Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 111 J'aime
  • 2 Commentaires

Maison d'hôte à la montagne

Chapitre 6

Hétéro
Nous sommes à présent mardi. Il est neuf heure, et je me réveille avec Olivier. Je lui fais un bref bisou sur la bouche puis pars me doucher. Aujourd’hui, le programme semble sympathique puisque nous allons visiter les trois grandes villes basques, que sont Biarritz, Saint-Jean-de-Luz et Bayonne.
Nous descendons dans la salle de vie de la maison, nous prenons notre petit-déjeuner. Pierre, le père de famille vient à notre rencontre, nous demande si nous sommes prêts pour effectuer les visites. Nous acquiesçons de la tête. Nous remontons brièvement dans notre chambre afin de prendre serviette de bain, et maillot.
Il est neuf heure trente, nous montons dans la jeep familiale puis nous partons en direction de Biarritz. Nous y visitons le musée de la mer, nous nous rendons au rocher de la vierge, au port des pêcheurs, et pour couronner le tout, nous parcourons les halles où un guide nous fait déguster les spécialités culinaires locales.
Et comme d’habitude, dans cette région, rien n’est fait dans la demi-mesure puisque je suis rassasié. Il est maintenant quatorze heure, Pierre nous emmène à Saint-Jean-De-Luz. Nous y visitons le fort de Socoa, le petit port, puis nous partons en direction de la plage. Nous posons nos serviettes, puis nous varions les plaisirs entre baignade et bronzage. Olivier semble aux anges, car il passe beaucoup de temps à jouer avec les vagues.
Pierre de son côté, n’arrête pas de me mater comme un ogre affamé. Ça me trouble légèrement, mais j’essaye de ne pas y prêter attention. Mon époux revient vers nous, j’en profite pour lui demander de me passer de la crème solaire dans le dos, mais ce dernier ne pense qu’à son plaisir personnel en retournant dans l’océan.
Un peu stupéfaite par cette réaction, je ne peux que demander au père de famille d’effectuer cette action. Ce dernier, ne peut s’empêcher d’être satisfait en ricanant avec une pointe de mépris.Je m’allonge alors sur le ventre, Pierre étale la pommade sur mon dos avec une douceur incroyable qui me procure des frissons. Il ne rate pas l’occasion de m’en faire la remarque. Il me propose maintenant de faire de même avec mon ventre, mais je refuse dans un premier temps de peur d’être prise en flagrant délit par Olivier.
Le père de famille, toujours sur un air méprisant, montre mon époux du doigt qui est en train de sauter dans les vagues. Il rajoute même qu’à cet instant précis, ce dernier n’en a rien à faire de moi. Il marque un point puisque c’est la triste réalité à l’heure actuelle. Je me positionne alors sur le dos, je relève un peu mon buste à l’aide de mes coudes, puis je profite une nouvelle fois des caresses du quinquagénaire. Ces dernières ne me laissent pas insensibles. J’en ai les tétons qui pointent. Et bien entendu, le père de famille ne manque pas une seconde de ce spectacle qui lui est offert.
Il me propose alors de retirer le haut de mon maillot de bain afin de ne pas le tâcher, mais disons-le clairement, pour toucher ma poitrine. Je lui dis que ce n’est pas possible, que nous sommes sur une plage publique, que des gens pourraient nous voir et être choqué par ce qu’ils voient.
Ce dernier me dit de ne pas m’inquiéter puis commence à défaire les nœuds du maillot. En un rien de temps, je me retrouve seins nus, il met un peu de crème dans la paume de sa main, puis me l’étale sur la poitrine. Il ne manque pas de me caresser les tétons afin de les voir pointer fièrement.
Il ose même me les gober dans un élan de confiance. Le bas de mon ventre commence même à réagir, je suis dans un état d’excitation énorme. J’ai à peine le temps de réfléchir qu’il a mis la main dans ma culotte. A présent, je ne contrôle plus rien, il masturbe mon vagin à la vue de tous, me doigte sans ménagement jusqu’à ce que j’envoie des jets de cyprine sur son index, et son majeur.
J’essaye de retrouver le souffle, puis de me rhabiller, mais ce dernier a enterré mon haut. Olivier revient alors à la serviette, et me demande comment se fait-il que je suis en topless. Je lui réponds alors que je souhaite avoir les seins bronzés afin de l’exciter encore plus.
