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Maison d'hôte à la montagne

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Il est neuf heure du matin, il est temps d’aller faire cette fameuse balade à cheval dans la montagne. Je me prépare un short de type un peu aventurier, d’un débardeur et prends un sac à dos afin d’y mettre serviettes et maillots de bain.Olivier de son côté, a pris un ensemble de sport. Les deux frères, nous invitent à rejoindre la jeep afin de partir en direction de l’écurie. Je retrouve le fameux Titan, et mon époux Hercule. Leur entente est beaucoup plus développée suite à notre dernière visite, donc il n’y a aucun souci en particulier.
Nous voilà donc partis dans ce coin des Pyrénées-Atlantiques. Nous y voyons les fameux Pottok, race de poney typique de ce secteur, les moutons en liberté, puis de loin, nous apercevons la montagne à basse hauteur.Après deux heures de ballade, nous arrivons au bord de la fameuse rivière à l’eau pure. Le programme proposé par la famille est totalement respecté. Cette promenade m’a beaucoup plu, et m’a permis aussi de repenser à mon aventure extra-conjugale de la veille.
J’ai repensé au pied énorme que j’ai pris avec Benoit, a la montée d’adrénaline lorsque son père et son frère nous ont regardés, à la jouissance qu’a eue mon amant, mais aussi à la situation dans laquelle je me suis mise à présent.Je sais très bien que je ne pourrais pas revenir en arrière et que cette situation durera jusqu’à la fin de notre séjour. Benoit va vouloir me convoiter, mais certainement, qu’Antonin son frère aussi, voir même leur père. De l’autre côté, j’ai aussi Olivier mon époux, avec qui j’ai eu des disputes à cause de sa jalousie maladive. Finalement, il a eu raison, puisqu’à force de me pousser à bout sur un choix de tenue, sur un choix de promenade ou autre, il a fini par me pousser dans les bras d’un autre. Et pourtant, ce n’était mon souhait premier, je voulais garder mon côté femme sérieuse, et fidèle.
Bref, c’est un peu raté. Mon esprit quant à lui continuer de me torturer, puisqu’il me dit de poursuivre cette aventure jusqu’au bout, et qu’ensuite, je pourrais me repentir durant le reste de ma vie.Le clapotis de l’eau me sort de ses pensées, et Antonin propose à son frère d’aller chercher dans la bergerie de la nourriture et à boire afin de pique-niquer.
Je profite de leur absence pour me mettre en maillot de bain et me baigner. L’eau est effectivement froide, je sens les pores de ma peau s’ouvrir, se nettoyer comme jamais, c’est vivifiant comme dirait l’autre. Olivier tente de faire la même chose, mais il est bien trop frileux pour me rejoindre. Je ne peux pas lui en vouloir, et comprend totalement son point de vue. Après ce quart d’heure de bien-être, je le retrouve sur la serviette, je tremble un peu de froid, et il me prend dans ses bras pour me réchauffer.
La différence de température me provoque des frissons dans tout le corps. Je me colle contre lui, l’invite à enlever son tee-shirt afin que nous soyons en osmose. Ce qu’il fait sans rechigner, puis je me love dans le creux de son épaule. Il bouge un peu la tête, regarde en direction de ma poitrine, je lui lance un regard interrogateur, puis je m’aperçois que mes tétons pointent fièrement.
Le froid ne doit pas être innocent à cette réaction. Sa main droite glisse par-dessous mon haut de maillot de bain, la chaleur de cette dernière me provoque la chair de poule puis il commence à l’activer en me malaxant le sein. Je ne peux m’empêcher de faire un soupir de bonheur, c’est vrai que le paysage est exceptionnellement beau, et qu’il prête à ce genre de pratique. Qui n’a jamais rêvé de faire l’amour en pleine nature, d’être en totale osmose avec l’environnement qui nous entoure ?
Il continue de malaxer ma poitrine qui est nue à présent, il la lèche, l’aspire, la gobe même parfois, puis délicatement ma main part en direction de son sexe que j’imagine tendu de désir. Son jogging un peu ample me permet d’y accéder sans trop de difficultés. Je le caresse, le masturbe, puis fait glisser les élastiques de sa tenue au niveau de ses genoux. Tandis que les miens sont de part et d’autre de son visage. Je sens qu’il écarte ma culotte de bain, et qu’il commence à me faire un cunnilingus comme il sait bien les faire.
Au bout de quelques instants, je me positionne au-dessus de sa verge, puis il me prend au plus profond de mon vagin. J’essaye d’accélérer les mouvements, mes fesses claquent contre le bas de son ventre, puis Olivier m’invite à m’allonger sur le dos. Ses coups sont puissants, il ne me perfore pas comme Benoit, mais me procure tout de même du plaisir.
