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Maggie, Maman et Moi

Chapitre 4

Revoir Maggie?

Hétéro
L’après-midi s’avançait vers la soirée. Il me fallait reprendre le volant. J’ai demandé à mon amante si je pouvais prendre une douche, me savonner le visage et me laver les dents, effacer ses saveurs de cyprine, sueur, urine, et mon sperme présent sur ma langue et mes lèvres, comme un cocktail coupable. Elle m’a conduit à la salle de bains, j’ai tiré le rideau sur la douche. Sous le jet d’eau je l’ai entendue qui disait mutine...
— Pardonne-moi mais je suis obligée, j’ai une grosse envie de pipi.
Les toilettes étaient dans cette même pièce.
— Faites comme chez vous !
J’ai dit cela en riant, et aussitôt entendu ce chant délicieux, vif, puissant, sur la cuvette. Cela m’a de nouveau excité, mais je n’avais plus le temps pour la bagatelle.

Une fois séché, j’ai regagné mes fringues, Madame Maggie avait remis ses dessous modestes, ils lui allaient bien. Elle enfilait sa robe.
Je l’ai remerciée pour cette journée inoubliable". Je lui ai demandé si elle avait aimé, elle a hoché la tête de façon positive, mais semblait pensive. J’ai insisté.
— Nous reverrons-nous ?— J’aurais tant de choses à exprimer, et je ne sais pas, je suis toute retournée. Je ne sais pas si j’ai bien fait de te parler du passé... Rappelle-moi dans quelques jours, j’ai besoin de digérer ce moment, mais là, j’ai les jambes qui tremblent, Hervé. — Vous avez un numéro de portable ? — Non, je n’ai pas les moyens, tu sais. Je suis une récente retraitée, mais avec une pension bien modeste... Je fais des petits travaux de couture et de repassage... Comme du temps de Solange... Mais sans le charme que j’y trouvais... Je suis chez moi tous les jours, le matin, " je vais en courses". Si tu appelles à ce numéro, avant dîner, je suis toujours là. Il me faut prendre un peu de temps pour digérer tout cela...

Je suis reparti, me demandant si j’avais traversé un moment dans la quatrième dimension. J’ai conduit comme en pilote automatique, et j’ai savouré pour moi le secret de cette rencontre. Avec l’envie de renouveler l’expérience. Madame Maggie avait beau avoir passé le cap des soixante, il me semblait qu’elle avait encore des envies de femme, trop longtemps contenues, si j’avais bien compris... Sans être amoureux le moins du monde, j’avais envie de poursuivre un moment ce chemin scabreux, avec elle.

J’ai laissé passer une semaine. J’ai souvent repensé à cette femme m’avouant qu’elle aurait voulu coucher avec ma mère ! Je me suis demandé ce qu’elle-même en aurait dit. Si ça se trouve, elle avait pour son amie le même désir, et ni l’une ni l’autre n’avaient osé l’avouer ni le dire. Ou plus probablement, comme Maggie le supposait, l’aurait-elle rayée de ses relations ? Au moins Maggie avait-elle eu la présence d’esprit d’en parler à cette "psychologue", probablement psychothérapeute, en réalité. Je trouvais cela très courageux de sa part, et assez émouvant... Car ces mots "psys" font souvent peur aux personnes modestement instruites: pour elles, consulter un "psy" signifie qu’on est "fou". Ce qui évidemment n’est pas le cas.


Quand je l’ai rappelée, elle m’a dit qu’elle attendait mon appel, qu’elle avait été tourneboulée, c’étaient ses mots. Qu’elle se sentait coupable d’avoir ainsi répondu à cette pulsion, mais qu’elle avait aussi été joyeuse de s’être sentie désirée. Je lui ai dit mon envie de la revoir, de recommencer. Que je la respectais, qu’il n’était pas question pour moi de me servir d’elle ou de la manipuler, mais d’aller un peu plus loin, ensemble, sur les terres de l’audace. Je lui ai rappelé qu’elle m’avait dit cette phrase, "si tu savais..." et que oui, j’avais envie de savoir. Je la trouvais sensuelle, désirable, au naturel. Je lui ai proposé de passer le mercredi suivant...
— Comment voudrais-tu que je t’accueille ? Je ne sais pas trop comment te recevoir... Tu as une envie. — Comme vous le sentirez, vous ce sera très bien, Madame. J’ai juste envie d’oser de nouveau avec vous. — Je crois que j’ai envie aussi...

