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La magie de la nudité

Chapitre 1

Inceste
Ma nièce Linda, m’appelle un bon samedi matin et me demande si elle peut venirme voir pour que je lui montre comment cela fonctionne l’internet. Comme monépouse travaille et que je suis seul toute la journée, cela me fait un grand plaisir d’accepter, surtout que c’est ma nièce préférée. J’ai toujours eu unfaible pour elle. Elle est très belle, elle vient d’avoir 17 ans, blonde, trèsbien formée et ce qui fait son charme c’est qu’elle a conservée son visageenfantin. Comme elle ne demeure qu’à deux rues de chez moi, elle arrive presqueaussitôt. Je suis surpris de la voir avec une jupe et une blouse car elle préfère le pantalon et le chandail d’habitude.
— "Bonjour Linda, comment vas-tu?" lui dis-je à son arrivée. - "Très bien, et comment va mon oncle préféré ?" - "Je suis en pleine forme. Veux-tu que l’oncommence tout de suite à voyager sur le net ?" - "Oui, j’ai bien hâted’apprendre."
Je l’amène dans ma chambre d’ordinateur et je lui dis de s’installer devantl’écran. Je lui explique les règles de base durant la première heure. Je suisassis très près d’elle et souvent je pose ma main sur sa cuisse la plusrapprochée de moi et elle me laisse faire. Elle porte une jupe assez courte, ce qui me permet de savourer la douceur du toucher de son bas de nylon. Cela m’atoujours excité de toucher à cette fine lingerie qui donne beaucoup d’avantageaux cuisses des jolies femmes. Plus le temps passe et plus je remonte ma main lorsque je la dépose sur sa cuisse. Puis elle se décide à me demander :
— "Mon petit mon oncle préféré, montre-moi des sites pour adultes, s’il vous
plaît..." me dit-elle en me regardant avec ses yeux de petits chatons. — "Mais ... je ne sais pas si je devrais, tu es encore jeune."— "Mon oncle, franchement.... je ne suis plus un bébé, je suis une femme maintenant, tu ne trouves pas ?"— "Oui, tu as raison. Allons-y. Quelle genre veux-tu voir ?"" Je veux tout voir. Des sites avec des photos, des histoires qui racontent des aventures cochonnes, enfin tout. Montre-moi."

Je lui fais un sourire complice et je lui fais découvrir les news. Je lui montre les sujets les plus hots pour qu’elle voit des photos sans censure. Elle sedélecte chaque fois qu’une photo s’ouvre sur l’écran, aussi bien les photos desfemmes que des hommes. Je surveille ses réactions. Elle admire le corps de chaque femme et s’émerveille devant les pénis des hommes. Au bout d’une heure decontemplation, elle me demande :
— "Connais-tu un site où il y a des photos et des histoires?"— Evidemment ma petite chérie, on va aller sur le site de LPE. Tu seras comblée. C’est mon préféré.

Lorsque nous arrivons sur le site, elle s’écrie :
— "Oh ! oui ! Il y a des histoires."
Elle clique tout de suite sur la première histoire. Plus elle lit et plus elle devient crispé et nerveuse. Ses mains deviennent moites et je la sens nerveuse. Je me lève, m’installe derrière elle et me met à lui masser le cou et entre lesomoplates avec les pouces.
— "Comme cela fait du bien, mon oncle, continue..."
