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Maison d'arrêt

Chapitre 8

le parloir 4 ( et fin )

Trash
CHAPITRE 8 Le parloir ep 4
Résumé de l’histoire :Johan, un jeune homme incarcéré, est devenue la "femme" du caïd de la maison d’arrêt en échange de sa protection. Bien obligé de révéler la vérité à sa mère venue lui rendre visite au parloir, il a constaté avec stupeur et admiration que sa chère maman était une sacrée salope.En effet, celle-ci a décidé d’apprendre à sa nouvelle fille "Johana", l’art et la manière de mener les hommes par le bout de la queue.
Philippe ressort du parloir avec le sourire jusqu’aux oreilles ; jamais personne ne lui a jamais donné autant de plaisir avec sa bouche.Moi aussi je suis heureuse. Quelques minutes plus tôt, j’ai repris la queue de mon homme entre les lèvres avant qu’il ne jouisse dans un élan d’excitation. Quand à ma mère, elle a réendossé son rôle de professeur, et m’a conseillé pendant que j’enfonçais le membre le plus profondément possible dans ma gorge. Quelle n’a pas été ma fierté quand le bout de mon nez a touché son bas ventre! J’ai retenue ma respiration en aspirant de toutes mes forces comme l’avait fait maman. Mon homme a alors poussé un gémissement presque inhumain. Je l’ai regardé quelques secondes telle une louve puis j’ai ressorti sa queue pour reprendre ma respiration, avant de l’avaler de nouveau en entière.Philippe a été pris d’un tremblement incontrôlable. Il était sous mon emprise totale. Je n’étais plus sa pute ni même sa femme, mais j’avais enfin la place qui me revenait de droit : celle de sa maitresse!Mon homme l’a compris lui aussi, plus ou moins consciemment. Mais maintenant qu’il a retrouvé ses esprits, il reprend son rôle de boss.
— Tout ce qui vient de se passer doit rester entre nous. Il ne faut pas que mes hommes croient que tu me mènes par le bout de la queue. Ils penseraient que je me suis ramolli et ce ne serait pas bon pour mon business!
Je lui réponds par un salut militaire en claquant des talons.
— A vos ordres patron! — Je me plaisante pas Johana! Tu me fais parfois perdre tout contrôle de moi et on ne doit pas s’en apercevoir.
Je suis folle de joie d’entendre de sa bouche que je lui fais perdre la tête. ( Et ce n’est qu’un début mon chéri, je commence à peine à te mener par le bout de la queue) me dis-je.
— Ne t’inquiète pas mon cœur, je comprends parfaitement. Devant tes hommes, je resterai toujours ta putain!
Je rajoute ensuite à son oreille.
— Par contre en privé, je vais te rendre complétement dingue de moi.

Je mets la semaine qui suit à profit pour parfaire la technique de gorge profonde que ma mère m’a enseignée. Sur mon homme bien-sur, mais aussi avec quelque uns de ses lieutenants. Pas tous, seulement ceux qui me respectent. Les autres, ceux qui me traitent comme une vulgaire pute, je leur vide les couilles vite fait. Après-tout le boss m’a ordonné de les sucer, pas forcement de leur donner du plaisir.Parmi ceux que j’ai particulièrement envie de gâter, il y a bien sur mon fidèle Paulo. Il ne m’a pas seulement été de bon conseils à mes débuts, mais il est également toujours à mes cotés pour me protéger. Le boss lui a confié ce rôle de garde du corps afin de veiller sur sa petite putain. On ne sait jamais ce qui peux arriver en prison. Philippe a beau être craint et respecté, il y a toujours des cons qui osent tout. C’est d’ailleurs à ça qu’on les reconnait à ce qu’il parait. Paulo m’accompagne donc toujours lors de mes déplacements "professionnels".Aujourd’hui, comme tous les jours d’ailleurs, il attend sagement dans un coin pendant que je suce le dernier lieutenant du patron, prêt à intervenir en cas de problème.En jetant un petit coup d’œil dans sa direction, je constate qu’il regarde avec un mélange de curiosité et d’envie ma nouvelle façon de procéder. Je termine ma prestation puis me relève pour rejoindre mon homme, mais alors que nous sommes seuls dans un couloir, je me retourne vers lui.
