Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 170 J'aime
  • 0 Commentaire

Maggie, Maman et Moi

Chapitre 5

Sexe, Douche et Vidéo

Hétéro
Nous étions nus, tous les deux. Je venais de sodomiser mon amante, elle s’était incroyablement débridée en fantasmant à haute voix que le dernier outrage lui était imposé par son fils Denis, qu’elle encourageait avec force. Je n’en revenais pas. Elle s’avérait soudain plus coquine que moi, en réalité.
Je suis allé chercher mon ordi, suis revenu m’allonger près d’elle ; j’ai utilisé le partage de connexion de mon smartphone puisqu’elle n’avait évidemment pas d’accès à Internet. Je suis allé sur un des sites de vidéos pornos que nous connaissons tous, pour lui montrer ce qu’on pouvait trouver grâce aux technologies modernes. J’avais fait une présélection où des femmes matures, parfois proches de son âge, se laissaient aller à bien des turpitudes entre copines. Certaines étaient des plus ordinaires, question visage ou corps. Mais je les trouvais finalement beaucoup plus excitantes que les bimbos siliconées, sans poils, qui semblaient toutes sorties de l’atelier d’un carrossier de Formule 1. Les "MILF" étaient plus excitantes. Tellement plus réelles. Ne me dites pas que vous ne connaissez pas les MILF ! Mother I Like to FUCK: les mamans que j’aime baiser.
J’ai montré ces vidéos à Madame Maggie, je lui disais que ces femmes étaient toutes superbes, que j’avais les regardant, pensé à elle et l’imaginant aussi libérée. En même temps que je parlais, je me voyais m’enliser un peu dans un paternalisme bobo, l’air de rien je donnais la leçon. Mais bon... Je lui ai montré une vidéo où deux femmes d’âges respectables s’embrassaient, se pelotaient de façon sensuelle puis plus dépravée, l’une très en chair, l’autre un peu fluette, et les deux se donnaient du plaisir sans pudeur ni retenue.
— C’est à ce genre de jeu que vous songiez quand vous pensiez à ma mère, Madame Maggie ? — Oh je n’aurais jamais dû te confier cela. Tu dois me trouver tellement immorale de te l’avoir avoué ! — Mais si vous ne l’aviez pas avoué, je ne vous aurais pas pris par les fesses il y a un quart d’heure, pendant que vous me demandiez de vous appeler maman, et que vous me donniez le prénom de votre fils aîné !! — Oh, si Denis savait cela... Mais c’est vrai, il se masturbait dans mes culottes ce petit vicieux. Des fois, je me demandais si c’était normal. S’il n’était pas pervers...— Lorsque nous étions gamins, nous avions des jeux un peu coquins ensemble, vous savez. J’y ai repensé l’autre jour... Ce n’était pas mal. Il faudrait savoir retrouver cette insouciance, quand on n’est pas encore formaté par la morale... J’aime que vous m’ayez proposé ce jeu de rôle inavouable.
J’ai bien articulé, pour qu’elle n’entende pas "jeu drôle". On s’est embrassé de nouveau, j’avais envie de la sentir, de la renifler ; je lui ai parlé "des jeux sales" auxquels elle avait fait allusion à notre première rencontre...
— Oh cela aussi, j’aurais dû le taire... Mon Dieu je parle beaucoup trop ! Et encore, je n’avais pas bu... Pas beaucoup !— Mais non, Madame. Rien n’est sale. Ce qui est sale, c’est d’imposer quelque chose à quelqu’un qui ne le veut pas... Ou de se dégrader soi-même au-delà de toute raison. — Oui, j’avoue. Mon envie d’être la domestique de Solange. Sentir ses pieds, lécher son sexe. J’imaginais qu’elle m’imposait de lui faire sa toilette intime avec ma langue. J’ai très honte de dire cela : j’avais envie d’être un peu rabaissée. Humiliée. Avec tendresse et douceur, mais fermeté. Lui obéir. Satisfaire des caprices. Me comporter comme ces femmes lubriques de certains romans.
