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Magaluf, des vacances inoubliables.

Chapitre 1

Hétéro
A Magaluf : l’hôtel Sahara, le BCM night-club ou la Punta Ballena sont incontournable. Quelque part, au milieu de ces trois points, des gens se perdaient et disparaissaient dans la nuit. Le « forto », un mot d’argot local pour qualifier les pulsions sexuelles démesurées, était omniprésent. Pas seulement des strip-clubs qui étaient disséminés un peu partout dans la ville, même si je me demandais l’intérêt de tel clubs dans une ville ou les gens se dénudent facilement et dansent gratuitement, mais plutôt des escapades sexuelles permanentes. Le flux constant d’alcool amenait les gens à baiser à peu près n’importe où: sur les marches des immeubles, dans les hamacs de la plage, sur le capot des bagnoles,… Magaluf était un lieu régi par les relations libres, où tout pouvait arriver, n’importe où, n’importe quand, et sous les yeux de n’importe qui.C’était vers cette atmosphère particulièrement festive que nous nous dirigions. Pour ce voyage, nous étions quatre étudiants en vacance d’été : Vanessa, ma meilleure amie et moi même, Diane, accompagné de nos petits copains respectifs, David et Jonathan. Et après avoir atterris à l’aéroport de Palma excités comme des puces, nous montions à bord d’un taxi, direction : Magaluf. Nous empruntions une autoroute aux paysages très verdoyants le long de la côte qui sentait bon la méditerranée, cet air du sud rappelant à Vanessa ses origines marocaines. Sur la route, nous contournions Palma de Majorque, passant à coté des villes de Gènova, Cas Català et Palmanova, pour enfin arrivé à notre destination.L’hôtel flamboyant Caribe. Chambre quadruple, vue sur mer, surplombant la plage de Magaluf, l’hôtel possédait une piscine extérieure et un accès direct à la plage. Le spa était pourvu d’un bain à remous, d’une petite piscine d’hydro massage et d’une douche aromatique. Des soins de beauté et des massages étaient également prodigués.Bien sympa tout cela mais ce n’était vraiment pas pour ce que l’hôtel proposait que nous étions la, mais bien pour faire la fête! 
J’ai tout de suite trouvé cette île géniale ! Je ressentais ce bon air du sud avec son soleil chaud et omniprésent qui sentait bon la joie de vivre, avec ses fêtards, principalement des étudiants, qui n’étaient la uniquement que pour s’enivrer, faire la fête et glander au soleil.Une fois installés et après une rapide collation, nous décidions enfin d’explorer les secrets de Magaluf. Habillée d’un bikini vert émeraude et munie d’un paréo de même couleur, direction la plage pour une promenade, l’une des plus belle et plus grande du sud de Palma. Bien équipée, elle s’étend sur plus d’un kilomètre avec une agréable promenade piétonne. Il y avait du monde, ainsi qu’une belle forêt de parasols plantés dans le sable fin chauffé au soleil agrémenté d’une eau d’un bleu magnifique. Bref, le bonheur des rayonnantes vacances.Et en effet, la plage regorgeait de femmes topless voulant parfaire leurs bronzages, ou tout simplement pour le simple plaisir pervers d’être observées. L’une d’elle, une belle anglaise, se laissa d’ailleurs approcher par nos mecs visiblement déjà en chaleur et après avoir bien sympathisé, elle se laissa convaincre à un shooting photo coquin dans l’eau claire de l’océan. Tel un top modèle, cette femme peu farouche se laissait prendre en photos les seins nus avec nos petits amis dans des poses lascives. Des gens passaient, jetaient un œil devant ce petit manège sensuel mais finalement assez banale à Magaluf. Je ne suis pas une fille excessivement jalouse mais à les voir s’exhiber et s’amuser avec cette british, j’en devenais irritée. Oh ! Les gars ! Nous sommes là vous savez ?!Franchement, comme si la seule chose que voulaient nos mecs était de voir des seins. Je me sentais délaissée comme une pimbêche. Mais quelques instants plus tard, ce manque d’attention fut d’une certaine manière comblé. Car pendant que Vanessa prenait les photos, plusieurs hommes passant près de moi ne purent s’empêcher de me regarder. Il faut dire que le bikini que je portais fut choisi très spécialement pour me mettre en valeur et sentir le regard des hommes m’admirer du coin de l’œil me faisait plaisir.