— Ca te plairait?
Il rougit jusqu’aux oreilles mais fait semblant de ne pas avoir compris.
— Quoi donc?
— Que je te fasse la même chose qu’à tes collègues. Que je prenne ta queue dans ma bouche et que je la suce de toute mes forces pour la faire juter!
Paulo déglutit avec peine.
— C’est que....et le boss?— Ne t’inquiète pas pour ça, il est d’accord. Après tout, tu es en quelque sorte mon tonton. Il n’y a pas de mal à ce qu’une nièce fasse plaisir à son oncle tout de même!
Sans attendre sa réponse, je m’agenouille devant lui pour le remercier de tout ce qu’il a fait pour moi depuis mon arrivée. Et j’ai peut-être beaucoup de défauts, mais je peux vous garantir que je ne suis pas une ingrate!
La semaine passe ainsi et le jour du parloir arrive enfin. Cette fois-ci ce n’est pas moi qui suis complétement stressé, mais Philippe. Je le vois s’énerver sur sa cravate qu’il n’arrive pas à mettre, et décide de venir à son secours comme toute petite femme le ferait avec son époux. 
— Calme toi mon cœur, lui dis-je en ajustant son nœud ( de cravate je précise!). Tout va très bien se passer, tu peux compter sur ma mère pour ça.
Je ne pas certaine que ces derniers mots le rassurent, mais j’ai envie de le taquiner.
— Et cette cravate! C’est la première fois que je te vois en mettre une. Tu le fais pour moi, ou pour....ma mère?— Heu...mais enfin...qu’est ce que tu vas imaginer? Je le fais pour toi bien sur, afin d’être plus présentable devant.....ma belle-mère.
Je ne suis pas dupe.
— Espèce de vilain petit menteur. Tu crois que je n’ai pas remarqué comment elle te faisait bander la semaine dernière?
En homme courageux, Philippe élude ma question.
— Bon, il faut y aller maintenant, sinon on va être en retard.
Ma mère et ma sœur arrivent peu après nous dans le parloir. Au lieu de lui serrer la main comme la fois précédente, Philippe fait la bise à Elodie. C’est en quelque sorte sa belle sœur après tout.C’est ensuite au tour de ma mère, mais alors qu’il lui tend la joue, elle dépose un baiser sur le creux de ses lèvres.Elodie me chuchote alors à l’oreille.
— Méfie toi, maman est capable de te piquer ton amoureux. Tu as de la chance qu’il soit en prison sinon elle l’aurait déjà violé. Crois moi, je sais de quoi je parle.— N’importe quoi lui dis-je sur un ton agacé.
N’empêche qu’elle n’a pas tort. Notre mère que je prenais pour une sainte quand j’étais plus jeune, s’avère en fait être une sacrée salope. C’est justement elle qui entame la conversation.
— Alors Philippe. Est ce que ma petite Johana a bien retenu les leçons que je lui ai données la semaine dernière.— Oh oui Sylvie. Je peux même te dire qu’elle les a révisées tous les jours!— A la bonne heure, nous allons voir ça avant de passer à la suite. Ma chérie, tu veux bien nous montrer?
En bonne fille obéissante, je m’agenouille devant le boss et lui fais tout ce que ma mère m’a appris, en y ajoutant même quelques touches personnelles.Maman m’observe avec son regard inquisiteur mais ne trouve rien à redire.
— C’est parfait ma chérie. Tu es une aussi bonne élève que ta grande sœur!
Inutile de vous dire que je suis fière comme un paon en entendant ce compliment.
— Allez maintenant arrête de pomper le dard de ton homme, sinon il va jouir avant que je n’ai eu le temps de te donner ta nouvelle leçon.
Je retire la queue de Philippe de ma bouche. Il est en effet temps que je m’arrête, il commence déjà à suer à grosses gouttes.
