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Maison d'arrêt

Chapitre 11

Travesti / Trans
Ce qui se passe en prison reste en prison. Telle est la loi du silence qui s’applique dans ce milieu, et ni Paulo ni moi ne dérogerons à cette règle.
Officiellement, nous avons eu un "accident", et nous avons catégoriquement refusé de révéler ce qui nous est réellement arrivé, même s’il s’agit d’un secret de polichinelle. Nous avons refusé de la même manière de collaborer de quelques manière que ce soit dans l’enquête interne que le directeur avait ouverte, qui faute de plainte et d’élément, a vite été classée dans la corbeille.

Paulo et moi avons passé 3 jours à l’hôpital avant de pouvoir être admis à l’infirmerie de la maison d’arrêt pour y continuer nos soins. Dés mon retour, Philippe s’est précipité à mon chevet.
— Ca va ma chérie, tu tiens le coup?— Ne t’en fais pas pour moi. Mon cul est solide et il en verra d’autres. Heureusement que tu l’avais bien préparé ces derniers mois !
Ma plaisanterie le fait sourire.
— Sérieusement, est-ce que ça va?— J’ai été déchirée et le chirurgien a du me recoudre. Mais il n’y aucun dommage irréversible. Il faudra juste laisser mon anus tranquille quelques temps. Mais ne t’en fais pas, je te ferais des petites gâteries en attendant!— Mais j’espère bien, me répond-il ironiquement. 
Il se force à rire de mes plaisanteries mais le cœur n’y est pas. Je commence à bien le connaitre, et derrière son allure rustre je vois bien qu’il bout intérieurement.
— Je ne pensais pas uniquement à tes blessures physiques, mais également à ....— Quoi? Mon amour propre, ma dignité?Mon amour propre, je l’ai mis de coté le jour ou je me suis glissée sous la table du réfectoire pour te sucer. Quand à ma dignité, personne ne pourra jamais me l’enlever, et surtout pas des enculés comme eux.
Je vois une lueur de fierté dans le regard de Philippe, sa petite femme est une battante! Je le ramène à la réalité.
— Et Paulo? Tu as des nouvelles. On ne m’a rien dit depuis notre transport à l’hôpital.
— Ca va. Quelques cotes cassées, quelques dents en moins, un traumatisme crânien et des contusions partout, mais rien d’irréversible non plus. Il s’en remettra vite. C’est un dur, tout comme toi!
Cette fois ci, c’est moi qui sourit.
— Embrasse moi, j’en ai besoin.
Philippe se penche sur le lit et me délivre un baiser passionné. Je profite de l’occasion pour glisser ma main à l’intérieur de son pantalon.
— Ta grosse queue m’a manqué. Reste près de moi que je puisse te l’astiquer.
Pendant que je lui branle doucement le manche, mon homme glisse à mon oreille :
— Je t’aime ma petite pute— Moi aussi mon salaud.
Ce moment de tendresse passé, le visage de Philippe redevient subitement dur comme de la glace.
— Maintenant repose toi ma chérie. Moi j’ai des comptes à régler!
Je l’attrape par le bras pour le retenir.
— NON! 
Je ne veux pas qu’il aille se jeter tête baissée dans une vendetta où lui et ses hommes laisseront des plumes. BIG MIKE et ses acolytes ne sont pas des enfants de cœurs à prendre à la légère. Cela serait une grave erreur de les sous estimer.
— Comment ça non. Je ne vais quand même pas rester les bras croisés après ce que ces salauds vous ont faits! Toi-même, tu n’as pas envie de te venger?— Oh si bien sur, mais pas n’importe comment. Pas de façon irréfléchie sous le coup de la colère. La vengeance est un plat qui se mange froid et je compte bien le déguster glacé!Promets moi de rester tranquille tant que je serais à l’infirmerie, et de ne rien faire sans m’en avoir parlé au préalable.— Johana, tu me demandes l’impossible. Que va t’on penser de moi si je reste sans rien faire?— Je ravale ma fierté pour toi depuis des mois, tu peux bien faire de même pour moi pendant quelques semaines.Jure moi de ne rien faire sans mon accord.— Tu te rends compte de ce que tu me demandes? Cela va être dur pour moi de rester les bras croisés après l’affront que l’on m’a fait à travers toi.— Et pour moi, tu crois que ça n’a pas été dur? J’estime avoir largement gagné le droit de me venger moi-même. Mais ne t’inquiète pas, j’aurais besoin de toi.Si tu m’aimes vraiment, fais moi confiance.
Que peut-il répondre à ça à part accepter ma requête.
— Bon d’accord, tu as gagné. Je vais adopter un profil bas aussi longtemps que tu me le demanderas. Mais promets moi que cela en vaudra la peine.— Merci de cette preuve d’amour mon chéri. Tu ne le regretteras pas, ça je peux te l’assurer.— Tu as déjà une idée de ce que tu comptes faire. — Pas encore, mais avant tout il nous faut trouver un allié. BIG MIKE est un trop gros morceau pour s’attaquer directement à lui. — Un allié? Quel allié veux tu que je trouve ici?— Le directeur de la prison.— Oh lui la seule chose à laquelle il pense, c’est sa carrière. Tout ce qu’il fera en cas de guerre entre bandes, c’est de compter sagement les points en attendant de voir qui en sortira vainqueur, mais affaibli. Il aura alors l’occasion de reprendre la main sur la prison. Jamais il ne lèvera le petit doigt pour moi.— Non en effet, sauf si tu arrives à le tenir par les couilles!— Le tenir par les couilles. Mais comment ?— Ne t’inquiète pas pour ça. M’occuper des couilles des mecs, c’est ma spécialité. 