Encouragé, je poursuit mon massage pendant qu’elle dévore les lignes des textespornos. Je décide d’essayer de pousser plus loin mon massage et lentement je luimasse le bas du cou en me dirigeant vers le devant. Elle me laisse faire. J’accentue un peu la pression avec mes doigts et les descends lentement. Elleclique sur une autre histoire qui raconte une aventure lesbienne. Je la sens devenir plus nerveuse et plus tendue mais aussi très intéressée. Je descends lentement mes mains pour que le bout de mes doigts puisse toucher à la base de ses nichons. Ne rencontrant toujours aucune opposition de sa part, je glisse mes doigts sous le replie de sa blouse et détache un bouton. Elle baisse les yeux, regarde mes doigts puis continue à lire son histoire. Je détache un deuxième bouton et introduit ma main droite sous la blouse tout en continuant à masser. Je remarque qu’elle dépose sa main gauche sur sa cuisse, juste à la hauteur desa chatte. Je faufile mes doigts sous la naissance de sa brassière et fait glisser mes doigts sur le début de l’origine de son sein gauche. Je décide qu’ilest temps de prendre le contrôle d’elle :
— "J’ai su de source sûre, Linda, que tu étais lesbienne. Ta compagne est Vicky,ta meilleure amie."— "Mon dieu ! qui t’as dit cela ?"— "Cela n’a pas d’importance. C’est vrai n’est-ce pas ?"— " Oui mais... j’aime aussi les gars mais je trouve que ceux de mon âge sonttrop niaiseux, ils ne savent pas s’y prendre."— "Donc tu as déjà fait l’amour avec des gars et aussi des filles ?"— "Oui, c’est mal hein !"— "Non, il n’y a rien de mal dans le sexe. Tout se joue dans la tête des gens.Si nous trouvons un grand plaisir dans ce que nous faisons, il n’y a rien demal, au contraire. Moi, je suis pour que l’on s’éclate dans le sexe. Cela nouspermet de nous défouler."— "Tu as bien raison, mon petit mon oncle. C’est tellement bon..."

Elle regarde à nouveau vers l’écran et reprend sa lecture. Comme elle n’a pasenlevé ma main de sa blouse, je continue mon massage. Elle a des frissons à répétition. J’en profite pour entrer toute ma main dans le bonnet de sabrassière et lui masse doucement le sein gauche. Elle avance les épaules pour me donner la chance d’avoir plus d’espace pour ma main. Je masse son sein quelquesminutes mais je suis à l’étroit. Elle remplie drôlement bien tout le bonnet desa brassière. Je sort ma main et déboutonne le restant de sa blouse. Des gouttelettes de sueur apparaissent sur son front. Comme je suis debout derrière elle, je lui soulève le menton de l’index pour que sa tête penche en arrièrevers moi et lui embrasse le front. Elle me dit, à ma grande surprise :
— "Fais-moi l’amour, mon oncle."

Je la regarde tendrement et, avant de coller mes lèvres aux siennes, je luisdis:
— "Laisse-moi te mettre à l’aise, tu sembles avoir chaud."
Je l’embrasse à bouche ouverte. Elle ouvre les lèvres et glisse sa langue dansma bouche. Je lui retire sa blouse. Elle dépose ses mains sur mes bras et me les sert tendrement. Je place mes deux mains sur chacun de ses nichons, par-dessus sa brassière et les lui masse. Sa langue s’active dans ma bouche. Ses yeux closme prouvent qu’elle apprécie ce que je lui fais. Puis j’étire mes bras etremonte sa jupe jusqu’au ventre. Je rentre mes mains dans sa petite culotte etla caresse un bon moment. Je descends jusqu’à son bouton d’amour et le luifrotte tendrement. Elle écarte les jambes. Elle a une peau douce et satinée comme un bébé. C’est un vrai aphrodisiaque que de toucher à cette jeune fille sidouce. J’en veux encore plus. Je retire mes mains de sa petite culotte.
— "Non, continue, tu as tellement le tour. C’est trop bon ce que tu me fais,continue, je t’en supplie."— "Laisse-moi faire."
Je me relève et lui pousse dans le dos pour qu’elle s’avance un peu. Je détachesa brassière et lui enlève. Je tire sur mon t-shirt et le passe par-dessus ma tête et le jette au loin. Je la ramène vers moi pour qu’elle s’appuie sur ledossier de la chaise, m’empare de ses nichons que je tripote comme du jello. Ilssont superbes. Très fermes, ils se tiennent très bien. Ils sont volumineux. Elles doit faire du 36c. Plus je les pétrie et plus ils durcisent. Je roule ses tétines entre mes deux doigts. Elle bouge ses épaules de plus en plus.
— "Tu aimes te faire tripoter les tétons ?"— "Oh ! oui, c’est ce que j’oblige Vicky à me faire le plus souvent."
Je change de position et je m’installe à côté d’elle :
— "Rentre ta main dans mes bobettes mais ne les enlève pas tout de suite."
