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Maeva, de l’ombre à la lumière

Chapitre 19

Double plaisir anal pour Maeva

Orgie / Partouze
Nous reprenons la route et parvenons dans une petite crique assez peu accessible.
— Ici, c’est tranquille, mais textile, précise Romane.
Devant l’expression étonnée de Maeva, elle explicite son propos.
— Ça signifie que le nudisme n’est pas autorisé. Avec Fab, on fréquente plutôt les endroits naturistes. Mais je ne voudrais pas que tu te sentes mal à l‘aise, sachant que tu ne serais pas la seule femme trans.— Je te remercie, car juste entre nous, ce n’est pas un problème, mais devant des inconnus, je ne suis pas certaine d’en être capable.— Mais si tu veux, on pourra essayer un peu plus tard...
En l’absence d’infrastructure dédiée, les filles se changent derrière un bosquet et reviennent avec des maillots deux pièces. Si celui de Maeva reste très sage, celui de Romane est franchement minimaliste, avec des fibres semblant prêtes à se rompre, mettant plus en valeur ses formes qu’il ne les dissimule. Fabrice me fait un clin d’œil.
— Elle prend systématiquement une taille en dessous pour que ce soit à la fois moulant et peu couvrant.
La plage est effectivement peu fréquentée, et nous jetons notre dévolu sur une portion de sable où nous plantons les parasols et étalons les serviettes, avant de nous enduire mutuellement de crème solaire, prétexte à des attouchements coquins. Après notre débauche nocturne, une sieste est la bienvenue, et Fabrice et moi nous assoupissons, nos compagnes respectives tendrement accolées à nos côtés.Je suis tiré des bras de Morphée par de doux baisers de Maeva.
— Salut, mon amour. Tu es trop mignon quand tu dors.— Bon sang, j’ai pioncé près de deux heures !
Je remarque que Fabrice et Romane, qui a ôté son soutien-gorge, sont enlacés et s’emballent langoureusement. Elle a une main dans le short de bain de son compagnon qui malaxe ses gros nichons. Ils sont clairement à deux doigts de baiser à quelques mètres d’autres personnes, certes partiellement occultés par un parasol.Maeva prend ma main et propose d’aller se baigner, laissant nos tourtereaux à leurs affaires.
— Toi aussi, tu pourrais retirer ton haut.— Tu aimerais ?

Pour toute réponse, je dénoue la pièce de tissu, libérant les adorables seins d’adolescente de Maeva. Nous entrons dans les eaux turquoise de la Méditerranée, et je note que certains jeunes reluquent la petite. Il est vrai qu’avec sa coupe de cheveux courte, sa silhouette svelte, son fessier galbé et sa poitrine menue aux tétons bien dessinés, elle est à même de susciter l’intérêt de garçons de son âge.Nous nous prélassons dans la mer, échangeant caresses et bécots, comme seuls au monde. Subitement, un ballon atterrit à proximité, nous éclaboussant, ce qui nous sépare. Un des gaillards dont elle semble avoir attiré l’attention vient vers nous.
— Désolé, mon pote est un peu bourrin. Moi, c’est Kevin, je t’ai jamais vue ici. Une fille comme toi, je l’aurais remarquée.— Merci, moi, c’est Maeva, je suis juste là pour quelques jours.— T’es en vacances avec ton vieux ? Nous, ce soir, on organise une teuf, ça te branche ?— Désolée, mais je suis déjà prise.— Tu vas pas passer ton temps avec ton papounet, on a de la beuh !
Maeva se rapproche de moi et passe sa main autour de mes épaules.
— Ce n’est pas mon père. C’est l’homme que j’aime.
Nous rejoignons nos serviettes, et j’entends une réflexion venant du groupe, relative aux « cagoles sortant avec des vioques friqués » que je préfère ignorer, bien que bouillant intérieurement.Romane et Fabrice ne sont plus sur place, mais reviennent quelques minutes après, sourire aux lèvres.
— On a eu besoin de s’isoler... Et en plus, il y avait un voyeur qui s’est bien paluché en nous matant... Bon, on va rentrer tranquillement.
Nous retournons à la villa, et les filles nous abandonnent avec une bière dans le patio.
— Je me demande bien ce qu’elles complotent...— Certainement un truc bien pervers. Et dis donc, Maeva est super à l’aise. Et son cul, un délice... Excuse-moi...— Non, et tu as raison. Et moi aussi, je me suis bien éclaté avec Romane, alors, pas de problème. A la tienne !
Alors que nous trinquons, nos compagnes reviennent, un sourire énigmatique aux lèvres.
— Messieurs, rien n’est trop bien pour vous !
Déroulant une chorégraphie coordonnée, elle se retournent, très cambrées. Maeva relève la courte robe de Romane et écarte ses fesses charnues, dévoilant la base d’un plug. Puis la blonde incendiaire en fait de même pour sa complice, identiquement équipée, et qui comme elle est cette fois démunie de toute culotte.
— On a été un peu longues, car Maeva en a un très gros. Car ce soir, elle a une envie très particulière à assouvir. Tenez, cadeau.
Romane nous tend une télécommande, suscitant une expression malicieuse de Fabrice. Il l’actionne, sélectionnant alternativement les deux boutons. La bimbo commence à gémir, se tenant le ventre. A un moment elle s’affale sur un matelas en se tortillant en tous sens, son visage est écarlate. Fabrice opère différentes manipulations sur le clavier, faisant réagir Romane qui remonte largement sa robe, cuisses largement ouvertes, braillant les pires obscénités. Je remarque qu’un cordon émerge de sa chatte ruisselante.
— Elle a un œuf vibrant, et le plug aussi est connecté. Double plaisir assuré. Tu veux essayer ?

