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La magie et le sexe!

Chapitre 1

Le commencement

Divers
C’était une autre froide soirée d’hiver au Canada. Ça me faisait penser à la solitude que je ressentais. Quelques semaines plus tôt, ma petite amie me quittait pour un autre mec qui était en fait un trou du cul. Ce que ça me manque... sa chaleur. Je pensais. Se faisant, une chaleur réconfortante m’envahit. Ça me ramenait à la réalité. Que j’étais un mage ! Un sorcier des temps modernes. Un soir de mes 15 ans, un vieil homme m’apparut dans un moment dur de ma vie, me disant que j’étais digne de recevoir les pouvoirs des serviteurs de Zeus. À partir de ce jour, j’ai utilisé mes pouvoirs pour faire le bien pendant 3 ans, souvent, ce n’était pas grand-chose, des petits trucs par-ci par-là. Juste assez gros pour ne pas me faire remarquer. Les mages doivent vivre dans l’ombre, et ainsi vivre dans l’absence de vie amoureuse/sexuelle. L’ordre n’est pas très sévère, beaucoup de mages puisent leur puissance dans la luxure. Selon ces mages, un paradis sexuel existerait pour ceux qui en sont dignes.
C’est toujours comme ça... soyez digne de ceci, soyez digne de cela, et pourquoi ? Encore plus de restrictions...
Je marchais d’un pas normal pour rentrer chez moi, quand j’entendis un bruit dans une ruelle près à ma droite. C’était un gémissement étouffé, avec des bruits de friction de tissus et de coups sur une pierre. J’ai tourné la tête et ça m’a pris quelques secondes pour réagir. Une femme était en train de se faire violer par un vieil homme au visage camouflé. J’invoquai un sort de foudre et lui lança. L’homme revola en arrière et s’enfuit. La femme fut choquée pendant un instant avant de me regarder. Son manteau était au sol, elle portait un décolleté, laissant voir une partie de sa poitrine dénudée. Ses seins étaient ceux d’une jeune femme, assez gros.
— Merci beaucoup ! Il était... il allait... bégaya-t-elle, merci infiniment !— Pas de problème... euh... votre dessus est... que je commençai.
Je n’ai pas eu besoin de finir, elle regarda mes yeux, regarda sa poitrine. En toute vitesse, elle se cacha avec ses bras.
— Oh mon Dieu ! Désolé!
Je me retournai rapidement.
— C’est moi qui devrais être désolé!
J’attendis, j’entendais les sons du manteau qu’elle remettait sur ses épaules, et de la neige qui craquait sous ses pas.
— C’est bon ! Mon nom est Valkya, troisième concubine de Zeus.
Je me suis retourné presque immédiatement avec un air surpris sur le visage. Attends... elle a bien dit... Ce n’était plus une jeune femme qui se tenait devant moi, c’était une femme d’une quarantaine d’années vêtue d’une robe blanche givre, laissant voir ses courbes extrêmement sensuelles et ses gros seins fermes. Son visage était celui d’un ange âgé avec de longs cheveux blonds.
— Ma... Madame que faites-vous ici ?!? — Je te testais jeune mage, dit-elle avec un sourire narquois sur les lèvres.
— Me... me testais ?— Oui, cet homme était un de mes serviteurs, si tu avais été un mage de bas niveau, ton goût pour la luxure aurait pris le dessus et tu m’aurais sûrement sautée dessus comme un chien en chaleur, mais ton sens du dévouement et de la raison ont pris le dessus, et tu as même été très courtois envers moi.
Ma tête tournait à mille à l’heure, à quoi servait ce test ?
— Oh, ce test servait à mesurer ta maturité et ton intelligence. Tu sais, les mages sont des hommes et ont des... pulsions à un certain moment de leurs vies. C’est complètement normal, et malgré le code, il existe un endroit où les mages peuvent se... laisser aller.
Si elle parlait de ce que je pense... non, ce n’était pas possible... ce n’est qu’une légende parmi les mages... impossible que ça existe pour vr...