Une semaine a passé, et je quitte l’infirmerie plus déterminée que jamais. Mon homme n’a pas déclaré la guerre à BIG MIKE comme tout le monde s’y attendait.Sa fierté de "caïd" en a pris un sacré coup, mais il a juré de ne pas le faire et il n’a qu’une parole. Néanmoins, il brule d’envie d’engager les hostilités, et dés notre premier moment d’intimité :
— Johana, j’ai tenu la promesse que je t’ai faite, mais je ne pourrais pas le faire éternellement. Mes hommes se posent des questions.— Je sais. Et je vais donc attaquer pour mon plan dés maintenant. Peux-tu m’avoir un rendez-vous avec le directeur?— Oui bien sur, mais pourquoi?— Comme je te l’ai déjà dit. En faire un allié— Que comptes tu faire avec lui?— Ce que je sais faire le mieux : le sucer, et le laisser m’enculer. Enfin bon, pour ce qui est de ce dernier point, je vais attendre un peu que mon anus soit entièrement cicatrisé.
J’éclate d’un rire nerveux en disant cela. 
— Mais enfin, je ne comprends pas.— C’est simple. Il ne lèvera pas le petit doigt en ta faveur à moins que tu n’ais un moyen pour le tenir par les couilles. Et bien ce moyen, c’est moi qui vais te l’offrir. Je vais le faire bander et le faire jouir comme un fou. Bientôt, il ne pourra plus se passer de mon cul et de mes turluttes, et je pourrais faire de lui ce que je voudrais. Ce jour là, tu le tiendras par les couilles à travers moi.— Johanna, tu es vraiment machiavélique. — Tu ne sais pas encore à quel point. Tache de t’en rappeler si un jour l’envie de me tromper te prenait.

