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Maison d'arrêt

Chapitre 3

Travesti / Trans
Je m’apprêtais à suivre Paulo quand il cria tout d’un coup:
— Tes seins ! J’ai complètement oublié.— Bah quoi mes seins, j’en ai pas !— Et bien justement c’est ça le problème. Il t’en faut pour ressembler à une vraie femme.
Je lui répondis sur un ton ironique:
— Je suis désolé, je n’ai pas eu le temps de me faire opérer cet après-midi.— C’est pas le moment de plaisanter. Le boss va me tuer !— Tu n’exagères pas un peu là non ? Il ne va pas te tuer pour ça !— Non bien sûr. Mais il va me pourrir. Et pire, je vais perdre sa confiance.— Ne t’inquiète pas, on va arranger ça. Aide-moi à redéfaire le haut de ma robe.
Je mis un soutien-gorge et le fourrais rapidement avec deux tee-shirts roulés en boule. J’avais la poitrine d’une Bimbo.
— J’ai l’air complètement ridicule ! dis-je à Paulo sur un ton navré.— Oui c’est vrai, c’est pas génial, mais bon, c’est mieux que rien. Allez viens maintenant, on est en retard.
Paulo m’entraîna à vive allure dans les couloirs, j’avais du mal à le suivre.
— Dépêche-toi !
T’es marrant toi. Je voudrais t’y voir avec mes talons de 15 centimètres. Si tu veux, on échange.
— Bon, tiens-toi à mon bras, je vais t’aider à tenir en équilibre.
Je trottais sur mes talons aiguilles en me cramponnant à Paulo pour ne pas tomber. La sonnerie du repas avait retenti depuis un moment, et tous les prisonniers étaient déjà à la cantine, le boss y compris.Tout en m’entraînant à vive allure, Paulo se plaignit:
— Je devais t’emmener voir le patron dans sa cellule et vous deviez partir manger ensemble. Il va être furax contre moi.
Je fis tout mon possible pour le rassurer.
— Mais non tu verras. Je vais arranger ça.
Nous arrivâmes enfin à la table. Le boss nous tournait le dos.
— C’est à cette heure-ci que vous arrivez !
Paulo essaya de se justifier.
— Excusez-moi patron... on...
Je le coupais.
— Paulo n’y est pour rien, c’est ma faute. J’ai mis trop de temps à me préparer. Vous savez ce qu’on dit à ce sujet à propos des femmes !— Ouais, et bien j’espère que le jeu en vaut la chandelle.
J’étais mort de trouille, mais je me forçais à craner. Sur le coup, j’avais pensé que cela pourrait lui plaire, voir même pourquoi pas le séduire.
— Pour le savoir, vous n’avez qu’à vérifier !
Pendant qu’il tournait la tête, je pris une posture aguicheuse en mettant une main sur la hanche, et la deuxième dans mes cheveux. Une vraie pose de starlette !Je vis les yeux de Philippe s’ouvrir en grand. Son visage crispé se radoucit et un sourire s’afficha sur ses lèvres.
— Ouaho ! En effet, cela valait le coup d’attendre. Tu es absolument superbe.
Je lui répondis juste "merci", mais en moi je jubilais. La belle (c’est-à-dire moi) avait conquis la bête.Il se leva et fit un large cercle tout autour de moi. Je restais impassible telle une déesse qui se laisse admirer.
C’est incroyable. Tu es hyper-bandante !
J’aurais préféré un compliment un peu plus distingué, mais bon, j’étais en prison et je savais pertinemment que je ne devais pas jouer la fine bouche. Je pris donc la voix la plus nunuche que je pus pour lui répondre telle une jeune vierge.
— Merci, c’est très gentil. J’ai passé des heures à essayer de me faire belle pour toi. Heureusement que Paulo était là pour m’aider !
Je vis une gratitude immense apparaître dans le regard de ce dernier. Je compris dès ce jour qu’il me serait éternellement reconnaissant de lui avoir sauvé la mise. Au moins un mec que j’ai dans ma poche, me dis-je.
Le boss continuait à m’admirer en silence.
— Je suis vraiment désolée. J’espère que tu ne m’en veux pas d’avoir été trop longue ?— Oh non, pas du tout. Le résultat est vraiment superbe.
Je m’efforçais de rougir comme une gourde à ce nouveau compliment. Je crois que je n’y réussis pas parce que j’étais bon comédien, mais parce que plaire à mon "homme" m’excitait réellement.Le boss semblait intimidé par ma beauté. Je ne pouvais pas le laisser manifester un signe de faiblesse devant ses hommes, et je décidais de me nicher au creux de son épaule en le prenant par le cou en signe de soumission.Philippe me prit par la taille. Puis, une de ses mains s’aventura sur mes fesses qu’il agrippa fermement pour montrer à tous qu’elles lui appartenaient. A cet instant, tout le monde comprit qu’il me prendrait le cul dès ce soir. Je le compris aussi et je me mis à onduler des hanches en signe d’acceptation. Je le fis non pas par résignation ou par calcul, mais parce que j’en avais vraiment envie. Mon cul aussi en avait envie et je n’avais pas besoin de lui dire de se tortiller sous les caresses de mon amant. Il le faisait naturellement.