L’un de ces touristes à l’œil avisé, ou plutôt un colporteur, remarqua notre petit manège et m’aborda. Il nous invita à une fête se déroulant non loin sur la plage, notre "prestance" à Vanessa et moi, ainsi que celle de l’anglaise, ayant été remarqué par l’inviteur. Deux minutes de marche et nous y arrivions. La fête battait son plein dans un espace clos sur la plage avec des airs de festival techno et l’ambiance était plus que chaude .Visiblement, montrer ses seins était très à la mode dans une série de concours topless. D’ailleurs, mon mec eu droit à un beau spectacle. Celui d’une fine donzelle, le top de son maillot remonté au dessus de ses petits seins bronzés, dansant devant lui au rythme de la musique. La petite se déhanchait comme le ferait une strip-teaseuse pro, ses fesses massant agréablement la bite de mon mec heureusement toujours dans son short. Une vraie chaudasse alors que ce tombeur l’observait confortablement installé sur un banc. Son corps mince avait un petit quelque chose d’attirant et avait des petit seins bien mignons que Jonathan aurait bien aimé toucher. Mais sachant que je le surveillais du regard, il n’osa pourtant pas porter les mains sur elle… Enfin presque. Mon amie Vanessa m’avouant qu’il l’avait pelotée à pleines mains dès que j’avais eu le dos tourné…
Mais soit, c’était les vacances après tout. Et c’était vraiment un endroit où des femmes en folie simulaient des actes sexuels aux déhanchements divins et se laissait peloter leurs seins nus, parfois arrosés de crème chantilly ou d’alcool.  D’autres, quant à elles, ne simulaient carrément plus, et cela sans ce soucier de la foule criant à tue-tête. Prise dans l’ambiance où l’alcool coulait à flots, elles finissaient par se faire prendre littéralement à même le sol par leur partenaire du moment. A peine une d’elles écarta son petit bout de tissu qui lui servait de bikini que son partenaire à la bite bien tendue s’enfonça en elle. Et sous nos yeux ébahis, il y allait rude le primitif éméché, s’activant dans un missionnaire à même le sol aux pieds des gens criant et les encourageant. L’étudiante que j’étais, observais ce spectacle avec une certaine exaltation et criais comme les autres. Ils ne se connaissaient peut être même pas et pourtant, ils s’envoyaient en l’air comme des animaux en chaleur.
Baise en directe messieurs dame. Oléé.De mon coté, commençant à être bien éméchée et prenant finalement plaisir à l’ambiance après ce spectacle inattendu, je me suis laissée convaincre par Vanessa d’adhérer à la mode locale. Encouragées par nos mecs, nous ôtions toutes les deux le haut de nos bikini après une timide hésitation. Mon amie, le sourire à ses lèvres charnue et rigolant d’anxiété, était pourtant plus à l’aise que moi. Cette belle marocaine avait de beaux petits seins fermes et bronzés qui donnaient du plus bel effet. Les miens, le galbe plus lourd, tout au naturel, étaient légèrement plus volumineux et retombants, mais attiraient plus facilement les regards qui ne se firent pas discrets le moins du monde, certains même prenant photos et vidéos pour leur album souvenir.