Deux jours plus tard, je suis reçue par le directeur dans son bureau. Malgré "l’incident" dont Paulo et moi avons été victimes, le BOSS a toujours beaucoup d’influence.
— Monsieur ou..... Mlle MARIE, je ne sais pas comment je dois vous appeler. — Appeler moi Johana M le directeur, ce sera plus simple.— Bien Johana. Que puis-je faire pour vous? Vous venez me voir au sujet de votre "accident" je suppose.
Je me doutais que le directeur de la prison essaierait d’en savoir plus sur ce qui m’est arrivé. C’est même probablement pour ça qu’il m’a reçu aussi vite. Il espère surement trouver un moyen de renforcer son autorité au détriments de Big Mike, mais aussi de celle de mon homme.De cela il n’en est pas question. Ni moi ni Paulo n’avons dit quoi que se soit sur ce qui nous est arrivé lors des faits, et ce n’est pas maintenant que je vais passer pour une balance. Officiellement, c’est un accident même si personne n’en croit un mot. Comme je l’ai déjà dit, ce qui ce passe en prison reste en prison. Et puis de plus, je ne veux pour rien au monde que quelqu’un me vole ma vengeance.Il est donc très déçu de ma réponse :
— Comme vous venez de le dire, c’était un accident. C’est du passé maintenant. Non, je suis venue vous voir pour toute autre chose.
L’attrait du directeur pour moi retombe d’un coup, beaucoup trop vite à mon gout. J’ai maintenant peur qu’il n’écourte notre rendez-vous avant que j’ai le temps de lui parler. Il me faut très vite raviver son intérêt.J’écarte alors largement les jambes afin qu’il puisse admirer ma petite culotte en dentelle sous ma robe ( et si, pour une fois j’en ai mis une), et le fixe droit dans les yeux en passant ma langue sur mes lèvres.
— En fait si je suis venue vous voir, c’est que j’aimerais devenir secrétaire.Il est temps pour moi de penser à mon avenir une fois que je serais sortie de prison, et je pense avoir toutes les qualités requises pour devenir une bonne assistante de direction.
J’ai pris soin de repasser avec insistance ma langue sur les lèvres entre chaque phrase afin de bien l’exciter. Le directeur me dévore maintenant des yeux. J’ai de nouveau réussi à capter son intérêt, et je décide de pousser mon avantage.
— J’ai appris également que votre secrétaire était en arrêt maladie. Vous devez avoir énormément de travail en retard. Si vous acceptez de me prendre en tant que stagiaire, je pourrais vous.... SOULAGER.
Il faudrait être sourd et aveugle pour ne pas comprendre l’allusion, et ce n’est pas son cas. Il desserre sa cravate avant de me répondre.
— Oui, en effet. Vous avez parfaitement raison de penser dés maintenant à votre reconversion professionnelle. Et puis cet établissement n’est pas uniquement là pour la répression. Il a également un rôle de réinsertion sociale et en tant que directeur, je me dois de montrer l’exemple.Quand souhaitez vous commencer votre formation?— Et bien ma fois, tout de suite. Pourquoi attendre?
Je me lève de ma chaise et fais quelques pas pour le rejoindre derrière son bureau. La suite je pense que vous la devinez. Il me semble inutile de vous la détailler...

De retour dans la cellule de mon homme.
— Alors, comment ça c’est passé. Il a accepté de te prendre comme secrétaire?— Mais évidement enfin. Mettrais tu en doute mes talents de persuasion?— Tu la sucé?— Bien sur. Tu sais bien que je ne peux pas m’empêcher de prendre une queue dans la bouche dés que j’en vois une.— Il t’as....enfin, il t’as sodomisé?— Pas encore voyons, nous venons juste de faire connaissance. Et puis mon cul n’est pas encore complétement remis. Mais cela ne saurait tarder, je compte bien remuer ma croupe sous son nez très prochainement.— T’es vraiment une petite salope, me dit Philippe en me serrant tendrement dans ses bras.— Mais enfin, je te rappelle que je fais tout ça pour toi. Tu pourrais être un peu plus reconnaissant des efforts que je vais pour te rendre service.
Et le boss fourre sa langue dans la bouche qui vient de faire jouir le directeur de la prison.
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