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Maison d'hôte à la montagne

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
Durant ce mercredi, Olivier ne cesse de me harceler de question, et Monique la maîtresse de maison n’arrête pas d’interroger son mari sur ce qui s’est passé hier soir lors des fêtes de Bayonne.
Si ces deux-là savaient la vérité, nous serions exclus de cette maison d’hôte ou pire, le divorce nous pendrait au nez. Bref, je sors de mes pensées suite à la présence des deux frères dans la piscine. Je les rejoins pour jouer au ballon, mais les regards noirs de mon époux me ramènent à la réalité.
Je me remets sur le transat. Benoit essaye de me soutirer un sourire, mais je n’y arrive pas, je suis crispé. Antonin, le petit frère nous a proposé une sortie en discothèque afin de détendre l’ambiance électrique qui règne ici. Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient, mais je préfère demander à Olivier avant de prendre une décision. Celui-ci répond par l’affirmative.Je l’embrasse pour le remercier de cette réponse puis nous vaquons à nos occupations. Il est midi, Monique vient de terminer le déjeuner. Nous sommes tous ensembles autour de la table. Pierre a un regard de chien battu, Olivier scrute tous les indices possibles tandis que les deux frères essayent de diffuser une ambiance positive.
À quatorze heures, Olivier part à la sieste, je le suis, le câline un peu, le caresse à travers le short, mais ce dernier continu de me repousser. Il m’explique qu’il s’offrira à moi lorsque ses doutes sur une éventuelle infidélité ne seront plus présents dans son esprit. Je retourne donc au bord de la piscine avec le sentiment de la frustration.
Pendant que Monique fait la vaisselle, Pierre vient à côté de moi, et s’excuse de son comportement. Je lui dis qu’il n’y a aucun souci, puisque je suis consciente dans mes gestes. Il revient à la charge expliquant que la situation est réellement compliquée et qu’il ne sait pas comment on va s’en sortir. Je lui dis tout simplement, qu’il faut rester le plus discret jusqu’à samedi. Il est en accord avec ce que je dis, et part en direction des champs qui nous entourent.
Mon époux se réveille aux alentours de seize heures, il vient s’asseoir à côté de moi sur un autre transat, se baigne dans la piscine de temps à autre puis me passe de la crème solaire sur le dos à ma demande. Sa confiance est peut-être en train de revenir puisqu’à présent, il me papouille avec de la douceur et de la tendresse.
L’heure du dîner approche, je me dois de savoir qu’elle est donc l’épice qui me donne dans un premier temps soif le soir, mais aussi en connaître les caractéristiques via internet. Je vais donc dans la cuisine, propose de l’aide à Monique, mais cette dernière m’envoie bouler. Je me dirige alors en direction de la fenêtre de cette pièce afin de connaître la vérité. Je me suis mise dans un petit coin, et joue donc à la petite espionne. Je vois bien que la mère de famille s’affaire entre les casseroles et les poêles.
Puis, durant le temps de la cuisson, la femme quitte la pièce. Tout à coup, Benoit fait son apparition dans la cuisine, prend un récipient en verre contenant une poudre rouge, puis en met dans la préparation culinaire. Il s’échappe ensuite comme un voleur. Je devine assez facilement qu’il s’agit du piment d’Espelette.
Logique étant donné que nous sommes dans le Pays basque. Je monte alors dans ma chambre, prends mon téléphone portable, me connecte et tape le plus simplement du monde : est-ce que le piment d’Espelette est aphrodisiaque ? Je parcours deux trois forums et m’aperçois qu’effectivement, cette épice l’est. Je manque de tomber en apprenant cette nouvelle puisque finalement, l’initiateur, mais aussi le créateur de mon comportement n’est ni plus ni moins que Benoit. Bon d’accord, le piment ne fait pas tout, mais il contribue fortement dans ma nouvelle attitude de femme libérée.