Mais soit. Aidée par l’alcool, je m’étais détendue. J’avais enfin fais tombé le haut de mon bikini et enroulé le top à mon poignet. Tout en dansant, je m’exhibais les seins nus au grand plaisir des hommes autour de moi ainsi que de mon petit copain, qui, lui, admirait surtout ceux de Vanessa. Une bière en main, l’autre sur les fesses de mon amie, ces deux la semblaient s’amuser dans une petite danse sensuelle. Le truc de l’herbe plus verte ailleurs je suppose hein ? Bah ! J’avais mes arguments, j’en oubliais même leur légère pâleur puisqu’ils n’étaient pas encore totalement bronzés, et lors d’une danse endiablée où ils rebondissaient en rythme, j’en oubliais presque que les mains qui se posèrent sur mes hanches étaient celle d’un parfait inconnu. Un homme torse nu venait de se coller à mon dos, rythmant son corps au mien. Nous dansions tous dans une ambiance des plus chaudes et prise dans l’euphorie je ne m’en souciais pas tout de suite. Je laissais faire, profitais du contact impudique de nos corps alors que je ne connaissais même pas le visage de cet opportuniste. Beau ? Moche ? Peu m’importait pour être franche…
Évidemment, les mains de l’inconnu se baladèrent sur mon corps pratiquement nu ondulant au rythme de la musique. Je sentis ses doigts remonter lentement vers ma poitrine… Il empoigna mes seins, les malaxa à pleine mains tout en collant entre  mes fesses son sexe à demi mou coincé dans son short. Il pétrissait mes seins, jouait avec sans aucune gène et usa du moindre bout de peau de ses mains fermes pour me palper les mamelons. Ses doigts m’excitaient et sous l’impétuosité de ces caresses, mes tétons durcirent. Il le comprit, les titilla. Et alors que son souffle sur mon coup me fit frémir de plaisir, ses attouchements aussi vulgaires qu’exaltants me transportèrent d’euphorie.Pourtant, avec délicatesse, je me suis écartée de ces mains viriles et étrangères. Moi qui pestais sur mon petit copain bien trop audacieux, j’étais là à faire de même dans la débauche. Je n’étais pourtant pas la dernière niveau sexe mais faire des cochonneries avec des inconnus était un peu trop pour moi. 
Rougissante de m’être laisser ainsi emporter, je jetai un regard du coin de l’œil à cet opportun tout en m’éloignant vers mon copain. Mais son visage resta un mystère car il se fit discret en se perdant dans la foule.Ensuite, la fête se déroula sans accrocs malgré d’autres mains baladeuses et après le concours de plongeons topless dans l’océan, où j’ai figuré en bonne place, nous partîmes en quête d’un club où passer une nuit de folie à boire et à danser. Pouvant acheter de l’alcool absolument partout, il n’était absolument pas nécessaire de se rendre dans un bar pour se bourrer la gueule. Même le plus minable des magasins de souvenirs proposait de nombreuses boissons, entre deux serviettes de plages et trois tabliers surmontés de fausses paires de seins. De manière générale, l’alcool n’était vraiment pas cher, au grand plaisir des jeunes vacanciers. Et la nuit tomba, doucement. Sur notre route nous rencontrâmes un autre colporteur qui vantait les mérites du club qu’il représentait. Il ne fallut pas longtemps pour nous convaincre et nous nous sommes donc dirigés vers l’établissement en question. Ambiance de dingue. La fête se déroulait moitié à l’intérieur du bâtiment, moitié à l’extérieur et plus encore sur la rue. Néons et lasers de toutes les couleurs se reflétant dans une décoration de verre, fumigènes à gogo, un monde fou, une musique d’enfer, des beautés un minimum habillées mais dont les tenues appelaient à la baise… Tout le cocktail pour s’éclater. Nous buvions plus que de raison, nous étions définitivement dans l’ambiance de cette nuit exaltante…Dans la foule, nous nous déhanchions très près les uns des autres, nous laissant guider au rythme de la musique. 
