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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Mains voyageuses

Chapitre 1

Divers
Nous nous présentons : François et Claudie. Nous sommes simplement deux aventuriers qui partageons, avec vous, notre dernière péripétie. Nous habitons le Saguenay (Québec, Canada), nous somme dans un âge de raisons, nous sommes curieux et savons apprécier les choses de la vie. Mais nous ne sommes point des échangistes ou quoi que ce soit, peut-etre sagit-il d’exhibitionnisme de vous révéler cette partie de notre vie intime, mais cette histoire en elle-même, est une de nos expériences, faire connaitre une de nos aventures a la planète entière. Durant le week-end de l’action de grâce, elle fut invité au mariage d’un membre de la famille d’un de ses amis dans un coin du Lac-st-jean, tandis que lui profita de son absence pour aller voir sa propre famille après quelques semaines d’éloignement. Ils s’étaient dit de prendre ensemble l’autobus voyageur du milieu de la journée pour ainsi revenir ensemble. Elle fut la première a embarquer, elle prit bien soin de choisir le dernier banc de l’autobus, qui avait en plus, la qualité d’être le plus grand mais le défaut d’être a côté de la cabine de toilette. Arrivé au village natal de François, ils se retrouvèrent et s’installèrent confortablement, dans les bras l’un de l’autre en vue des 3 prochaines heures. Les retrouvailles s’ouvrirent sur de légers baisers, un réconfort mutuel et une note sur les dernières journées sans nouvelles de la moitié manquante. Une tendresse s’abatit sur eux, un long moment de lassitude et de bien-être les conduisit durant le permier quart du trajet. Cela faisait déjà plusieurs jours qu’ils ne s’étaient pas vu, ni senti leurs présence, le désir prit racine et se manifesta dans des baiser plus fougueux, des caresses plus intenses et un toucher plus explicite. Caché dans l’intimité du dernier banc, béni par la faible occupation de l’autobus, et la chance d’avoir des compagnons de voyage éloignés vers l’avant, un aura de sensualité rayonna des deux corps malgré la crainte d’attirer l’attention. Les épais manteaux et les gilets superflus libérerent les chemises et les t-shirt plus approprié. Les baisers dans le cou se succèderent aux croquées dans le lobe de l’oreille, aux carresses sur les côtes, aux lèvres arpentant les épaules, les paumes cherchant les seins et aux yeux se refermant a moitié. Ainsi, durant un moment qui sembla trop court, les esprits s’échauffèrent. Claudie, interrompit le tout, pour raconté que : -Devine quoi, tu sais mon ami qui m’a invité au mariage, c’est essayé sur moi en mettant sa main sur mon entre-jambe, pendant qu’on était assit sur un divan. Elle joignit la parole au geste, en plaçant sur l’endroit convoité la main de Francois, un peu jaloux et surpris, en guise d’exemple. -Mais je l’ai menacé, que s’il continuait je retournerait chez-moi au P.C. -Et moi, est-ce que je doit enlever ma main? Demanda Francois, qui posait la question que pour taquiner, sachant la réponse. -Non non, ca va. Dit-elle avec un sourire en coin, et un regard agicheur. Francois sentait une petite flamme lui bruler le ventre, son corps voulaient se fondre à celui de Claudie, ses mains l’entourèrent, sa langue s’entremêla avec celle de sa conjointe de banc, sa passion se traduisait par un immense désir étouffé par le lieu peu propice a ce genre d’épenchement. Mais il voyait bien que le même sentiment envahissait Claudie, se promettant d’user de discretion et de prudence il ne put s’empêcher de se risquer à laisser sa main droite frayer son chemin à l’intérieur du pantalon de sa dulcinée et y trouva la source humide et chaude de son désir. Le banc immédiatement en avant, cachait efficacement les amants. Il immisca son index vers le clitoris, et il la fit frémir quelques minutes, et descendit plus bas pour caresser l’horizon de son vagin. Les soupirs et le plaisir se voyait sur le visage de Claudie, de plus qu’elle enfonçait ses doigts dans les bras de son amour. Il entreprit un mouvement exploratoire, cherchant la source du plaisir, chaque plongé la faisait toujours plus accélérer le rythme de sa respiration. Gonflé d’excitation, ivre d’amour et de désir envers sa bien-aimé, il continua, endiablé, a la caresser et à la faire gémir sous ses doigts. Claudie se fondait autour de sa main et elle s’affaissat sur lui tel une pâte qu’il modelait selon son désir et les plaisirs de celle-ci. Dans l’expression de ses sentiments, faire gouter le même plaisir qu’elle subissait depuis