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Maison d'arrêt

Chapitre 9

gang bang

Travesti / Trans
Un médecin assure une permanence 2 fois par semaine à l’infirmerie de la prison, et Philippe n’a eu aucun mal à m’obtenir un rendez-vous. Je veux lui faire une belle surprise pour son anniversaire, et j’ai trouvé un prétexte bidon afin le pas lui mettre la puce à l’oreille.
— Tu n’as rien de grave j’espère ma chérie ?— Non, ne t’inquiète pas, j’ai juste un peu mal à la gorge.— Ah et bien dans ce cas, je sais ce qu’il te faut : une bonne dose de sirop de corps d’homme!— Ah Ah Ah, très drôle.
Après avoir rempli mes tâches habituelles auprès des lieutenants du boss, j’ai rejoins la salle d’attente dans laquelle je patiente depuis déjà 20 minutes. La porte s’ouvre enfin, c’est à mon tour.
"Suivant!" prononce une voix forte depuis l’intérieur de la salle.
Je me précipite dans le cabinet et vois un homme en blouse blanche assis derrière un bureau. Il a la tête penchée sur l’écran de son ordinateur, et ne m’a même pas vu entrer.
— Bonjour docteur, dis-je d’une voix suave.
Le médecin s’arrête net et lève les yeux vers moi. Quand il voit une jeune femme sexy en tailleur juchée sur des talons aiguilles, il rejette un coup d’œil sur son planning.
— Il doit y avoir une erreur, mademoiselle, c’est un certain MARIE JOHAN qui a pris rendez vous.— Je sais. C’est moi! Si vous voulez vérifier, lui dis-je en écartant les jambes.
Il réajuste ses lunettes et se gratte la gorge. Manifestement mon entrée en scène ne le laisse pas indifférent, c’est de bon augure pour la suite.
— Hum hum, asseyez-vous. Quels sont vos symptômes?— Je n’en ai aucun.— Pourquoi êtes vous ici alors, je n’ai pas de temps à perdre.
— Je suis venue pour vous demander un service.— Je ne suis pas l’Abbé Pierre, je vais vous demander de sortir.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            
Mince, en fin de compte il est plus difficile à convaincre que je l’aurais cru. Il va me falloir passer à la vitesse supérieure.
— Attendez. Laissez moi vous expliquer.
Je me lève et plaque ma main sur son entrejambe. Puis tout en le caressant à travers son pantalon je précise :
— Je ne compte pas vous demander l’aumône, j’ai les moyens de vous rémunérer. Vous sentez comment votre queue est déjà toute raide sous mes doigts. Imaginez un peu comment elle serait dans ma bouche!Sa voix se radoucit, j’ai fait mouche.
— D’accord, vous avez 2 minutes pour m’expliquer ce que vous voulez.— Merci, j’étais certaine qu’on trouverait un terrain d’entente. Voilà, Je suis la maitresse d’un détenu très influent ici, et j’aimerais lui faire un cadeau pour son anniversaire.— Vous me prenez pour le père noël maintenant ?— Non bien sur. Voilà, je souhaite avoir une poitrine de femme pour lui faire plaisir, et je voudrais que vous me donniez un traitement hormonal.— Rien que ça!— Non, je voudrais également quelques petites injections de Botox dans les lèvres, afin d’avoir une bouche bien pulpeuse.— Une bouche à pipe en somme.— Je vois que monsieur est connaisseur. Mais attention, je ne veux pas ressembler à une guenon. Je veux quelque chose de très léger.
Le médecin doit surement avoir l’habitude de marchander avec les détenues féminines du bloc Ouest car il déclare:
— Ca devrait pouvoir se faire. Vous pourrez me rémunérer en nature pour mes services, par contre il faudra payer les produits cash.— Pas de problèmes, lui dis- je en sortant une liasse de mon sac à main. Mon homme est très généreux avec moi. Quand pensez vous avoir ce qu’il vous faut?— La semaine prochaine.— Parfaits, je vais déjà prendre rendez-vous. 
J’ai déjà tourné les talons quand j’entends :
— Hum, attendez mademoiselle. Vous ne pourriez pas me faire une petite avance?
Je le regarde en clignant des yeux.
— Non, ce n’est pas dans mes habitudes de faire crédit. Mais rassurez-vous, si vous faites du bon boulot avec moi, vous n’aurez pas à le regretter.
Une semaine et cinquante turluttes plus tard :
— Bonjour docteur, dis-je en passant ma langue sur les lèvres. Avez vous tout ce qu’il vous faut?
Sa voix tremble légèrement.
— Oui. Par contre, pour le paiement je préférais plutôt ça.
