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La main de maman ( suite de "un rituel" )

Chapitre 1

Inceste
La main de maman (suite de « un rituel » ).

Je me suis couché plus tôt ce soir et maman vient frapper à ma porte après être passée faire son pipi du soir
Tu es déjà couché... tu dors ?
Non, je viens juste d’éteindre ...
Bon ... je viens te faire un bisou alors ...
Oui maman
Tu es bien sage...
Elle vient me faire un bisou en se penchant sur mon visage, je lui rends quand elle me tend sa joue, et je sens sur le bord de mes lèvres combien sa peau est douce. Puis elle s’assied sur le bord de mon lit en me faisant face, légèrement de biais. Je sens sa présence, son corps lourd qui s’enfonce dans le matelas à côté de ma hanche. Je distingue sa silhouette dans la pénombre : ma chambre n’a pas de volets et il y a un grand velux au-dessus de mon lit.
Dis donc mon petit François, je voulais te poser une question ... ça fait déjà un moment ... mais je ne savais pas trop comment t’en parler ... et ça continue à me tracasser...
Oui ... ?
Le dessin que j’ai retrouvé l’autre jour ... celui que j’avais laissé posé sur ton lit ... dis-moi un peu ... c’était pas mes culottes que tu avais dessinées... ?
Euh ... hem ... oui... pardon maman ... je ne voulais pas ...

Et ... bon, je suis plutôt gênée de parler de ça avec toi ... c’est vrai qu’on n’a pas tellement l’habitude de parler de ces choses-là ... mais... tu te fais des choses ... des choses avec ... avec ton zizi ... tu te tripotes le ... le zizi ... enfin, tu... tu te masturbes ? Je sais que tu es un grand garçon, et je ne devrais peut-être pas te demander ça, mais bon ... ça m’a quand même fait un coup de voir tes dessins ... et j’aimerais bien qu’on puisse tirer ça au clair, histoire d’en avoir le cœur net ... Alors ... tu le fais ?
Je suis complètement pris au dépourvu, s’il y a bien une chose que je déteste et qui me répugne, c’est devoir parler de sexe avec maman, je me sens tellement coincé d’avoir à parler de ça avec elle. Mais là, je suis bien obligé de lui répondre, et le ton de sa voix est plutôt engageant, je sens qu’elle exprime une vraie curiosité, qu’elle n’a pas l’air d’être trop fâchée et qu’elle est plutôt intéressée par ce que je vais bien pouvoir lui répondre. Et puis ce soir, il y a comme un feeling qui me pousse à me lâcher, à lui faire mes confidences les plus coupables. C’est un peu comme une confession, et j’ai un vague sentiment que ça m’aidera peut-être à me soulager un peu. Là, dans l’intimité de ma chambre, à la faveur de la pénombre, c’est peut-être plus facile, je sens que c’est le moment ou jamais de lui dire la vérité.
Euh ... oui ...
Et ... tous les jours ... ?
Euh ... oui ... enfin, presque ...
Et ... tu le fais avec... avec mes culottes ... tu te sers de mes culottes pour te faire ... c’est pour ça que tu t’intéresses à elles ... ton ... ton zizi devient tout dur ? ... Je suis ta mère quand même, au cas où tu l’aurais oublié ... et même si mes culottes te plaisent ...
Oh ... pardon maman, pardon, je ne le ferai plus ... je sais que c’est mal ...!
Bon ... au moins, tu avoues ... tu es sincère avec ta maman ... et alors... alors ... tu te ... tu te touches le zizi, c’est ça ? Elles t’excitent, mes culottes ... elles t’excitent tant que ça les culottes de maman ?
Pardon maman !
Et qu’est-ce que tu fais avec ... tu les regardes ... tu les sens ... ?
Oui ... euh ... je les touche ... je les regarde ... des fois, je les essaye ... je les sens ... ça me fait de l’effet ... je les trouve jolies ... à chaque fois, chaque fois je ... je deviens tout dur ... pardon maman !
