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Mais Vacances au Lux

Chapitre 1

Gay
Bon allez cette année, c’est le bac, mais d’abord, on profite des vacances, sinon moi c’est Étienne, j’ai fêté mes dix-huit ans il y a déjà plusieurs mois. Physiquement, je suis plutôt pas mal en vrai, cheveux longs un peu en arrière, couleur brun, j’ai des yeux bleus, et franchement je suis fier de mon bide, pas musclé comme tous les jeunes sur les réseaux sociaux à s’exhiber là, mais c’est un ventre normal, plat, j’avoue, il est légèrement un peu rebondi (trop de bière en fait) sinon niveau bite bah ça va, on part sur du seize centimètres en érection, j’ai un corps des plus normaux en fait.
Bref passons, j’habite au Luxembourg, mais ça ne veut pas dire que mes parents sont fortunés, on est plus du type “ça va quoi”, mon père a un bon job et ma mère reste à la maison.
On est dans un quartier plutôt sympa pas loin de l’école et de la ville.

Dans l’après-midi, écouteurs aux oreilles, je vais seul au bar, et je mate les mecs qui passent, c’est tranquille, je discute avec le patron, une journée normale. Au loin, je repère deux jeunes qui se détachent d’un groupe, ils marchent en retrait et se chuchotent à l’oreille, hahahaa un beau p’tit couple que voilà. Je les vois venir dans ma direction, je fixe l’un d’eux qui s’en rend vite compte et me fait un clin d’œil.
Je suis assez surpris, tellement que la gorgée que je m’apprêtais à avaler se renverse sur moi, le garçon n’en perd pas une miette et se lèche la lèvre tout en me fixant à son tour.

Je dois admettre qu’il est plutôt mignon, blond, mince, il porte les cheveux comme moi, mais une casquette recouvre son crâne. Il fait grand, cependant je dirais bien 1m85 (pour ma part, je fais 1m77, mais huit centimètres de plus ou de moins ça change hein ?) Style vestimentaire, ça va, jean bleu clair, délavé, avec un T-shirt de Nirvana.
Son copain lui est brun comme moi, il a des yeux vert émeraude, une jolie bouche fine et un air innocent se balade sur ses joues, un peu plus petit que l’autre, il porte un jean troué, et un t-shirt de rock, un collier de surfer autour du coup fait contraste.
Le blond qui m’a fixé, en arrivant à ma hauteur me lâche un bout de papier sur ma table. Je l’ouvre et découvre son numéro écrit avec un minimessage, “on discute ce soir ?”. Il sait comment me parler lui hehehe, bien sûr qu’on va discuter et même maintenant, s’il daigne répondre.

Il est 21 heures, et toujours aucune réponse du beau blond, m’a-t-il oublié ? Quand soudain mon téléphone sonne, vite vite, c’est qui ? Ehhhh merde c’est la daronne. Faut que j’aille prendre ma douche, let’s go alors.

Il est maintenant 23h 30, plutôt fatigué, je décide d’aller m’en cramer une, je descends et me rends dans le jardin, c’est ce moment que choisit le blond pour m’envoyer un message, ah enfin !
— Salut moi c’est Baptiste, et mon pote qui était là cet aprèm, c’était Jason.
— Moi c’est Étienne, je m’ennuie un peu en ce moment, tu fais quelque chose demain ? — Yes ! Je vais boire un coup le soir en ville, au Rock Solid avec deux amies et Jason, ça te dit de venir avec nous ? — Euh pourquoi pas, mais je veux vraiment pas m’incruster. — Non non, ne t’inquiète pas, ça fait plaisir, tu avais l’air seul aujourd’hui et puis c’est une occasion pour toi de rencontrer de nouvelles personnes. — Okay bon bah à demain et vers quelle heure ? — On sera là vers 19h30 afin de choper une table avant que le happy hour ne commence. (Rapidement, le happy hour en gros, c’est une heure durant laquelle tout est réduit dans les bars qui le font, genre au Rock Solid au Lux, toutes les bières sont deux fois moins chères, exemple une pinte coûte normalement cinq euros et bah là ce sera deux euros cinquante) — OK, bon bah bonne nuit et à demain alors ! — Toi aussi, me dit-il.

Yes yes bordel, je n’y crois pas, super sympa le type, on s’est à peine vus deux secondes et direct après, il propose d’aller boire un coup ! Non seulement il sera là, mais en plus, il y aura euh Jason ah voilà.

Vite fait, je remonte dans ma chambre, me déshabille et m’allonge dans mon lit. Je repense à Baptiste et Jason, lentement ma main descend et vient caresser mes boules, puis je saisis ma tige et commence à m’activer. J’imagine bien, la belle pine qui doit se cacher dans le caleçon de Baptiste, et Jason ohhh qui vient s’occuper de moi, il se déshabille doucement, se frotte le corps et me regarde dans les yeux le coquin.
J’attrape la tige de Baptiste et fais signe à Jason de nous rejoindre, je me mets à genoux et approche mon visage des beaux engins qui pointent fièrement vers le ciel. Une odeur virile et jeune s’échappe de leurs bites, doucement je pose mon autre main sur la bite de Jason et la douce chaleur me trouble.
Je peux sentir sa veine qui trépigne d’impatience, mes mains s’activent et lentement, je branle deux belles bites.
Celle de Jason est plutôt pendante, assez grosse, du dix-huit centimètres je dirais à première vue, il est rasé, voir imberbe. Baptiste lui en a une qui pointe de base vers le ciel, enfin la bandée oui, mais elle est plus droite je dirais, lui n’est pas rasé, et ses poils poussent partout, mais ça va, ils ne sont pas trop longs, pas envahissants.
J’approche ma bouche de la tige de Jason et gobe son gland violacé, je le titille, le lèche, j’aspire comme je peux, et de mon autre main, je branle énergiquement Baptiste. J’insiste bien sur le frein de Jason, je viens aspirer ses boules toutes douces, dans ma bouche, je les fais rouler et je retourne sur son gland, je le pompe ardemment et branle de plus en plus vite Baptiste.
Jason lui gémit, il gémit si fort et si bien ahhhhh, Baptiste s’y met aussi, j’ai droit à un concert de gémissements, c’est incroyable. Soudain, je sens un liquide chaud qui envahit ma bouche, il coule de partout dans ma gorge, aux commissures de mes lèvres, sur mon menton, y en a partout ! Baptiste assistant à ce spectacle éjacule sur ma main et sur moi j’en ai partout, je nettoie bien sa queue, et termine Jason. Tout excité, je pousse un râle, et j’éjacule partout, de longs jets se posent sur mon ventre, dans mes draps, il y en a même un qui arrive sur mon oreiller !!
Bordel, va falloir que je cache tout ça, ou mes parents vont me cramer demain matin ! J’essuie tout avec un mouchoir puis j’éteins la lumière.
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