Je ne regrette pas les évènements qui se sont déroulés ici, mais tout de même, une approche sensuelle et enjôleuse aurait certainement fait aussi bien son effet. Bref, il est dix-neuf heures, et je pars dans la salle à manger afin de dîner avec tout le monde.
Une fois de plus c’est succulent, Monique a vraiment un talent incroyable, puis je lui demande audacieusement si ses plats sont fait avec ce fameux piment d’Espelette. Elle me répond que non, qu’elle en met très rarement dans ses plats afin d’éviter de réveiller les hormones masculines de la maison.
Je lui signale faussement, que le plat sent pourtant cette épice. Elle rapproche son nez de la marmite et confirme mes propos. Elle reste silencieuse. Antonin nous rappelle que ce soir, nous allons en discothèque du côté de Saint-Sébastien afin de détendre l’atmosphère.

Olivier valide toujours cette proposition. Nous montons dans la chambre, nous nous préparons puis nous rejoignons les frères dans la jeep familiale. Après quelques kilomètres de route, nous arrivons à la frontière espagnole que nous franchissons, puis nous arrivons devant un complexe énorme. Il y a de nombreuses salles, l’ambiance est sympathique, et les Espagnols sont très accueillants.
Nous choisissons en commun dans un premier temps, le coin moderne. Des musiques internationales y sont diffusées. Je danse avec mon époux, me frotte à lui puis nous nous asseyons sur un canapé afin de nous rafraîchir. Je lui signale tout de même qu’il doit être plus prudent que lors des fêtes de Bayonne afin de ne pas finir complètement épave.
Il bougonne brièvement et s’enfile une vodka caramel d’un seul coup. Je lui dis qu’il n’est pas sérieux, mais rien n’y change. Je ne connaissais pas le côté alcoolique de mon mari, jusqu’à maintenant, lorsque nous allions dans des soirées entre amis, il était toujours sobre. Me serais-je trompé sur son cas ?
Bref, toujours, est-il que je suis ici pour m’amuser. Il danse de nouveau avec moi, puis retourne une nouvelle fois au bar et boit de nouveau d’un seul coup. À cet instant, Benoit et Antonin viennent à ma rencontre et me proposent de changer de salle. Je leur dis que je préviens Olivier, nous suivons alors les deux frères dans un coin Caraïbes.
Y sont diffusées des musiques latines, mais aussi du zouk et de la zumba. Appréciant fortement ce style, je me laisse emporter par les ondes. Je danse un peu avec Olivier, mais ce dernier retourne encore une fois au bar. Décidément, ce soir, il a un comportement de jeune homme, incapable de se tenir en public.
Benoit vient à ma rencontre, il me tend ses bras, et je pars alors dans des déhanchés endiablés. Il a donc cette capacité de plus, savoir danser. Au bout d’une demi-heure, nous nous installons sur un canapé, nous prenons un rafraîchissement puis retournons sur la piste. Olivier est toujours accoudé au comptoir, il continue d’enfiler les verres comme des perles. Je le rejoins, lui demande quand est-ce qu’il compte arrêter son cinéma.
Mais rien n’y fait, plutôt que de se calmer, il s’énerve, manque de me mettre une claque, c’est à ce moment-là qu’Antonin tente de le ramener à la raison. Mon époux est insensible à cette réaction, il continue de monter dans les tours, puis un videur vient nous demander de quitter la discothèque ou d’exclure ce dernier. La proposition me dérange, mais si je veux m’amuser encore un peu, je n’aurais pas le choix.
Nous accompagnons alors Olivier dehors, et nous l’installons dans la jeep le temps qu’il diminue l’intensité de sa colère. Nous retournons alors dans le lieu festif. Le petit frère me demande s’il est souvent comme ça lorsque nous sommes à la maison, je lui indique que non, puis nous retrouvons Benoit dans la salle Caraïbes.
Ce dernier nous propose d’aller dans un coin un peu plus calme, je ne dis pas non, puis nous arrivons dans le coin love. C’est un endroit où est diffusé de la musique beaucoup plus calme, du slow, du jazz, des chants traditionnels espagnols et de la soul.
