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Maison d'arrêt

Chapitre 4

Travesti / Trans
Mon sommeil était agité et je bougeais dans tous les sens. Je poussais des petits cris, mes mains s’agrippaient à quelque chose, mais je ne savais pas ce que c’était.
Est-ce que je rêvais ou étais-je à demi conscient ?
Je serais incapable de le dire, mais tous les évènements de la veille repassaient en boucle dans ma tête. Je me revoyais en train de sucer la grosse queue du boss, me maquiller, mettre ma robe, mes talons aiguilles. Je ressentais la douleur quand le gland avait forcé ma rosette puis le plaisir quand il m’avait limé l’anus. Je sentais toujours une présence entre les cuisses et j’avais l’impression d’avoir encore la bite de mon homme dans le cul. Cette douce sensation me fit bander. J’entendis un grognement puis une voix. Celle de Philippe. J’étais bel et bien éveillée.
— Et doucement, ma belle, qu’est-ce qui t’arrive ? Tu es en train de me broyer les couilles depuis tout à l’heure !
C’est à ce moment que je me rendis compte que je serrais ses boules à pleine main.
— Oh excusez-moi patron, je suis désolée. Je rêvais. Je ne vous ai pas fait trop mal ?— Non, ce n’est rien. Je ne suis pas une chochotte. Et puis ne me dis pas vous, ça me vieillit. Une petite femme a quand même le droit de tutoyer son homme et de l’appeler par son prénom.
Il ajouta en riant:
— Prendre sa bite dans la bouche et dans le cul lui donne tout de même certaines prérogatives !

Même dite sous le ton de la plaisanterie, cette remarque me rappela que j’étais sa putain. Comment aurais-je pu l’oublier d’ailleurs ? Il me semblait avoir toujours le goût de son sperme en bouche ainsi que sa queue dans l’anus !
Il fallait que je me comporte en bonne fille soumise. Je le pris donc par le cou pour me faire pardonner ma maladresse, mais en bougeant, je sentis une présence entre mes fesses. Non, je n’avais pas rêvé, j’avais bien quelque chose dans le cul. Et ce n’était pas la bite de mon amant vu qu’il était en face de moi.
Philippe vit la surprise sur mon visage et se mit à rire.
— C’est un petit cadeau que je t’ai fait pendant que tu dormais.— C’est un gode ?— Non. Ca s’appelle un "Rosebud." C’est une sorte de bijou anal.— J’aurais préféré une bague. C’est plus romantique.— Oui peut-être, mais ça, c’est beaucoup plus excitant. Tu t’en rendras compte quand tu marcheras avec. Tu devras serrer les fesses pour ne pas le perdre. Cela te donnera une démarche de.....— Pute ! Tu trouves que je n’ai pas assez l’air d’une salope comme ça ?— Non, tu es absolument parfaite. Je voulais dire de femme sexy.

