La démarche de Romane est incertaine après cet assaut et nous la soutenons pour qu’elle s’installe sur une chaise longue, Fabrice à ses côtés. Maeva, totalement imprégnée par l’atmosphère licencieuse, se pelotonne contre moi, et nous nous bécotons amoureusement. Cette épopée lubrique nous a donné faim, et nous nous restaurons copieusement afin de reprendre de forces. Malgré le risque de jeter un froid, je décide de faire part d’un questionnement potentiellement perturbant. — Romane, c’était vraiment super... Mais je suis venu en toi...— C’est délibéré, j’ai longuement échangé avec Maeva. Vous avez fait des tests et êtes partenaires exclusifs. Normalement, lors de rencontres, c’est capote, mais j’ai cru comprendre que ça te bloquais... Ça aurait été franchement dommage. En tous cas, cela confirme l’entente et la confiance entre les filles. C’est d’ailleurs Maeva qui rebondit sur mes paroles. — Romane, ça fait quel effet d’être pénétrée par plusieurs sexes ?— Ma chérie, c’est indescriptible, tout ton corps est électrisé. J’ai aussi essayé la double, en anal et en vaginal.— Oui, c’était lors d’un gangbang que j’avais organisé, précise Fabrice, avec une demi-douzaine d’étalons. Romane s’est éclatée comme une folle !— Oh, oui ! Mais en triple, ça ne passe pas, et puis, il faudrait des contorsionnistes. Par contre, avec des godes, on a réussi. La liberté de ton et d’action de Romane est confondante, et semble déteindre sur Maeva, songeuse, comme si elle transcrivait les phases de Romane en images. Et spontanément, elle se lève, et son visage disparaît entre les cuisses de Romane. — Guide-moi, je n’ai jamais pratiqué. Sous la direction de son initiatrice, elle réalise son premier cunnilingus, sa langue longe les lèvres ourlées avant de virevolter sur son clitoris enflé. Romane se montre réceptive à cette câlinerie buccale et feule. — Ouiiii ! Mets-moi des doigts ! Maeva insère son index et son majeur dans la chatte ruisselante de Romane qui se tortille. — Pluuuuuuuuus ! Quatre doigts vont et viennent à présent dans la fente dont s’épanche une marée de cyprine. Le corps de Romane est traversé de soubresauts, mais son inextinguible soif de dépravation n’est pas encore rassasiée.
— Encore pluuuuuuuuuuuus ! Maeva plaque son pouce contre sa paume, et l’intégralité de sa main s’enfourne jusqu’au poignet dans l’antre de Romane qui pousse un cri, terrassée par un orgasme d’une magnitude singulière. — Ouuuuuiiiiiiiiiii ! Maeva se dégage lentement de la grotte humide, et les filles s’embrassent lascivement. Romane lape la main de Maeva imbibée de son propre nectar. — Tu es douée avec ta langue, on ne devinerait pas que c’était ta première fois.— Merci. Je n’en reviens pas, j’ai rentré ma main entière ! — Oui, j’adore aussi être fistée. Tu as déjà essayé ?— Yann m’a déjà mis quatre doigts dans le cul. Je crois que j’aimerais davantage... Cet intermède nous a revigorés, et Fabrice et moi bandons de nouveau. C’est à présent Maeva qui bénéficie de nos égards. Ainsi, Romane lui dévore les tétons, Fabrice lui prodigue un anulingus profond, tandis que je lui offre une fellation baveuse. Nous permutons ensuite nos positions, et je me délecte de sa corolle plissée dans laquelle ma langue tournoie. La petite est ravie de ce traitement, et se place tête-bêche avec Romane, pour un soixante-neuf endiablé. Je m’installe derrière elle et mon pieu se fraye un chemin dans son étroit conduit. Par symétrie, Fabrice engouffre son chibre alternativement dans la chatte et le cul de Romane. Les filles délaissent parfois leurs léchages mutuels pour se consacrer à nos couilles qu’elles gobent, le tout dans un concert de gémissements. Je martèle le fion de Maeva sans aucune retenue, tout comme Fabrice défonce Romane. L’épilogue est prévisible, je décharge mon foutre dans les entrailles de la petite qui brame, rejoint par Fabrice qui inonde le ventre de sa compagne. Et c’est au tour de Maeva d’honorer la bouche de Romane. Nous demeurons scellés quelques instants, et je me retire de l’exigu manchon dont dégouline ma semence. Romane redresse sa tête et s’abreuve de la liqueur opaline tout juste sortie de l’anus boursouflé de ma dulcinée. — Je ne voudrais pas en perdre une goutte ! Cette