Alors c’est bien toi qui viens mettre le nez dans mes affaires le soir ?Je me disais bien aussi, qu’il devait y avoir quelqu’un qui venait fouiner ... je ne les retrouve jamais comme je les avais laissées ... alors comme ça, c’est toi ... mon pauvre petit chéri ... ça te fait donc autant d’effet ... au point de te tournebouler comme ça...? ... Et d’oser faire ça à ta propre mère ? Remarque ... je me doutais bien un peu ... mais quand même ... bon, au moins j’en ai le cœur net ... c’est déjà ça ...
Excuse-moi maman... s’il-te-plaît ... je recommencerai pas ... promis
Bon ... allez, ça va... je te pardonne ... laisse-moi te refaire un bisou ... et viens m’en refaire un pour la peine ... bon, voilà... au moins maintenant, je connais le fin mot de l’histoire ... enfin ...
Un ange passe, je me sens à la fois gêné et soulagé. Gêné d’avoir été contraint à dire la vérité et soulagé d’avoir réussi à me confesser, même si l’atmosphère dans ma chambre s’est considérablement alourdie, que je sens monter comme une tension entre maman et moi, là, tous les deux dans l’obscurité. Je l’entends déglutir avec difficulté, et puis, d’une voix devenue plus rauque, dans un murmure, elle poursuit :
— Et ... et tu l’as déjà fait, ce soir ... tu t’es ... tu t’es déjà ... masturbé?— Non maman ... euh ... pas encore, non ...— Et tu allais le faire ... tu avais l’intention de ... de venir prendre ma culotte ... de le faire ... de le faire avec ma culotte ... de te masturber avec ? tu peux me dire la vérité maintenant ... tu me dois bien ça non ... ?
Je sais pas ... euh ... oui ... peut-être ... une fois que tu serais redescendue...
Sa respiration s’est accélérée, je l’entends prendre de profondes inspirations, alors que je sens sa main qui se déplace en tâtonnant doucement sur la couverture, sa main qu’elle passe sur mon ventre. La main de maman qui finit par trouver ce qu’elle cherchait, l’emplacement de ma verge, et qui commence à me la palper lentement à travers la couverture. Malgré la honte suscitée par mes aveux, je constate avec effroi que je me suis mis à bander, et que ce qu’elle est en train de toucher n’est autre que ma pine qui se dresse sous les draps.
Et bien qu’est-ce qui t’arrive mon petit chéri, on dirait que là tu es ... que tu es tout dur ... qu’est-ce qui se passe ...? C’est de parler de ces choses-là ... d’en parler avec moi ... tu étais en train de penser à des choses ... ou c’est maman qui te fait cet effet-là... hein ? Tu peux me dire tu sais ... alors ?
Je sais pas maman...
Tu veux que je te fasse un petit câlin ? Tu veux que maman s’en occupe ? Ou tu préfères me montrer ... ? ... Depuis le temps que j’y pense ...
Je ne sais pas quoi lui répondre, entre ma honte d’avoir dû me démasquer, la gêne que j’éprouve, et la folle envie de voir jusqu’où les choses peuvent aller, je décide de me fier à une vague intuition et de laisser faire maman. La situation est tellement inattendue que je reste littéralement sans voix. Je distingue sa silhouette assise face à moi, légèrement penchée vers l’emplacement de mon sexe en érection, appliquée à tendrement me palper, comme perdue dans ses pensées, comme si elle réfléchissait. D’un coup sec et décidé, elle se saisit des draps et de la couverture pour les tirer à elle et les repousser sur mes genoux, puis je sens sa main se glisser avec dextérité sous l’élastique de mon pantalon de pyjama. Ça a juste pris une seconde. Le contact de ses doigts est tout léger alors qu’ils tâtent doucement mon membre durci, avant de descendre sous mes couilles et de lentement les caresser.
C’est la première fois qu’une autre main que la mienne touche mon sexe raidi, et ce contact m’électrise. Qu’en plus ce soir-là, la main de maman, si douce et si attentionnée, me plonge dans un véritable vertige,
attends mon grand, on va baisser ton pantalon, ce sera plus pratique ... lève un peu les fesses ... voilà... et bien dis donc ... il a bien grossi ton petit robinet ... et il est drôlement dur ... laisse faire maman, tu vas voir ... on va bien s’en occuper de ton gros zizi ... tu me dis si je te fais mal... d’accord ? Oh ... j’allais oublier ... attends mon petit chéri ... puisque de toute façon, tu l’aurais fait ...
