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Maison d'arrêt

Chapitre 5

PARLOIR 1ere partie

Travesti / Trans
Cela faisait maintenant 3 semaines que j’étais incarcérée, et je m’étais très vite faite à ma nouvelle vie. Je commençais mes journées par réveiller mon homme en lui malaxant les couilles tout en le suçant. C’était son plaisir favori à ce cochon ! Parfois il me laissait le finir avec ma langue, mais en général quand il avait bien mal aux burnes, Philippe me retournait brusquement et me prenait d’un coup.
Pour ce qui est des fellations, il préférait que je lui en refasse une complète le midi devant tous ses hommes, pendant qu’il digérait son repas. C’était mon dessert comme il s’amusait à dire à la cantonade en riant.Pourtant, à cette heure question dessert, j’avais déjà été bien servie. En effet, comme tous les matins sous les ordres du boss, j’avais fait dégorger les queues de ses 8 lieutenants, sans compter celle de Paulo que Philippe avait accepté que je récompense ainsi de sa gentillesse.Les après-midi étaient beaucoup plus calmes. Je rangeais la cellule, je lisais, je me faisais belle pour mon homme. Je pouvais me reposer la mâchoire et appliquer une crème apaisante sur mon anus.
Les journées passaient ainsi les unes après les autres sans que je m’en rende compte.
Ce matin-là, comme la plupart des jours, mon homme avait décidé de m’enculer sauvagement.Bien que je commençais à m’y habituer, l’entrée brutale de sa grosse queue dans mon petit cul serré me faisait monter les larmes aux yeux.
— Doucement chéri. Tu ne pourrais pas être un peu plus tendre avec ta petite putain ?— Non. J’aime trop lui défoncer son joli petit cul !— Espèce de salaud ! Tu vas voir si j’arrive à te choper les couilles !
Je glissais alors ma main entre mes jambes à la recherche de ses pruneaux. Mes ongles avaient poussé et mon amant savait qu’ils ne lui feraient pas de cadeau. Un jeu du chat et de la souris commençait alors. Philippe esquivait ou repoussait ma main tout en me donnant des grands coups de queue dans le cul. Ce qu’il préférait, c’était m’attraper les bras et me les maintenir tendus au-dessus de mon dos. Il s’en servait alors de poignée pour m’enculer encore plus fort.
A chaque fois, je poussais des hurlements de douleur tellement sa grosse queue me ramonait les entrailles avec vigueur. Mais bizarrement, alors qu’il me tenait pourtant fermement, je finissais toujours par arriver à dégager un bras, et ma main plongeait aussitôt entre mes jambes pour lui attraper les couilles. Je n’étais pas dupe, je savais parfaitement que Philippe était maso et qu’il se laissait faire exprès.
Nous nous mettions alors à couiner tous les deux en chœur. Moi parce que sa grosse bite me défonçait l’anus au sens propre du terme, et mon homme parce que mes ongles s’enfonçaient dans ses testicules.
— ARRRGHHHH.— MOUUIIIIII.
Mon cri aigu de demoiselle répondait au râle rauque de mon amant alors que nous jouissions ensemble. Après avoir repris notre souffle, nous nous douchions et nous habillions pour aller au petit-déjeuner.
Ce matin-là, alors que je mettais une dernière touche sur mes lèvres...
— Tu m’as déchiré la peau des couilles avec tes ongles, petite salope.— Et toi, tu m’as encore mis le cul en chou-fleur vieux salaud !
Nous nous embrassâmes :
— En parlant de cul, n’oublie pas tes bijoux !
Philippe introduisit alors mon Rosebud.
— Voilà, comme ça, tu es parée pour aller travailler.
Comme vous le savez, mon travail consistait à soulager les lieutenants du boss afin de les récompenser de leur fidélité.J’étais justement en train de m’occuper du dernier d’entre eux, le "tatoué", quand un gardien pénétra dans l’atelier.
— MARIE ! — Qui cha, Moi ? Splup, slup, slup.— Bah oui toi, pas la VIERGE !
La petite plaisanterie du gardien-chef Pierson déclencha l’hilarité des détenus qui avaient interrompu leur propre travail pour observer le mien. Il faut dire qu’en raison de mon nom de famille, beaucoup d’entre eux ainsi que de gardiens m’avaient surnommé "la vierge". Si ce n’est pas un comble !
— Qu’esch, slup, qui y a, slup, chef ? Slup, slup...— Le téléphone ! C’est ta "moman" qui essaie de te joindre.— MAMAN ! Oh mon Dieu, je l’avais complètement oubliée !
Je retirai brutalement la queue du "tatoué" de ma bouche. Quelle conne, il était juste sur le point de jouir et ce fils de P sauta sur l’occasion pour décharger sur ma tronche ! A genoux le visage couvert de sperme, je n’avais jamais autant mérité ma réputation de putain ! Le tatoué, le gardien et tous les détenus étaient pliés de rire. Même Paulo avait le sourire.Je me levai et m’essuyai le visage du mieux que je le pouvais tout en essayant de rester le plus digne possible.