— Le bordel des chaleurs existe bel et bien jeune mage, ce bordel qui donne la possibilité aux mages d’assouvir tous leurs fantasmes sexuels. Il suffit seulement d’avoir la maturité et la patience pour obtenir le droit d’y accéder. Oui, cet endroit où 1 heure équivaut à environ 1 seconde dans le monde réel. Sais-tu pourquoi cet endroit est si bien caché?— Non Madame, répondis-je.— Pour justement donner aux autres mages la persévérance pour se rendre jusque-là. Pour les remercier d’être de bonnes âmes auprès des mortels. Et mon garçon, sache que tu y as maintenant accès. Après ces quelques années sans rien, tu as droit à tout pour le reste de ta vie. J’espère que tu prendras du plaisir.
Elle me tendit une clé. Elle était en or, mêlée de rouge sang, le petit manche était en forme de cœur et le bout de clé faisait penser à une femme qui effectuait un strip dance.
— Peut importe quelle porte tu trouves, insère cette clé dans la serrure et entre, tu seras ainsi dans le bordel des chaleurs. Je dois maintenant retourner auprès de mon maître, même les dieux doivent se laisser aller parfois, me dit-elle avec un clin d’œil, au revoir mage.— Attendez !
Mais elle était déjà partie. J’étais figé sur place. La légende du bordel était donc réelle ?!? Je continuais mon chemin, et avant d’entrer chez moi, j’insérais la fameuse clé, une vibration, une chaleur réconfortante et... le paradis. Non. Un petit bureau était devant moi avec une jeune femme assise à celui-ci. Elle avait des cheveux bruns longs, mettant en valeur son beau visage aux yeux vert émeraude. Elle portait un uniforme de secrétaire, mettant en valeur ses formes de femme fatale et ses seins de taille moyenne. J’ai remarqué assez vite l’absence de soutien-gorge, ses mamelons pointaient à travers son dessus, m’excitant à un haut point. Elle leva enfin les yeux et me fit un sourire.
— Bonsoir mage ! Comment puis-je vous aider ?— Euh... et bien... c’est un peu étrange à expliquer... la clé...
Elle regarda ma main tenant la clé, et eut un petit rire mignon.
— Ah je vois ! Un nouveau venu au bordel des chaleurs ! Ici, c’est l’inscription, tu dois donner ton identité, ton âge, tes informations... blablabla... les trucs ennuyeux, la paperasse quoi... et ensuite, je dois t’accueillir comme il se doit, me dit-elle avec un sourire et un regard rempli de désir. — M’accueillir ?
Sans un mot, elle se leva et s’approcha lentement de moi, déboutonnant son haut, laissant voir ses beaux seins. Mon corps était en feu et mon pantalon plus serré au niveau de ma queue.
— Tu veux les toucher ? me demanda-t-elle en mordant sa lèvre.
Je hochais la tête affirmativement. Elle prit ma main et la déposa sur son sein droit. Elle se mit instantanément à ronronner de plaisir. Il était doux et le téton était dur entre mes doigts. Je la pelotais et la massais du mieux que je pouvais. Elle fermait les yeux en gémissant doucement.
— Mmmm... tu fais bien ça... c’est bon... tu veux les prendre dans ta bouche ?
J’avais déjà pris les devants. Ma bouche s’approchant du mamelon pour le mordre gentiment, le lécher et le sucer. Ces gémissements s’intensifièrent.
— Oh oui... oh que c’est bon...
Sans que je m’en rende compte, mon chandail était au sol avec son dessus. Elle était maintenant en train de se défaire de sa jupe, la faisant glisser lentement le long de ses jambes fines et douces. Elle ne portait pas de culotte non plus. Je ne pouvais pas quitter sa chatte des yeux. Elle était rasée... et très mouillée.
— WoW... jamais un nouveau ne m’a fait cet effet-là! s’exclama-t-elle en passant un doigt sur sa chatte et en le léchant. Allez, viens là!
Elle m’enleva mon pantalon et mon caleçon en même temps, laissant sortir ma bite toute dure.
— Mais c’est que je te fais de l’effet aussi, dis donc ! Laisse-moi t’aider...
Elle commença à me sucer la queue comme une pro, alternant dans la vitesse et la profondeur auxquelles elle la prenait. Je sentais sa langue glisser et parfois toucher mes couilles. Je me sentais au paradis. Après un bon nombre de va-et-vient, elle se leva et me chuchota.