Elle tourne son corps vers moi, ayant toujours ses grosses boules dans mes mains, elle détache ma ceinture de pantalon, baisse ma fermeture-éclair et laisse tomber mon pantalon à mes chevilles. Je m’en débarrasse tout de suite.Elle lève les yeux vers moi et me regarde droit dans les yeux. Elle tire sur le devant de ma petite culotte et y enfonce la main droite.
— "Wow ! comme elle est longue et grosse."— "Tu l’apprécieras encore plus tantôt ma petite chérie. Masturbe-moi lentementet parle-moi de ta Vicky, côté sexe, évidemment."— "Comme tu le sais, tu la connais, Vicky est très gênée et se laisse très facilement dominer. Elle fait tout ce que je lui ordonne, tant que je veux et au moment où je le désire."— "Est-il vrai que tu l’as déjà traité, en lui disant à l’oreille, de mauditechienne et de sale vache pendant que vous étiez assise dans des estrades à regarder une partie de balle au terrain de baseball ?"— "Oui. Je ne sais pas comment tu sais cela mais, c’est vrai. Lorsque jel’humilie, elle est très facile à dominer et je lui fait faire tout ce que jeveux après. Plus je lui dis des choses humiliantes et plus elle se soumet à tous mes désirs. Je la giffle souvent et lui donne souvent la fessée en baissant sa petite culotte pour qu’elle se sente entièrement sous ma domination. Elle adorecela et elle me dit qu’elle est chanceuse de m’avoir comme maîtresse."— "Est-ce qu’elle te le fait des fois elle aussi ?"— "Non, malheureusement, elle est trop niaiseuse."— "Tu aimerais qu’on t’humilie pour abuser de toi ?"— "Oh ! oui mais je n’ose pas le demander à personne, on va me prendre pour unemalade."— "C’est intéressant à savoir. Maintenant enlève ma petite culotte et suce-moi."— "Je ne suis pas une experte. Je n’ai fais ça qu’une seule fois à un gars de maclasse."— "Tu vas le devenir, compte sur moi."
Elle s’avance sur le bout de sa chaise et enlève ma petite culotte, mes soulierset mes bas, à ma demande.
— "A genoux, maintenant et suce-moi!"

Elle rougit légèrement et obéit. Elle s’agenouille face à moi, prend ma queuedans sa main droite et la contemple une dizaine de secondes avant de me confier :
— "Comme elle est belle. C’est la plus grosse que je n’ai jamais prise dans mesmains. Même avec mes deux mains, je ne peux toute la recouvrir, elle est trop grosse et trop longue."
Elle ouvre bien grande la bouche et l’englobe. Elle utilise sa langue pour m’encaresser le bout qui a commencé à suinter. Puis elle tasse ma grosse queue pour que mon gland touche à sa joue. Cela fait une bosse dans sa joue. Elle la serre avec ses lèvres le plus qu’elle peut. J’ai une main dans ses cheveux et l’obligeà me pomper en les tirant d’avant en arrière et vice-versa. Elle suce bien lapetite salope et je sens monter la pression dans mon manche.
— "Je sens que je vais venir. Tu en avales un peu puis tu t’arroses la figureavec le reste sans jamais t’arrêter de me crosser, compris ?"
Un grognement affirmatif se fait entendre. La pression dans ma queue n’est plusendurable. Je ne peux plus me retenir. J’ai les couilles pleines à craquer. Elleva y goûter comme jamais elle ne peut sans douter.
— "Place le bout de ma queue sur une de tes joues pour ne pas t’étouffer car jevais jouiiiirrr..."
Un premier jet chaud s’éjecte dans la bouche de ma nièce. Je tire ses cheveuxvers l’arrière. Ma queue sort de sa bouche.
— "Continue à me crosser et arrose-toi la face et les tétons, petite salope."
Mon orgasme et très abondant. Elle m’a fait une bonne ® job ¯. Avec ses deuxmains sur ma queue, elle me masturbe avec vigueur. Des jets abondants lui inonde le visage que je retiens en position bien droite avec la poigne que j’ai dansses cheveux. Le jus coule sur ses joues et longe son cou. Elle abaisse mon long manche et de nouveaux jets abondants vont atterrir sur ses grosses boules appétissantes. J’allonge le bras et m’empare de ma caméra numérique sur lebureau, à la portée de ma main. Je prends plusieurs photos. Lorsqu’elle m’acomplètement vidé, elle lèche les dernières gouttes sur mon gland.