Je ne fais pas prier et manipule les sextoys à distance, observant les réactions de Romane. Maeva est manifestement émoustillée par ce jeu et se débarrasse de sa robe légère sous laquelle elle ne porte rien. Une génuflexion et elle baisse d’un geste décidé mon bermuda, puis embouche avec gourmandise mon membre déjà bien raide, sa main ne reste pas inactive et branle doucement la queue de Fabrice qu’elle a également sortie de sa gangue de tissu.
Après quelques tâtonnements sur la télécommande, je parviens à faire hurler Romane, dans un état de rut des plus spectaculaires, à tel point qu’elle expulse un jet de cyprine avant de s’effondrer, vaincue par un orgasme paroxysmique.
Maeva pompe maintenant Fabrice tout en me masturbant, tandis que Romane reprend pied avec la réalité et retire également sa robe qui était de toutes les façons tellement remontée qu’elle ne dissimulait plus grand chose. Elle vient se placer derrière Maeva, lui extrait lentement son plug, qui effectivement bien plus renflé que celui qu’elle a porté auparavant, et le remplace par ses doigts enduits de gel. Elle exulte lorsque la main entière de Romane disparaît jusqu’au poignet dans son fondement.
— Ouuuuuuuuui ! Arrrrrrrggggghhhhhh ! C’est trop boooooooooon !— Ma belle, nos mâles sont bien durs et tu es bien ouverte. Messieurs, maintenant, vous allez suivre mes ordres. Fab, allonge-toi.
Evidemment, nous obtempérons sans rechigner, et je commence à avoir une idée quant au désir si particulier de Maeva, tout en ayant un doute sur sa concrétisation. Une fois Fabrice placé sur le dos, Maeva l’enjambe et Romane guide son sexe préalablement lubrifié vers la rondelle évasée de ma dulcinée. La pénétration se fait sans difficulté tant elle est dilatée, et la petite commence à aller et venir sur le bâton rigide.
— Yann, mets-toi derrière Maeva, et toi, ma chérie, penche toi plus vers Fab.
C’est bien ce que je pressentais, après avoir constaté à quel point la double pénétration de Romane avait troublé Maeva. Sauf qu’elle ne dispose que d’un seul orifice pour accueillir un duo d’appendices masculins. La blonde fait généreusement couler de la vaseline dans la raie de Maeva et m’en tartine le dard qu’elle dirige vers l’anus de mon aimée.
— Maeva, remonte un peu, tu vas juste garder le gland de Fab en toi. Tu es prête ?— Oh, oui, rétorque-t-elle dans un souffle !
Romane pose l’extrémité pansue de mon chibre sur la corolle plissée et me fait signe d’appuyer. Maeva pousse un râle au moment où ma poussée écartèle les chairs délicates. Elle se cambre, ce qui magnifie sa croupe, comme pour faciliter cette intromission. Deux glands turgescents ont dorénavant franchi son sphincter qui parait tendu à craquer.
— Ça va ? Tu n’as pas mal ?— Un peu... Mais c’est une sensation incroyable...— Baisse-toi pour t’enfoncer sur la bite de Fab, et toi Yann, rentre en douceur.
Progressivement, les deux pénis accolés s’enquillent dans le cul de Maeva qui feule à présent. Sentir un autre organe mâle le long du mien est assez déconcertant, mais ma chérie semble beaucoup apprécier cette expérience. Romane ne nous donne plus de directives, les choses se font naturellement, et nous tringlons en cadence le savoureux rectum, suscitant des cris allant crescendo de ma chérie.Il n’y a a plus de retenue dans nos percussions, tant Maeva apparaît heureuse de cet assaut peu conventionnel.
