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Magaluf, des vacances inoubliables.

Chapitre 2

Orgie / Partouze
La fiesta battait son plein dans une ambiance brûlante et entre deux cocktails, nous dansions sans nous soucier de rien. Mais à ma grande surprise, vint un moment où je m’aperçus, un peu conne, que la femme avec qui je dansais en face de moi n’était pas ma meilleure amie, mais une parfaite inconnue. Magie magie, Jonathan et David avaient disparu Dieu sait où et Vanessa m’avait quittée pour je ne sais quoi. Depuis combien de temps ? Aucune idée. Tout s’embrumait dans ma tête, mais je devais avouer ne plus pouvoir très bien discerner les gens dans l’état où j’étais. Mais peu m’importait, il y avait bien assez de monde pour se faire de nouveaux amis, même s’ils ne parlaient pas la même langue.
Et d’ailleurs, mon nouvel ami à la bite appétissante profita de ce moment pour m’entraîner à l’écart. Je pensai qu’il m’emmenait au bar boire un coup et genre pour apprendre à nous connaître. Alors je le suivis. Mais j’avais une impression étrange, l’impression que ce n’était pas le même homme dont le goût de sperme restait encore tenace sur mes papilles gustatives, que le corps que je touchais n’était plus le même. Etait-ce vraiment lui ? Je ne savais plus...
Et très vite, l’homme m’emmena dehors bras dessus, bras dessous à l’écart de la fête alors que j’étais dans l’incapacité de m’orienter. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était, mais il faisait encore nuit, sans doute, largement après minuit, et seuls les lampadaires et les enseignes lumineuses nous éclairaient. Dehors, alors que la musique sourde de la boîte de nuit s’éloignait de plus en plus, beaucoup de fêtards éméchés continuaient la fête. Des Allemands, Anglais, Espagnols... certains titubaient à ne pas savoir où aller, des groupes chantaient joyeusement à tue-tête et d’autres se pelotaient sans gêne.
Mais nous continuions à marcher ensemble vers Dieu sait où. En tendant l’oreille, je discernai entre la musique et les hurlements le bruit de la mer, celui des vagues, et après avoir passé un mur, je reconnus le sable fin, si agréable sous mes pieds. C’était bien la plage ! Elle qui était si bondée le jour, était déserte la nuit. Un calme qui fit un bien fou à mes oreilles...
Nous arrivions dans un recoin discret de la plage, à peine éclairé. A côté d’un cabanon, plus calme, plus discret, avec un banc contre le mur et des piles de chaises entreposées là pour la nuit, un endroit pas très propre où les verres vides et les vidanges de bouteilles se multipliaient au fur et à mesure que la nuit se déroulait.
Il m’invita à m’asseoir avec lui sur ce banc de plage et sans attendre, colla ses lèvres aux miennes. Nous étions partis dans une franche embrassade langoureuse où le son de nos baisers se mêlait au bruit des vagues. L’échange enivrant dura un moment pendant lequel une fois encore je me fis peloter les seins.
Puis il se leva. Je voulus faire de même, mais ses mains m’obligèrent à rester assise. Il se posta debout devant moi pendant que je me demandais ce qu’il cherchait à faire. Je fus alors aux premières loges pour le voir très calmement déboucler sa ceinture, défaire un à un les boutons de son pantalon et le baisser au niveau des chevilles.
Son sexe bondit hors de son boxer, bandant fièrement devant mes yeux. Je me suis mise à rire en le voyant et curieusement, je ressentis une légère gêne à le voir palpiter ainsi à deux doigts de mon visage. Je le trouvais pourtant beau. Il était gonflé au maximum, épais, les veines saillantes et une odeur puissante s’en dégageait. J’étais littéralement hypnotisée par la vue appétissante de ce chibre.