— Alors les gars, vous la trouvez comment ma femme ?— Super bandante... Euh, excusez-moi boss, je voulais dire qu’elle était très belle.
.A la façon dont le type s’était repris, je compris que mon homme était vraiment craint et respecté, même par ses amis. Je n’en étais que plus contente d’être sa favorite. Mais le gars n’avait rien à craindre, Philippe était trop occupé à m’admirer pour penser à le punir pour son effronterie. Au contraire, je crois qu’il aimait bien qu’on trouve sa femme bandante. En tout cas moi, j’appréciais beaucoup ce compliment.
Tout en me pelotant les fesses devant tout le monde, mon homme prit ma nuque avec son autre main afin que mon visage se retrouve face au sien. Il colla ses lèvres contre les miennes et sortit sa langue. Il lui fallait montrer encore une fois à tous que j’étais sa pute et qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait.
C’était la première fois que j’embrassais un homme, et sincèrement je préfère sentir le rouge à lèvres d’une femme que la barbe naissante d’un mec. Mais bon, cela faisait partie de mon boulot maintenant.
J’ouvris donc les lèvres et laissai sa langue pénétrer ma bouche. Je l’avais chauffé à blanc avec mes minauderies et maintenant j’allais le payer. Ca m’apprendrait à jouer la salope.Il la fouilla dans tous les sens sans ménagements. Mais ce n’était rien comparé à sa queue qui l’avait violé quelques heures auparavant. Au début, je me laissais faire comme une femelle soumise. Mais au bout de quelques minutes, c’est moi qui lui violais la bouche avec ma langue telle une pute en chaleur.Philippe appréciait manifestement. Je sentais sa queue se dresser contre mon ventre. Je savais qu’elle allait bientôt me casser le cul, mais je n’avais plus d’appréhension. Au contraire, je n’attendais que ça. J’espérais juste qu’il ne serait pas trop brutal... enfin, pour la première fois.
J’étais comme dans un rêve. Mon homme aurait pu me prendre sur la table devant tout le monde s’il avait voulu. Je n’aurais rien fait pour l’en empêcher... Au contraire.Philippe s’en rendit compte et déclara à l’assemblée:
— Mais c’est qu’elle est vraiment pressée de se faire enculer cette petite !
Ses amis pouffèrent de rire. J’étais rouge de honte, mais il avait raison, j’avais hâte de sentir sa grosse queue entre mes fesses.
— Ne sois pas si pressée. Viens manger. Tu vas avoir besoin de prendre des forces pour ce qui t’attend.
Dans un geste de galanterie, il tira sur ma chaise et m’invita à m’assoir.
Je n’osais lever les yeux durant le repas. Je sentais tous les regards braqués sur moi, je devinais ce que devaient se dire les hommes du boss à mon sujet :
— Elle va ramasser dur la petite salope.— Oh oui, elle va se faire défoncer la rondelle grave.— En tout cas, elle a l’air drôlement pressée de se prendre la bite du patron dans le cul. Tu l’as vu comment elle l’a chauffé cette petite pute ! Elle va le regretter, elle fera moins la maligne demain avec le cul en chou-fleur !
Il me semblait entendre leurs ricanements, mais cela ne me gênait pas au contraire. J’aimais qu’on me considère comme une pute, qu’on me prenne pour une salope. Mais je ne leur ferais pas le plaisir de me plaindre demain, même si j’aurais le cul complètement explosé. Je leur ferais voir de quoi elle était capable... la "salope".
A la fin du repas, Philippe m’offrit son bras pour m’aider à me lever de ma chaise. Pour le remercier, je plaquais ostensiblement ma main sur sa queue. Je voulais prouver à tout le monde que je n’avais pas peur de ce qu’elle allait me faire. Plus encore, je crois que je voulais montrer à tous que je la désirais.Philippe me donna une bonne claque sur les fesses.
— Allez ma jolie, en piste. Il est l’heure de passer aux choses sérieuses.
Il m’offrit son bras tel un amant voulant promener sa dulcinée. Je l’agrippais et me serrais contre lui telle une femme soumise. Philippe était fier comme un paon pendant qu’il me conduisait dans la chambre nupti..., pardon je veux dire sa cellule.
Ca y est, le moment était arrivé. Je m’assis sur le canapé et entrepris de déshabiller mon homme. Je m’attaquais d’abord à sa braguette puis libérais sa grosse queue. Je la pris tout naturellement en bouche pour la faire durcir, mais c’était inutile. Philippe était déjà raide comme une trique !J’avais attendu cet instant avec impatience, mais la vue du gros gland violacé me fit peur. J’allais réellement le sentir passer !Mon amant dut lire dans mes pensées. Au lieu de me retourner aussitôt et de me prendre d’un coup sur le canapé comme il aurait pu le faire, il me releva et m’embrassa de nouveau.