Il faut malgré tout accélérer la cadence, car ça serait quand même troublant d’être pris sur le fait accompli par les deux frères. Je me mets à lécher ses tétons, à les humidifier avec mes doigts afin de le faire vaciller, ce qu’il ne tarde pas à faire, puisque je reçois des jets de sperme dans mon vagin.
Nous nous rhabillons rapidement, et comme de part enchantement, Benoit et Antonin font leur apparition à ce moment-là, je me demande même s’ils n’ont pas joué les voyeurs, mais bons l’heure n’est pas au règlement de comptes, mais à celle du déjeuner.
Ils ont pris des sandwichs avec du jambon de Bayonne, du beurre, quelques tranches fines d’un fromage espagnol et en boisson des bières. Nous mangeons à la bonne franquette comme on dit, nous bavardons de tout et de rien. Je suis d’ailleurs surprise par la discrétion de Benoit.
Il est bientôt quatorze heures, et comme par habitude mon époux va effectuer sa sieste. J’insiste un peu pour qu’il ne la fasse pas, mais il n’en fait qu’à sa tête. Il a des habitudes d’anciens comme il aime dire. Il se recule un peu du bord de la rivière, puis se pose à proximité des chevaux avec sa serviette. Antonin a décidé de se baigner, tandis que Benoit est resté proche de moi. Nous discutons brièvement, il avoue avoir pris un pied énorme hier soir lors de notre partie de jambes en l’air, je suis un peu gênée, mais je lui admets que j’ai aussi pris du plaisir.
Il me demande si je lui en veux, et lui réponds simplement que c’est le destin qui est fait comme ça et que l’on ne peut rien y faire. Après dix minutes de bavardages, il enlève sa chemise, son pantalon puis rejoint son frère dans le cours d’eau. Une fois de plus, je ne reste pas de marbre, en le voyant ainsi.
Il est carré des épaules, et très charmant. J’ai bien envie de les rejoindre, mais il y a Antonin, ça me dérange un peu. De mon côté, je rêvasse, pense, hésite, m’encourage, puis je suis sorti de mon brouillard par Benoit qui m’invite à les rejoindre. Après tout, je suis ici pour me baigner, donc pourquoi me priver de ce plaisir.
J’enlève de nouveau ma tenue d’aventurière, puis me retrouve en maillot de bain. Je marche sur dix mètres, puis me voilà dans l’eau en compagnie des deux frères. Nous sommes en totale relaxation tout en échangeant des banalités sur nos vies respectives.
Quand soudain, Antonin, le petit frère m’asperge d’eau. Étant dans la même tranche d’âge que les garçons, je ne peux m’empêcher de participer à ce jeu puis je glisse sur des galets. Je tombe sur les fesses, je me fais un peu mal, mais rien de méchant. Benoit se rapproche de moi, me demande si tout va bien, je lui dis que oui, mais ne se prive pas de caresser la zone sensible pour vérifier mes propos.
Je pousse un petit cri de stupeur, même si je dois avouer que cela ne m’a pas déplu puis nous continuons de jouer. Au bout de trente minutes, nous retournons sur les serviettes, et au moment de m’asseoir, je fais une petite grimace. Antonin se rapproche de moi, me demande à son tour si tout va bien, et je lui dis que je dois avoir un bleu aux fesses suite à ma chute. Dans sa fougue de jeune homme, il me demande de me mettre sur le ventre pour vérifier. Je lui dis qu’il est un peu osé de proposer ce genre de chose à une femme mariée dont le mari se trouve à quelques mètres de nous.
De mon côté, je rêvasse, pense, hésite, m’encourage, puis je suis sorti de mon brouillard par Benoit qui m’invite à les rejoindre. Benoit me regarde avec un sourire enjôleur, puis finalement, je lui montre mon derrière afin qu’il puisse vérifier l’endroit précis où j’ai mal. Dans un premier temps, il y va à tâtons, juste avec un doigt, il appuie sur mes fesses, quand soudain, je ressens effectivement une douleur.
Il me propose de masser la zone, je ne lui refuse pas. Au bout de dix minutes, je ne ressens plus de douleur, peut-être qu’il a un don pour ce genre de chose, il s’arrête, nous reprenons nos places, puis je fais une accolade à Antonin pour le remercier. Mais cette action l’a plus dérangé qu’autre chose, dans un premier temps, je n’avais pas vraiment compris, mais mes yeux sont descendus au niveau de son caleçon. Il est en érection. Le pauvre me dis-je dans un soupçon d’innocence.
Benoit ne tarde pas à rire de la situation, avec des blagues plus qu’osées puis me propose de faire quelque chose pour l’aider. Je lui dis que c’est impossible, mon mari est à quelques mètres de nous, et que je ne peux pas me permettre de franchir une nouvelle fois la ligne de l’interdit. Celui-ci me répond que la veille, lorsque nous étions dans sa chambre en train d’échanger un plaisir charnel, mon époux n’était pas très loin non plus.