Pierson se tenait encore le ventre quand il rajouta :
— J’ai dit à ta "Moman" de rappeler dans une demi-heure. Dépêche-toi d’aller dans la salle téléphonique.— Merci chef !
Malgré mes talons aiguilles, je me précipitai en courant dans la salle des appels où on m’indiqua une cabine. J’étais paniquée devant l’appareil. Ma mère ! Oh bon sang, qu’est-ce que j’allais pouvoir lui dire.Ma voix moralisatrice profita de ce moment de faiblesse pour se faire entendre.
— Non, mais regardez-moi cette salope ! Elle prend tellement de plaisirs à se faire enculer et à sucer des bites qu’elle en a oublié de téléphoner à sa mère ! La pauvre, elle doit être morte d’inquiétude pour son petit fils chéri.
Je la rembarrai avec rage: "Oh toi ta gueule !" Heureusement que j’étais seule dans la cabine, sinon on m’aurait prise pour une dingue. Il y avait un moment qu’elle ne l’avait pas ramené cette connasse (la voix, pas ma mère), mais il me fallait bien admettre qu’elle avait raison. J’avais complètement oublié d’appeler ma famille depuis que j’étais là. Ca encore ce n’était pas trop grave, je trouverais une excuse. Mais par contre, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir lui dire pour... enfin vous m’avez comprise.La sonnerie me tira de mes pensées.
— Allo ?— Allo Johan ! C’est toi mon chéri ?
Heureusement que personne ne pouvait l’entendre m’appeler mon chéri. On se serait encore foutu de ma gueule. Comme si ma réputation de tapette n’était pas suffisante.
— Oui maman c’est moi, Johan.— A enfin, je suis heureuse de t’entendre. Depuis que tu es en prison, je n’ai pas eu de nouvelles de toi. Pourquoi tu ne m’as pas appelée plus tôt ?
Je fus obligé de mentir.
— C’est que... je n’avais pas le droit. Tu sais, en prison on n’appelle pas comme on veut.— Oui mon cœur, je m’en doute bien. Mais bon quand même, trois semaines.
Je chuchotai dans l’appareil.
— Maman, arrête de m’appeler mon chéri ou mon cœur. Si un prisonnier t’entendait, tout le monde se moquerait de moi.— Oui je comprends. Ce ne serait pas bon pour ta réputation. Il faut montrer qu’on est viril en prison !
Je pensai alors en moi : "Viril ! Oh maman si tu savais"
— Je vais t’appeler mon gars, ça te va ?— Oui maman, c’est parfait.— Bon, alors comment ça va mon grand garçon ?— Maman, enfin qu’est-ce que je viens de te dire ! Oui, je vais très bien merci.— Tu es sûr ? Tant mieux alors, parce que ta sœur et moi on s’inquiétait beaucoup. Il se dit tellement de choses sur les prisons, en particulier concernant les bons petits gars comme toi qui n’ont jamais fait de mal à une mouche.— Ne t’inquiète pas maman. Ce sont des légendes. En fait, ce n’est pas aussi dur que ça.
Je sentais encore les douleurs de ma dernière sodomie en prononçant ces paroles.Ma sœur prit l’appareil.
— Salut petit frère. En tout cas, fais bien attention. Si quelqu’un fait tomber une savonnette, surtout ne te baisse pas pour la ramasser. Si tu vois ce que je veux dire !
Je me forçai à rire à sa blague.
— Très drôle Elodie ! Merci du conseil. Je m’en souviendrais. Mais ne vous inquiétez pas. Il y a un homme qui m’a pris en sympathie. Je lui rappelle son fils. Il me donne de précieux conseils et il est respecté dans la prison. Du coup on me laisse tranquille.
Je croisais les doigts en disant cela, mais après tout ce n’était pas tout à fait faux.
Ma mère reprit le combiné.
— Je suis rassurée que tout aille bien pour toi. J’ai une bonne nouvelle à t’annoncer. Ta sœur et moi avons reçu l’autorisation de venir te voir en prison. Nous venons vendredi prochain à 10H00.— VENDREDI, mais c’est après-demain !— Oui en effet. Mais on dirait que cela ne te fait pas très plaisir.— Oh si si, maman. C’est juste que je ne m’y attendais pas du tout !— On voulait te faire la surprise. Bon, je vais devoir te laisser, le temps imparti est déjà fini. Je t’embrasse mon grand, à vendredi.
J’étais effondrée. Comment allais-je bien pouvoir expliquer la situation à ma mère ? Elle ferait une attaque en voyant son fils comme ça. Non j’exagère, mais elle serait terriblement déçue.Et puis Elodie, ma petite peste de sœur. J’entends déjà ses ricanements, elle qui m’a toujours considéré comme une gonzesse.Je me mis à arpenter les couloirs en traînant les pieds, la tête basse. Quand je le rejoignis pour le déjeuner, Philippe s’aperçut de mon désarroi.