Après une énième embrassade, l’homme prit les commandes. Tenant ma tête entre ses mains, il guida son membre vers mes lèvres. Sous mon nez, l’odeur devint plus forte, mais à force de presser, mes lèvres s’écartèrent et laissèrent coulisser sa queue. Je l’ai mise en bouche et après avoir engouffré le gland, j’ai englouti le reste de son sexe. Je me suis mise à le sucer lentement. Ma langue s’activait autour de son sexe dans le glapissement de ma salive, il grogna, lâcha quelques mots en espagnol, sans doute satisfait de ma prestation.
Mais très vite, il interrompit sa gâterie et m’invita à me lever en m’aidant de ses deux mains. Il me retourna tout en me cerclant la taille de ses bras, colla sa bite humidifiée par ma salive sur mes fesses, et commença un petit pas de danse. Jouant le jeu, je me suis légèrement baissée en avant pour m’appuyer contre le dossier du banc et, provocante, je me suis mise à me trémousser, mes fesses contre sa bite, au rythme de la musique battant au loin, fesses qu’il prenait d’ailleurs plaisir à caresser.
Puis je sentis la pression de ses doigts tentant de baisser mon paréo que je retins machinalement d’une main. Il échoua à me l’enlever. Alors, me sentant réticente, il me cambra le buste, me fit tourner la tête et colla une fois encore ses lèvres aux miennes tout en me caressant les seins. Voyant que je n’étais pas encore tout à fait réceptive, il chercha donc à m’amadouer par de nouvelles embrassades enivrantes.
Et sa technique fit effet. Ma tête tournait, embrumée par l’alcool ; mais je fus extasiée par les échanges langoureux de nos langues. Il me fit accepter petit à petit la fatalité et cette fois-ci, n’eut aucun mal à m’enlever paréo et bas de bikini. Je me suis donc retrouvée cul nu, à genoux sur un banc, et penchée en avant. La vue de mes lèvres vaginales suintantes de plaisir était totale, la fine fente de mon intimité luisante est à présent sans défense. Et bien sûr, après m’avoir fait frémir en parcourant mon sexe de son index, il n’attendit pas une seconde de plus lorsque ses mains m’agrippèrent fermement par les hanches.
Sa bite s’enfonça rapidement en moi. Je la sentis assez épaisse, mais j’étais tellement mouillée qu’il me pénétra sans problème. Et lorsqu’il arriva au plus profond de mon vagin, lorsque son pubis toucha mes fesses et que je fus pleine, le rodéo commença.

Il me donna directement de puissants coups de queue et ne se faisait pas prier pour y aller bestialement. Sa bite sortait presque entièrement pour s’engouffrer avec force un quart de seconde plus tard. Il se déchaîna sans réserve sur mes fesses bondissantes, donna de secs et rapides coups de reins dont le claquement de chair puissant se mêlait au son des vagues et de la musique lointaine. Mes mains étaient crispées sur le dossier du banc tant j’étais emportée par la pression de ses coups de boutoir qu’il m’infligeait et me faisait crier. J’étais pénétrée, possédée par une véritable brute au point d’avoir l’impression de me faire prendre par un taureau espagnol en rut.
C’en était trop pour mon corps éméché. Je ne savais plus comment me tenir, me retrouvant acculée, les bras et les mains plaqués contre le mur que je voyais au plus près. Mais aussi, j’étais euphorique. Exaltée en sentant cette grosse queue me satisfaire, me défoncer par des va-et-vient à un rythme d’enfer. Puis il m’agrippa les cheveux, les tint comme une queue-de-cheval dans son poing et me cambra en me tirant en arrière tout en me tenant la gorge de son autre main.
Ce changement brutal de position m’arracha de puissants cris de douleurs et de détresse mélangés à la joie et aux plaisirs charnels intenses. C’était difficilement descriptible tant je me sentais comblée par son membre viril me défonçant la chatte à une vitesse folle. Je me tordis, cambrée au maximum, prise par cet homme si brutal. Mon Dieu, quel pied ! Et tout cela au milieu de verres d’alcools et de déchets et peut-être même à la vue de passants. Cela m’excitait ! J’aimais cela ! Et d’ailleurs, c’est ce qui me fit venir très vite...