Je ne peux que baisser la garde face à cette réalité. Et puis, je dois avouer que cette situation devait arriver et qu’elle ne me dérange pas plus que ça. Antonin est aussi un beau garçon. Je m’aperçois même qu’il a un côté plus coquin que son frère, il est loin de l’effet de séduction.
Puisqu’à peine sortie de mes pensées de pseudo-femme sérieuse, il a déjà baissé son caleçon. Il a un membre assez imposant, un peu comme Benoit. Je reste médusé face à ce pieu qui me fait face. N’étant qu’à deux mètres de moi, il n’a qu’un pas à faire pour être plus proche de moi.
Il prend ma main et la pose sur son sexe. J’ai des difficultés pour la fermer puisqu’il est assez large. Je commence à le masturber, à lui caresser les testicules, puis donne des petits coups de langue sur le bout de son gland. Il sursaute un peu, puis je continue de m’appliquer en l’avalant petit à petit.
A présent, je fais des mouvements un peu plus rapides, puis il s’allonge sur ma serviette. Il enlève le nœud de mon haut, puis commence à aspirer mes tétons qui se dressent fièrement. Il malaxe ma poitrine un peu maladroitement, il a moins d’expérience que son frère, et pour vous l’avouer, ça se ressent un peu. Ça ne m’empêche pas d’avoir du plaisir. Maintenant, sa main s’active dans ma culotte. Il joue avec mon clitoris, je grogne un peu, du coup Benoit s’est positionné au-dessus de ma bouche avec son membre pour que je fasse moins de bruits. Antonin continue son manège, puis enlève mon dernier vêtement.
A présent, il me doigte avec vigueur, je ne sais pas s’il a deux ou trois doigts, puis je sens que le bas de mon ventre se contracte. J’ai presque eu peur de mordre son grand frère. Le petit frère montre fièrement sa main pleine de cyprine, puis vient se positionner entre mes jambes. Il frotte son sexe contre le mien, puis d’un coup de reins entre en moi. Je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri de plaisir. Benoit met de nouveau son membre dans ma bouche pour atténuer le bruit.
Antonin fait des mouvements un peu saccadés, puis trouve la bonne cadence au bout de deux minutes. Il me besogne avec envie, il me prend en missionnaire, tandis que je fais une fellation à son grand frère. C’est la première fois de ma vie que je me retrouve dans une partie de jambes en l’air avec deux hommes en même temps. Antonin me change de position, je suis à genou, il lèche un peu mon vagin, puis me pénètre à nouveau.
Il essaye de faire doucement, car mes fesses claquent contre le bas de son ventre. Toujours est-il qu’il est presque en train de me perforer. Cette fois-ci, la cadence est beaucoup plus importante. Benoit de son côté, continue de profiter de ma bouche, il ne semble pas décider à me prendre. Peut-être pour laisser son frère profiter de mon corps.
Mais c’était sans compter sur leur côté audacieux. Le petit frère lèche à présent mon petit trou, me le doigte, ce qui crée en moi un plaisir intense. Il présente son sexe à l’entrée de la petite grotte puis me pénètre une nouvelle fois. Il va au plus profond qu’il peut, j’en ai le souffle coupé, je bave sur ma serviette et ma poitrine. Dans cette position, et avec cette attitude, je fais une belle coquine.
Il se retire un instant, Benoit me relève un peu, puis je m’empale sur son membre. Je sens bien son sexe dans mon vagin, j’ai l’impression qu’il va me perforer, puis au bout de cinq minutes, le petit frère se place derrière moi. Ils vont me prendre en double pénétration, je ne connais pas du tout cette pratique, j’ai peur d’avoir mal.
Les deux hommes sont pourtant très attentionnés. Mais, j’ai des craintes. Ces dernières disparaissent assez rapidement, les deux frères sont en moi. Ils essayent de coordonner leurs mouvements, puis ils me prennent les deux trous sans ménagement.
J’ai l’impression d’être une poupée gonflable. Le membre de Benoit tape dans le fond de mon vagin, tandis qu’Antonin fait de même dans mon anus. Au bout de dix minutes, les deux hommes explosent en moi. Je sens le sperme coulé entre mes jambes, je me presse afin de me nettoyer dans la rivière, puis remet mon maillot de bain.
Nous sommes essoufflés, et je remercie les deux frères pour cette découverte. Je les embrasse puis vais réveiller Olivier. Le pauvre, s’il savait… Une nouvelle fois, je ne suis pas prise de remords, comme si cette situation était normale, ou devait arriver.
Bref, le ciel commence à s’assombrir. Il est l’heure de rentrer à la maison d’hôte.
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