Soudain, j’aperçus un homme. Un air de bad-boy, cheveux noirs courts et bouclés, barbe naissante mais bien taillée. Il me fixait, j’avais l’impression de le reconnaître, l’impression que c’était lui qui m’avait peloté sur la plage. J’en fus rougissante rien qu’à ce souvenir, mais je n’en étais pas sûre, beaucoup d’hommes lui ressemblant traînaient dans cette ville. Il se rapprocha. Nos regards se croisèrent furtivement. Je ne pouvais plus dire si c’était lui qui m’avait caressé le corps, je ne savais plus, mais il ne me laissa pas indifférente, ne voyant pratiquement plus que lui dans la foule anonyme.Alors qu’il m’obsédait, une clameur juste à coté de nous attira mon attention. Stupéfaite, je vis des hommes sortir leurs queues et la présenter face à une femme. Elle s’abaissa, commença à pomper chacun d’eux. Oh oh. Cette traînée suçait des bites à demi-molles, juste pour se faire payer des verres. Elle était déchaînée et exhortait les mecs à sortir leurs bites. Des petites, des grosses, épaisses ou minces, tout y passait et peu importait à qui elles appartenaient. Elle se précipitait de queue en queue, acceptant de sucer tout homme qui se présentait à elle. Et évidemment, Elle ne manqua vraiment pas de candidat. Au début je m’en amusais, riais comme les autres à la voir se prostituer pour quelques verres. Mais quel ne fut pas ma surprise quand je vis mon petit copain à son tour baisser sa braguette… Ni une ni deux, il sortit son sexe encore mou sous mes yeux ébahis et l’autre salope se précipita de l’engloutir. J’en restai bouche bée tandis que je le voyais profiter de la langue de cette pétasse, mais les pauvres quelques secondes qu’elle passa à le sucer le frustrèrent plus qu’autre chose. Elle passait de bite en bite sans vraiment pratiquer une fellation décente, juste quelques coups de tête afin de valider le décompte. Mais à la fin, elle reçut sa récompense : boissons à volonté pour le reste de ses vacances.La frustration se lisait sur le visage de Jonathan et malgré ce début de trahison avorté, je m’étonnais moi même de ne pas être plus jalouse que ça, cherchant même à le réconforter dans un baiser langoureux et lui promettant de véritables gâteries à notre retour à l’hôtel. C’était la fête après tout, dans une ambiance de dingue sur une île de rêve et complètement arrosée d’alcool.La soirée continua dans un rythme de fou. Vanessa et moi, nous nous étions soudain mises à danser sur une estrade surélevée ; nous déhanchant comme des diablesses en chaleur à la vue de tous et jouant les pin-up de service pour le seul plaisir de yeux de ces messieurs dames. Une véritable transe dans la fumée et les lasers, entre nos corps et la musique que le DJ sublimait. Je voyais des hommes crier, siffler dans ma direction ! J’aimais ces regards sur mon corps en sueur rythmé par la musique, ces regards sur mes cuisses luisantes, mes fesses rebondies ou sur les pointes de mes seins qui se devinaient à travers le haut de mon bikini. C’est vrai, j’aimais être regardée telle une célébrité. Ça me plaisait !En sueur et ayant besoin d’une pause, je convainquis Vanessa de nous rafraîchir au bar. Pendant qu’elle commandait les cocktails, j’ai discrètement cherché du regard mon insistant inconnu que je ne pouvais pas me sortir de la tête. Je ne le trouvai pas. Mon amie revint avec deux grands verres aux couleurs vives, décorés d’un fruit orange et d’une paille. Une boisson visiblement bien élaborée.
— C’est cher ? Demandais-je soucieuse de notre budget.— C’est offert, me répondit-elle tout sourire.— Par la boite ?— Par ces messieurs !
Elle fit un geste de la tête et je vis l’homme de tout à l’heure. Il me fixait d’un regard intense, comme pour me faire comprendre le message. C’était clair. Je lui avais tapée dans l’œil et il m’avait à présent dans sa ligne de mire.