Ce vieux vicieux passe alors sa main sur mes fesses en insistant bien sur la raie.Normalement c’est la chasse gardée de Philippe, mais bon il n’en saura rien. Et puis c’est pour lui faire une surprise après tout, cela vaut bien un petit sacrifice.Comment ça en fait je n’attends que ça! Non mais enfin pour qui me prenez vous? Ok je l’avoue, vous avez raison. J’ai encore du mal à l’admettre, mais je commence à en avoir un peur marre de prendre autant de queues dans la bouche et aussi peu dans le cul. Après tout les efforts que je fais depuis que je suis ici, je mérite bien une petite récompense après tout!
— Aucun problème. C’est même avec plaisir.
Je me retourne et relève ma jupe avant de poser mes avant bras sur la table d’examen. Comme à mon habitude, je ne porte pas de culotte et je me mets à tortiller du cul de manière obscène.Pendant ce temps, en habitué de la chose, il a baissé son pantalon et enfilé une capote qu’il lubrifie généreusement.Le docteur doit avoir environ 50 ans et je ne m’attends pas à des miracles. Quelle n’est pas ma surprise quand je sens sa bite s’enfoncer en moi. Elle est plus fine que celle de Philippe, mais qu’est ce qu’elle est longue ! Le gland se met à cogner contre des parties de mon anatomie qui n’ont encore jamais été explorées aussi profondément. Bon sang que c’est bon! je mouille comme une petite salope. Et moi qui pensais que payer mon traitement serait une corvée! 
— Han ah ah han, ouiiii ouiii ouiii, c’est bon, encore.....ouiiiiii....
Le docteur me lime avec applications et me fait couler comme une fontaine. Ce n’est pas la rage brutale de Philippe, mais un mélange d’expérience et de perversité. Il s’amuse entre autre à me pincer les mamelons tout en me ramonant.
HARRRGGGGHHHHHH.......
Ca y est, il jouit. Un flot de foutre remplit le préservatif, et je sens la chaleur dans mon anus à travers le latex.Il se dégage lentement et je me retourne pour lui ôter la capote et lui nettoyer la queue à coups de langue. Ce faisant, je me souviens des conseils de mon protecteur concernant le "sirop de corps d’homme", et avale le contenu du préservatif sous ses yeux médusés. Je ne suis certainement pas la première petite salope qu’il baise, mais là je bats vraiment tout les records. Tant mieux, me dis-je, il sera aux petits soins avec moi maintenant.
— Bien dit-il après avoir remis son pantalon. Je vais vous donner votre traitement hormonale.
Le praticien sort deux boites de pilules de son tiroir, et m’explique la posologie ainsi que les effets secondaires.
— Il faudra venir me consulter régulièrement afin que je vérifie que vous supportez bien ce traitement.
En entendant ces paroles, mon cul se remet à frétiller de désir.
— A quelle fréquence, toutes les semaines?— Non, ce ne sera pas nécessaire. Un examen mensuel sera amplement suffisant.
( Zut, j’aurais aimé davantage). Mes pensées doivent certainement se lire sur mon visage car il rajoute aussitôt :
— Mais évidemment, si vous ressentez qu’il se passe quoi que ce soit d’anormal, n’hésitez pas à prendre un rendez-vous avec moi.— Je n’y manquerais pas docteur.
Je reste de marbre en répondant cela, mais suis déjà en train d’imaginer des symptômes imaginaires pour revenir me faire enculer.
— Bon, maintenant je vais m’occuper de vos lèvres. Je vais vous faire des injections d’Acide Hyaluronique. Cela va les raffermir et les rendre plus pulpeuses. 
( Chouette! Je vais enfin avoir une vraie bouche à pipes!)
— Attention, ne bougez pas surtout. Ca va piquer un peu.
Et il entame une série de minuscules injections. Au bout de 10 minutes, j’ai l’impression d’avoir des lèvres de babouins.
— Parfait. Rassurez-vous, cela va dégonfler progressivement. Demain, vous aurez une bouche magnifique. Par contre, vous ne pourrez pas vous en servir durant quelques jours précise-il en souriant, sinon cela risque d’être un peu douloureux.
J’ai parfaitement compris l’allusion et lui rends son sourire, puis lui serre la main avant de partir.
— Merci docteur. J’ai vraiment hâte que vous m’administriez la suite de mon traitement.
Toute contente, je rejoins aussitôt mon homme dans sa cellule. Je lui avoue que j’ai été voir le médecin pour qu’il me fasse une belle bouche de suceuse, mais je ne dis pas un mot concernant le traitement hormonal, et encore moins pour le paiement des honoraires.
— Je ne vais pas pouvoir te pomper pendant quelques jours. Tes hommes non plus d’ailleurs.— Ne t’inquiète pas, ils comprendrons.