Contrairement à d’habitude, il ne me fait pas de crise de jalousie puis repart en direction des vagues. Il est bientôt dix-huit heures, nous nous séchons, puis quittons la plage pour aller en direction de Bayonne. Nous allons assister, et participer aux fêtes de cette ville qui sont mythiques.
Mais, avec mon époux, nous ne possédons pas la tenue classique rouge et blanche correspondant au code vestimentaire. Pierre nous emmène alors dans une boutique du centre-ville, puis nous trouvons ce que nous désirons. Ce dernier demande, a une vendeuse de s’occuper d’Olivier, tandis qu’il vient avec moi afin de choisir la tenue adéquate.
Je lui dis que je peux me débrouiller toute seule, mais le père de famille insiste pour m’accompagner. Il me donne un haut blanc, une jupe assez courte de la même couleur, ainsi qu’un bandana rouge. Je me regarde dans un miroir, et je me trouve plutôt sexy comme ça.
Pierre se rapproche de moi, me complimente, je ne peux m’empêcher de sourire suite à ces remarques, puis il glisse sa main sous ma jupe. Il arrache mon maillot de bain sans rien demander, je suis surprise par cette action, lui fait les yeux noirs, mais ce dernier ne m’apporte comme seule réponse un sourire méprisant.
Je retrouve ensuite Olivier, nous payons, puis nous déambulons dans les rues de Bayonne. Les musiques sont plutôt sympathiques, nous avons droit à la fameuse, pena baiona, à des chansons un peu paillarde, nous visitons quelques bodegas, prenons un verre par ci, un verre par-là, ainsi que des tapas.
Je regarde ma montre, il est maintenant une heure du matin, les premières bagarres dues à l’alcool commencent, je demande alors à Pierre de nous trouver un endroit plus sympathique. Nous partons donc à présent en direction d’un parc qui entoure la cathédrale, puis nous nous asseyons sur un banc.
Mon époux est ivre, il ne tient plus sur ses jambes, en réalité, il ne boit jamais d’alcool et ce soir, il n’a pas arrêté, je dois dire pour être honnête que j’ai bu aussi, mais plus raisonnablement. J’ai la tête qui tourne un peu, mais rien de grave. Je maîtrise la situation.
La résonance des tambours continus d’être diffusé entre les murs de la ville, quelques badauds passent devant nous, nous souhaitant des bonnes fêtes, je réplique bien entendu en répondant la même chose. Et Pierre de son côté semble tenir le coup. Nous en profitons pour bavarder, puis je lui demande s’il a réussi à trouver une amante à sa convenance pendant ces fêtes.
Visiblement, ce n’est pas le cas, puis il me donne une réponse glaçante, disant que sa maîtresse est assise à côté de lui, ici sur ce banc. Mon époux relève la tête dans un dernier élan de sobriété, demande des explications, puis je lui réponds en lui disant qu’il a mal compris la phrase à cause de son état d’ébriété. Le père de famille rit fortement en entendant ma réponse, mais n’insiste pas.
J’ai la grosse goutte de transpiration qui vient de couler sur le côté de mon front. Puis, nous continuons de bavarder. Au bout de dix-minutes, je vois qu’Olivier s’est assoupi et ronfle dans l’herbe. Mon cœur bat la chamade, car je n’aime pas trop cette situation. Pierre voyant ceci, pose sa main droite sur ma cuisse, il monte et descend jusqu’à la lisière de mon aine. Je lui fais comprendre que ce n’est pas prudent de faire ça ici en public, mais ce dernier ne s’arrête pas pour autant. Le bas de mon ventre commence à réagir, mes tétons pointent légèrement. Le père de famille voyant ça, me dit qu’il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin.
Il continue ses attouchements, je proteste une dernière fois, mais mon esprit me dit de faire le contraire. A présent, je me décontracte, je le laisse faire, sa main continue de se balader sur mes cuisses nues, tandis que de mon côté, je touche le membre de Pierre qui est en érection.
J’ouvre sa fermeture éclair, sors son sexe, puis commence à le masturber. À cet instant, je ne me reconnais plus, je ne suis plus du tout sérieuse, bien au contraire. J’ai l’impression même d’être presque un peu nymphomane. Je me penche sur le côté afin de lui faire une fellation.