— Un admirateur ? Me demanda Vanessa qui comprit tout aussi bien.— Et pourquoi pas ?— Tu compte t’amuser avec ? Tu vas rendre ton Jonathan fou de jalousie.— Il ne s’est pas gêné pour caresser des nanas ou pour se faire sucer, lui !— En plus il n’a pas arrêté de reluquer mes seins tout à l’heure !— Si monsieur s’amuse alors moi aussi.— Alors ça ne te dérange pas si je couche avec ton mec ? Me dit-elle en rigolant. Ce soir, je suis chaude à l’idée de lui écarter mes cuisses.— Ah ha. Très drôle…
Je n’arrivais pas à discerner si elle était sérieuse ou non, mais après avoir siroté le succulent cocktail plutôt fort, nous reprenions le chemin de la piste de danse. Provocante et imbibée d’alcool, j’ai lancé d’un regard une invitation à ce charmant inconnu que je comptais bien mener par le bout du nez.Nous n’avions pas la moindre idée d’où se trouvaient Jonathan et David quand j’aperçus enfin mon mec. Il dansait, au plus proche de la suceuse de tout à l’heure et ses intentions envers la pétasse me semblaient claires. Alors quoi ? Il en était frustré au point de chauffer cette fille facile ? Je n’étais même pas jalouse en plus, m’imaginant même très bien les voir baiser entre eux. Je devais être bien bourrée pour avoir ce genre de pensées. Mais que m’importait, Vanessa et moi dansions au milieu de la foule à ne plus nous soucier de rien. Soudain, un homme arriva derrière moi et, sûr de lui, posa ses mains sur mes hanches. Je fus surprise car je ne m’attendais pas à une si soudaine invitation à danser formulée en langage corporel. Mais plus qu’éméchée, je répondis favorablement à l’invitation en me déhanchant avec lui. Je laissais faire une fois encore, me laissant envoûtée par cet homme peu subtil mais d’une virilité qui me plaisait bien. Était-ce lui ou un homme parmi tant d’autre ? En tout cas, il s’y prit de la même manière. M’aurait il suivit ? C’était assez peu probable…Alors que nous dansions en tempo sans que je ne puisse voir son visage, ses avances agressives reprirent. A nouveau des doigts parcoururent mon corps en effervescence et ses mains, moins timides, remontèrent très vite vers ma poitrine protégée par le seul haut de mon bikini émeraude. Ses doigts, qui me firent frissonner de plaisir, n’eurent aucun mal à se glisser sous le tissu et une nouvelle fois, des mains fermes empoignèrent mes seins et les pressèrent avec allégresse.
Visiblement, j’avais du succès ce soir, enfin surtout ma poitrine. Saoule, prise d’une soudaine bouffée de chaleur, je me suis mise à gémir sous ses caresses intenses. Ce fringant inconnu malaxait sans retenue mes mamelons devenus bien durcis par l’excitation du contact et cela mettait mon corps en ébullition. Il me faisait de l’effet et je sentis mon entrejambe devenir moite tandis que ses mains, déformant le tissu de mon bikini, me titillaient les tétons à la vue de tous. Je m’en moquai, oubliai les gens autour de nous sifflants et criants. J’étais dans un autre monde parmi les fumigènes et les néons et abasourdie par la musique. Mon corps répondit positivement à ces attouchements. En jetant un œil autour de moi, je me rendais compte que d’autres femmes affichaient elles aussi leurs seins et que je n’étais pas la seule à me faire peloter.Et quand il poussa sur mes fesses, je ne pouvais que sentir l’érection de mon cavalier. La bête était largement excitée, coincée dans l’étroit pantalon de son possesseur. Sans y réfléchir et poussée par l’intrigue, j’y posai une main. Mes doigts sentirent la masse de chair gonflée sous le tissu et lentement, j’usai de douces mais provocantes caresses au travers du pantalon. Comprendre que je touchais là le sexe d’un inconnu me rendit toute chose. Des attouchements qui devinrent, je l’avoue de plus en plus prononcés, à la limite de la masturbation indirecte. Il apprécia clairement l’attention et me sentait des plus réceptives. Alors il abandonna ma poitrine et déboutonna son pantalon…Avec l’une de ses mains, il guida la mienne sur la bête ainsi libérée. Je la touchai du bout des doigts, ressentis la peau de cette hampe dressée sans vraiment me rendre conte de ce que je faisais. A présent, j’avais entre mes doigts son sexe tendu, dur et dressé comme un I. Ressentir son chibre serré entre mes doigts m’électrisa et le sentir palpiter me rendit folle. Instinctivement, je me suis activée à de rapides mouvements de poignet. Que pouvais-je faire d’autre ? C’était devenu une masturbation en règle avec la ferme intention éhontée de le faire venir. Je l’entendis grogner. Il semblait bien apprécier ce petit plaisir que je lui offrais. 
