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Maison d'arrêt

Chapitre 12

Travesti / Trans
CHAPITRE 12

Trois semaines se sont écoulées depuis ma sortie de l’infirmerie, et mon anus est de nouveau redevenu opérationnel. Hier, j’ai demandé à mon homme de tester sa solidité avec son gros membre, en lui demandant quand même d’y aller doucement. Je pense que je n’aurais pas du lui préciser cela, car il avait tellement peur de me faire mal qu’il osait à peine s’enfoncer en moi. J’ai été obligé de m’empaler moi-même sur sa queue pour satisfaire l’appétit de mon petit trou privé de dessert depuis si longtemps ! Il a très bien tenu le coup et je peux maintenant passer à la vitesse supérieure avec le directeur. Il est en effet très satisfait des prestations buccales de sa secrétaire stagiaire, mais je vois bien à la façon qu’il a de me mater le cul sans arrêt qu’il est pressé de l’enfiler.
— Bonjour M le directeur. Excusez moi, je suis un peu en retard. Une pipe de dernière minute avec votre adjoint.— Ce n’est rien, le travail n’exclu pas le plaisir répond-il avant de relever la tète de son écran. 
En me voyant telle que je me suis apprêtée, il pousse un cri admiratif.
— Ouah Johana, vous êtes ravissante.— Merci M le directeur, j’avais peur que vous trouviez ma tenue inadéquate pour une secrétaire. 
J’ai en effet troqué le tailleur que je mets d’habitude pour une robe rose à poids munies de volants. Mon traitement hormonal commence à faire effet, et j’ai maintenant une petite poitrine que je mets en valeur grâce à un décolleté pigeonnant. Pour compléter ma tenue, je porte des escarpins assortis aux talons de 15 cm, ainsi qu’un nœud papillon posé sur mes long cheveux blond. Et enfin, mais il me semble inutile de le préciser, j’ai apporté ma traditionnelle touche finale : un gloss rose vif appliqué sur mes lèvres pulpeuses à faire damner un saint.Je fais un tour complet sur la pointe d’un de mes escarpin afin de me faire admirer. Cela a pour effet de faire soulever ma robe bouffante, et de dévoiler les portes jarretelles qui soutiennent mes bas.
— Cela vous plait? 
Le directeur est déjà rouge.
— Oh oui beaucoup. Vous êtes parfaite.
Je trotte jusqu’à son bureau sur mes talons aiguilles, en prenant bien soin de faire de tout petits pas comme une dinde.
— Désirez-vous un café M le directeur?— Et bien oui, avec plaisir.— Tout de suite.
Je me dandine de nouveau sur mes talons de façon indécente jusqu’à la machine à café, et je reviens avec une tasse chaude. Et là catastrophe ! je renverse malencontreusement son contenu sur son pantalon, et ce juste au niveau de la ceinture pour bien faire.
— Oh la là, non mais quelle gourde je suis. Je suis vraiment désolée monsieur, je vais arranger ça tout de suite.
Avant qu’il n’ai le temps de dire quoi que se soit, je l’ai déjà presque entièrement déshabillé.
— Voila, je vais m’occuper de laver tout ça. Qu’est ce que je peux être maladroite, je mériterais une bonne punition !
Le directeur n’ose pas.
— Ce n’est pas grave. Ce sont des choses qui arrivent.— Si si, j’insiste. Ce qu’il me faudrait, c’est une bonne fessée.
Et pour vaincre ses dernières hésitations, je relève ma robe et je me penche sur son bureau en présentant mes fesses rebondies. 
— Oh et en plus j’ai encore oublié de mettre une petite culotte. Décidément, je suis vraiment une tête de linotte !
Je sens une claque sur mes fesses, puis deux, puis trois...puis toute une série ininterrompue.Le directeur, d’abord timide, m’administre maintenant la fessée avec enthousiasme.
— Tiens prends ça espèce de petite dévergondée. Cela va t’apprendre à faire attention!— Ouille ouille, aille aille .....Après quelques minutes, mes cris se muent peu à peu en:— hum hum hum, oui oui oui.., encore....
Je n’ai pas mal bien sur. Après tout ce que mon cul a subit, ces claques sont de douces caresses. Je veux juste exciter encore plus ma proie avec mes petits cris de vierge effarouchées. Quand aux dernière parole....hum, je dois dire que je commence à y prendre réellement du plaisir.
— Mais c’est qu’elle aime ça cette petite garce. Attends, je vais passer à une punition plus dure!
Et là hop! Il me fourre directement sa queue dans le cul.
— Alors salope, ce n’est plus la même chose maintenant hein!
Je retrouve alors des sensations auxquelles je suis habituée.
— AHAHHAHH, OHOHOH, AIIIILLLE AIILLLLE AILLLE, oh non M le directeur...— Que cela te serve de leçon! La prochaine fois, tu ne seras plus aussi maladroite.— OH OH OH, AIIIILLLE... oui M le directeur. C’est promis, je ferais davantage attention maintenant.