Je ne croyais pas un mot de ses explications foireuses, mais la simple présence de ce "Rosebud" dans le cul me procurait déjà une sensation agréable. Celle-ci serait certainement décuplée quand je marcherais. Philippe ne serait pas le seul à bander quand je tortillerais du cul !Je repensai tout à coup au service trois pièces du boss que j’avais malmené. Il fallait que je me fasse pardonner. Une bonne pipe au réveil ferait certainement l’affaire. Je me redressai afin de me mettre à genoux sur le lit juste devant la queue de mon homme. Après l’avoir lardée de coups de langue, je la pris en bouche. Philippe me caressait la nuque tandis que ma tête allait et venait en cadence.
— S’il te plaît, reprends mes couilles dans tes mains.
J’obéis avec délicatesse.
— Non, serre-les entre tes doigts.
Je sortis le membre de ma bouche quelques instants.
— Mais je vais te faire mal !
Philippe me regarda droit dans les yeux.
— Si je te confie un secret, tu jures de le garder pour toi ?— Evidemment.— En fait, tu m’as trituré les couilles pendant au moins 30 minutes avant que je ne te réveille, et j’ai adoré. C’est juste qu’à la fin, tu commençais à les pincer vraiment trop fort.— Tu es maso ?— Un peu. Mais cela doit rester entre nous. Personne ne doit savoir que le boss a ses petites faiblesses. Tu me promets de ne rien dire ?— Je te le jure. De toute façon, ce ne serait pas dans mon intérêt de trahir ce secret. Il faut que mon homme reste fort et viril aux yeux de tous.— Je vois qu’en plus d’être belle et sensuelle, tu es aussi intelligente. C’est bien.
Je rougis puis m’approchai de son oreille comme si quelqu’un pouvait nous entendre.
— Tu ferais mieux de mettre quelque chose dans la bouche pour étouffer tes hurlements mon bébé, car j’ai l’intention de te faire payer pour hier soir. Je vais te faire couiner comme une gonzesse !
Sans attendre sa réponse, je me glissai à nouveau sous la couverture, tête-bêche. Je gobai le gland déjà raide et j’attrapai les couilles à deux mains. Tout en pompant et en léchant le membre, j’appuyai sur les boules en les faisant rouler entre mes doigts.
Philippe soufflait bruyamment et émettait des petits cris rauques à chaque fois que la pression s’accentuait. J’appuyais pourtant à peine sur ses petites bouboules. Qu’est-ce que cela aurait été si je les avais serrées de toutes mes forces ?
J’avais terriblement envie de le faire, mais ce n’était pas pensable. "Un jour peut-être", me dis-je avec sadisme.
Philippe se tortillait autant de bonheur que de douleur. Pris par le plaisir que j’éprouvais à contrôler ainsi mon amant, je perdis peu à peu toute retenue. Je m’étais mis à appuyer de plus en plus fort sans même m’en rendre compte.
— Doucement petite garce. Tu me fais mal !— Comment tu m’as appelée ? Petite garce ! Tiens ça va t’apprendre la politesse.
J’enfonçai l’index dans un de ses testicules. Cette fois-ci, j’étais allée trop loin.
— ARGGH ? Arrête espèce de salope !
Philippe se cabra pour se dégager. Avant que je n’ai le temps de faire quoi que ce soit, une gifle magistrale me projeta violemment contre le lit.
— Je t’ai demandé de me peloter les couilles avec un peu de fermeté, pas de les écrabouiller !
Je me tins la joue, toute penaude.
— Excusez-moi patron, je me suis laissée emporter par,... par mes hormones.— Tes hormones ! Tu te fous de ma gueule ou quoi ?
Je trouve que tu prends un peu trop vite de l’assurance. Pour te rappeler que c’est moi le patron et toi ma putain, je vais te faire sucer tous mes hommes. Cela t’apprendra le respect que tu me dois !
— Tu ne vas quand même pas obliger ta petite femme à faire une chose pareille !— Je vais me gêner ! Qu’est-ce que tu crois ? Que je suis un adolescent puceau qui succombe aux charmes de la première venue ?
Il me fallait jouer très serré avec le boss, et ne surtout pas précipiter les choses. C’est comme à la pêche lorsqu’on a ferré un gros poisson, il ne faut pas chercher à le ramener trop vite au risque de casser la ligne. Et en ce qui me concerne, je n’avais aucune intention de laisser échapper ce beau maquereau avec sa grosse anguille !
Je replaçais mes bras autour de son cou et posai ma tête contre son épaule.
— Excuse-moi encore Philippe. Oui je suis ta putain et j’obéirai sans discuter à tous tes ordres. Je sucerai tous tes amis et même tous les hommes de la prison, gardiens compris si tu me le demandes.