— Ne t’inquiète pas, ça va très bien se passer. Ce n’est pas le premier petit cul que je déflore !
Je sentis sa main retrousser ma robe puis son index s’enfonça dans mon anus. Je fus un peu surprise, mais je ne fis rien pour l’en empêcher. Bien au contraire, je m’efforçais d’écarter les fesses au maximum pour lui faciliter la tâche.
— Comment ça j’étais déjà une belle salope !
Vous n’y êtes pas du tout, c’était juste pour éviter des souffrances inutiles. C’est stupide de serrer les fesses quand on veut mettre un suppositoire.
Je sens que vous n’êtes pas convaincus. Bon c’est vrai j’avoue. Quand j’ai senti son doigt contre ma rosette, j’ai eu une érection. J’avais envie qu’il l’enfonce d’un coup. C’est d’ailleurs ce qu’il a fait ce salaud !
Je poussais un petit cri en prenant la voix la plus aiguë possible.
— Chéri, doucement. Je suis encore vierge !— Plus pour longtemps ma belle. Ce soir, je vais t’exploser le fion !— Mon Dieu, quel vocabulaire ! Je te rappelle que tu parles à une demoiselle !
Pour toute réponse, il me fourra 2 autres doigts et se mit à les tourner sans ménagement dans mon anus. Je bandais maintenant comme un âne.
— Oh Johana, tu m’excites comme un fou.— Oui, je sais. Je sens ta grosse bite contre mon ventre.— Tout à l’heure, c’est dans ton cul que tu vas la sentir.— Tu es toujours aussi poétique à ce que je vois. Vas-y mon chou, baise-moi !
Je n’avais jamais été pénétré, mais j’en mourrais maintenant d’envie. Je ne pouvais plus attendre.
— Oui baise-moi, prends-moi comme une chienne, défonce-moi le cul...— Ah, c’est ça que tu veux salope. Que je t’explose le fion. Et bien tu vas être servie.
Il me retourna d’un coup et me jeta sur le canapé. Je relevais ma robe et écartais les fesses au maximum afin de bien présenter mon cul en offrande. Je sentis une substance huileuse et froide. Philippe me beurrait l’anus avec un gel lubrifiant. Je le remerciais intérieurement de cette délicate attention.Une demi-seconde plus tard, c’est sa queue que je sentis s’appuyer sur ma rosette. Mon petit cul de vierge n’était pas encore assez dilaté pour son gros gland et il se mit à donner des coups de boutoir pour forcer l’entrée.Ca faisait horriblement mal. Les larmes me montèrent aux yeux. Je surmontais la douleur en me disant:
— C’est le prix à payer pour ta protection, ta tranquillité, ta sécurité...
La petite voix moralisatrice retentit soudain dans ma tête. Il y avait un moment que je ne l’avais pas entendue, cette connasse.
— Non, mais quelle menteuse ! Tu l’as voulu sa bite dans ton cul ma salope, alors maintenant assume !
Elle avait raison. Je l’avais vraiment désirée.Je restais donc stoïque pendant que mon amant me pistonnait la rosette sans discontinuer. Sous les coups répétés, mon anneau rectal céda enfin et sa queue plongea profondément en moi.
— ARRRRGGHHHH......
Je poussais un hurlement de vierge déflorée. Il n’était pas feint celui-là.Philippe soufflait comme un bœuf au-dessus de moi tout en me ramonant avec vigueur.
— Alors ma petite pute, elle te plaît ma grosse queue.— Oh OUIIIIIII......— Tu veux que j’arrête ?— Nooooon;... Continue, BAISE-moi.....— Mais c’est que tu ne fais pas semblant toi, tu es vraiment une belle salope. — Ouiiii...
J’étais incapable de dire autre chose. La queue qui me ramonait l’anus me rendait folle. Vous avez remarqué, j’ai dit folle, et non fou. Ce n’est pas une erreur, c’est que je me sentais vraiment une femme à ce moment-là.
Mon amant soufflait de plus en plus fort. Les va-et-vient de sa queue devinrent de plus en plus rapides. Le feu qui me dévorait l’anus de plus en plus violent. Heureusement, l’incendie intérieur fut maîtrisé par un puissant jet de foutre qui inonda mes entrailles.Philippe se retira épuisé. Je me blottis contre lui telle une femelle avec son mâle.
— Tu m’as baisée comme un dieu.— Vraiment ! Tu as aimé?— Oh oui, c’était merveilleux. J’espère que tu recommenceras très vite.
Je déposais un baiser dans son cou.
J’étais morte de fatigue. La journée m’avait complètement épuisée. Avant de m’endormir dans ses bras, j’eus le temps de murmurer à l’oreille de mon amant.
— Promets-moi de bien prendre soin de ta petite femme, de toujours bien la protéger. En échange, je ferais tout ce que tu me demanderas.
Je serais......
TA PUTAIN.
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