Je joue la comédie ainsi pendant tout le temps qu’il me lime le fion. Cela lui fait tellement plaisirs de faire jouir la putain de la prison.
— ARRRRGHHH....
Le directeur pousse un hurlement de bête sauvage quand il décharge. Cela doit faire longtemps qu’il n’a pas joui avec une telle intensité, sa femme n’est certainement pas aussi salope que moi. Je le laisse finir de jouir, puis rebaisse ma robe pour cacher les coulures de spermes sur mes cuisses.
— Ouh la là M le directeur. Je ne pensais pas qu’être secrétaire serait aussi difficile. Si c’est tous les jours comme cela, je ne sais pas si je vais pouvoir tenir. Vous m’avez explosé le cul avec votre grosse queue.
Il est fier comme un paon de ma remarque, même si au fond de lui-même il se doute bien que j’en rajoute. Mais notre petite jeu lui a plu et il répond :
— Ca t’apprendra à faire attention. C’est comme ça qu’on corrige les jeunes filles maladroites. J’espère que tu t’en souviendras!— Oui monsieur lui dis-je en mettant mon doigts sur mes lèvres comme une petite fille.
Est ce ma mine conscrite qui l’incite à la clémence, ou...son vice? Toujours est-il qu’il s’adresse maintenant à moi d’une voix douce.
— J’ai été très dur avec toi. Tu ne l’avais pas fait exprès.( bien sur que si pensais-je alors)— Viens sur mes genoux, je vais te faire voir le nouveau logiciel de gestion qu’on a reçu.
Il est toujours nu, et je prends soin de relever ma robe avant de m’assoir sur lui. Pendant une heure il m’explique les différentes application en guidant ma main sur la souris. Et justement en parlant de souris, je commence depuis peu à sentir un gros rat sous mes fesses. Il faut dire que je les bouge sans arrêt afin de bien les faire frotter sur les genoux de ce vieux vicelard. Enfin, quand je dis les genoux, vous me comprenez !Je m’attends à ce que gros rats se fraye à nouveau un chemin vers ma petite chatte anale, mais ce n’est pas ce qui se produit. Pour la première fois, il se passe quelque chose que je n’ai pas prévue, pas calculée.
En effet, tout en guidant ma main avec une des siennes sur la souris, il s’est mis à me caresser la queue avec l’autre. Hum, c’est agréable, hormis ma mère et ma sœur, personne ne s’occupe de ma bite à la prison, et elle apprécie beaucoup. Très vite, elle devient raide dans la main qui la branle.Je me retourne et vois que le visage du directeur a changé d’aspect. Il est dans un état d’excitation encore plus grand que tout à l’heure.
-Johana …tu...tu me rends dingue....
Je vois qu’il veux me dire quelque chose. Surement me révéler un de ses fantasmes ou une envie inavouable. C’est le moment ou jamais de prendre le pouvoir sur lui, de le "tenir enfin par les couilles"
— Laissez vous allez. Je suis prête à tout entendre. Plus rien ne peut me surprendre.
Je vois qu’il est toujours hésitant.
— Vous pouvez me faire confiance. J’ai vu et entendu beaucoup de choses depuis que je suis ici et je n’ai jamais rien dit. "Tout ce qui ce passe dans la maison d’arrêt reste dans la maison d’arrêt". Vous êtes bien placé pour le savoir.Je vous promets quelque soit vos petits secrets, ils ne sortirons pas de ce bureau. Je n’ai qu’une parole, et puis quel intérêt j’aurais à vous trahir?
Le directeur me regarde droit dans les yeux, comme s’il voulait sonder le fond de mon âme. Ce n’est plus son cerveau qui dicte ses actes, mais sa queue!
— C’est surement une folie, mais tant pis. Tu me fais perdre complétement la tête.
Il me demande de me lever et de me placer face à lui. Et là, pour la première fois de ma vie, un homme prend ma bite dans sa bouche.Il suce de façon très maladroite mais avec beaucoup de ferveur. Il me rappelle moi lors de ma première pipe. C’est surement également la première fois pour lui, bien qu’il doit rêver de le faire depuis des années.Malgré son manque d’expérience, il parviens à me faire bander comme un âne ce petit vicieux. Je commence même à me demander s’il va aller jusqu’au bout et tout avaler, quand je comprends que ce n’est pas son intention. En effet, il s’arrête de sucer et sans dire un mot il se relève avant de se mettre en position sur le bureau, comme je l’ai fait une heure plus tôt.C’est donc ça qu’il veux !Il m’est impossible de résister à une telle invitation, et deux secondes plus tard j’encule un homme pour la première fois.A la façon dont son bassin ondule de plaisirs, je sais d’ores et déjà qu’à partir d’aujourd’hui, je passerai plus de temps à ramoner son anus qu’à lui sucer la queue.