Le boss se radoucit. Il avait rappelé qui était le maître et j’avais réagi comme il le fallait. Il pouvait maintenant se permettre d’être plus gentil avec moi. Il me caressa la joue du dos de la main et me dit gentiment.
— Parfait ma belle. C’est bien de le prendre comme tu le fais. Mais je ne vais quand même pas t’obliger à pomper tous les mecs de la prison ! Mes lieutenants ce sera déjà bien.— Dommage, me dis-je alors intérieurement.
Mon homme poursuivit son petit discours alors que j’étais toujours plaquée contre lui.
— Ce matin lors du petit-déjeuner, je vais annoncer la bonne nouvelle à mes gars. Ils vont être ravis, ils doivent avoir les couilles remplies à ras bord !
Alors qu’il prononçait ces paroles, Philippe sentit ma queue se dresser.
— Mais tu bandes petite garce ! C’est la perspective de sucer des bites qui t’excite comme cela ?
Je me serrai encore plus fort contre lui.
— Excuse-moi Philippe, je n’y peux rien. Je crois qu’en fait, je suis réellement une belle salope ! Ca t’embête ?
Il me prit dans ses bras à son tour.
— Oh non. Surtout, ne change pas !
Mon protecteur me fit alors mettre à quatre pattes sur le lit.
— Tu as excité ton homme comme un taureau espèce de petite putain. Je ne peux pas rester dans cet état.
J’entendis un petit "plop" puis sentis sa grosse queue appuyer contre ma rosette. Mon anus n’avait pas eu le temps de se refermer et il me pénétra d’un coup jusqu’à la garde.
— ARRGGHH... Doucement chéri !— Ta gueule putain ! Tu aimes la bite, et bien je vais t’en donner !
Tout en gémissant de douleur et de plaisirs, je regardais le fameux bijou anal que Philippe avait posé sur la table de chevet après l’avoir retiré de mon cul.
— C’est donc ça un Rosebud.
Me dis-je alors.
Celui que mon homme m’avait offert était vraiment très beau. J’avais hâte de le porter de nouveau pour lui plaire.

Après m’avoir limée avec rage pendant plus de 10 minutes, Philippe me remplit les boyaux en hurlant de plaisir. Il reprit le Rosebud et le fourra dans mon anus dès qu’il ressortit sa queue.
— Voilà. Comme ça, tu garderas la semence de ton homme bien au chaud ! dit-il en riant.— Fais bien attention de ne pas le perdre en marchant. Tu aurais l’air maligne si mon sperme coulait sur tes jambes devant tout le monde !
Cette perspective me fit frémir. Quelle honte ! Tout le monde me prendrait pour la dernière des putes !
Mais n’était-ce pas ce dont j’avais envie au fond de moi ?
Non, je voulais effectivement être la putain du boss, mais pas de cette façon si dégradante. Je me promis donc de serrer les fesses de toutes mes forces. En plus, je me rendis compte en le faisant que cela me procurait du plaisir.