— Maintenant, c’est à ton tour de me faire plaisir.
Elle me mit sur mes genoux et me présenta son intimité. Elle mouillait tellement que la cyprine coulait sur ses jambes, un filet de mouille coula directement sur le sol, faisant monter mon excitation dans le tapis. Sans lui laisser le temps de parler, je me mis à lui lécher sa chatte comme un démon. Elle eut un petit cri de surprise qui se métamorphosa en gémissements intenses et des coups de bassin de sa part, me foutant plein de cyprine au visage. Je titillais son clitoris pendant un moment et j’introduisais ma langue dans son orifice, alternant entre les deux.
— Oh, par tous les dieux ! Continue ! C’est tellement bon ! Mmmm oui ! s’exclama-t-elle.
Elle tenait ma tête et la poussait contre sa chatte en bougeant sa taille au rythme de mes léchouilles. Elle poussa alors un cri aigu et un flot de cyprine s’échappa à nouveau, je bus la tasse pendant un moment. Elle tremblait de tout son corps et sa respiration était saccadée. Elle me leva et se jeta littéralement sur moi. Nos lèvres se rencontrèrent, sa langue essayant de se frayer un chemin dans ma bouche pour goûter au mélange de salive et de mouille. Elle interrompit notre baiser.
— Oh je peux plus attendre ! Vraiment aucune personne ne m’a jamais fait cet effet ! Son regard se posa sur ma bite toute dure. Wow... je la veux en moi... — Allez, défonce-moi comme une chienne !
Elle se pencha sur son bureau, m’offrant une vision hors pair sur sa chatte et son joli cul. Je m’approchai et frotta ma bite sur son intimité, elle gémit et me supplia.
— S’il te plaît, pénètre-moi ! Tu vas me rendre folle !
Sans le vouloir, je la pénétrai d’une façon plus rude que je ne l’aurais voulu, mais elle n’avait pas l’air à s’en plaindre ! Au contraire, elle cria d’extase quand ma verge rentra en elle. Je commençai donc à donner des coups violents avec mon bassin, faisant claquer ses fesses sur mon pubis. À chaque coup, je sentais les muscles de sa chatte qui se contractait sur ma bite, et c’était divin ! Elle hurlait maintenant et se déchaînait.
— Alors t’aimes ça, te faire foutre comme une sale pute ? lui demandais-je, comprenant maintenant quel type de fille elle était.— Oh oui putain ! Enfin un gars qui me défonce comme la salope que je suis ! Oh plus fort ! Plus fort ! C’est tellement bon !
Sans crier gare, je lui giflai la fesse droite, laissant une marque rouge éclatante. Elle cria de surprise en premier, et à la suite de plaisir. Je sentais l’extase approcher et Madame ne se retenait pas pour m’annoncer son orgasme prochain.
— C’est trop bon ! Ma chatte est en feu merde ! Je vais... ça vient ! Je jouiiiis !
Au même moment que son orgasme, je laissai un torrent de sperme remplir sa chatte. On passa un moment dans cette position, ma verge au fond de son intimité, laissant couler tout mon jus en elle. La secrétaire n’avait pourtant pas l’air à s’en soucier, elle avait plutôt l’air amusée par la situation. Je me retirai, laissant le surplus de sperme sortir avec puissance de sa chatte. Elle eut un spasme de plaisir pendant son éjaculation féminine.
— Eh bien... c’était... c’était vraiment incroyable... tu vas en faire des heureuses là-dedans ! En tout cas... moi j’étais aux anges, me dit-elle avec sourire coupable.
Elle passa sa main sur sa chatte et lécha le mix de mouille et de foutre, me faisant rebander immédiatement.
— Hihi ! J’aurais bien envie d’un 2eim round, mais je dois faire mon job et te faire rentrer là-dedans mon petit coquin ! Alors j’ai besoin de ton nom s’il te plaît, ensuite je relirais ta clé à ton énergie corporelle. Alors, qui es-tu ? me demande-t-elle avec un sourire.
Je respirai un bon coup et laissa ma voix aller.— Merlin, je m’appelle Merlin.
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