Elle a continué de parler, comme si du lit de fornication, elle se trouvait soudain sur le divan d’un psy.
— Il faut que je te dise autre chose. Après sa disparition, je me suis rapprochée d’une collègue qui venait de nous rejoindre. Une femme terriblement sûre d’elle, aussi. Mais sans la culture de Solange, loin de là. Un jour, elle me confia qu’elle avait fait un peu de prison, et que là-bas, dans le quartier des femmes, il fallait savoir se défendre... J’avais demandé des détails, elle m’en avait donné. Une femme agressive, vulgaire, un peu brutale dans ses façons de parler. Mais elle m’excitait. Un jour, elle m’a dit que j’étais une petite gouine qui n’osait pas se l’avouer. Je suis allée chez elle, et pendant six mois, elle s’est servie de moi. Elle me bousculait, me rabaissait, me dominait. On a eu des jeux très osés, très cochons. Parfois, j’avais honte, mais parfois, je me sentais bien d’être ainsi soumise, salie. J’ai fait avec elle des choses que je n’oserai pas te dire. — Alors, ne me les dites pas, ai-je répondu. Mais faites-les ?— Écoute-moi. Tu veux que l’on se revoie, une troisième fois ? Je vais te demander une chose. Je voudrais m’habiller comme une putain pour toi. J’ai acheté des bas noirs. Commande-moi sur ton internet. Un porte-jarretelles. Une belle culotte. Je n’ai jamais porté de belles lingeries. Je voudrais un jour pouvoir jouer les catins. Pour toi, si tu veux.
C’était bon. Je vivais avec cette femme mature un jeu libertin vraiment épanouissant.
— Je voudrais prendre une douche avec vous. Vous savonner. Passer mes doigts partout. — Oui, si tu veux.
Et nous nous sommes dirigés vers la salle d’eau, sous le jet d’eau chaude, entre deux baisers, j’ai chuchoté d’une voix qui se voulait perverse et douce à la fois :
— L’autre fois, je vous ai entendue faire pipi. Cela m’avait fait bander, immédiatement. Je voudrais que vous pissiez sur moi. Sur mon ventre, sur mon visage. Je voudrais prendre votre jet sur le visage.
Elle m’a regardé. M’a dit de m’asseoir dans la baignoire. Elle a plaqué sa chatte si fournie contre mes lèvres. J’avais ma main sur ses fesses. J’ai doigté son cul. Je sentais qu’elle pourrait aussi se vider sur moi. Je n’osais pas demander. Son urine a commencé à couler, elle m’a demandé si je voulais la boire. J’ai ouvert ma bouche, le jet chaud avait un goût d’amande amère. Mon doigt touchait sa merde, aussi. Dure, ferme. Je tournais autour de ses fesses. Elle avait parlé d’un jeu sale. J’ai sorti mon doigt. Il l’était un peu. Je l’ai regardée. Et j’ai plaqué mon doigt sur mon nez, puis dans ma bouche en la fixant droit dans les yeux, pour qu’elle voie clairement ce que j’étais en train de faire.
— Tu es un vrai pervers, m’a-t-elle lancé. Je lis dans tes yeux, tu aimerais que je sois totalement impudique. Je crois que tu voudrais cela, n’est-ce pas ? Que je fasse devant toi. Ou même sur toi, si ça se trouve. Ne mens pas, je vois que ça te plairait. Mais cela, je ne te le donnerai pas. Ta punition. Tu es vilain. Trop sale pour moi, là.
Elle venait de dire ces mots sur ce ton de reproche que peut avoir une mère pour son garnement. En fait, c’était encore plus excitant que si elle l’avait fait pour de vrai. Elle a ajouté :
— Mais cela me plaît que tu me l’aies montré. Lave-toi bien les dents, coquin ! Promets-moi qu’on se reverra encore une fois. Et que tu m’habilleras en putain. Alors nous verrons...
(à suivre)
Diffuse en direct !
Regarder son live