Nous nous douchâmes et nous habillâmes, mais alors que j’étais en train de me remaquiller.
— Dépêche-toi. Tu vas nous mettre en retard pour le petit-déjeuner.— Oui oui mon chéri. Je fais au plus vite.
Je savais pertinemment que ce n’était qu’un prétexte. En fait, le boss était impatient de montrer à ses hommes comment il avait cassé le cul de sa putain, et de leur annoncer qu’en plus de cela elle sucera leur queue !
Je ne lui en voulais pas. En fait, moi aussi j’en mourais d’envie !
— Voilà, voilà, j’arrive ! Dis-je en prenant une voix de pétasse.
J’enfilai mes escarpins et rejoignis mon homme qui m’attendait devant la cellule. Je constatai avec plaisir qu’il était encore plus fier que la veille de m’avoir à son bras.
Tout en trottinant sur mes talons aiguilles, je serrai les fesses pour ne pas perdre le Rosebud qui bouchait mon anus. Cela me donnait la démarche d’une pouf et je vis que Philippe adorait ça. Pour lui faire plaisir, mais également en raison des sensations que cela me procurait entre les jambes, j’accentuai volontairement mes déhanchements.
C’est donc en tortillant du cul de façon indécente que je me présentai devant les sbires du boss, déjà assis autour de la table.
— Bonjour patron. Alors, la soirée a été bonne ?— Excellente. Johana a un de ces petits culs...
Philippe mit ses doigts devant les lèvres comme on le fait pour désigner un plat savoureux.
— Sauf votre respect patron. Elle a ramassé grave ?— Tu ne peux pas savoir à quel point. Je lui ai carrément cassé les pattes !
Ses hommes éclatèrent de rire. Pour confirmer les déclarations de mon protecteur, je pris une voix plaintive.
— Chéri. Tu veux bien que je me m’assieds sur tes genoux ? La chaise est trop dure.
Les rires redoublèrent.
— Mais bien sûr ma biche. Je te dois bien ça !
Je m’assis sous les quolibets et les regards moqueurs, mais je n’en avais que faire. Je savais que tôt ou tard j’arriverais à amadouer le boss, et que ce jour-là je deviendrais leur maîtresse. Au regard noir que l’un d’entre eux me lança, je pense que lui aussi le savait. Pour conforter ses soupçons, je posais une main sur le service trois-pièces de mon homme en signe de possession. Mais pour le moment, il était encore beaucoup trop tôt pour aller plus loin et je devais continuer à jouer la putain soumise. Je sautai donc sur l’occasion quand Philippe bougea sur sa chaise.
— AAAAAHHH. Doucement mon cœur. J’ai encore l’anus en feu avec tout ce que tu lui as mis hier !
Je savais que le boss me serait très reconnaissant de mettre ainsi sa virilité en valeur. Mais en fait, je ne mentais pas. Il m’avait vraiment défoncé le fion ce salaud !
— Excuse-moi ma puce. Que veux-tu ? Ton petit cul est tellement excitant que je n’ai pas pu me retenir !
Nouveaux éclats de rire.
Je fus ainsi la risée générale durant tout le petit-déjeuner et je mangeai en silence en baissant la tête. Un jour, j’aurais ma revanche, j’en étais certaine, mais pour le moment, mes humiliations n’étaient pas encore finies. A la fin du repas, le boss prit la parole:
— Silence les gars ! J’ai un truc à vous dire. Johana a une bouche tellement accueillante que je trouverais vraiment égoïste de ma part de ne pas en faire profiter mes fidèles lieutenants ! A compter de ce jour, ma petite putain viendra vous rendre visite dans votre cellule ou sur votre lieu de travail pour vous pomper le dard ! — Alors, qu’en dites-vous ?

Une clameur de joie explosa dans le réfectoire.
— Oh merci patron, vous êtes vraiment le meilleur.— Mais attention ! J’ai bien dit que Johana vous taillera des pipes, pas que vous pourrez l’enculer. Son joli petit cul, c’est chasse gardée ! Est-ce que c’est clair ?
Le silence qui emplit soudainement la salle était la meilleure des réponses. Une fois encore, je constatai l’étendue du pouvoir de mon protecteur. Mon petit cul allait rester tranquille... Dommage.
Le boss me tira de mes rêveries.
— Allez ma poule, c’est le moment de passer à l’action. Commence par le "bègue", il s’est bien occupé de mes affaires ces derniers temps.
Mon cul me faisait souffrir et je me levai doucement. Probablement pas assez vite au goût de mon mac, à moins que ce soit par pur sadisme, toujours est-il qu’il m’administra une bonne claque sur les fesses.
— Ailllle. Doucement chéri.
Les sbires de Philippe avaient tous le sourire jusqu’aux oreilles, et il en était manifestement ravi.
— Presse-toi un peu. Je te rappelle que tu as 8 pipes à tailler ce matin. Il faut que tu t’actives un peu si tu veux finir avant la nuit !
Un nouveau rire gras parcourut la table pendant que je me dirigeai vers le "bègue", toujours en serrant les fesses.
Je m’agenouillai devant lui et pris sa queue en bouche. Il était tellement pressé de se faire sucer qu’il avait déjà sorti son service trois-pièces. Sous les remarques salaces, j’entrepris de faire juter mon premier client de la journée.