Elle se lève du lit, dans la pénombre, je l’entends et la distingue trousser sa jupe pour rapidement baisser son collant après avoir porté les mains à ses hanches, j’ai l’impression de vivre un rêve, de rêver que maman se déshabille devant moi. Puis elle se rajuste, se rassied pour finir de l’enlever complètement, et quelques instants plus tard,
tiens... prends... c’est ma culotte ... qu’au moins je puisse voir ce que tu en fais, même si c’est dans le noir ... ce sera un peu ma récompense... et comme ça, ce soir, tu n’auras pas besoin d’aller fouiller dans mes affaires, et de faire ça en te cachant ... alors, elle sent comment ... ?
Oh maman ... ! tu sens tellement bon ... si seulement tu savais ... !
C’est vrai ? ça te fait vraiment de l’effet on dirait... c’est l’odeur de ma minette, tu sais... tu l’aimes tant que ça l’odeur de ta maman ? ... Voyons voir ça ...
Elle commence de lents et tendres mouvements de va-et-vient, maman se met à doucement me masturber, à me branler amoureusement, me soupesant les couilles au passage lorsqu’elle redescend, me caressant la verge tendrement, sans se presser, sur toute sa longueur, prenant tout son temps pour en jauger la rigidité, passant le bout de ses doigts sur les pourtours de mon gland qu’elle a lentement décalotté, comme pour mieux en éprouver la sensibilité, s’arrêtant dès qu’elle me sent me crisper, avant de reprendre ses doux va-et-vient le long de ma bite lovée au creux de sa main, sa main si douce, si chaude. La sensation est extraordinaire.
On va bien vider tout ça, tu vas voir ... hein ? Laisse toi aller... laisse faire maman... mon Dieu, comme elle est dure... c’est tout sensible ... hein ? C’est vraiment maman qui te fait cet effet-là ?... Mon Dieu ... si un jour on m’avait dit ça ... que je ferais ça à mon grand garçon ... et qu’est-ce qu’elle est grosse ... ! J’espère qu’un jour, tu pourras faire des heureuses ... ! Tu sais, ça fait longtemps que j’en avais envie ... que ça me trotte dans la tête... à force de t’imaginer, tu penses bien... ça me faisait venir des idées ... en plus, elle est belle, tu sais ...? Même si on n’y voit pas bien clair, je m’en rends compte quand même, vraiment jolie... elle est vraiment magnifique ta grosse zigounette ... je suis plutôt fière de moi, de pouvoir dire ça de mon grand garçon ...
Oui ...? Oh, maman, oh ...! Tu sens tellement bon maman, oh oui... oui, comme ça ... continue maman ... oh, t’arrête pas ... ne t’arrête surtout pas... si tu savais comme c’est bon ... et comme tu me le fais bien ... continue, s’il-te plaît continue !
Je suis au septième ciel et j’aimerais pouvoir me blottir contre elle, pouvoir enfouir mon visage dans son giron, j’ai le nez dans sa culotte encore toute chaude et humide, respirant son merveilleux parfum. J’ai avancé ma main libre pour étreindre ses jambes, caresser et malaxer la chair de ses cuisses, sa peau d’une incroyable douceur. Je touche aussi les bourrelets de son ventre à travers le tissu de son chemisier, sans oser monter plus haut pour la poser sur ses gros seins. Je la vois laisser couler de la salive au creux de sa main, pour mieux pouvoir faire coulisser mon prépuce sans me faire de mal, elle accélère le rythme, augmente la pression de ses doigts autour de ma pine, et je sens mon sexe se tendre encore un peu plus avec l’arrivée de la jouissance.
En quelques instants, entre soupirs et gémissements, le nez empli des parfums de la culotte qu’elle vient de retirer pour moi, je sens le sperme monter au creux de la main de ma mère, je sens ma semence gicler de mon gland et tout éclabousser dans une interminable série de spasmes. C’est la toute première fois que je me sens jouir aussi fort, et je voudrais que ça ne s’arrête jamais, pouvoir continuer à me libérer ainsi pour toujours. Sa voix s’est animée pour mieux m’encourager.
