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Maison d'hôte à la montagne

Chapitre 3

Hétéro
Je suis toujours dans le couloir, j’entends les ronflements d’Olivier, je transpire à grosses gouttes malgré le verre d’eau fraîche. Je suis incapable de prendre une décision.
J’avoue inconsciemment que Benoit est un beau garçon, qu’il est à mon goût. Si j’avais été célibataire, je me serais laissé emporter dans une escapade sans lendemain dans ses bras. Mais je suis marié, la donne à changer, je me dois d’être sérieuse.
Sauf, que cette nuit, je ne comprends pas, deux sentiments s’entrechoquent dans ma tête. Entre celui de franchir le pas de l’interdit, et celui de me laisser porter par une aventure qui sera forcément courte mais intense. Je marche de nouveau dans le couloir, m’approche de la porte, je vois bien qu’il est réveillé puisqu’il y a un rayon de lumière qui est visible puis retourne en direction de la mienne.
J’ai la main sur la poignée, puis je suis de nouvelle prise dans la tourmente, et si ce garçon faisait mieux l’amour que mon époux, et s’il était plus doux, ou au contraire plus brutal.
Ça y est, je commence à faire des comparaisons, mon esprit est déjà en train de tromper Olivier par la pensée, ou plutôt par l’imaginaire. Mon esprit me torture vraiment puisque je revois à nouveau l’image de Benoit en caleçon lorsqu’il est sorti de la piscine, son corps reluisant m’avait réellement plu, ça, j’en étais convaincu.
Je retourne en direction de la porte interdite, ma main est posée sur la poignée, et machinalement, j’ai tourné cette dernière. J’ouvre petit à petit, la lumière de la lampe de chevet tranche avec la noirceur du couloir, Benoit est effectivement allongé sur le dos, les yeux grands ouverts, puis bêtement, je lui demande s’il est l’auteur du post-it. Il fait descendre sa couverture le long de ses jambes, apparaît alors son sexe d’une taille incroyable, j’en suis, bouche bée. Dans un chuchotement, il me dit tout simplement, surprise ! Avec un grand sourire. Je ne peux m’empêcher d’y répondre de la même manière.
J’ai le rouge aux joues. J’ose, dans un dernier baroud d’honneur, de le convaincre que ce n’est pas correct, car je suis une femme mariée depuis peu de temps. Il est un peu déçu, mais mon esprit continu de me torturer, ce dernier me pousse à franchir le cap.
Je m’avance lentement vers Benoit, je suis quasiment au bord de son lit, et ce dernier ne se prive pas de glisser une main audacieuse par-dessous ma nuisette.
Cette action électrifie mon corps, puisque mes fesses sont nues, effectivement, j’ai pris l’habitude de dormir ainsi à côté de mon époux. Et je n’ai donc pas de sous-vêtements. La prochaine fois, j’essayerai d’être plus prudente me dis-je inconsciemment. Benoit parcourt à présent mon sillon avec un doigt, monte et descend du bas de mes reins jusqu’à la lisière de mes lèvres.
Il s’assoit sur le bord du lit, soulève le bas de ma tenue et voit mon abricot complètement épilé. Il me retourne, je suis dos à lui, il me penche en avant et remplace sa main par sa langue. Il la fait glisser entre mes fesses, puis lèche mon puits d’amour avec passion.
Son cunnilingus me procure beaucoup de plaisir. Il tente même une escapade sur mon petit trou tout en me doigtant le vagin avec deux doigts. Rapidement, je ressens un premier orgasme, cette situation me dépasse, je savoure ces attouchements sans demi-mesure.
A présent, je lui fais face, il enlève les bretelles de ma nuisette, mes seins apparaissent devant lui, et mes tétons pointent fièrement. Il ne se prive pas de les malaxer, de jouer avec, de les dévorer sauvagement. Ce qui me provoque un arc électrique dans le bas de mon ventre.
Je sens la cyprine coulée le long de mes cuisses. Il fait une légère pression sur mes épaules, je suis à genou devant lui, et lui offre une cravate de notaire. Avec un quatre-vingt-quinze c, Benoit prend beaucoup de plaisir avec cette pratique.
Je prends alors la décision de le prendre en bouche, c’est assez difficile puisque son membre doit faire vingt centimètres, il est aussi large en comparaison de mon époux qui est disons-le dans la moyenne nationale. Je m’applique tout de même, et réussis tant bien que mal de l’avaler le plus loin possible.