Je me suis retournée. Face à face, je voyais enfin mon fougueux cavalier. C’était bien le bad-boys de tout à l’heure, je n’ai même pas jeté un œil à la bite que je branlais toujours de toute sa longueur. M’empoignant délicatement par le cou, il m’embrassa et nos lèvres se joignirent à plusieurs reprises dans de tendre baisers, il m’embrassa sur le cou, m’enivra de plaisir pendant que ma main continuait à lentement branler sa queue.Je commençai à mouiller sévère, mon corps débordait d’exaltation et mon cerveau était imbibé d’alcool. Inconsciemment, je me suis mise à m’accroupir, explorant en coulissant le long de son corps son torse puis ses abdos avec mes doigts et mes lèvres. Monsieur était visiblement un adepte de la musculation, ce qui me plaisait d’autant plus. Et à force de descendre, il ne me fallut pas longtemps pour toucher du bout de mes lèvres le gland violacé de son sexe, y déposer de doux baisers et le lécher du bout de ma langue. Et il me fallut encore moins de temps pour y engloutir lentement ce sexe au goût si prononcé entre mes lèvres accueillante.Mes lèvres coulissèrent sur sa hampe et je sentis cette masse de chair glisser sur ma langue. Je me suis mise à le sucer, lentement, me délectant de ce bel engin propre et bien rasé. Accroupie au milieu d’une foule de danseurs alcoolisés hurlant d’ovations, abasourdie par la musique rythmée de techno, je suçais ce bad-boy avec la passion d’une fille amoureuse telle une soumise ignorant le monde qui l’entourait. J’accélérai la cadence. D’une main, je masturbais ce sexe à sa base tandis que mes joues se creusaient à force de pomper ce chibre tendu. Les va-et-vient devinrent plus rapides alors qu’il posait ses mains sur ma tête qui ne cessait de se mouvoir sur sa hampe. Il m’agrippa les cheveux, accompagna les mouvements de la fellation de ses mains fermes et me pressait même à augmenter le rythme. Ce que je fis…Mais je fus surprise quand ses mains me bloquèrent bien contre son corps cambré. Il se déchargea soudain, au fond de ma gorge. Je sentis un jet de sperme chaud, suivi d’un deuxième puis d’un troisième. Il se vida dans ma bouche dans un râle sourd. Son foutre se rependit sur ma langue tandis qu’il maintenait fermement ma tête afin de m’empêcher de reculer. Ainsi prise, il ne me restait plus qu’à avaler. Ce que je fis. De toute façon, répandre du foutre sur le sol n’était certainement pas très propre…Je me suis relevée en m’essuyant les lèvres du dos de la main et après avoir dégluti la dernière goutte de son foutre, je fus enfin consciente que je venais de sucer et d’avaler le sperme d’un inconnu sous les regards pervers de beaucoup d’autres. Gênée, j’ai regardé autour de moi à la recherche de mes amis, espérant en fait que personne, en particulier Jonathan, n’avait rien vu de la scène. Mais je vis hélas Vanessa, un clin d’œil accompagné d’un pouce levé approuvant ce que je venais de faire. Merde, elle avait tout vu. Heureusement, elle n’était pas du genre à cafter. 
Elle m’apporta un verre pour « me rafraîchir la gorge », comme elle disait. Buvant ma boisson, j’avais soudain l’impression que tout le monde était au courant de ma perversité, mais je n’en fus pas perturbée pour autant, je m’en moquais même. Une fille qui suce un mec en plein milieu d’une foule, c’est presque banal à Magaluf.
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