Voilà ... oui ! comme ça ... oh mon petit chéri ...! allez, vide-toi bien ... montre à maman, donne-moi tout ... vas-y, respire bien l’odeur de maman... donne tout à maman... ! allez, oui, encore ... donne à maman ! Fais bien tout sortir... !
Et bien dis donc, on dirait que tu en avais vraiment besoin ... non, mais, regardez-moi ça... tu en as mis partout...! Attends, je vais te nettoyer ... je vais t’essuyer avec ma culotte ... donne ... de toute façon elle allait partir au sale ... attention les yeux ... j’allume la lampe ...
Sans me regarder, alors qu’avec application, elle essuie le sperme qui macule mon ventre en se servant de sa culotte, elle poursuit dans un murmure, le regard toujours baissé
Voilà ... ça y est, je t’ai bien nettoyé, te voilà tout propre... je ne pensais vraiment pas qu’il y en aurait autant, dis donc ... alors ...? c’était bon au moins ...? tu sais, je n’ai pas vraiment l’habitude de faire ça ... ça t’a plu ... ?
Oh ... oh oui maman ... si tu savais ... si tu savais comme c’était bon... !
Bon, je suis contente que ça t’ait fait plaisir ... si tu veux, on pourra recommencer ... qu’est-ce que tu en penses, tu crois que tu en auras encore envie ? tu n’auras qu’à me dire ... me dire quand tu voudras que je te fasse un gros câlin ... d’accord ?
Oui... oui maman ... c’est d’accord ...
Allez, j’éteins... dors bien mon chéri ... et tâche de passer une bonne nuit ! Moi je vais me laver et me changer.
Après m’avoir légèrement ébouriffé les cheveux et déposé un bisou sur le front, elle se lève et je l’entraperçois se diriger vers la porte, avant de sortir et de refermer ma chambre sans faire de bruit.
À demain !
Oui, à demain mon chéri !
Je remonte mon pantalon, me recouvre de mon drap et de ma couverture, en commençant à me repasser, encore émerveillé, le film de ce qui vient de se passer, empli d’une gratitude sans fin pour ma mère.
Ainsi peu à peu s’est instauré un nouveau rituel entre ma mère et moi, une fois par semaine environ, parfois deux, je me couche un peu plus tôt et éteins la lumière de ma lampe. C’est le signal convenu lorsque j’ai envie que maman vienne me faire un gros câlin, que j’ai envie de sentir sa main sur ma verge pour me branler. Et ces soirs-là, quand elle vient frapper à ma porte pour me souhaiter une bonne nuit, je sens mon cœur bondir et ma pine se durcir. Les choses en sont toujours restées là, seule ma main gauche s’est faite plus aventureuse au fil du temps, s’enhardissant à vraiment la peloter jusqu’en haut des cuisses et à caresser sa poitrine à travers son soutien-gorge, sans que jamais elle ne la repousse.
Elle garde les jambes toujours bien serrées, mais elle me laisse quand même arriver jusqu’à sa toison et j’adore le contact des poils de son pubis sur le bout de mes doigts, je peux presque imaginer sa chatte, et c’est en général le moment où je suis prêt à jouir, le moment où je sens que je vais décharger, quand je peux quasiment me représenter son sexe.
C’est à chaque fois le même rituel, de plus en plus silencieux, comme un sketch réglé à la perfection, dorénavant sans avoir plus le besoin d’avoir à trop se parler : sa culotte qu’elle retire et qu’elle me tend en s’asseyant sur mon lit, toujours à la même place, les draps qu’elle tire, mon pyjama qu’elle abaisse, sa main qui se saisit de ma queue pour tendrement la branler, jusqu’à ce que j’éjacule dans sa main et qu’elle m’essuie avec sa culotte. Avant le bisou de la bonne nuit.
Entre nous, nous n’en parlons plus jamais, il y a juste de temps à autre un coup d’œil un peu plus appuyé, mais cela s’arrête là. C’est notre secret à tous les deux, comme s’il était inconvenant de pouvoir y faire allusion à la lumière du jour. Comme un commun et tacite accord, pour ne pas risquer de rompre le charme de nos si précieux instants d’intimité. Voilà.
Cela a continué un bon moment, durant tous les mois suivants, jusqu’à ce qu’enfin, je rencontre une copine et parte emménager avec elle, environ trois ans plus tard. ( à suivre ? )
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