un bon moment elle profita de sa position d’affaissée sur lui, tandis qu’il était assit, pour libérer le membre de son pantalon. Elle caressa quelque peut le sexe de sa main et s’y attarda plus ardament avec sa bouche tout en gardant une certaine lenteur. Il tenta de continuer son oeuvre entre les jambes de Claudie, mais la position qu’elle venait d’adopter l’en empêchait, il se contentat d’apprécier son rôle passif. Ses lèvres enrobèrent, sa langue enroula, sa main caressa, sa bouche aspira et lui gémissait et respirait de plus en plus fort, les rôles maintenant totalement inversé. Assis, il jeta un coup d’oeil par dessus le banc pour s’assurer que personne ne regardait ni portait attention ou était debout et reporta vite son attention sur la tête de son amour qui lui prodiguait des caresses l’enhivrant de plaisir. Il ne put s’empecher de synchroniser le rythme de la succion et de la langue de Claudie de mouvement du bassin ce qui décuplait l’effet de l’attention qu’elle lui donnait. Inquiète de se faire attraper par un des passagers, contrainte par l’espace entre les deux bancs qui paisait sur sa souplesse mais passionnée et encouragée par les signes extérieur du plaisir de Francois qu’elle poursuivit ses caresses et l’oeuvre de sa bouche. Quand il se senti près du sommet de son plaisir, il posa sa main sur le cou et la tête qui lui procurait tant de frisson, elle aima bien cette démonstration d’appréciation, car elle sentait maintenant que tout allait comme elle le voulait. Après quelques minutes de ce traitement intense, il avertit qu’il allait être éventuellement prêt a l’explosion de son plaisir. Elle fit signe de son aprobation en continuant son mouvement jusqu’a lui faire atteindre le paroxysme, il relacha la pression pour laisser le plaisir l’envahir totalement, sans contrainte, et il eu un orgasme des plus déclicieux. Elle se fit réceptacle de l’averse de son coit, une satisfaction de l’oeuvre achevée la gagna ainsi qu’un désir fou de l’embrasser, qui lui fut comblé, couvrant une pause pour les amants qui se fondirent dans les bras de l’autres pour reprendre leurs soufle. La volupté fit place a des baisers et de douces paroles, le deux-tiers du trajets étaient derrière eux. La fougue le reprit un peu, il redéposa sa main sur le sexe de sa douce qui ronronna. Il lui demanda si elle avait le gout, ce qu’elle confirma avec empressement. Il la regarda et sourit, détacha son pantalon et le baissa au genoux. Elle se tordait presque de désir. Il aurait bien voulu la déshabiller entièrement, la couvrir de millier de baiser, de centaines de careses, de la dévorer tout comme la prendre avec toute la force et la tendresse qu’il ressent pour elle. Mais dans l’autobus, il ne put que se contenter de lui rabattre a moitié son pantalon et ses dessous et la coucha sur lui, assis. Sa main droite longua la frontière entre la douce peau et le rosé gorgé de désir. Il n’en fallut pas plus longtemps pour aller repèrer le bouton d’amour le réchauffé de ses doigts de fées et descendit vers l’antre miellé. Il sentait l’ordeur musqué du sexe chaud et humide, la soif de goutté le prennait, mais à défaut de combler son gout il s’investit dans l’agileté de ses deux doigt qui s’enfoncaient vers les abimes charnels. Des soupirs, des cris étouffés, des râlement, des yeux renversés, lèvres mordus furent le lot de la victime de ses caresses qui furent aidée d’une main gauche qui s’empressat d’attraper un sein. Oubliant l’autobus et les autres occupants, elle le supplia de la manger, mais plus sage et surtout la tête plus froide, il se retint, malgré son désir de lècher les lèvres, sonder de sa langue ce qu’elle avait a offrir, et boire le miel directement de la fontaine. Passionément, pendant tout le reste du trajet, il la fit monter au 4e ciel avec sa main droite mais le 5e et le 6e ne tardèrent pas quand sa main gauche prit sous son index le clitoris. Le nouveau duo ambidexte la fit presque hurler, ses timpans voulaient éclater, jamais autant elle avait vibrer sous les mains agiles de son homme. La satisfaction le gagnait quand il la voyait se débattre et jouir. Elle ne savait plus ou donner de la tête, ses mains serrant le banc qui les précédait, sa tête appuyée sur le rebord de la fenêtre. Elle aurait voulu pouvoir rester encore de longues heures en si bonne compagnie, dans ces bras qui savaient si bien la réconforter. Malheureusement, le terminus était là pour elle, ils durent se séparer déjà. Mais le voyage avait tout de même valu la peine.
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