Ca c’est ce que Philippe croyait, mais le lendemain quand il leur explique qu’ils n’auront pas droits à leur petite gâterie pendant quelque temps, il déclenche une véritable petite rébellion. Quelle bande de salauds. Je les suce tous les jours pour rendre service à mon boss, et ils n’admettent pas que je puisse faire une pause. Ce qui était au début une faveur est maintenant devenu un du.
— C’est facile pour vous patron. Vous sodomisez Johana tous les jours, mais nous rien, peau de zob, que dalle!— C’est vrai chef. Pourquoi on n’aurait pas droit de prendre son cul nous aussi? C’est pas normal que vous la gardiez pour vous tout seul.
Le boss doit hausser le ton pour rétablir le calme. Mais la contestation est toujours dans l’air et son autorité est menacée. Je l’ai parfaitement compris et il est hors de question que je laisse la situation s’envenimer sans réagir.
— Philippe. Ils ont raison. Ils ont le droits de profiter également de mon cul. Tu ne peux plus le garder pour toi seul.— Mais Johana je t’aime. Je ne veux pas qu’ils t’enculent. Ce sont des brutes!— A parce que tu crois que tu es tendre toi? tu n’es pas vraiment un modèle de douceur je te signale. Tu te souviens comment tu m’a ravagée le premier soir, et la façon dont tu me prends souvent à sec!
Mon amant ne dit plus rien. Il reconnait que ce que je viens de dire est vrai, mais il hésite toujours. Il me faut trouver d’autres arguments pour le convaincre.
— Ne t’inquiète pas. Je connais leur queue par cœur à force de les sucer. C’est pas elles qui vont me faire beaucoup de mal au cul après ce que tu lui a déjà fait.
Cela le fait sourire, il est sur le point de céder.
— Tu es vraiment sur que cela ne te dérange pas?
Je meure d’envie de lui répondre : "Tu me demandes si ça me dérange? Mais tu ne vois pas à quel point je rêve de me les prendre dans le fion toutes ses bites!"
Mais au lieu de ça, je dis simplement :
— Philippe! Il faut que tu fasses voir qui commande. Pas vis à vis de moi, mais vis à vis de tes hommes. Beaucoup pensent que je te mène par la queue ( ce qui n’est pas faux) et que tu t’es ramolli à mon contact. Il faut que tu te reprennes et que tu leur montres qu’ils ont torts.— Que dois-je faire?— Traite moi devant eux comme ce que je suis sensée être, ta PUTAIN!— Comment, tu as une idée ?
( Oh oui j’ai une idée. Ca fait même un bon moment qu’elle me trotte dans la tête).
— Laisse moi réfléchir. Il faut trouver un truc bien crade ou tes hommes pourrons me traiter comme une chienne en chaleur. Voyons voyons, qu’est qu’on pourrait faire?
Je fais semblant de réfléchir. Je ne veux pas que Philippe comprenne que je rêve de faire ça depuis des semaines.
— Ca y est, j’ai trouvé. Il faut organiser un gang bang!— Un gang bang?— Oui, une sorte d’orgie sexuelle ou tes hommes pourront me prendre à leur guise par tous les trous. Ca va les défouler et les calmer. Il faut que tu les réunisses et que tu me traites comme une salope avide de sperme. Il n’y a que comme ça que tu retrouveras ton autorité auprès d’eux.— Mais et toi, tu crois que tu pourras tenir le coups?
( Oh bon sang c’est pas vrai, il recommence à s’apitoyer. Pourvu qu’il ne craque pas, j’ai tellement envie de me faire baiser de cette façon).
— Ne t’inquiète pas pour moi. Ce sera dure, ( j’espère même très dure ), mais je tiendrais le coup. Je te dois bien ça mon amour.— Oh Johana, j’ai vraiment de la chance d’être tombé sur une petite femme comme toi. Tu es vraiment très courageuse.— Mais non, c’est tout à fait normal que je fasse cela pour te remercier de tout ce que tu fais pour moi. Allez, rassemble tes lieutenants maintenant.
Paulo se charge de prévenir tout les hommes du boss. La réunion est prévue dans la blanchisserie. Grace à son influence, il a pu la "privatiser" pour la soirée.Une fois tout le monde rassemblé, il entame un petit discours. Pourvu qu’il soit bref, mon cul n’en peut plus d’attendre!
— Les gars. J’ai bien réfléchis à ce que vous avez dit. Vous avez entièrement raison. Il n’y a pas de raison pour que je garde le cul de Johana pour moi tout seul. J’ai donc décidé de réparer cette erreur et je vous l’offre. Baisez là, sautez-là, faites vous sucer autant que vous le désirez. Ce soir, c’est open bar!