nouvelle étreinte nous harasse, et nous nous assoupissons tous quatre sur les matelas du patio. Mais cette nuit n’est pas dédiée au repos, la concupiscence règne en maître. Je suis tiré de ma somnolence par une bien agréable perception. Les visages de Maeva et Romane sont au niveau de mon entrecuisse, et le ballet de leurs langues s’accapare mes zones les plus érogènes, mon phallus de la base au gland, mes couilles, mon périnée et ma rondelle. Leur gâterie conjointe ranime mon désir. Mes soupirs réveillent Fabrice dont la bouche fond entre les fesses de Maeva qui apprécie manifestement son initiative, couinant sous l’effet de cette feuille de rose. Elle en vient à délaisser mon rondin que Romane glisse alors entre ses gros seins, m’offrant une cravate de notaire mémorable. Ses mamelles opulentes compriment délicieusement mon pénis gonflé dont elle suçote l’extrémité en inclinant la tête. Fabrice fait généreusement couler du lubrifiant dans le sillon de Maeva dont je croise le regard. Elle semble rechercher mon approbation pour être prise par un autre, alors même que moi-même j’ai troussé Romane. La bite dressée de Fabrice est si proche du puits dans lequel il est prêt à s’ensevelir. Un doute s’insinue dans mon esprit. N’ai-je pas entraîné Maeva sur les chemins de la dépravation ? Quelles seront les conséquences pour notre couple ? D’un geste imperceptible, j’acquiesce, et Maeva parait libérée d’un poids et écarte indécemment ses fesses. — J’ai envie que tu me la mettes. Bien fort. Fabrice empoigne ses hanches et avec précaution entame sa progression dans l’étroite voie. Maeva halète sous cette sodomie qui va crescendo. Le bassin de Fabrice heurte sa croupe, et je m’allonge sur Romane, aux cuisses outrageusement ouvertes, enfonçant ma verge dans sa chatte largement humectée.Fabrice et moi limons vigoureusement nos partenaires interverties lors de cet échange, avec un plaisir réellement partagé. — Maeva, comme tu es serrée !— Plus fooooort ! Mets-moi de grands coups !— Romane, je vais jouiiiiiiiiiir !— Ouiiiiiii ! Inonde-moi de foutre ! Nos bribes de dialogues sont illustratives de l’exaltation qui s’est emparée de nous. Je suis le premier à exploser, un geyser de semence se répand dans le ventre de Romane. Fabrice me succède quelques instants après, déchargeant son jus, profondément encastré dans le cul de Maeva. Le liquide séminal déborde des orifices envahis, et nous retombons dans un sommeil réparateur. Les premières lueurs du jour nous ramènent à un état de conscience. Toujours nus, nous nous jetons dans la piscine afin de reprendre pied dans la réalité. Les filles nous abandonnent provisoirement pour préparer un petit déjeuner que nous ingurgitons sans même penser à nous couvrir. Une douche commune finit de nous réveiller. — On va faire un tour dans l‘arrière-pays, c’est super joli. Et prenez vos maillots, on passera à la plage. Nous regagnons nos chambres respectives et nous habillons, prenant des affaires de bain. Les filles ont toutes deux opté pour des robes courtes et légères qui dévoilent une grande partie de leur anatomie, et le ballottement de la lourde poitrine de Romane indique qu’elle est libre de tout maintien. La décapotable nous emmène ensuite sur les routes sinueuses du Var, et nous faisons quelques haltes sur de splendides points de vue, et prenons des photos. Arrive l’heure du déjeuner, et nous nous restaurons dans une auberge de charme. Le serveur lorgne furtivement sur la poitrine de Romane, très découverte, et les cuisses galbées de Maeva dont la robe est remontée très haut. — Vous allez le faire crever, il doit être énervé...— J’aime l’effet que je fais aux hommes, et comme j’ai un côté exhibitionniste...— Et avec ton hypersexualité assumée, ajoute Fabrice d’un air entendu.— C’est vrai, tu as un pouvoir d‘attraction phénoménal. Et tes seins sont si beaux, jamais je n’en aurai d’aussi gros.— Maeva, tu as un charme fou. Et Yann est dingue de toi. — Oui, on s’aime. Je me demandais, ce qu’on a fait cette nuit...— On s’est donné mutuellement du plaisir, entre personnes consentantes. Il n’y a aucun mal à ça. Et j’emmerde ceux qui portent des jugements et les frustrés.
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