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Le magasin de lingerie

Chapitre 1

La rencontre

Voyeur / Exhibition
J’ai toujours été attiré par les belles lingeries. Ça réveille en moi des pulsions érotiques. Le caractère à la fois sensuel et impertinent qui s’en dégage m’attire terriblement…
Alors, à chaque fois que je passe devant un magasin de lingerie féminine, c’est plus fort que moi : je ne peux m’empêcher de me régaler à la vue de tous ces soutiens-gorge en dentelle, bustiers, strings et autres étoffes insolentes, affichés en vitrine sur des mannequins aux proportions enivrantes. À mesure que je m’approche de la vitrine, absorbé par le spectacle immobile qui se joue devant mes yeux, j’imagine ces tenues portées par des femmes que je connais, sur lesquelles je fantasme… et je sens naturellement monter en moi une érection aussi coupable que plaisante.
Mais venons-en à ce jour-là…
Je m’étais rendu en ville pour boire un coup avec des amis, en plein après-midi. Malheureusement, tous avaient des engagements pour la fin de la journée, si bien que vers seize heures, je m’étais retrouvé seul et j’avais décidé de rentrer.
Je n’avais rien prémédité du tout.
Seulement, sur mon chemin se trouvait ce fameux magasin de lingerie féminine. Dès que je vis son enseigne lumineuse et les nouveautés affichées en vitrine… Je sentis immédiatement une réaction physiologique se produire entre mes jambes.
Alors, je m’approchai de la boutique, comme magnétisé par la vue affolante de tous ces mannequins dénudés. La nouvelle collection promue par l’enseigne s’avérait d’une sensualité de tous les diables !
Je ne résistai pas à la tentation d’entrer, et d’en voir plus.
À ma grande surprise, tandis que nous étions en fin de journée, il n’y avait pas grand-monde à l’intérieur. Une vendeuse me salua, je hochai discrètement la tête en guise de réponse. Si jamais on me demandait ce que je faisais là, seul, je répondrais comme à mon habitude que je cherchais un cadeau pour ma petite amie.
Un mannequin en tête de gondole portait un soutien-gorge et un string en dentelle, assortis, qui m’inspirèrent confiance. Je décidai de commencer ma promenade par-là, dans le rayon qui s’ouvrait juste derrière, essayant de contenir comme je pouvais l’irrésistible érection que je sentais frapper à la porte de ma braguette.
D’une main, je réalisai d’ailleurs une pression sur mon entrejambe pour faire en sorte de masquer mon excitation. De l’autre, je caressai un string rose d’une sensualité prodigieuse, m’attardant plus longuement sur la petite partie rembourrée qui tombait en face du sexe de ces dames.
Puis tout à coup, une femme pénétra dans le rayon. Elle avait déjà quelques articles entre les mains et ne sembla pas s’inquiéter de ma présence.
Elle devait avoir une quarantaine d’années, et pourtant, tout chez elle laissait transparaître une jeunesse imprenable. Elle avait de longs cheveux blonds, légèrement ondulés, qui lui arrivaient un peu en dessous des épaules. Son maquillage, bien que sobre, valorisait des yeux bleus clairs que je ne pouvais m’empêcher d’imaginer au moins un peu espiègles.

Elle semblait un peu plus petite que moi, mais elle portait des talons qui l’amenaient quasiment à ma hauteur, et qui cambraient son corps d’une façon incroyablement érotique. Ses fesses, plus bombées et musclées que celles de la plupart des femmes qui ont vingt ans de moins, basculaient légèrement en arrière, tandis que ses seins, admirables de générosité dans son joli décolleté, viraient plutôt vers l’avant, dessinant un délicieux buste en forme de « S » lorsqu’on la voyait de profil.
Je n’ai jamais eu de penchant particulier pour les femmes plus âgées que moi. J’ai vingt-six ans, et habituellement, les femmes que je regarde ont toutes à peu près mon âge…
Aussi cette créature m’apparut immédiatement comme une exception. Elle ébranla toutes mes certitudes, tout ce que je croyais savoir de mes désirs… Et de ce fait, elle n’en devint que plus intéressante à mes yeux.
Lorsqu’elle passa à côté de moi, je remarquai au passage un parfum d’un caractère enivrant. Je n’aurais pas pu dire ce qu’il sentait précisément, mais j’étais conscient d’une chose : j’avais terriblement envie de m’accrocher à cette odeur.
Dès lors, ma promenade dans le magasin n’eut plus qu’un objectif : espionner discrètement cette femelle effarante qui réveillait en moi tous les instincts les plus primaires d’un mâle en rut.
Le manège dura cinq bonnes minutes. Et puis ma charmante inconnue disparut à l’arrière du magasin, probablement pour accéder aux cabines d’essayage.
D’un pas léger, je me dirigeai moi aussi dans cette direction, faisant mine de m’intéresser parfois aux articles en rayon pour donner l’impression que je choisissais mon chemin au hasard.
Par chance, il n’y avait personne devant les cabines. Et seulement l’une d’elles (celle la plus au fond), avait le rideau tiré, ce qui m’indiquait que je me trouvais parfaitement seul avec mon inconnue dans cette partie du magasin.
Je m’approchai de sa cabine, en silence. Le rideau ne fermait pas complètement…
Et alors, pour mon plus grand bonheur… À travers la maigre ouverture laissée par le rideau, je découvris ses fesses rondes et galbées, délicatement mises en valeur par un string ficelle d’une volupté indiscutable.
Mon coeur fit un bond à l’intérieur de ma poitrine, mais ce ne fut rien en comparaison du séisme qui secoua mon boxer.
Je regardai à ma gauche puis à ma droite. Il n’y avait personne.
J’observais avec un plaisir terriblement coupable les formes surréalistes de mon inconnue. Je me régalais de ce moment !
Et puis, au moment où je me sentais pourtant le plus en confiance, malgré les risques que présentait la situation…
Le rideau de la cabine s’ouvrit.
L’inconnue m’apparut, simplement vêtue d’un soutien-gorge et d’un string turquoises.
Ses yeux bleus clairs me dévisagèrent d’un air mystérieux…
Puis avec son index, elle me fit signe d’approcher…
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