— Ouuuuuuuui ! Défoncez-moooooooi !
Nous accélérons le rythme, j’assène des coups puissants à Maeva, devenue une poupée désarticulée, secouée par deux hommes qui la possèdent totalement, et Fabrice mordille ses tétons, accentuant encore son contentement. Je ne suis plus loin de mon point de rupture, mais c’est mon camarade qui explose le premier.
— Maeeeva ! Tu es trop boooooooooonne !
Je perçois les soubresauts de la verge de Fabrice qui se vidange dans l’étroit manchon. Un balancement viril enfourne mon pieu profondément et à mon tour, je remplis les entrailles de Maeva de mon foutre, ma vision se brouille sous l’ampleur de mon extase.
— Je t’aiiiiiiiiiime !
Elle braille également sans se restreindre, atteignant le Nirvana, et alors que son sexe n’est que partiellement en érection, relâche plusieurs giclées de sperme qui atterrissent sur l’abdomen de Fabrice sur lequel elle se laisse choir, sonnée par cette jouissance dantesque.
Je ne saurais quantifier le temps nécessaire à notre récupération, mais les phallus si vaillants s’alanguissent et ressortent du gouffre aux contours boursouflés dont suinte une rigole de liquide opalin. Romane positionne son visage sous le fessier de Maeva de manière à se régaler de l’abondante liqueur blanchâtre.  Ainsi désaltérée, elle aide Maeva à se redresser, la prend dans ses bras et l’embrasse. C’est la petite qui parle la première.
— Merci. — Je n’ai rien fait, c’est à toi qu’en revient tout le mérite.— Tu m‘as aidée à franchir un cap, je n’aurais jamais osé. Et j’ai vraiment été submergée par quelque chose d’indéfinissable, comme si mon cul était un volcan !— Par contre, tu vas souffrir, avec ces deux sauvages. Viens, je vais te passer une pommade.
Soutenue par Romane, Maeva rentre dans la villa. Fabrice se relève avec difficulté et s’enfile une rasade d’alcool.
— La vache, comme elle est serrée ! J’ai explosé comme rarement ! Et j’avais sniffé des Poppers.— Je me demande quand même si c’était raisonnable. Déjà que j’avais des états d’âme à la sodomiser trop souvent, là, on aurait pu la déchirer.— Elle a pris un pied pas possible. Elle a même éjaculé, alors franchement, ça valait la peine. Elle est jeune, elle veut vivre, essayer de nouveaux trucs, bref connaitre ses limites.
Nos compagnes nous rejoignent, toujours en tenue d’Ève, Maeva est assez pâle, après que l’euphorie soit retombée.
— Les gars, il faut laisser se reposer ce superbe petit derrière, même si Maeva vous sollicite. Mais quand vos bistouquettes auront retrouvé un aspect plus présentable, je me ferai volontiers enculer pour nous deux !
Le reste du weekend prolongé n’en est pas moins festif et orgiaque, et hormis les restrictions relatives au postérieur de Maeva, nous explorons toutes les options offertes par notre quatuor débauché. Romane bénéficie de nouveau d’une double pénétration très tonique, et à sa demande, Maeva la prend également et de manière inédite expulse sa semence dans le ventre d’une femme. La blonde me gratifie d’une cravate de notaire si bien réalisée que j’asperge son visage de mon jus que Maeva s’empresse de laper.
A la fin de notre séjour, nous nous promettons de nous revoir pour revivre des moments intenses.
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