Je vois des lueurs perverses s’allumer dans le regard de tous ces males en rut. Depuis le temps qu’ils attendent ça!Quand à moi, mon cul est déjà tout trempé.
— Allez ma petite pute, en piste! me dit ensuite Philippe en me jetant au milieu de ses hommes.
Lors de notre "briefing", je lui avais dit de me traiter sans ménagement comme une vulgaire putain, et il suit parfaitement mes conseils.Quand à ses hommes, ils ne perdent pas de temps. Une dizaines de bras m’agrippent et je me suis retrouve entièrement nue en quelque secondes.
— Ouvre la bouche salope, me dis le tatoué.
Pendant que je m’exécute avec empressement, je sens qu’une autre bite commence à se frayer un chemin entre mes fesses. Je ne sais pas à qui elle appartient, mais elle est drôlement pressée. Elle doit surement être munie d’une tête chercheuse, car elle trouve immédiatement l’entrée de mon anus qu’elle pénètre sans ménagement.
— Aaaaaahhhhh.
D’autres hommes guident mes mains pour que je leur agrippe la queue. J’essaye tant bien que mal de les branler, mais avec celles qui sont déjà dans ma bouche et mon cul, j’ai bien du mal. Je me demande comment les actrices pornos arrivent à tout faire en même temps. Moi je n’y arrive pas, et pourtant j’ai un trou en moins!  Je me dis pour me rassurer que ce n’est qu’une question d’expérience, et que dans quelques semaines je saurais certainement m’occuper de 3 bites à la fois.Le tatoué se rends vite compte de mon manque de coordination, et m’attrape par les cheveux afin de se branler lui même entre mes lèvres. Celles-ci me brulent en raison des injections, mais ce salaud n’en a rien à foutre. Tout ce qui compte pour lui, c’est de me baiser la bouche. Quand aux deux types que je tiens dans les mains, ils agitent eux aussi mes bras pour que je les branle. Il n’y a que celui qui m’encule que je peux aider un peu en tendant mes feses au maximum.
Je sens bientôt un liquide tiède envahir mes intestins, mon enculeur inconnu a joui. Aussitôt le tatoué sort sa queue de ma bouche et se précipite pour le remplacer. J’ai à peine le temps de prendre une bonne goulée d’air qu’une autre bite s’engouffre entre mes lèvres.Ce soir, mon expérience de la gorge profonde me rend un sacré service. Si je ne l’avais pas, je pense que je mourrais étouffée.
Cela fait maintenant 20 minutes que je suis prise par tout le trous, et je n’arrête pas de couiner de plaisirs. Mon homme lui fait une drôle de tête. Est-ce de la jalousie? Non, ça n’y ressemble pas, en fait on dirait plutôt de la pitié. Mais oui c’est ça, il croie que mes gémissements sont dues à la douleur cette andouille.Philippe n’en peut plus de me voir "souffrir" et s’approche de moi. Je vois qu’il est sincèrement désolé, ses yeux semblent vouloir me dire : "Courage chérie, tiens bon. Je suis fière de toi"J’évite de le regarder. J’ai peur qu’il s’aperçoive qu’en fait de souffrir, je suis en train de jouir comme une folle. Pour donner le change, je pousse des plaintes étouffées à chaque fois que je le peux.
Les unes après les autres, les queues passent entre mes mains puis ma bouche, pour finir dans mon cul. Lorsque le dernier jets jaillit dans mon anus, celui-ci est déjà plein à ras bord et le sperme dégouline le long de mes cuisses pour former une petite mare sur le sol.Une fois fini, les lieutenants relèvent leur pantalon et quittent les lieux un par un, me laissant seule avec le boss. Pendant ce temps, je reste allongée sur le sol, ivre de jouissance et de plaisir.
Philippe est toujours blanc comme un linge après avoir vu sa petite femme traitée de la sorte. Il a continué à prendre mes gémissements pour des cris de douleurs, mais en fait je mouille comme une fontaine. Je n’ai jamais autant joui.
Mon homme s’approche enfin de moi, il semble bouleverser. Je fais semblant de me plaindre.
— Johana tu as été merveilleuse, mais c’est trop dur. Je ne pourrai pas supporter de te voir à nouveau traitée de cette façon par mes hommes. Peu importe ce qui arrivera, mais je ne veux plus t’imposer ce supplice!
( Ce supplice, mais ca va pas la tête. Maintenant que j’ai gouté à ça, je ne pourrai plus m’en passer. Hors de question que tu m’en prives!)
— Ne fais surtout pas ça chéri. Lui dis-je précipitamment. Ne t’inquiète pas pour moi, je tiens le coup. Dans l’intérêt de ton leaderships, il faut que tu m’obliges à me faire sauter par tes hommes, quelque soit ce qui m’en coute.
 et ce.....
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