Quelques fois, sa verge touche ma glotte ce qui me provoque des hauts le cœur. J’en bave sur ma poitrine. Entre nous, dans cette position, je ne suis plus du tout la femme mariée, sérieuse, ironiquement parlante. A présent, nous nous installons dans le lit, je suis sur le dos, les jambes écartées vulgairement, puis il se présente à l’entrée de la grotte du plaisir.
Petit à petit, il me pénètre, il est d’une douceur incroyable, mes lèvres s’écartent le plus possible pour lui frayer un chemin disons-le un peu étroit. Puis soudain, je le sens entièrement en moi. J’ai l’impression qu’il va me perforer, il commence alors ses va-et-vient lentement dans un premier temps, puis il augmente la cadence. Je ne peux m’empêcher de jouir une première fois, je mords son cou pour éviter d’éveiller des soupçons.
Benoit soulève alors mes jambes, les positionnent sur ses épaules afin de me pénétrer encore plus en profondeur. J’étouffe mes cris dans un coussin que je mords le plus que je peux, son membre est réellement énorme. Puis, nous changeons de position, nous sommes en cuillère, il saisit mes seins avec force, puis me donne des coups de burins impressionnants. Ils me transportent dans ce que l’on appelle le septième ciel.
Mes fesses claquent contre le bas de son ventre, et j’ai l’impression qu’il cogne à chaque fois mon col de l’utérus. Il se relève ouvre la fenêtre de sa chambre qui donne sur un balcon, et m’invite à m’appuyer contre la rambarde, je lui dis que c’est osé, que l’on pourrait nous entendre. Il prend alors un tissu afin que je le morde pour étouffer mes cris. Je m’appuie alors sur la rampe et il me prend en levrette comme ça, face à la montagne au clair de lune.
Cette action me transporte une nouvelle fois dans un orgasme qui manque de me faire vaciller. Son sexe continue de frapper le fond de mon vagin. Je grogne de plaisir, puis soudain, je tourne la tête et aperçois que nous ne sommes pas seuls. Effectivement, Antonin et Pierre le père de famille admire le spectacle depuis l’autre balcon de la chambre. J’en fais part à Benoit qui me dit de ne pas m’inquiéter. Je ne connaissais pas le voyeurisme, et je peux vous dire clairement que cela décuple l’intensité d’une partie de jambes en l’air.
D’ailleurs avec le brin de lumière, j’ai comme l’impression que les deux hommes se masturbent. De mon côté, je continue de me faire claquer les fesses, de me faire pénétrer avec vigueur. Heureusement, que mon époux a un sommeil lourd, et qu’il n’entend rien la nuit. Sinon, je serais dans de beau drap.
Benoit a saisi mes hanches pour aller plus loin en moi, et je ne peux m’empêcher de pousser une nouvelle fois un grognement de plaisir, je dirais même que je couine à cause du tissu dans la bouche.
A présent, je sens que le membre de l’homme grossit en moi, je lui propose de jouir sur mes fesses, car je n’ai pas du tout le souhait de tomber enceinte, mais les mouvements saccadés de mon partenaire me font clairement comprendre qu’il n’a pas le choix de gicler dans mon vagin.
Son sexe grossit de plus en plus, et je reçois une quantité de sperme incroyable. Antonin et son père en bon voyeur pervers miment un applaudissement. Et moi, je m’écroule à côté de mon amant dans le lit.
Il s’excuse presque maladroitement d’avoir joui en moi, je lui réponds que je ne lui en veux pas du tout. Je me rhabille rapidement, et rejoins mon époux qui dort à poings fermés. Je sens le sperme coulé le long de mes cuisses. Il est deux heures du matin, c’est le moment de dormir.
Pendant le sommeil, je ne me sens même pas coupable, au contraire, hypocritement, je me dis que j’ai pris un pied énorme.
Le lendemain matin, je suis réveillé par Olivier, il tente une approche sensuelle, mais je le repousse, je souhaite prendre une douche afin d’être en forme pour la ballade à cheval, et disons-le clairement pour enlever les stigmates de la nuit dernière.
Je prépare un sac avec maillot de bain, serviette, et crème solaire en prévision de la baignade dans la rivière. Dans la salle à manger, toute la famille est présente, je ne peux m’empêcher de faire un sourire discret aux trois hommes de la maison qui sont au courant de l’interdit. Puis j’avale mon café avec deux tartines.
La journée s’annonce belle, je compte bien en profiter…
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