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Au magasin de Bricolage

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
J’ai besoin de produit pour l’entretien de mon jacuzzi et d’ampoules électriques et comme j’ai bien envie de refaire ma salle de bain, je vais en profiter pour aller faire un tour chez Monsieur Bricolage. Une belle matinée d’automne, ensoleillée, parfaite pour une tenue légère. Eh oui cher lecteur, tu commences à me connaître et à te douter de mes intentions. Et pour ne pas te décevoir J’ai passé ma petite robe blanche légèrement transparente au décolleté profond jusqu’à la taille. Très courte, fermée devant par une simple martingale. Le bas évasé vole au vent facilement. Bref, super pour une petite exhibition improvisée. Il n’y a pas beaucoup de voitures sur le parking et je me gare juste à côté du parc à caddies. J’introduis mon jeton, j’essaie de tirer, ça ne vient pas. Je me penche en avant abaissant le buste pour essayer de le séparer du précédent, les fesses cambrées à souhait…la manœuvre n’a pas échappée à un grand sexagénaire, derrière moi, qui vient à mon secours, me proposer son aide accompagnée d’un grand sourire. Je n’avais pas suffisamment enfoncé mon jeton…tant mieux pour le monsieur qui a pu profiter un instant de mes jolies fesses !...    Maintenant dans le rayon des ampoules électriques, je suis pommée : le rayon fait deux mètres de haut sur au moins douze de long. Je cherche un vendeur, mais évidemment il n’ y en a pas. En plus, sur semaine à cette heure là, le magasin parait désert. Alors que je suis plantée là, face au rayon, le regard dans le vide, je vois s’arrêter, en tête de gondole, mon monsieur de tout à l’heure. Que faire cette fois pour l’attirer volontairement. Je m’accroupis de côté devant le rayon, un genou au sol, l’autre relevé, je me penche dans le rayon, écartant bien les cuisses. J’ai du faire mouche, car je le vois s’avancer, puis s’accroupir lui aussi, à deux mètres de moi, le regard apparemment plongé sur une boite d’ampoules qu’il tient dans sa main…en fait, il mate mon entre jambes, bien visible dans ma position.— Vous tombez bien, lui lancé-je, vous allez peut-être pouvoir m’aider une fois de plus.— Avec plaisir, si je peux, me répond-il chaleureusement.Je me relève et lui explique ce que je cherche. Il ne met pas longtemps à me tirer d’embarras et nous nous quittons sur un large sourire.    Du rôle utilitaire d’une tenue légère voire d’une exhibition pour décrocher un service…telle est la réflexion que m’inspire cette dernière expérience. Peu habituée à ces magasins de bricolage, je passe beaucoup de temps à chercher le rayon des produits piscine. Enfin un vendeur à son ordinateur. Un beau gosse : brun, grand, de beaux yeux d’un bleu profond. Il me répond s’occuper des sanitaires, mais m’indique précisément l’endroit que je cherche. — j’aurai besoin de vos services tout à l’heure pour voir les douches ;— A bientôt, à votre service, madame, me répond-il gracieusement.    Celui-là, j’en ferais bien un amant de passage, me dis-je en me dirigeant vers l’endroit indiqué. J’ai bien trouvé le rayon, mais là encore, panique devant le nombre de produits ; duquel ai-je besoin, et là encore personne aux alentours. Je me retourne voir si parfois mon retraité ne serait pas dans les parages. Il doit sûrement me suivre. De quelle nouvelle exhibition dois-je m’acquitter cette fois ? Je fais celle qui tente d’attraper un produit placé tout en haut du rayon. Je sais que là ma robe ne me couvre plus le bas des fesses. Je tente trois fois cette posture et me retournant enfin, je trouve mon cher retraité accroupi derrière moi, son smarphone en main en train de photographier mes fesses.— Franchement, ne pensez-vous pas que mes fesses méritent mieux qu’une photo volée ? Lancé-je, accompagné d’un sourire coquin et d’un clin d’œil appuyé !— Euh…oui, bien sûr, comme je suis maladroit, excusez moi, je suis désolé ; me répond-t-il, l’œil triste !..— Mais non, ne faites pas cette tête. Au contraire, je suis flattée que vous m’épiez avec autant d’insistance…et de plaisir, j’espère !..est-ce que je me trompe si je prends çà pour un compliment ?— Du plaisir !..Bien sûr que j’en prends à regarder une aussi jolie femme que vous, mais aussi osée, avouez que vous m’avez cherché au moins trois fois en moins d’une demie heure !...je n’ai pu résister à voler cette photo— Osée, c’est ma manière d’être, et excusez moi si je vous choque !— Vous ne me choquez pas du tout, vous m’enchantez. Si vous souhaitez, je l’efface cette photo. — Surtout pas, je veux la voir, et puisque ça vous plait, faisons d’autres photos. Vous savez, j’adore la photo, particulièrement les photos de charme.