Le "bègue" est le seul que j’ai sucé devant tout le monde au réfectoire. En effet, dés qu’il eut craché dans ma bouche, ses compagnons se levèrent de table. Je pense que c’était une petite faveur que lui avait faite le boss pour l’avoir bien servi. Les 7 autres, Paulo m’a accompagné jusqu’à leur cellule ou leur lieu de travail pour que je leur offre la petite gâterie que leur avait promise le patron. Mon fidèle guide patientait sagement à proximité pendant que j’accomplissais ma mission.
Je sentais en lui un mélange de pitié et d’envie. D’un côté, il en voulait à tous ces types de me fourrer leur queue dans la bouche, mais d’un autre, il aurait aimé être à leur place. C’est là que je me fis la remarque qu’il n’était pas sur la liste. Était-ce un simple oubli, ou avait-il déplu au boss ? Quoi qu’il en soit, je me promis d’y remédier. S’il y avait quelqu’un à qui j’avais envie de donner de plaisir ici, hormis mon homme bien sûr, c’était bien lui.
Vous pourriez penser que je faisais tout cela à contrecœur, mais pas du tout. Je prenais plaisir à passer pour une belle salope et je faisais tout mon possible pour y parvenir.
Ainsi, après chaque client, je remettais une bonne couche de rouge sur mes lèvres sous les yeux du suivant pour l’exciter davantage. De plus, au lieu d’essayer de me déplacer discrètement, je prenais un malin plaisir à faire claquer mes talons aiguilles sur le sol dur de la prison, afin d’annoncer ma venue. Je savais que le bruit de mes escarpins faisait bander les mâles, en particulier ceux que je m’apprêtais à sucer. De même, lors de mes déplacements, le Rosebud que j’avais dans le cul m’obligeait à me déhancher de façon vulgaire. Mais au lieu d’essayer de les atténuer, je m’efforçais au contraire de les accentuer.
Mais ce qui me donnait le plus de plaisir, c’était de défaire les braguettes de ceux qui étaient en train de travailler, avant d’avaler leur membre sous les yeux envieux de leurs collègues.

Je pris tout mon temps pour accomplir ma "punition" du mieux que je pus, et j’avalai ma dernière rasade de foutre en fin de matinée.
Il était maintenant temps de rentrer voir mon homme pour qu’il sache que sa petite putain avait obéi à ses ordres à la perfection. J’avais hâte de lui décrire en détail comment j’avais fait jouir chacun de ses lieutenants. Je le trouvai assis devant la table en train d’examiner des papiers. Je me penchai derrière lui et déposai un baiser dans son cou.
— Ca y est chéri. Ta petite femme a fini sa punition. Elle a fait cracher les bites de tous tes hommes au fond de sa gorge comme tu lui avais ordonné.

Philippe se leva et me prit dans ses bras. Il n’était pas du tout le même quand nous étions seuls tous les deux et lorsque ses hommes étaient présents.
— Excuse-moi ma puce. J’y ai été un peu fort avec toi ce matin. C’est vrai que tu m’avais manqué de respect et que tu méritais une punition, mais je n’aurais pas dû t’obliger à soulager tous mes hommes ainsi.
J’enserrai à mon tour mes bras autour de son cou.
— Non, au contraire. Tu as parfaitement bien agi. Il fallait montrer à tes hommes que c’est toi le chef et moi juste ta putain. Et il faudra le remontrer encore et encore. Il faut que tu continues à m’ordonner de sucer tes lieutenants. D’une part pour asseoir ton autorité et d’autre part pour t’assurer de leur fidélité. Je peux te garantir qu’ils ont apprécié mes prestations et qu’ils seront prêts à travailler dur pour toi pour que tu leur accordes les faveurs de ma bouche.— Mais ça ne t’embête pas trop de faire ça ? Je culpabilise un peu. Tu sais, je crois que je commence vraiment à tenir à toi.
Je déposai un baiser sur ses lèvres.
— Faire quoi, sucer des bites ? Ne t’inquiète pas pour moi, en fait j’adore ça !— Mais tu es vraiment une sacrée salope !— Oui, et encore tu n’as pas tout vu.— Je t’aime ma petite pute.— Moi aussi mon vieux salaud !
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