— Et bien alors mon bébé, qu’est-ce qui t’arrive ?
Je m’effondrai en pleurs dans ses bras.
— Quelqu’un t’a fait du mal ? C’est un détenu, un de mes hommes ? Dis-moi qui c’est, je vais lui faire regretter !— Non chéri, ce n’est pas ça. Tout le monde a peur de toi ici et me laisse tranquille. Quant à tes hommes, je sais me faire respecter. Je lui racontai alors une petite anecdote concernant l’un d’entre eux qui m’avait manqué de respect. Je lui ai dit que mes dents risquaient de lui rapper malencontreusement le gland s’il continuait à me baiser la bouche en me tenant la tête comme il le faisait. "Un accident est si vite arrivé. Ce serait vraiment dommage !" Et pour enfoncer le clou, j’ai retiré mes lèvres pour lui faire sentir mes petites quenottes.— Et alors ?— Il a eu peur pour ses bijoux de famille, et il m’a lâché aussitôt.— Je n’en doute pas. Quand je pense à ce que tu me fais avec tes ongles...
Il poursuivit.
— Mais alors, qu’est-ce que tu as ?— Je lui expliquai pour ma mère, son appel, sa visite prévue avec ma sœur pour le surlendemain.— Ah oui, je comprends. Elle n’est au courant de rien ?
Je secouai la tête.Il réfléchit quelques instants.
— Bon, écoute, je t’autorise à te remettre en garçon le temps de sa visite.
Je sautai à son cou.
— C’est vrai ?— Je n’ai qu’une parole.
Je me blottis contre lui.
— Pourquoi tu fais ça ?— Je... je crois que... que je tiens vraiment beaucoup à toi.
Philippe était trop fier pour avouer qu’il était tombé amoureux d’un travesti, mais moi je savais que c’était le cas. Ma langue força ses lèvres et s’introduisit dans sa bouche.
J’étais sauvé. Dès le lendemain midi, sitôt mes travaux buccaux terminés, je décidais de commencer ma transformation inverse. J’avais presque 24 heures pour redevenir un homme ; c’était bien plus qu’il n’en fallait.
Je récupérai mes affaires de garçon que Paulo avait soigneusement conservées, et je m’installai devant la petite coiffeuse que mon homme m’avait offerte. Avec quelques lingettes, je retirai mon rouge à lèvres, le fond de teint qui recouvrait mon visage, le fard sur mes paupières, le mascara... enfin bref, tout mon maquillage. Je retirai ensuite mes boucles d’oreilles, les bagues, gourmettes, colliers et autres bijoux dont mon homme m’avait recouvert. Puis vint le tour de mes escarpins que je rangeai soigneusement, de ma robe que je pliai avec précaution, de mes bas, de mes sous-vêtements...
Maintenant complètement nu, J’enfilai mon slip, mes chaussettes et mon pantalon d’homme. Le coton rêche contrastait avec la douceur des bas en nylon que je portais depuis 3 semaines, et ils commençaient déjà à me manquer. De même, je retirai avec un certain regret mon soutien-gorge et mes faux seins en forme de poire avant de mettre un vulgaire tee-shirt sur ma poitrine redevenue plate.
Je redevenais peu à peu un garçon et cela m’attristait. La jeune fille que j’étais depuis 3 semaines me manquait déjà.
— Un peu de courage ma belle. C’est juste pour la visite de ta mère. Après, tu pourras redevenir une demoiselle !
Me dis-je pour me réconforter.
C’est alors que je vis mes ongles. Oh non, pas mes ongles ! Je ne les avais pas coupés depuis 3 semaines et ils commençaient à peine à ressembler à ceux d’une femme. Et puis Philippe. Je ne pourrais plus les lui enfoncer dans les couilles à ce vilain maso ! Non, ce n’était pas possible, je ne pouvais me résoudre à les couper, j’y tenais trop.Mes larmes commencèrent à couler. Je me rendais compte qu’il mettait plus difficile de redevenir un garçon que de me transformer en fille comme je l’avais fait en arrivant ici. Je fis un bond en voyant mon reflet dans le miroir. Mes YEUX ! Bon sang, je m’apitoyais sur mes ongles, mais mes yeux, comment faire ? En effet, je m’étais épilé les sourcils de façon à ne laisser qu’un mince trait que je soulignais d’une touche de mascara. Ce dernier, je n’avais pas eu de problème pour l’enlever, mais mes sourcils, je ne pouvais pas les recoller !
— Comment vais-je faire ? me dis-je en me tenant la tête entre les mains.— Il faut que je trouve une solution d’ici demain.
L’après-midi puis la soirée passèrent sans que je trouve un moyen satisfaisant. Je me couchai en me disant que la nuit me porterait conseil. Mon sommeil fut très agité et rempli de rêves, mais le lendemain...
J’avais trouvé la SOLUTION.
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