— "Ne t’essuie pas tout de suite. Lève-toi."
Elle se place debout, face à moi. J’admire mon travail. Les gouttelettes de monliquide laiteux lui coulent partout sur le visage, le cou et les tétons. — "Tu commences à avoir l’air d’une vrai cochonne. Ne bouges pas."
Je lui enlève sa jupe.
— "Assieds-toi les fesses sur le bout de la chaise et continue à lire. Je vais m’installer sous le bureau, assis entre tes jambes."
Je me glisse en dessous du bureau et m’assois par terre. Linda s’installe. Elleavance sa chaise, dépose ses fesses sur le bout du siège et recommence sa lecture. Elle a les jambes bien écartées pour me faire de la place. Je caresse ses cuisses recouvertes de ses bas de nylon. C’est un plaisir suprême. Remontantvers la rencontre de ses belles cuisses, j’introduis mes pouces sous sa petiteculotte. Je trouve facilement son bouton de jouissance qui est bien gonflé. Je l’écrase du pouce gauche pendant que le droit pénètre sans aucune difficultéentre les babines de sa plotte très humide. Ses fesses s’avancent et se reculentsans arrêt. Sa plotte s’inonde de plus en plus.
— "Je te défends de jouir sinon je devrai te punir", lui ordonnais-je.
Elle essaie de crisper sa vulve pour se retenir. Je retire mes pouces de sa petite culotte dont je prends les bords et la déchire. Enfin le chemin libre. Je promène ma langue sur le haut de ses cuisses en me dirigeant vers sa caverne d’amour. Je lui lèche les babines longuement. Des gouttes sortent de sa plotteet descendent vers son anus. — "Ecartille-toi plus que ça." Elle avance un peu plus ses fesses sur le bout de la chaise et ouvre les cuisses le plus qu’elle peut. J’enfonce mes deux pouces dans sa fente et tire très fortpour rouvrir ses babines aux maximum. Elle fait une grimace. De la belle viande jeune et chaude m’apparaissent. Je colle aussitôt les lèvres de ma bouche dessuset me met à lui manger la plotte. Elle ne peut plus se retenir et me décharge un orgasme abondant dans la bouche. Je savoure, en connaisseur, cette liqueur divine. J’en avale le plus que je peux mais elle en déverse tellement que je nepeux tout avaler. Ce qui ne prend pas la direction de ma bouche, se fraye un chemin jusque entre ses fesses et inonde son anus. J’enfonce ma langue dans saplotte toute chaude et, tout en faisant de l’exploration à l’intérieur, jeparviens à lui enfoncer mes dents du hauts sur le clitoris. C’est l’extasetotale pour cette jeune sans expérience. Un autre orgasme, encore plus abondant que le premier, m’explose dans la figure. Le jus me coule sur le menton etmouille toute ses fesses jusqu’à son petit trou brun. Voyant cela, je place mon index sur cette ouverture encore vierge, j’en suis certain, et pousse lentement.Bien humidifié, il parvient à se faire facilement un chemin et s’enfonce dans lejolie petit cul de ma nièce.
— Mon onnnccclllee, qu’est-ce que tu fais làààà....— Je t’encule avec un doigt, ma petite chérie.— Ohhhhhh !, on ne m’a jamais fait cela avannnnntttt......— Je vois que tu apprécies beaucoup.....
Je rentre mon index jusqu’à la jointure. Lorsqu’il est complètement entré, je ledirige vers sa vulve et le fait bouger le plus que je peux. — Ahhhhhh.......
ne peut retenir une Linda en extase. Un orgasme déverse une autre grande quantité de son liquide si intime. Je replie le bout de mon doigt comme un crochet et commence à lui donner un mouvement de va et vient dans son cul tout chaud. Trois orgasmes successifs s’en suivent. Le jus coule de sa plotte commeune rivière au printemps qui déborde. Avec un grand effort, je pousse sur sa chaise et sort de ma position plutôt inconfortable. Je me relève bandé comme un taureau. Je fais placer ma nièce debout puis l’oblige à se plier sur le ventrepar dessus le dossier de la chaise. Elle m’offre le plus beau des spectacles.Une superbe paire de fesses divisée par une belle craque qui avantage drôlement son cul. Le jus miroite sur ses fesses. J’aperçois les lèvres de sa plotte quisont tout aussi trempées. La tentation est trop grande. J’empoigne ma grossequeue et l’enfonce immédiatement dans la grotte de joie de ma nièce. Elleparvient à se redresser le dos et me demande : — Ouffff ! laisse-moi m’habituer, mon oncle. C’est la première fois que j’en aiune si grosse qui me transperce le bas du ventre.