Des couples dansent sur la piste, s’enlacent ou s’embrassent sur les canapés, je serais presque envieuse d’eux vu la situation actuelle. Je m’assois un instant à côté de Benoit, il m’enlace, me prend dans ses bras pour me câliner afin de calmer ma tension nerveuse, je me sens en sécurité avec lui. Au bout d’une dizaine de minutes, je suis un peu plus sereine. Ce dernier m’invite sur la piste de danse. Je me sens bien avec lui, alors j’en profite. Puis nous retournons de nouveau sur le canapé. Il se rapproche de moi, pose sa main sur ma cuisse dénudée et m’embrasse. Je ne le repousse pas, bien au contraire, quand tout à coup Antonin refait son apparition, nous demande s’il n’est pas de trop. Je le regarde droit dans les yeux, et l’embrasse à son tour. Le jeune homme caresse à son tour ma jambe, puis remonte jusqu’à la lisière de mon string. Je lui dis de se calmer, car je ne souhaite pas faire ça ici. Il me demande

de relever la tête, ce que je fais, puis je regarde autour de moi. Et effectivement, ce coin love de la boite est en train de ressembler à une boite à partouze. Des hommes et des femmes partagent des plaisirs charnels à la vue de tous et notamment sous l’œil bien veillant du videur.
Cette vision me trouble complètement, le bas de mon ventre ne tarde pas à réagir en voyant les couples ainsi. Antonin se montre beaucoup plus entreprenant, puisque ses doigts se promènent sur mon sous-vêtement. Il appuie même quelques fois, afin d’épouser la forme de mes lèvres. Benoit de son côté admire le spectacle, à baisser son pantalon, et fait apparaître son sexe immense.
Je le regarde et passe ma langue sur mes lèvres d’une façon aguicheuse. Il se masturbe lentement, tandis que son petit frère a déchiré mon string. Il soulève mes jambes et se positionne entre ces dernières. Il me lèche, joue avec mon clitoris et absorbe ma cyprine qui coule à n’en plus finir. Son cunnilingus me provoque un premier orgasme. Son grand frère s’est mis debout sur le canapé, et son sexe immense me fait face.
Je le prends en main, le caresse avec beaucoup d’attention, puis lui offre une fellation. Je joue même avec ses testicules afin de le stimuler encore plus. Ce dernier fait tomber les bretelles de ma robe, ainsi que celles de mon soutien-gorge. Il s’accroupit et s’offre une branlette espagnole comme il les aime tant.
Antonin de son côté, s’est arrêté de jouer avec ma vulve, ce qui permet à Benoit de changer de place. Ce dernier relève légèrement mon bassin, frotte son sexe contre mes lèvres humides, puis me pénètre en profondeur. Il reste statique pendant une trentaine de secondes, puis commence à faire des mouvements.
Ces derniers sont à la fois lents et rapides. Dans le même temps, le petit frère profite de ma bouche et de mes seins. Les deux garçons changent alors de place, c’est maintenant Antonin qui est au fond de mon vagin. J’ai l’impression qu’il va me déchirer, aujourd’hui, il est plutôt bestial.
Benoit qui est assis à côté de nous, en profite pour me faire des caresses. A présent, je change de partenaire, je m’empale désormais sur le membre du grand frère. Je monte, je descends, il me claque les fesses de temps en temps. Antonin quant à lui, me doigte l’anus sans ménagement. Il présente sa verge à l’entrée de mon anus, et me pénètre bestialement.
Les deux frères me remplissent totalement les orifices, et mes yeux se révulsent suite à plusieurs orgasmes. Benoit se retire à présent de mon vagin pour me positionner en levrette.
Les deux garçons échangent régulièrement leur position puis leurs sexes explosent en moi.
Nous nous rhabillons, puis prenons la direction de la jeep. Olivier dort toujours, après une bonne demi-heure de trajet, nous arrivons à la maison d’hôte...
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