8 mois se sont déjà écoulés depuis que j’ai franchi le seuil de la maison d’arrêt, et je n’ai pas vu le temps passer, pas plus que je n’ai compté le nombre de queues que j’ai sucé.Mes journées sont réglées comme du papier à musique : une petite gâterie à mon homme avant le petit déjeuné, puis ma tournée fellatoire de cellules en ateliers. Paulo, mon fidèle garde du corps et confident ne s’éloigne bien sur jamais de moi, et je n’oublie jamais de le remercier du soin qu’il met à me protéger.Les après-midi sont plus calmes, et je peux m’adonner à mon passe temps préféré : jouer à la petite épouse modèle, essayer les nouvelles robes et chaussures que Paulo arrive à me dégotter, me faire belle ..... et enfin préparer mon cul pour la désormais traditionnelle sodomie du boss avant le coucher.Bien sur, je ne risque pas de l’oublier, il y a toujours le gang bang hebdomadaire que mon homme a fini par accepter. D’ailleurs, maintenant il y participe également ce salaud! Rajoutez à cela les visites aux parloirs ou je me fais vider les couilles par ma sœur pendant que ma mère se fait prendre sauvagement par Philippe, et vous avez une bonne idée de mon emploi du temps!On peut dire qu’une certaine routine c’est installée, mais je m’y sens bien. En fait, je nage en plein bonheur. Mais aujourd’hui, alors que j’ai encore en bouche le gout du sperme du "Tatoué". — Johana,.... sauve toi.... COURS! Paulo n’a pas le temps de dire autre chose. 3 types sont en train de le rouer de coups. Je fais un pas en avant pour aller à son secours, mais 2 autres malabars me font face. Je n’ai aucune chance contre eux et je comprends très vite qu’il n’y a qu’une seule chose à faire : aller prévenir Philippe le plus vite possible. En effet, même avec des talons de 15 cms, je suis capable de battre à la course la plupart des mecs. Je m’élance donc dans le couloir en sens opposé quand je sens une autre présence devant moi. Nous sommes tombés dans un piège! — Eh PUPUTE! Je n’ai pas entendu cette voix depuis 8 mois, mais je peux la reconnaitre entre 1000! Elle semble sortir d’outre tombe. Je lui dis sèchement :
— Qu’est ce qui te prends tout à coup connard? T’en as marre de la vie? Il me répond en ricanant :
— Tu ne m’as toujours pas sucé. Pourtant je te l’avais demandé gentiment le jour de ton arrivée. — Espèce de fils de pute! Quand le boss saura comment tu as parlé à sa femme, je ne donnerai pas cher de ta peau. — Le boss! Quel Boss? DELLACOSTA? Il est fini, dépassé, "has been" comme disent les Britichs. Maintenant, le boss ici, c’est LUI! Et là, sort de la pénombre un véritable "monstre". Vous voyez le géant black dans le film "la ligne verte"? Et bien c’est son grand frère. — Je je présente BIG MIKE! C’est mon patron, LE PATRON! Une rangée de dents d’un blanc éclatant éclaire le visage du géant noir. Il sourit avant de s’adresser à moi : — Je vois que tu connais déjà le "vicieux", c’est mon lieutenant. Il m’a beaucoup parlé de toi, et je crois bien que tu lui as tapé dans l’œil. — Si je dois lui taper quelque part à cet enfoiré, ce sera dans les couilles! Ma remarque fait sourire de nouveau le grand black qui me demande: — Tu es la pute de DELLACOSTA. C’est bien ça? — Pas sa pute, sa femme! Cette fois-ci, il éclate de rire — Je ne le savais pas si romantique. Vous m’inviterez à votre mariage? Je serre les dents de colère et suis à deux doigts de lui mettre mon poings dans la gueule. Quelle idée stupide. Ca lui ferait l’effet d’une piqure de moustique. Même perchée sur mes talons aiguilles, je plus petite que lui et il doit faire 3 fois mon poids.Pour une fois, je regrette de ne pas avoir la force d’un homme. — Qu’est ce que vous me voulez? — Tu n’as pas entendu le "vicieux". Il veut la pipe que tu lui dois depuis ton arrivée. — Il