— Bon, tes mâchoires ont été mises à rude épreuve ces derniers temps et elles ont besoin d’un peu de repos. Aujourd’hui, j’ai donc décidé de te montrer quelques petites astuces "annexes" à faire avec les mains. Il ne s’agit plus à proprement parler de fellation mais ne t’inquiète pas, tu vas quand même rendre ton homme fou de plaisir.
Maman me fait un petit clin d’œil complice en me disant cela. Je comprends parfaitement le sens caché de ses paroles et je m’en délecte d’avance.Comment ça vous, vous ne comprenez pas! Mais oui que je suis sotte, c’est normal. Je ne vous l’ai pas dit, mais j’ai eu ma mère au téléphone durant la semaine. Je lui ai fait part de mon envie d’avoir le contrôle complet de la libido de Philippe, de le rendre complétement dingue de moi, avec pour objectif final d’en faire sans qu’il s’en aperçoive..... mon esclave sexuel. Je veux en effet avoir un mari qui soit à mes pieds. Quoi de mieux que de mener sa queue à la baguette pour y arriver!J’attends donc les instructions de ma mère avec impatience. Afin de ne pas effrayer Philippe, elle décide d’y aller progressivement.
— Tiens la queue de ton homme devant toi en la prenant d’une main sous le gland. Oui comme ça c’est bien. Mets un peu de salive dans la paume de ton autre main.
Je m’exécute sans vraiment comprendre où ma mère veut en venir.
— Maintenant, pose ta paume sur le sommet du gland et fais des petits cercles en frottant délicatement dessus. Vas y doucement, c’est très sensible.
Philippe se crispe. Effectivement, c’est très sensible! En tout cas ce ne doit pas être désagréable vu son attitude béate. Il ferme les yeux tout en poussant de petits gémissements.Je frotte ainsi depuis une minute quand ma mère me dit de cesser.
— Il ne faut pas le faire trop longtemps. C’est comme les épices dans un plat, si on en mets trop il devient immangeable. C’est une petite caresse à faire entre deux périodes de succion afin de varier les plaisirs de la fellation proprement dite.— Entendu maman.— Maintenant, je vais te faire voir une autre technique que j’affectionne particulièrement. Certains hommes l’adorent et d’autres pas du tout, mais je peux te dire que ceux qui aiment y prennent gout très vite et ne peuvent plus s’en passer. Ca les rend complétement fou.
Maman me fait un nouveau clin d’œil avant de s’adresser à mon homme.
— Surtout Philippe si vous n’appréciez pas, dites le tout de suite. Je dois vous prévenir que c’est un petit peu douloureux au début, mais je vous garanti qu’ensuite la sensation est indescriptible. 
J’avais bien entendu expliqué à ma mère que mon homme est un peu maso, et à quel point il aime que je lui triture méchamment les couilles avec mes ongles. Ca n’est manifestement pas tomber dans l’oreille d’une sourde.
— Alors, vous être prêt ? demande t’elle .
Je sens la queue de mon homme se raidir d’un coup. Oh que oui il est prêt. 
— C’est d’accord.— Tu permets ma chérie?
La main de ma mère prend la place de la mienne sur la queue de Philippe.
— Regarde bien attentivement je que vais faire.  Tout en maintenant la verge bien dressée dans sa main, elle présente le petit doigt de l’autre devant le méat. Maman a toujours été parfaitement manucurée, et ses doigts gracieux se terminent tous par de magnifiques petits ongles vernis et...taillés en pointe.Philippe frémit en comprenant ce qu’elle va faire, mais son amour propre de "boss" lui interdit de reculer. Tout en l’observant avec un regard sadique, maman continue donc. Le bout de son ongle est maintenant posé sur le petit trou au sommet de la queue. Inconscient de ce qu’il va subir, ce dernier est ouvert en grand. Maman plonge alors son doigt à l’intérieur. L’ongle disparait, puis la première phalange. Philippe se mord les lèvres. Est-ce si douloureux que ça? Non, je pense plutôt qu’il ne veut pas qu’on l’entende gémir de plaisir comme une gonzesse. Impassible, maman continue d’enfoncer lentement son doigt. Je n’en crois pas mes yeux, la deuxième phalange a disparu elle aussi.Ma mère est restée très concentrée durant toute l’action, et ce n’est qu’à ce moment qu’elle se met à parler.
