitation, et présente son pénis au niveau du visage écarlate de la coquine qui le gobe gloutonnement. Tous les orifices de Romane sont envahis dans cette communion des corps. Les coups de boutoir sont de plus en plus puissants, Maeva a même attrapé sa chevelure et baise littéralement sa bouche. Nous sommes tous quatre exaltés, et le premier à succomber est Fabrice, qui libère son jus dans le rectum de Romane en exprimant sa liesse.
— Salooooooooooope ! Je te remplis le cuuuuuuuuuuul !
C’est une réaction en chaîne, les contractions de son vagin compriment exquisément ma hampe, et quelques secondes après, c’est mon foutre qui se répand dans son ventre. Maeva se raidit, émet un couinement et éjacule presque simultanément dans la gorge de Romane, devenue le réceptacle de nos jouissances. Elle se précipite sur nos membres fraîchement sortis de son corps bouillant et les lape consciencieusement.
Cette parenthèse de luxure nous laisse sonnés, et nous peinons à retrouver nos esprits. Fabrice et moi aidons Romane à se relever. Du sperme s’écoule de ses cavités intimes, ses yeux brillent de mille feux.
— Comme c’était bon ! Mais ce n’était que le hors d’œuvre, il va falloir assurer, les gars !
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