peut toujours crever cette ordure! "S’il me mets sa queue dans la bouche, je la lui coupe directe" dis-je en faisant claquer mes dents. — Tut tut tut.... A ta place je ne dirais pas ça. D’une part je pourrais facilement te péter toutes tes jolies dents, et d’autre part je suis sur que tu n’as pas envie qu’on fasse du mal à ton ami. Le grand black claque des doigts et deux de ses hommes amènent Paulo en le tenant sous les bras. Ils l’ont salement tabassé et il ne peut plus tenir seul sur ses jambes. — Le vicieux m’a dit que tu le considérais comme ton père. Tu ne voudrais quand même pas qu’on fasse du mal à ton "papa"? Un accident est si vite arrivé! Le sous entendu est évident. Soit je suce gentiment ce fumier de "Vicieux", soit ils feront du mal à Paulo. MON Paulo! Ca il n’en est pas question! Et puis, qu’est qu’une pipe pour moi? Je ne suis pas à une bite de plus ou de moins dans la bouche. — Ok, j’ai compris! Amène ta queue connard! Dis-je en m’adressant au "Vicieux" Trois secondes plus tard, il m’a fourré son dard au fond de la gorge. Il ne doit jamais se laver cet enculé, sa queue put la pisse et le sperme desséché! Mais il est hors de question que je manifeste le moindre signe de dégout devant tout ces Fils De Putes ! C’est une question de principe, pour moi, Paulo et Philippe. Je me mets donc immédiatement en action.Avec l’Energie avec laquelle je le pompe maintenant, je sais que je ne mettrai pas longtemps à le faire jouir. Il passera ainsi pour un éjaculateur précoce devant ses potes et son patron. C’est une vengeance bien dérisoire, mais bon, c’est toujours mieux que rien.Ce salaud s’en rend compte et se retire vivement avant qu’il ne soit trop tard. — Maintenant je vais t’enculer à sec salope! Je sais que ce n’est pas une demande mais un ordre. Paulo est toujours à la merci de ces fumiers et je ne vais pas risquer sa vie. Je tends donc mon cul en signe d’acceptation. Après tout, il en a vu bien d’autres!Une autre bite tout aussi dégueulasse s’engouffre dans ma bouche tandis que celle du vicieux pénètre mon anus. Ca me rappelle les gang bangs, avec l’odeur de la pisse en plus.Le vicieux a une petite queue, à moins que ce soit mon cul qui soit déjà bien dilaté. Toujours est-il qu’il a beau s’activer comme un diable entre mes fesses, il ne me fait pas beaucoup d’effet. Lui par contre semble prendre beaucoup de plaisir, et il ne tarde pas à jouir bruyamment.
— Tiens prends ça salooooopeee..Ahhhhh. En ce qui me concerne, je suis restée parfaitement impassible durant tout le temps où il s’est excité dans mon cul, et c’est pour moi l’occasion de l’humilier un peu. J’interromps donc ma pipe quelques secondes pour lui dire. — Déjà fini! Merci de m’avoir prévenue, je ne mettais même pas rendue compte que tu avais commencé. Le vicieux serre le poing de colère, et je crois vraiment que je vais me le prendre en pleine gueule. Ca m’apprendra à toujours vouloir la ramener!Je ferme les yeux comme si cela pouvait amortir le coup, mais rien ne se produit. Après quelques secondes, j’ouvre un œil puis le deuxième, et vois que Big Mike a arrêté le bras de son lieutenant. — Tut tut tut. Ce serait dommage d’abimer une si jolie marchandise! Dit-il en souriant. Puis s’adressant à moi. — Ainsi donc, mes hommes ne te font pas beaucoup d’effet. Je refais la crâneuse. — J’y peux rien si ce sont des lapins montés comme des huitres! Avec mon homme, j’ai l’habitude de vraies grosses bites! — Ainsi donc, tu aimes les grosses queues! Tu ne vas pas être déçue ma belle. BIG MIKE défait alors son froc et fait jaillir un sexe énorme. Il est noir, parsemé de veines gonflées à blocs. A vue de nez, il doit faire près de 40 cm de longueur pour 8 de diamètre.Je n’en ai jamais vu d’aussi gros. C’est quelque chose de