— Je m’appelle Pierre, je pratique la photo en amateur, accepteriez vous de poser pour moi un de ces jours pour faire de la belle photo ?— Bien sûr, avec grand plaisir, venez chez moi on en discute autour d’un verre, moi c’est Carole, voici ma carte avec mon téléphone.— A très bientôt, alors, je vous embrasse !..— Attendez, un instant, je vais encore avoir besoin de vos services pour me trouver le produit que je cherche…Décidément, il n’y a toujours pas de vendeur dans ce magasin.  Après que mon « chevalier servant » une fois de plus, m’ait trouvé mon produit, je me dirige vers le rayon des salles de bain. Comme Pierre me suit, je m’appuie, les bras croisés sur le caddy, cambre ainsi mon postérieur et lui fait un jeu de fesses torride tout en relevant furtivement ma robe jusqu’à la taille, me retournant en même temps pour voir sa réaction. il est sérieux, se veut discret et Il doit faire une vidéo…    Arrivée au rayon des douches, toujours pas de vendeur. Une mamie est aux robinets…j’abandonne mon caddy dans l’allée centrale et fait un tour rapide devant les douches alignées, puis m’intéresse aux plus grandes cabines exposées au milieu. Pierre, mon admirateur me suit discrètement, tout en me surveillant assidûment, prêt à dégainer son smarphone. Je tourne autour d’une cabine qui me plait. Je dois l’essayer. Je fais un petit signe à Pierre, ôte mes chaussures et entre dans la cabine. Je détache la martingale qui retient les deux pans de ma petite robe. Je me retourne, largement décolletée, mes tétons apparaissent. Pierre fébrile continue de filmer à distance. Je prends des poses, debout. Puis j’essaye le petit siège à l’intérieur, une jambe tendue pied sur le rebord, l’autre appuyée sur le fond. Cuisses ouvertes, les pans de la robe s’écartent et dévoilent ma chatte que je sens mouillée....comme toujours quand je m’exhibe. Pierre s’est accroupi devant moi faisant mine d’examiner une glissière. C’est top pour lui, car il réalise enfin que je n’ai pas de culotte !.. Toujours personne en vue, si ce n’est la mamie qui n’a même pas vue ce que nous faisons.    Mais que diable, mon beau vendeur va-t il enfin se pointer ?.. Je sors de la douche, toujours un peu débraillée, ondulant des hanches et des fesses, et me dirige vers les baignoires. Une baignoire d’angle va me permettre une nouvelle exhibition. Je monte dedans, m’assoie dans le petit creux de l’angle et remonte mes pieds sur les bords, écartant très largement les cuisses. Pierre affiche un sourire éloquent tout en faisant cette fois une série de photos. Toujours personne, la petite mamie a disparu. Pourtant, il me semble voir une tête derrière l’écran d’ordinateur sur le comptoir du vendeur. Il doit sûrement tout voir, mais n’ose pas approcher. Pourtant c’est à lui de se manifester. Alors, je sors le grand jeu. Toujours dans ma baignoire, je cambre le buste, exhibant encore plus ma chatte que je doigte en me trémoussant. Là, Pierre est venu s’accroupir au bord de la baignoire et se lance dans des gros plans sur mon intimité que je lui ouvre avec délectation. Comme je ne vois rien venir, je ressort puis tourne le dos et me baisse dans la baignoire pour en toucher le fond. Jambes écartées j’exhibe cette fois mes fesses et ma rose bien gonflée en dessous.    Cette fois, surveillant entre mes jambes, j’aperçois mon vendeur qui se décide à sortir de sa réserve !.. Pierre s’éclipse alors, aussi rapidement que je resserre ma robe, juste avant de me retourner et m’adressant avec mon sourire coquin au vendeur :— Enfin !.. j’ai bien cru que vous m’aviez oubliée.— Non, non, pas du tout, mais j’attendais…que vous ayez fini avec le monsieur…vous avez fait des essais, avez-vous trouvé votre bonheur ?— Avec vous, peut-être le trouverai-je ? !.. enchaîné-je avec malice. J’ai besoin de vos conseils, je n’y connais rien en bricolage.    Jeune, plutôt timide, mon beau vendeur semble mal à l’aise. J’entreprends de lui expliquer les travaux que je souhaite faire et tente de lui dessiner un petit plan. Je suis accoudée sur le bord de son comptoir, la poitrine comprimée par-dessous, écarte mon décolleté qui dévoile mes tétons. Lui perché sur une estrade plonge voluptueusement sur mes seins. Il est visiblement troublé et n’est plus attentif à son ordinateur. Rajustant ma tenue, je lui demande un devis. Il me répond qu’il doit se déplacer. Nous prenons rendez-vous pour demain matin.     Au moins cette sortie ne sera-t elle pas vaine !... la promesse d’une séance photo d’une part, et peut-être d’une partie de jambes en l’air avec un beau gosse d’autre part…de quoi occuper agréablement mes moments de solitude en attendant le retour de Julie…
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