Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 15 J'aime
  • 1 Commentaire

Au magasin de Bricolage

Chapitre 2

Hétéro
LE DEVIS DE FLORENT
    Cher lecteur, tu l’as bien compris, le beau gosse que j’ai allumé hier au magasin de bricolage, j’ai très envie de baiser avec lui. Tu as vu, il me parait timide L’inconvénient des timides, c’est que je dois faire les premiers pas, et là, parfois, ça les bloque, ils ont peur, se sentent dépassés et prennent la tangente. Si je veux me faire sauter par ce coco là,, je dois y aller cool. Mais là, il risque d’avoir fini son devis avant que je n’arrive au but. Ou alors, l’inverse, faire du rentre dedans ; un comble pour une femme !...  Lorsque j’entends sonner, j’ai choisi la deuxième stratégie : c’est celle que je connaisle mieux. J’ai laissé ma porte ouverte, et le temps qu’il monte, je m’installe dans mon jacuzzi. J’entends frapper.— Entrez et fermez la porte derrière vous.— Où êtes-vous ?— je suis dans mon bain. Mais vous ne me gênez pas. Il m’a vue, mais reste à l’entrée du living .— Avancez  !.. il se décide à venir me saluer. Je me lève alors, il reste bouche bée. Je lui demande ;— Passez moi mon peignoir s’il vous plait. Je lui fais face en pleine lumière. Sans me lâcher de yeux, il me tend le peignoir que j’enfile sans le fermer.— Vous prendrez bien un café ?— Avec plaisir, merci. Je mets à couler les deux cafés et lui propose de venir voir la salle de bain. Peu bavard le coco. Il me suit. Je lui explique ce que je veux :— J’aimerai une large cabine. Assez confortable pour y tenir à deux, comprenez-vous ? je veux pouvoir m’y allonger, avec des poignées pour s’accrocher. Vous savez, quand on fait l’amour en levrette, c’est bien de pouvoir s’accrocher.    Il a l’air absent, ne me regarde pas et ne sais dire que oui, oui !..Rien de plus. Nous revenons dans le living boire le café. Je m’installe face à lui au bar, laissant volontairement mon peignoir ouvert. Là, penché en avant, il plonge son regard non seulement sur ma poitrine mais aussi sur mon ventre et finit par me dire.— vous êtes fort belle et fort désirable. Excusez moi si je vous choque, mais depuis hier, il y a une question que je me pose et que je vous pose : êtes vous une allumeuse, une perverse ou une baiseuse ?— Vous ne me choquez pas, vos questions sont légitimes. Je vous réponds franchement, j’allume pour baiser. C’est sans perversité. Je suis fière de mon corps, j’adore me montrer nue et j’adore faire l’amour.— Avec n’importe qui ?— Non !..., seulement avec ceux que j’allume parce que je les ai choisis.— Alors hier, le vieux, vous l’avez allumé, vous allez baiser avec lui ?— S’il vient à notre rendez-vous, et s’il veut bien, évidemment.— Et avec moi ?...Vous voulez baiser avec moi ?— Mais oui, bien sûr. Tu es beau, tu es jeune, tu me plais, je te désire, je te veux, fais moi l’amour… mais attention, pas n’importe comment, pas à la va vite…tu dois me mériter, tu dois me cajoler, me caresser, bien me préparer mes orifices avant de les pénétrer…. Tout ça, c’est mon devis à moi. Maintenant va faire le tien dans ma salle de bain, et ensuite on passe aux choses …pas très sérieuses, Ok ?— Ok, je suis ton homme. Au fait, moi c’est Florent et toi je sais depuis hier que tu es Carole. Je dois t’avouer que ma copine, et oui, j’en ai une, s’appelle aussi Carole.— Tant mieux, tu ne feras pas de gaffe. Mais dis-moi, tu vas lui dire à ta copine que tu baises avec les clientes.— C’est la première fois je vais pas tout lui raconter. Tu es tellement canon que je peux pas louper ça !..    Florent part dans la salle d’eau, je quitte mon peignoir et nue, je me glisse derrière lui. Il doit mesurer la pièce, examiner la plomberie et prendre des notes. Je lui propose mon aide, ce qui l’enchante. Je lui propose également de se mettre à l’aise : il n’hésite pas une seconde et se retrouve très vite en slip.    