vraiment monstrueux. — Celle-là, je pense que tu vas la sentir! rajoute-il en éclatant de rire. Je n’ai plus du tout envie de faire la maligne. Ca pour la sentir je vais la sentir! Et même avec la plus grande volonté du monde, je sais que je ne pourrai me retenir de crier quand son pieu me ramonera l’anus.Mon instinct de survie me commande de ne pas laisser cet engin me déchirer les entrailles. Je me mets à me débattre comme une furie. Un coup de talon aiguille dans les couilles d’un de mes agresseurs, une balafre sur le visage d’un autre avec mes ongles acérés, tandis que j’essaye de mordre la queue d’un troisième....Peine perdue. Des mains puissantes écrasent mes bras et maitrisent mes jambes. En quelques seconde, je me retrouve entièrement immobilisée, les fesses offertes, sans aucune défense. Je regarde avec effroi Big Mike approcher son énorme gourdin de mon anus. Le "vicieux" savoure cet instant avec excitation. Tout en me tordant un bras derrière l’épaule, il se penche à mon oreille : — T’en fais pas CE N’EST QU’UN MAUVAIS MOMENT A PASSER. Jamais je n’oublierai ces paroles! — AAAAAAAAHHHHHHHHH....... Un hurlement de douleur résonne dans tout le bloc Ouest, quand le gland monstrueux force l’entrée de mon anus. Je suis sur le point de perdre connaissance, mais c’est sans compter avec le "vicieux" qui tient à cœur que je sois parfaitement consciente pendant que son patron me défonce le cul. Quelques gifles biens senties me ramènent à la réalité. — Oh Oh, restes avec nous. Se serait dommage que tu rates le meilleur. Et c’est l’enfer. Sitôt mon anneau rectal déchiré, Big Mike se met à me pistonner furieusement l’anus avec sa queue monstrueuse.Il m’est impossible de supporter stoïquement un tel supplice, et je cris sans discontinuer. Tout le bloc doit entendre mes hurlements.C’est surement ce que veut Big Mike : montrez à tous que dorénavant il faut compter avec lui, et que DELLACOSTA n’est plus le chef incontesté de la prison. Quoi de mieux que de se servir de sa putain pour faire passer le message! BIG MIKE m’a ravagé le cul pendant une dizaine de minutes avant de décharger, mais à moi le supplice a semblé durer des heures.Après avoir repris son souffle, mon tortionnaire se rhabille pendant que je gémis sur le sol, le cul dégoulinant de foutre et de sang mélangés. En me souillant de cette façon, il marque son territoire comme un pit bull le ferait en urinant sur le bas d’un pantalon. Avant de partir, il se penche vers moi pour me confier un message : — Tu diras à DELLACOSTA qu’à partir de maintenant, c’est moi qui prends le contrôle des blocs Ouest et Sud. Je suis bon prince, je lui laisse l’autre moitié de la prison.Fais lui bien comprendre qu’il n’a pas intérêt à jouer au con avec moi! Sinon la prochaine fois, je serai beaucoup moins gentils! "Ah ahahaha..." BIG MIKE et ses hommes quittent les lieux en éclatant de rire, nous laissant seuls Paulo et moi dans le couloir désert.Après en avoir fini avec la pute de Dellacosta, ils ont lâché tel un sac leur otage devenu inutile, et il s’est écroulé sur le sol, inconscient. Je me mets à ramper vers lui, pourvu que....Ouf, il respire. Il est salement amoché mais toujours vivant. — A l’aide, à l’aide....! Maintenant que nous agresseurs sont partis, je sais que mes appels seront enfin entendus. — Courage Paulo, tiens bon. Les secours ne vont pas tardés à arriver. Je me penche ensuite à son oreille: " Paulo. Je te jure que leur ferais payer très cher ce qu’ils nous ont fait à cette bande d’enculés. Ils ne savent pas à quel point une femme peut se montrer rancunière." "Je ne sais pas le temps que cela prendra, ni comment je vais assouvir ma vengeance, mais je te garantie que je serai SANS PITIE !"
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