La position n’est pas très simple à cause du banc. Je m’accroupis alors devant lui pour faciliter cette action. Je titille son gland, mais j’effectue un premier geste de recul, en effet ce dernier sent un peu l’urine, et franchement, ce n’est pas agréable. Pierre me demande si je suis dérangé par quelque chose, je lui donne l’information et il me dit qu’après deux trois mouvements, il n’y aura plus aucun goût hormis celui de la luxure et de l’envie. Je retourne alors aux affaires, je l’avale, joue avec ses testicules, j’aimerais le faire jouir comme ça, mais c’était sans compter sur son endurance.
Il me relève légèrement, écarte les pans de mon haut, laisse apparaître ma poitrine puis commence à se branler dans cette dernière. Son sexe est long, ce qui fait que je le suce à chaque mouvement. Je me dis inconsciemment qu’il va s’arrêter là, que je vais le faire jouir, mais une nouvelle fois, je me suis trompé. Son niveau de perversité est bien plus important que je le crusse.
A présent, je suis debout, il a soulevé le bas de ma jupe, m’a retourné, ce qui fait que je lui tourne le dos, m’a penché en avant et commence à me faire un cunnilingus délicieux. Sa langue parcourt le sillon de mes fesses, s’attarde sur mon puits d’amour puis revient sur mon petit trou.
Je ne peux m’empêcher d’envoyer des jets de cyprine sur son visage. Faire ça, ici en public, en prenant le risque de tomber sur un voyeur ou un pervers décuple mon excitation. Il me saisit maintenant par les hanches, et m’invite à m’empaler sur sa verge qui est dure comme du béton.
Je lui dis qu’il n’est pas sérieux, que l’on peut faire ça ailleurs, mais il ne veut rien entendre, et mon esprit continue de me diriger dans cette direction. Je me recule un peu, écarte les jambes outrageusement, puis m’empale sur son membre sans aucune retenue.
Les mouvements sont un peu saccadés, puis nous trouvons le rythme qui nous permet d’être en totale adéquation. Je monte et descends sur son pieu à la vue de n’importe qui. Pour l’instant, le coin est tranquille, et au fond de moi, j’espère qu’il va le rester. Maintenant, je me suis retourné, je lui fais face. Les vas et vient continuent, il saisit même mes fesses pour accélérer la cadence.
Je ne peux m’empêcher d’étouffer les grognements de plaisirs. Quand soudain, je sens une main qui me touche les pieds, c’est celle d’Olivier. Je me recule d’un pas, je me rajuste avec une rapidité incroyable. Je lui demande si tout va bien, il bafouille deux trois mots puis ronfle de nouveau sur l’herbe. J’en tremble de peur, Pierre essaye de me calmer, mais rien y fait. Je marche un peu, je prends un peu d’air frais, puis retourne en direction du père de famille. Je lui propose de le finir en lui faisant une fellation, mais ce dernier ne semble pas d’accord avec cette proposition.
En même temps, j’ai toujours préféré une jouissance interne, plutôt qu’externe, car cela me transporte au septième ciel. Ne me demandez pas pourquoi, car je ne saurais vous répondre.
Bref, je retourne alors sur ce sexe massif, m’empale de nouveau, puis nous reprenons notre partie de jambes en l’air. Je monte, je descends à vitesse variable. Le quinquagénaire a une expérience incroyable, puisqu’il frotte avec son membre ce que l’on appelle le point G.
Quand tout à coup, nous sommes surpris par des rires obscènes. Nous venons d’être pris en flagrant délit par deux jeunes hommes qui passaient par le parc. Plutôt que de prendre la colère et de les faire fuir, Pierre leur demande si ces derniers veulent participer.
Je le regarde sévèrement, lui disant que ce n’est pas mon genre de faire ça avec des inconnus, puis il me répond qu’il est lui-même étranger à ma vie à l’origine de l’histoire. Pour le coup, il marque un point. Les deux garçons s’avancent de plus en plus, ils nous entourent. Je suis dans un état d’excitation tellement fort, que je me laisse envoûter dans le moment qui restera graver dans ma mémoire dû à l’intensité de l’action.
Diffuse en direct !
Regarder son live