Il me demande de lui tenir le bout…du mètre aux endroits qu’il me désigne et il assure la lecture de la mesure, notant consciencieusement sur son calepin. Il est souvent accroupi et moi souvent debout à côté de lui, ce qui ne manque pas de le distraire. Bien qu’il jette des coups d’œil furtifs sur mon intimité, il n’ose pas me toucher. Parfois, moi aussi accroupie, je me glisse derrière lui, et nos corps se frôlent, mes seins glissant légèrement sur son dos, ce qui m’excite terriblement !.. Enfin, il se relève pour prendre des mesures à la hauteur. Là, il utilise un télémètre, et je découvre avec satisfaction l’énorme bosse de son slip. Je me colle alors à son dos, et l’entourant de mes bras viens poser mes mains sur son ventre. Je le sens tressaillir, et comme j’ai posé mon menton sur son épaule, il me susurre à l’oreille ;— Hum, comme ta peau est douce et tes mains caressantes…je crois que j’ai fini mon travail…si j’ai oublié quelque chose, je peu revenir, n’est-ce pas ?— Viens dans le living, maintenant nous avons mieux à faire, tu dois honorer ton autre devis !.... Et le prenant par la main je l’emmène avec moi.Tous deux face à face devant le canapé, nous nous étreignons le temps de goûter nos caresses, nos odeurs, notre chaleur, puis je m’assois le laissant debout devant moi. Mes mains descendent sur ses hanches et je me saisi de son slip que je descend lentement libérant un beau braquemart épais et trapu, déjà en bonne forme. Je le besogne habilement de mes doigts, de ma langue, de ma bouche, le finissant en gorge profonde. Même si je sens très bien sa fébrilité, il ne semble pas réagir à mes gâteries…Les proportions de son membre, me semblent avoir augmenté…Il s’accroupit devant moi, pose ses larges mains sur mes cuisses, les écarte jusqu’à m’amener au grand écart, et là, appuyé sur l’intérieur de mes cuisses, tête baissée, il balai de son souffle et de quelques léchouilles mon entre jambes, puis, ayant ouvert délicatement de ses doigts mon coquillage, il vient le pénétrer d’une langue vigoureuse qui visite toutes les chairs turgescentes de mon intimité. Il aspire habilement mes petites lèvres qu’il serre entre ses lèvres tout en les suçant, me procurant ainsi un délicieux orgasme. D’un dernier coup de langue il recueille la cyprine qui m’inonde, et relevant la tête, me lance avec un beau sourire tout en se léchant les lèvres ;— Hum !.. Comme elle est bonne !..Malgré sa jeunesse, ce détail me révèle toute l’expérience et la délicatesse de Florent. Maintenant, j’ai très envie qu’il me baise. J’avance mes fesses sur le bord du canapé, j’ai les cuisses ouvertes et relevées. Lui à genoux parterre, présente son épais braquemart juste devant ma vulve épanouie, prête à le recevoir ;— Viens, je te veux, maintenant, défonce moi !...Alors, doucement et lentement, il fait glisser son gland sur mes petites lèvres, puis sur mon clitoris qu’il décalotte de suite, et me fait languir encore de cette promenade impromptue, mais tellement voluptueuse, avant de s’enfoncer profondément dans mes entrailles en feu. Ses merveilleuses manières me provoquent très vite un nouvel orgasme. A ce signal mon bel amant accélère la cadence de ses va et vient et me laboure le ventre avec entrain, m’arrachant de petit cris de jouissance. Nous changeons plusieurs fois de position et à chaque fois qu’il se retire, le vide que je ressens me semble insupportable, et à chaque nouvelle pénétration je vis l’extase. Après une bonne demie heure de baise furieuse par tous mes orifices, il me prend en levrette, ma position préférée. Sa bite toujours raide s’engouffre jusqu’à la garde dans mon vagin ruisselant de cyprine. Retenue fermement par les hanches il me fait coulisser en cadence sur son chibre et claquer mes fesses sur son ventre. Je ne compte plus les multiples orgasmes que j’éprouve à ce jeu. Puis dans un râle profond il m’envoie enfin la sauce, se retirant avant la fin pour honorer mes fesses de quelques jets de foutre en réserve.     Merci Florent. Quel merveilleux amant tu fais pour m’avoir fait jouir si intensément !...
Diffuse en direct !
Regarder son live