Plusieurs semaines ont passé depuis la première sodomie du directeur.Depuis que je passe mes après-midi dans son bureau, tout le personnel de la prison sait pertinemment que leur patron saute à tour de bras la petite salope qui lui sert de secrétaire, et qu’elle lui pompe le dard jusqu’à la dernière goutte. Maligne, j’ai également acheté leur silence avec ma bouche. "On ne sait jamais" ai-je dis à mon amant et protecteur, "c’est toujours mieux d’entretenir de bonnes relations avec eux. Si jamais l’envie de nous trahir leur prenait un jour, j’aurais des détails croustillants à révéler à leur épouses!"En revanche personne, pas même Philippe, ne sait que le directeur prend ma bite dans la bouche et le cul. C’est un secret que je tiens à garder pour moi seule ; une sorte de joker au cas ou.Ce dernier est maintenant complétement accro aussi bien à ma bouche et mon cul qu’à ma queue, et il ne peux plus s’en passer. Le moment d’assouvir la vengeance que je rumine depuis maintenant 2 mois est enfin venu.Et donc ce matin, après avoir consciencieusement limé l’anus du directeur, je prends un air soucieux.
— Qu’est ce que tu as ? tu m’as l’air contrariée me demande t-il.— Oh, c’est à cause de "Big Mike". La situation est très tendue entre lui et mon homme, enfin je veux dire DELLACOSTA. Il ne cesse de vouloir étendre son territoire, et je crains que cela ne finisse en guerre rangée. Cela risque de finir en bain de sang.
C’est évidement une chose que le directeur veux à tout prix éviter. Deux bandes rivales s’affrontant de manière ouverte dans sa prison ne serait pas très bon pour sa carrière. Et puis, il faut bien l’admettre, Big Mike commence à lui causer également beaucoup de souci. C’est une brute sans foi ni loi qui terrorise et rackette les détenus, et qui se montre agressif même envers les gardiens. En 2 mois, il a réussi à se mettre tout le monde à dos. Le directeur regrette le temps ou DELLACOSTA faisait régner l’ordre à sa façon. C’est un truand certes, mais avec des principes. Avec lui on peut trouver un terrain d’entente équitable. S’il peut se débarrasser de la brute épaisse qui gagne en puissance depuis son arrivée, il le fera volontiers. Il décide donc de sonder le terrain.
— Oui, moi aussi je trouve que Big Mike prends trop d’ascendance. Si j’avais la possibilité de le faire partir d’ici, je le ferais sans hésiter. Et pas seulement pour tes beaux yeux rajoute-il, sachant très bien ce qu’il m’a fait subir.
Je fais semblant de rougir sous le compliment. Mais mon sourire mutin cache une véritable satisfaction. Le directeur est manifestement devenu hostile à Big Mike et je n’aurais certainement aucune difficulté à le convaincre d’adhérer à mon plan.
— Il y aurait bien un moyen de se débarrasser de lui de façon définitive dis-je alors innocemment. Mais le boss aura besoin d’un petit coup de main de votre part.
Le directeur sursaute.
— Vous ne compter quand même pas le "couic" dit-il en passant son doigt sous la gorge.— Non, bien sur que non. Juste lui donner une bonne leçon qui lui fera comprendre que sa place n’est pas ici. Je vous garantie qu’il demandera lui-même à être muté dans une autre prison et qu’il n’osera jamais dire à personne ce que je lui aurais fait.— Ce que TU lui auras fait! Parce que c’est toi qui comptes le persuader de partir?— Oui bien sur. D’une part j’ai un compte à régler avec lui, et d’autre part je crois avoir amplement prouvé que je sais me montrer très persuasive,  lui dis-je en posant ma main sur sa queue.— Que vas tu lui faire?— Il vaut mieux pour vous que vous ne le sachiez pas, cela vous donnerait des cauchemars. — Bon d’accord, comme tu veux. "De toute façon, il vaut mieux que j’en sache le moins possible si ca tourne mal" se dit-il avant de demander :— Et moi, que devrais-je faire?— Essentiellement fermer les yeux sur quelques "incidents" qui ne vont pas tarder à arriver, et également nous rendre quelques petits services.— Rien d’illégal j’espère?— Non bien sur. Rien qui ne sorte du cadre normal de vos fonctions. Alors c’est d’accord?— Oui, je marche avec vous. Mais je vous préviens, s’il y a un pépin je nierais avoir connu quoi que se soit de vos projets.— Je n’en doute pas mais rassurer vous, les pépins ce sont d’autres qui vont les avoir. Je vais régler les détails de mon plan avec le Boss. Je vous donnerai ensuite des instructions très précises. Ne me demandez pas d’explications les concernant, et contentez-vous de les exécuter à la lettre.
Je m’adresse à lui comme un général à un de ses officiers, mais la perspective de se débarrasser de Big Mike calme son orgueil. A moins que ce ne soit celle de ne plus recevoir ma queue dans le cul?
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