Je la laisse prendre le temps de savourer mon superbe morceau. Je sens les contractions de sa vulve sur mon manche puis , lentement, elle se dilate. Je m’agrippe à ses deux gros tétons et tire dessus comme pour les arracher tout enla fourrant à plein régime.
— Oh ! oui ! tire fort sur mes tétons.... arrache les.... je sens ta grosse queue partout dans mon ventre.... c’est superrrrrr.......
Cette petite salope jouit à nouveau. Je la pistonne encore un moment puis, comme je sens monter ma sève à mon tour, je retire ma queue, fais faire un demi tour à Linda pour qu’elle soit fasse à moi, l’assois sur le bord du bureau et luienfonce à nouveau ma queue dans la plotte juteuse. Elle m’entoure le cou de sesbras.
— AH ! mon oncle, oui, encore.... encore..... c’est fantastique.
Elle se colle à moi et s’agrippe fortement. Je la soulève du bureau et l’agrippepar les fesses. Elle commence à se faire aller sur mon pieu. Je la sens glisser un peu. En essayant de mieux la retenir, je touche à son anus. J’y enfonce undoigt de la main droite. J’ai ainsi une bien meilleur prise.
— AAAhhhhhhhhh !
se lamente Linda. Sans hésiter j’introduis l’index de mon autre main et luiélargit le trou de cul. Je grouille le bout de mes doigts en même temps dans ses entrailles.
— Oh !..Ah !..aaaaaaaaaaaaa tu vas me faire capoter.....
et, encore un autre orgasme m’inonde la queue. Linda s’enfourche le plus vitequ’elle peut sur mon manche qui est au vif. Je n’en peux plus et je lui crachetout le foutre qu’il me reste dans la plotte.
— Enfin.... je sens ta liqueur apaiser le feu que j’ai dans la plotte...wowwwww..........
Les forces m’abandonnent et je dois la déposer sur le bureau, exténué.
Nous reprenons notre souffle. Elle me regarde et me fait un grand sourire avant de me dire :
— Tu es un champion, mon petit mon oncle d’amour.
On s’esclaffe de rire et on se jette dans les bras, l’un de l’autre.
Après quelques minutes de repos bien mérité, je regarde Linda d’un air sévère etlui dit :
— Maintenant je dois te punir pour m’avoir désobéi. Je t’avais ordonnéd’attendre avant de jouir, lorsque j’étais en dessous du bureau.
Linda baisse la tête, n’osant me regarder. Je m’assois sur une chaise sansappuie bras et lui ordonne :
— Tu vas te coucher sur les genoux et je vais te donner la fessée.— Mais, mon oncle, je suis bien trop vieille pour recevoir la fessée.— Il n’y a pas d’âge pour cela, allez, obéit.
Linda me regarde et réalise que je suis sérieux. Elle baisse à nouveaux les yeux et rougie. Elle s’avance lentement puis se couche sur mes genoux, les fesses àma portée. Je commence à lui administrer une fessée. Les claques commencent lentement pour augmenter rapidement de force et de vitesse. Elle se lamente au début puis lorsqu’elle sont bien rouges, elle fortille beaucoup moins jusqu’à selaisser faire. Puis, c’est la jouissance qui fait place à la douleur. Linda a unorgasme important à nouveau. Lorsqu’elle a terminé, j’embrase et liche sesfesses.
— Maintenant tu vas me laver la queue avec ta langue. Elle est pleine de sperme et de ton jus de plotte.
Elle obéit tout de suite et se place à genoux pour me laver la graine avec sa langue.
— On va maintenant dîner. Tu vas appeler Vicky pour qu’on l’initie à l’internet.— "Ca, c’est une bonne idée", me dit Linda en se ruant vers le téléphone.
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