— Là comme ça, ton homme est entièrement à ta merci. Il faut faire très attention de ne pas le blesser. L’intérieur du gland est extrêmement fragile.
Je souris cruellement à mon homme en lui faisant admirer mes propres ongles acérés.
— Une fois que tu as enfoncé ton doigt, remue le doucement à l’intérieur de bas en haut.— Comme si je lui baisais l’intérieur de la queue avec?— Exactement. Le plaisir que tu vas lui donner en faisant ça est intense. Il ne pourra plus s’en passer."Exactement ce que je veux" me dis-je.— Tiens regarde.
Maman se met à pistonner l’intérieur de la queue avec son petit doigt.Elle a raison, Philippe se tient aussi raide que sa bite. Il transpire à grosses goutes et halète comme un puceau, mais à aucun moment il ne fait le moindre geste contre elle. Quel plaisirs je prends à voir un homme aussi grand et fort, être le jouet d’une petite femme menue qu’il pourrait assommer d’un revers de la main. Maman me montre de façon éclatante ce qu’est le pouvoir des femmes.
— Cette caresse présente un autre avantage, ajoute-t-elle. Si un jour ton homme se montre méchant avec toi, plis légèrement le bout de ton doigt de façon à lui faire sentir ton ongle. Il comprendra très immédiatement qu’il a intérêt à être plus gentils.— Tu entends ce que dit ma mère mon chéri. Il va falloir éviter de contrarier ta petite femme à partir d’aujourd’hui.
Il me semble voir un frisson parcourir son corps.
— Tiens chérie me dit ma mère, essais.
Maman retire délicatement son doigt de la queue et me la tend. Je la prends d’une main comme elle l’a fait et je pointe le petit doigt de l’autre devant le visage de mon homme.— Regarde, j’ai remis du vernis ce matin.
Et sans plus attendre, je l’enfonce dans son méat.La sensation est très étrange. Le plaisirs que je prends à lui baiser la queue est comparable à celui que j’ai quand je lui broie les couilles avec mes doigts, si ce n’est que je trouve cette nouvelle technique encore plus...comment dire,.... féminine.Philippe souffle comme un phoque et se cramponne à sa chaise pour arriver à supporter ce que je lui fais subir. A un moment, j’ai envie de recourber légèrement mon doigt pour voir sa réaction mais je parviens à me retenir. Lui griffer l’intérieur du gland serait terriblement cruelle de ma part et il ne ne mérite pas. En tout cas, pas aujourd’hui.
— Ca suffit maintenant me dit ma mère. Cette caresse est également a utiliser à petite dose. 
Je retire mon doigt à regret.
— Bon, tout cela m’a donné une terrible envie de me faire sauter, dit-elle ensuite de la façon la plus naturelle du monde. Philippe, après tout ce que l’on a fait subir à votre queue, elle a surement envie de se défouler !
Maman vient à peine de terminer sa phrase qu’elle se retourne en relevant sa jupe. Elle tient maintenant la table à deux mains en remuant son cul tendu vers le ciel de façon indécente.Je n’en crois pas mes yeux ! Elle ne porte même pas de culotte cette Sal...Non, je ne peux pas dire ça, c’est ma mère tout de même.
— AAAAHHHH
Mon homme l’a pénétrée d’un coup sec comme il adore le faire.Quand à moi, je reste immobile pendant qu’il commence à lui ramoner le fion avec rage.
— Et bien alors me dit-elle. Tu ne vas pas rester plantée là comme une idiote.
— Qu’est ce que tu attends pour ENCULER ta SOEUR!

NDL : c’était le dernier chapitre consacré au "parloir". Lors des prochains épisodes, l’histoire va prendre une autre tournure beaucoup plus trash.
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