Ce jour-là, l’orgasme que cet homme me donna fut l’un des plus intenses de ma vie et nul passant anonyme, en entendant mes gémissements assourdissants, ne pouvait plus ignorer ce qui se tramait dans ce recoin sombre de la plage.
Mais, lui continua sans ralentir ses assauts ; et bien entendu, avec ce rythme effréné, il ne lui fallut pas longtemps pour jouir à son tour. Tapant un dernier puissant coup de queue dans mon ventre, pressant mes hanches sur sa hampe, il éjacula au fond de moi sans une once d’hésitation...
Ouf ! Le rythme baissa, s’arrêta. Alors que nos corps perlaient de sueur, nous cherchions à retrouver notre souffle difficile. Il se recula, lentement. Centimètre par centimètre, je sentais cette masse de chair lubrifiée par le sperme et la cyprine sortir de mon vagin endolori par ce coït brutal. Et une fois totalement extirpé, le sperme chaud suinta de ma fente et coula entre mes cuisses tremblantes de fatigue. A présent, c’était enfin terminé et j’avais enfin un peu de répit...
J’eus soudain un sursaut. A peine mon amant d’un soir m’avait quitté que je sentis soudain une autre paire de mains s’agripper à mes hanches. Une masse frotta ma vulve et en une seconde, je ressentis le contact du gland gonflé d’une nouvelle bite bien dure se présenter à mes lèvres vaginales totalement lubrifiées. Je ne vis rien venir, tout ce que je voyais était le mur en face de moi. Etait-il là depuis le début ? Etait-ce mes cris qui l’attirèrent ? C’était trop tard pour se poser des questions, car cet opportuniste me fourra précipitamment et sans ménagement. J’étais à nouveau possédée par un autre homme dont je n’avais même aucune idée ce à quoi il pouvait bien ressembler. Mise à part que je sentais clairement la masse de son ventre sur mes fesses...
Je n’étais guère plus qu’une autoroute béante dont l’engin s’enfonça en moi encore plus facilement que le premier. Et comme son prédécesseur, cet homme au ventre bedonnant s’acharna rapidement à me donner de puissants coups de queue dont le claquement de chair résonna une fois encore. Il accéléra ses va-et-vient en me tenant fermement les hanches, me donna de grands coups de queue. Mon nouvel amant me bourrait sans grande civilité comme une pute bas de gamme.
Puis, il m’attrapa les poignets et me tira les mains dans le dos. Mon corps en angle droit, il me posséda telle une esclave à sa merci. Ma poitrine, toujours habillée de mon haut de bikini, ne cessait de ballotter en cadence et je criais malgré tout mon plaisir, encore, complètement abrutie par l’alcool et enivrée par le plaisir charnel. Pendant notre coït, l’inconnu baragouina quelques mots d’espagnol dont le seul que je compris était « puta » qu’il répétât souvent. Oui, j’étais sa puta, et gratuite en plus ! A ce moment, je ne sais pas pourquoi, je me suis mise à rire. Un bien étrange petit rire de plaisir.
Il me besogna ainsi pendant un moment et comme pour celui d’avant, éjacula en moi sans vergogne. J’avais à présent les semences chaudes de deux hommes différents dans mon ventre...
Enfin terminé ? Eh non. A ma grande surprise, j’aperçus un troisième homme se présenter portant un t-shirt blanc, mais sans pantalon, et au point où j’en étais, je ne vis aucun inconvénient à ce qu’il se joigne à la fête. Je me souviens bien de lui, car sa bite luisait sous la faible lumière du lampadaire. Je compris alors qu’il avait pris la précaution d’enfiler un préservatif, sans doute le fait de passer après deux hommes ayant juté en moi le répugnait un peu. Bien qu’à le voir gigoter sur place, il était tout aussi impatient...
A ma grande surprise, cet homme fut plus doux que les deux autres, limite timide. C’était, me semble-t-il, un jeunot, un poil plus petit que moi. Avec douceur, il me fit m’allonger de dos à même le sable et, impatient, il écarta mes cuisses et passa un peu maladroitement au-dessus de moi. Il chercha une bonne position, un bon appui dans le sable ; et ainsi, tous deux étendus, ce gentleman enfonça sa bite et me prit en missionnaire.