J’avais raccroché avec cette promesse, et au jour dit, je suis arrivé au deuxième étage avec un bouquet de fleurs dans une main. Mon laptop dans l’autre, car j’avais une idée derrière la tête. J’ai sonné. J’ai entendu tourner la clé dans la porte, elle s’est entrouverte et je me suis glissé dans l’interstice. Derrière la porte, Madame Maggie m’attendait. Elle s’était maquillé le visage, un rouge à lèvres rouge vif, les yeux bordés de mascara, je n’y connais rien, mais je sais repérer... Et surtout, elle était en chemise de nuit. Transparente. Presque le souvenir de celle que j’avais vue jadis. Mais rose, et non bleu pâle. Elle portait une culotte noire. Elle m’a embrassé. Ces premiers mots:
— J’ai pensé à toutes les choses que tu m’as dites. Je me suis avouée que c’était bon d’être désirée, encore. Que tu étais peut-être celui qui pouvait m’aider à apaiser mes tourments.

J’ai plaqué mes deux mains sur ses seins, et ma langue dans sa bouche. Le bouquet tombé à terre, on s’en occuperait plus tard. Le Mac, posé à terre, aussi. On a juste refermé la porte et je l’ai pelotée comme un amant débutant, mais fougueux, je l’embrassais dans le cou, mes mains couraient de ses seins à ses fesses, passaient sur et sous sa culotte noire, je frottais le tissu vaporeux de cette chemise de nuit sur ses tétons.
Entre deux jeux de langues, elle soupire
— Je me suis caressée dix fois plus durant ces deux semaines, que ces cinq dernières années... Si tu savais...— J’ai envie de vous, Madame. J’ai envie de vos fesses, de votre touffe, de votre bouche de vos seins délicieux, j’ai envie de vos confidences plus encore. Il faut jouer, pour jouir...

Elle a répondu, volontaire et décidée:
— Oui, je veux me mettre en levrette, pour toi... viens me prendre en levrette, et je te dirai un secret.
Elle est allée sur le lit, sur le lit où je l’avais léchée, deux semaines plus tôt. Clairement, elle était beaucoup plus assurée qu’à notre précédente rencontre. Plus directe ! J’ai défait mon pantalon, mon caleçon, j’avais la verge tendue pour mon amante âgée, si coquine, soudain. Elle avait retroussé la chemise de nuit rose au-dessus de son cul, et baissé sa culotte aux genoux. Impudique. Offerte. J’ai revu cet anus un peu poilu, je me suis dit que ce serait bon, aussi qu’elle me laisse aller m’aventurer par là. Mais pour l’heure, c’est dans son vagin que ma verge est entrée. J’ai plaqué ses fesses contre moi. Elle était assez humide pour m’accueillir. Elle est restée ainsi, poussant des petits gémissements d’approbation, de plaisir. Des "oui" langoureux. On baisait sans rien dire, puis d’un coup, elle a pris une respiration, et elle lancé des mots inattendus.
— Il y a en moi une femme perverse, aussi, je le reconnais... Je me suis dit que ce qui m’avait excité, aussi, ce n’était pas seulement de t’avoir parlé de ta mère. Ni de faire l’amour avec toi, comme nous l’avons fait...