Il grognait, cherchait son souffle pendant notre union, alors que je gémissais de plaisir. Il agrippa l’un de mes seins, ses doigts se resserrèrent avec fermeté autour du galbe et profitaient de mon corps. J’eus encore un petit rire, l’un de ceux de salopes satisfaites, qui provoqua mon jeune amant à redoubler d’ardeur. Et malgré la fatigue, j’écartai grand les cuisses pour laisser tout le loisir à ce mignon petit homme de me besogner.
Il s’affala complètement sur moi, le mouvement de ses fesses était la seule partie de son corps à bouger dans une langoureuse lenteur. Pour être honnête, je ne sentais plus grand-chose à cause de mes précédents traitements, mais je voulais être gentille avec lui. J’ai passé mes bras autour de son cou et je l’ai embrassé fougueusement pendant que sa bite continuait ses va-et-vient dans ma chatte.
Puis vint un homme, encore un autre. Mais d’où diable sortaient-ils ? Aucune idée. Mais il s’agenouilla dans le sable juste à côté de ma tête, tout en branlant énergiquement sa queue. Il me souleva la tête à l’aide de sa main et de l’autre guida son sexe à mes lèvres. Une fois n’est pas coutume, je sortis la langue et laissai cette bite s’engouffrer dans ma bouche. Par contre, il éjacula très rapidement alors que mon jeune amant, lui, me sautait toujours. Ses jets de sperme s’échouèrent sur mon visage et il pressa ensuite sa bite afin d’en extraire la moindre goutte de jute juste avant de la tapoter vulgairement sur mon visage. J’entendis des rires. Sans doute la vue était-elle plaisante.
Bon. Ensuite, je ne me rappelle plus vraiment ce qu’il s’est passé, ne me souvenant même pas à quel moment l’homme au t-shirt blanc éjacula. Complètement vaseuse, je me souviens juste m’être réveillée le lendemain dans notre chambre d’hôtel avec une gueule de bois MAGISTRALE et l’entrejambe ATROCEMENT en feu. Pendant que je cherchais de quoi soulager ma chatte complètement souillée, je rassemblais mes souvenirs de la soirée. Et plus je rassemblais le puzzle, plus je fus choquée par ce que j’avais fait.
Franchement, de quoi avais-je l’air ? J’avais bu, pire qu’une alcoolique, j’avais sucé des bites en veux tu en voilà, et me suis laissée baiser comme une pute gratuite. Et tout cela avec le plus grand plaisir en plus. Combien d’hommes m’avaient passé dessus dans la pénombre de cette plage ? Car pour être honnête, je crois même qu’un quatrièmement profita de l’occasion et me sauta à son tour. Mais mise KO par l’alcool, je ne savais plus très bien ce qu’il s’était passé après le troisième. En fait, c’est à ce moment que mes souvenirs commencèrent sérieusement à me faire défaut.
J’étais un poil honteuse. Mais, quelle nuit de dingue ce fut ! J’en étais complètement retournée. C’était la seule et unique fois que je me fis sauter en gangbang par une bande d’inconnus. J’aurais pu très mal finir en fait. Mais heureusement, de ce que David me raconta, c’est lui qui me retrouva sur la plage en « bonne compagnie » et me ramena à l’hôtel pendant que Vanessa, elle, s’occupait à ramener mon Jonathan, tout aussi beurré que moi. Pour ce dernier, j’espérais vraiment que l’alcool lui avait fait perdre la mémoire.
Quand je me suis levée, tard dans l’après-midi, Vanessa, ma chère amie, rigola de bon cœur quand elle me vit marcher en arquant des jambes... J’avais eu droit à mon « Forto », comme ils appellent cela, modèle géant et cela dès la première nuit de nos vacances... un souvenir pour le moins inoubliable.
Fin
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