Je la besognais, lentement, elle bougeait un peu plus les fesses, je ne la voyais pas, mais sa voix était nettement différente de notre première rencontre. Plus assurée, plus vicieuse aussi. Elle remuait son bassin. Et elle m’a continué!
— Ce qui m’a excité aussi, c’est que tu as l’âge de mon fils. Je me suis sentie comme une mère indigne, dépravée... Tu te souviens de mon fils, Hervé? — Oui, bien sûr je m’en souviens. On était copain, enfants, avec Denis. A l’adolescence, on ne s’est plus trop fréquenté...— J’étais fière de lui, tu sais. C’est un bel homme, et puis... Il ne tient pas de son père, il est assez bien pourvu. Elle disait cela en bougeant lentement sur ma queue... Ce petit salaud, je sais qu’il se masturbait dans mes culottes. Il le faisait beaucoup. Il pensait probablement que je ne le remarquais pas, je ne disais rien, cela me troublait un peu, m’amusait aussi, me choquait un peu oui, aussi. Oh j’étais coincée, tu crois ?— Humm. J’aurais aimé ça, me branler dans une de vos culottes, Madame.— Tu sais ? Je voudrais pouvoir t’appeler par son prénom... Là, maintenant.

C’était inattendu, mais je commençais à prendre goût à ses petites surprises...
— Si vous voulez, je suis prêt à tout pour vous emmener à la jouissance.— Alors, vas-y mon Denis, vas-y mon chéri. Fais l’amour à maman. Fais-moi l’amour. Je t’en prie. Montre-moi comme tu en avais envie quand nous vivions ensemble. Quand tu te caressais dans les petites culottes que j’avais mises au panier. Petit cochon ! Oh, montre-moi ta grosse envie !

J’ai accompagné son mouvement. J’étais surpris qu’elle m’entraîne ainsi sur un jeu de rôle un peu chaud, assez pervers, mais c’était bon. Alors j’ai lâché.
— Oh oui, maman... Comme ça ? Tu aimes comme je te fais l’amour ?— Elle a lâché un râle. Oh oui, Denis, mon chéri, baise-moi. Baise-moi bien. Je suis une mère indigne. Je suis sale. Je suis sans excuse. Mais j’en ai trop envie. Fais-moi l’amour mon Denis. Prends-moi comme ça. J’adore...

J’ai mis mon majeur sur le trou de son cul. Je l’ai caressé. J’ai mouillé ce doigt de ma salive. Je l’ai replacé sur son petit trou, il est rentré un peu, je l’ai ressorti tandis que mon dard la fouillait. Madame Maggie semblait aux anges, elle a gémi, et comme à notre première rencontre, son orgasme fut violent, intense. Puis elle m’a dit,
— Tu as envie de mes fesses, mon chéri ? — Oui, j’adorerais.— Alors, viens, mon bébé. Viens donc me prendre par le petit trou. Soyons sales, toi et moi, nous n’irons pas au Paradis. Oh, Denis, ta verge dans mes fesses ! Je la veux !

Il m’était difficile de ne pas obéir. C’est qu’elle se lâchait, la garce ! Alors OK, j’ai pris Madame Maggie par les fesses, en continuant de l’appeler Maman, et même "Maman chérie". Et elle a aimé. Et moi aussi. J’ai joui dans ce couloir secret. Pendant tout ce jeu, nos regards ne s’étaient évidemment pas croisés. Je crois que c’était la clé de la réussite pour ce fantasme. Oser délirer sans barrière, puisque sans crainte d’un regard réprobateur. J’ai sorti mon sexe de ses fesses, puis je les ai léchées, mordues, tout en branlant son clitoris.

Et j’ai demandé:
— C’était bon, "maman"? — Mon chéri, j’en rêvais depuis des années. Je n’osais pas m’avouer cette perversité-là. J’ai toujours été une femme honnête et pudique. Mais en secret, j’ai des côtés assez inavouables, je le reconnais. Je n’ai pas assez profité de ma jeunesse...— Vous êtes une femme qui sait qu’elle n’a plus de temps à perdre, sur "la voix du plaisir".

Et j’ai souri intérieurement de ce petit jeu de mot qu’elle ne pouvait entendre.
— Nous avons du temps pour en explorer. N’ayez pas peur... J’ai des choses à vous montrer, aussi. On peut boire quelque chose ?

(A suivre...)
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